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#26 17/04/2016 17h45

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Je vais regarder cela dans un avenir proche. De plus les financières représentent je crois près de 25% des indices donc ça a du sens.

@Koldun je ne sais pas évaluer un titre et je n’ai pas la patience de suivre des watchlists (j’achète trop vite et je vends aussi trop vite, normal je n’ai pas d’estimé). C’est la raison pour laquelle je cherche des automatismes et pour laquelle je suis investi presque (encore quelques efforts) exclusivement en ETFs.

Je ne cherche pas à vendre quand ça baisse et acheter quand ça monte même si ça y ressemble ;-) mais à me protéger d’une banqueroute en cas de correction et anticiper l’état du marché à la hausse comme à la baisse. Si mon conseiller est bon (en tout cas il a des moyens et des ressources que je n’ai pas) et agit en anticipation je devrais pouvoir aussi agir avant la correction ou la hausse (le market timing étant quasiment impossible, je l’entends bien) et dimensionner mon levier en fonction des configurations de marchés.
Je ne sais pas si cela fonctionnera comme je l’imagine mais ce qui est certain c’est que je dois avoir un levier inférieur, en particulier dans les phases de baisse.
On pourra en discuter sur la file de mon portefeuille après le reporting d’avril dans lequel j’exposerai cette approche de dimensionnement de mon levier.


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#27 17/04/2016 17h54

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Je ne sais pas non plus évaluer si un titre est cher ou pas, mais si Nike, Microsoft ou Ab Inbev perd 15%, il y a une chose de sur et certain : je suis 15% plus bas que le dernier plus haut d’une société de qualité.

Je n’entre donc pas sur un point haut.

A partir du moment on l’on a conscience qu’il y a un plancher (0), mais pas de plafond (mais les arbres ne montent pas jusqu’au ciel…), on met un peu de stat et de proba de son coté…

Maintenant, si vous êtes en levier 10… c’est plus la même chose…

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#28 17/04/2016 19h43

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J’avais acheté - il y a des mois - un put sur IBB, l’indice des biotechnologies, avec le raisonnement suivant :
- la volatilité est plus faible sur l’indice que sur une entreprise (je rejoins ici TripleFail)
- la plupart des biotechs sont volatiles et, en tant que "valeur de croissance" potentiellement sujettes à des soubresauts encore plus importants que ceux du marché (d’autres diraient : elles ont un bêta supérieur à 1).

J’ai fait une plus-value dessus, mais vendu bien trop tôt (comme souvent avec les couvertures).

Je trouve l’idée intéressante, mais comme je ne sais pas vraiment évaluer ce que devrait valoir l’indice, ça ne colle pas trop avec une philosophie "value".

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#29 17/04/2016 20h02

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@namo j’ai fait la même chose que vous (mais je ne sais plus sur quel ETF) sur les biotechs pour moi il y avait une belle bulle et comme vous j’étais sortie trop tôt, de même sur mon short de la valeur EIGI (repéré grâce à Gotham City research) où je suis sortie trop tôt. Pour les prochaines je pense faire un semblant d’analyse technique couplé à l’analyse financière, j’ai donc des objectifs de cours pour toutes mes positions short, reste à savoir si j’arriverais à me discipliner.

Mais bon que les gens se rassure, je ne risque que 2-3% de mon capital sur toutes mes positions short , le but est vraiment de se couvrir intelligemment et de ne pas consommer plus de capital que ce que peuvent fournir les dividendes.

Et enfin je ne pense pas que tout ceci soit contraire a une approche value, jouer contre une bulle sur un secteur, une économie ou juste sur une valeur, dans le but de protéger son portefeuille et après une analyse rigoureuse, c’est pour moi parfaitement complémentaire.

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#30 01/05/2016 19h21

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Il y a des ETFs qui jouent maintenant sur le long/short pour proposer une protection à la baisse.
Concrètement ils achètent un peu de VIX pour couvrir le portefeuille. Leur performance est amputée du coût de ces contrats sur le VIX bien sûr.
Ces ETFs sont encore jeunes et il est difficile de savoir quelle protection ils peuvent réellement offrir.

Le moins cher des 3 ou 4 ETFs disponibles est PHDG PowerShares S&P500 Downside Hedged.
Je pense que je vais en prendre pour passer l’été jusque la rentrée en octobre.

Dans la famille Powershares il y en a un autre que je trouve original (très jeune aussi): XLRV Powershares S&P500 ex-Rate Sensitive & Low Volatility.
En gros ils enlèvent tous les secteurs sensibles à une montée des taux d’intérêt (probable d’après les annonces de la FED) et en plus ont un tilt low volatility: pas d’énergie, ni d’utilities, très peu de real estate et telecoms, sous exposition technologie et financials aussi.
Le genre de pari qui pourrait bien se comporter sur la fin 2016 et en tout cas moins risqué que le S&P500 brut (sauf si les cours du pétrole remontent progressivement jusque 60 voire 80$ dès cette année, scénario que je ne privilégie pas et qui pour l’instant me fait mentir car il n’y a pas eu de pause à 40$ le baril et le cours continue sa croissance…)


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#31 15/05/2016 10h58

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Un article intéressant sur le sujet sur SeekingAlpha.
L’auteur fait un benchmark sur le dernier quadrimestre sur le coût de différentes positions de couverture à 100% de son portefeuille, soit en prenant des ETFs inverse, soit en shortant des ETFs leveraged.

The real cost of hedging with leveraged ETFs in 2016 by Fred Piard

Conclusion: le coût de la couverture dépend du chemin des cours des supports (dépend de la volatilité qui augmente le bêta slippage) mais sur ce quadrimestre il existait des solutions de couverture gratuites…

Le problème est de pouvoir les anticiper ce qui n’est pas possible. Mais l’exercice est intéressant. L’auteur propose de le renouveler.


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#32 22/05/2016 15h14

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Un autre article intéressant sur la couverture de son portefeuille à l’aide des options.

Protection avec des statégies complexes d’options

L’article manque de précision et d’exemples de réalisation à mon goût mais le message est le suivant:
- une stratégie complexe avec options coûte moins chère pour un bon résultat de couverture. Il mentionne en particulier les collars et spreads sur options
- se couvrir sur des ETFs, réduit les frais de transaction tout en conservant une bonne représentativité du portefeuille (couvrir avec le S&P500 un portefeuille US par exemple).

Comme je le dis on manque de données de réalisation et ce qui me fait peur est le scénario le pire: celui qui vous amène au-dessous des strikes out of the money que vous avez vendus pour limiter le coût des options achetées à un strike in the money. Dans ce cas, le bon sens me dit que la perte serait supérieure à l’absence de couverture, la vente out of the money annulant le bénéfice de l’achat in the money et multipliant la perte si le marché baisse au-delà du strike.
Le seul bénéfice est de pouvoir acheter par cher mais encore faut-il avoir des liquidités (peu probable si le portefeuille se casse la figure) et que le coût d’achat soit intéressant (ce qui ne sera pas le cas si le marché baisse encore de 15% de plus après avoir passé le strike).

Il faut faire ses propres devoirs sur le sujet… mais ce sont des pistes d’études intéressantes.
Certains d’entre vous pratiquent-ils ce genre de couverture? Pour quel coût au final?


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1    #33 06/07/2016 14h56

Exclu définitivement
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Se protéger sans vendre son portefeuille. Garder ses positions (avec tout le potentiel associé) et en même temps profiter doublement d’une baisse majeure, mais courte sur, pour une petite partie de son portefeuille. Là, cela devient intéressant !

Car cela permet : 1) de gagner "sur la couverture" qui va booster lors de la baisse et 2) d’acheter / renforcer des titres qui nous intéressent, à des cours moins élevés.

L’exercice le plus délicat dans cette approche périlleuse est de déterminer quand on a besoin de couverture. Si le portefeuille est tout le temps couvert, on prend un risque de coût d’opportunité énorme (les gains des hausses peuvent être partiellement minorés par les couvertures mises en place). Il est donc essentiel de ne se couvrir que sur des périodes courtes (6 mois par exemple) et de suivre un process clair.

Les exemples ci-dessous sont valables si, et seulement si, de deux choses l’une :

1/ l’investisseur connaît les titres qu’il a en portefeuille, le potentiel moyen de son portefeuille, et les objectifs de cours individuel de chacune de ses lignes. Primordial pour savoir quand il est opportun de renforcer à nouveau.

2/ il a le temps d’arbitrer en fonction des opportunités de marché détecté à l’instant t = disponibilité quotidienne pour réaliser ses vente ou faire ses courses sur les marchés.

Quand couvrir son portefeuille ?

L’investisseur averti connaît sa performance et son objectif de performance (annuelle par exemple). Dès lors, il peut considérer comme adéquat quand à mi-année (ou autre période), il a déjà atteint sa performance cible et/ou largement dépassé celle-ci.

Par ailleurs, regarder les fondamentaux de marché (PER historique, Price-to-book historique - ceux de Shiller par exemple -, niveau des taux d’intérêts d’Etat, VIX et autres indicateurs de marchés) permet d’appréhender à peu près si les marchés sont "plutôt en fourchette haute" ou "plutôt en fourchette basse" de valorisation historique.

Si les deux points précédents ont été validés, à savoir : performance actuelle > performance cible + marchés "plutôt en haut de fourchette", il peut sembler pertinent de couvrir une partie de son portefeuille.

Comment couvrir son portefeuille ?

Selon ses aptitudes, le temps que l’on souhaite consacrer à la gestion de son portefeuille et de ses accès au marché (le broker y fera beaucoup !), de nombreuses stratégies sont possibles. Et elles ont été pour la plupart évoquées dans cette file. Identifions donc les actifs qui permettent de se décorréler du marché action. Dit autrement, quels sont les actifs qui vont le plus "gagner" en cas de mouvement baissier majeur sur les marchés financiers. Voici quelques pistes :

1. Identifier des titres très "hype" avec des valorisations qui sortiront par l’analyse fondamentale comme excessivement élevées et les vendre à découvert.
Stratégie qui fonctionne relativement bien, à condition de diversifier, et d’un travail ardu d’identification des dites sociétés. Votre broker devra vous permettre de réaliser également ce type d’opération… Attention au coût généré par l’emprunt de titres pour les vendre. Certains titres peuvent vous coûter plus cher à la location que le gain que vous allez in fine en obtenir même si votre scénario est validé. C’est notamment le cas sur les titres favories des shorteurs ou des titres qui ont un faible flottant.
Il faudra également faire attention aux risques de pertes illimitées sur ce genre d’opérations.

2. Acquérir des trackers qui vendent les indices, type BX4 pour le CAC 40 (double short) et SPXU pour le S&P 500 (triple short). Attention au beta-slippage. Sur le long terme, il mangera une grande partie de votre performance.

3. C’est un mix des deux premières approches. Vous pouvez identifier les secteurs les plus à la mode, ou dit autrement, les plus chèrement valorisés et donc susceptible d’un plus grand tour de toboggan que les autres secteurs, et les vendre à découvert via des trackers.
Par exemple, si vous estimez que le secteur des biotechnologies US est survalorisée selon vos calculs et observations, le tracker UltraPro Short Nasdaq Biotechnology (code ZBIO) permet de vendre à découvert avec un levier x3 le secteur biotech US. L’avantage des approches par les trackers, c’est qu’elles permettent de par leur composition une diversification importante.

4. Identifier des secteurs qui profitent des turbulences de marché et acheter des actions des "meilleures" sociétés de ce secteur.
Par exemple, l’or performe généralement bien en périodes troubles. Dès lors, pas besoin de shorter (=vendre à découvert), il "suffit" d’acheter des actions de valeur aurifères qui vont permettre de démultiplier cet effet de décorrélation du fait des effets de levier des cours de l’or sur les sociétés exploitantes de mines d’or.
Il y a derrière cette démarche tout un travail de recherche et d’analyse pour identifier les actions des sociétés minières qui pourront correspondre aux objectifs de couverture. Le principal avantage de cette approche, c’est que vous n’avez pas à shorter. C’est-à-dire que vous n’est pas en situation risquée de type "perte infinie / gain potentiel maximal = 100%" comme lors d’une vente à découvert. Le principal inconvénient réside dans le fait qu’il est difficile de savoir quand les cours de l’or sont bon marché, quand ils vont rebondir et quand ils auront atteint un sommet…

5. Garder toujours une enveloppe de cash tel que vous le dicte votre process.
Si votre process d’investissement est bien conçu, il devrait vous permettre d’être relativement moins investi lors de "marchés en haut de fourchette" de valorisation historique et au contraire d’être full invest en marché valorisé "en bas de fourchette" de valorisation historique. Plus facile à dire qu’à faire. Si lors d’un gros mouvement de marché à la baisse, vous êtes à tous les coups à court de liquidité et que cela vous chagrine, peut être faut-il réétudier votre process d’investissement.

Un mix de ces approches est possible.

Si vous connaissez d’autres type de couverture simple, partagez SVP.


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1    #34 17/07/2016 10h13

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Bonjour,

Plutot que la VAD, pourquoi pas l’achat de put?

Le risque est limité à la prime payée, pas d’intérêts à payer.

Je pratique les deux, et si de prime abord, les options peuvent sembler complexe, je pense qu’en creusant un minimum on peut en sortir quelque chose.

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1    #35 17/07/2016 10h58

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Oui l’achat de puts hors de la monnaie est une façon simple de se couvrir.

Pour éviter les ventes à découvert qui peuvent coûter cher en intérêt et dont on ne maîtrise pas la perte maximale, il y a les ETFs contraires.
Au lieu de shorter un ETF long, achetez l’ETF short équivalent, le risque de perte est alors limité (à la valeur du titre).

Je pense que les VAD doivent être limitées au trade (un pari ponctuel) et non à la couverture car elles ont un coût non maîtrisé au contraire des options dont le coût est connu à l’avance.

La difficulté est bien de savoir si le marché est cher ou pas et s’il va se retourner ou pas. Et c’est bien entendu le plus difficile. C’est ce que je paye en choisissant un conseiller qui me donne une météo des marchés qui permette de me rassurer/m’aiguiller sur les risques et le besoin de couverture.
Actuellement mon conseiller a repositionné sa météo ’en expansion’, l’équivalent d’un beau ciel bleu, donc je suis entièrement investi avec peu de réserves et pas de couverture.
Même si ma performance annuelle est déjà supérieure à mon objectif, je ne vois pas pourquoi payer une couverture si le risque est faible, cela ne fera que manger la performance.

En cas de risques avérés (baisse attendue) je pense que ’cash is king’ est la meilleure réponse. Par exemple pour le Brexit, il y avait probablement moins de risque et autant d’opportunités à attendre cash la décision plutôt qu’à prendre un pari avant le vote.


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1    #36 17/07/2016 11h55

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Pour votre questionnement du 22/05, sur la perte maximale des stratégies d’options genre call spread ou put spread : la perte maximale, tout comme le gain maximal, sont bornés.

Dans le cas de put spread, si le sous-jacent a plongé sous les strike, les gains du put achetés couvrent les pertes du put vendu et vous empochez la différence.

IV - Le gain maximum du put spead est borné

Le gain net maximum d’un put spread acheté est la différence entre les prix d’exercice, les strikes, moins la prime nette décaissée.

Si le put 100 a été acheté 9.5 euros et que le put 80 a été vendu pour 2.5 euros, le gain maximum de ce put spread est : 100 - 80 - ( 9.5 - 2.5 ) = 20 - 7 = 13 euros par put spread dans l’éventualité où le titre baisse au moins jusqu’à 80.

Bien évidemment, il faut relativiser l’écart des prix d’exercice avec la volatilité du sous-jacent, mais d’une manière générale, les mouvements n’étant pas infinis, l’utilisation d’un put spread par rapport à L’achat D’option De Vente - Achat De Put sec est très souvent une bonne chose.

V - Le risque du put spread

Le risque du put spread est limité au montant net décaissé (le montant déboursé pour l’achat du put de strike K – (moins) le montant encaissé par la vente du put de strike K’).
En reprenant l’exemple ci dessus, le risque maximum est 9.5 - 2.5 = 7 euros. On ne peut perdre plus de 7 euros avec ce put spread (bien moins que les 9.5 euros du put 100 seul ! ).

Le put spread : une première approche - Stratégies Options

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#37 17/07/2016 12h35

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Jef56

Un  "ciel bleu"? avec le putsch en Turquie … heureusement fait après la fermeture des marches et "maitrise" par Erdogan… c’aurait pu être "gros nuages noirs" - ET effet tres négatif sur le marches

D’ailleurs suis pas sure que le marche restera indifférent a un Erdogan maintenant renforce de par l’élimination de beaucoup d’opposants pro-EU …le secteur transport et lignes aériennes peut en prendre un petit coup tout de meme
Quant a la couverture … les obligations achetées sur marge peuvent contrebalancer - vu leur tendance a remonter quand les actions baissent

Suis sceptique sur les etfs short et les options - a moins d’être colle a votre écran toute la journée…but what do I know ? Purement par curiosité je vais regarder les etfs shorts de plus pres…

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#38 17/07/2016 13h08

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L’effet balancier entre les obligations et les actions est déréglé en ce moment avec la crainte d’un défaut sur les dettes publiques, je ne suis pas sûr que ce soit toujours aussi efficace comme stratégie de gestion de risque.
D’ailleurs le conseiller MQ qui propose un mix actions / obligations en fonction de l’état des marchés (au mini 30% et maxi 70%, mix de IG et HY) sur sa dernière préconisation recommande de rester cash plutôt qu’investir sur des obligations en ce moment, à cause des taux négatifs. Commentaires sur préconisation MQ (PS: je ne sais pas pourquoi ils ont fait ce choix d’image d’illustration…)

koldoun a écrit :

Pour votre questionnement du 22/05, sur la perte maximale des stratégies d’options genre call spread ou put spread : la perte maximale, tout comme le gain maximal, sont bornés.

Je reviens sur le put ou call spread que IB appelle aussi vertical spread avec une question opérationnelle.

Comment se dénouent ces opérations?

Si je fais un call spread sur un titre avec l’achat d’un call à 20 et la vente d’un call à 22, lorsque par exemple le titre atteint 21,5 comment faire pour déboucler la position?
On revend les 2 options simultanément? Le gain initial prévisible sera t’il respecté ou l’évolution du prix du strike 20 peut évoluer différemment de celui du strike 22 et ainsi diminuer le gain en débouclant les 2 lignes?

Si on garde la position jusque la fin, elle va s’éteindre automatiquement sans qu’on ait pris le gain (pas d’exécution automatique) voire si le prix dépasse 22, je serai exercé par l’acheteur du call 22 et je n’aurai pas transformé le call 20?

Ceux qui ont l’expérience de ces instruments peuvent-ils m’éclairer?

Dernière modification par Jef56 (17/07/2016 22h02)


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#39 18/07/2016 09h24

Exclu définitivement
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koldoun a écrit :

Bonjour,

Plutot que la VAD, pourquoi pas l’achat de put?

Le risque est limité à la prime payée, pas d’intérêts à payer.

Je pratique les deux, et si de prime abord, les options peuvent sembler complexe, je pense qu’en creusant un minimum on peut en sortir quelque chose.

Il est vrai que les PUT offrent le gros avantage de limiter la perte au seul paiement de la prime. Bien vu ! Les deux bémols résident dans une échéance qui peut ne pas suffire pour rentrer dans le scénario de couverture. Et plus terre à terre… est-ce que mon broker me permet de faire joujou avec des options ?  hmm

Jef56 a écrit :

Pour éviter les ventes à découvert qui peuvent coûter cher en intérêt et dont on ne maîtrise pas la perte maximale, il y a les ETFs contraires.
Au lieu de shorter un ETF long, achetez l’ETF short équivalent, le risque de perte est alors limité (à la valeur du titre).

C’est un point que je n’avais pas identifié, mais il est très puissant ! Avec un ETF "shorteur", on a l’inconvénient du beta slippage mais on retire le gros désavantage de la risque de perte illimitée de la VAD.

Jef56 a écrit :

La difficulté est bien de savoir si le marché est cher ou pas et s’il va se retourner ou pas. Et c’est bien entendu le plus difficile. C’est ce que je paye en choisissant un conseiller qui me donne une météo des marchés qui permette de me rassurer/m’aiguiller sur les risques et le besoin de couverture.
Actuellement mon conseiller a repositionné sa météo ’en expansion’, l’équivalent d’un beau ciel bleu, donc je suis entièrement investi avec peu de réserves et pas de couverture.
Même si ma performance annuelle est déjà supérieure à mon objectif, je ne vois pas pourquoi payer une couverture si le risque est faible, cela ne fera que manger la performance.

Tout est question de lecture des marchés, effectivement…

Merci à vous deux pour vos retours éclairants.


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2    #40 18/07/2016 11h24

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koldoun a écrit :

Plutot que la VAD, pourquoi pas l’achat de put?
Le risque est limité à la prime payée, pas d’intérêts à payer.

On en revient a une discussion que j’ai déjà eu au sujet des futures avec Koldoun: Vous payez bel et bien les intérêts de location des titres que vous "shortez" par l’achat de PUTs, ces derniers sont intégrés dans la prime payée. La prime des options est fonction de la volatilité, mais aussi (surtout pour le coté PUT) des dividendes payés et frais d’emprunt des titres.

L’avantage, il est vrai, est que ces frais sont connus d’avance et ne changent plus jusqu’à l’expiration de l’option, alors que les frais d’emprunts changent au jour le jour lorsqu’on shorte directement. Il y a aussi le coté pratique que Koldoun avait pointé lors de notre dernière discussion. Mais quoi qu’il en soit, vous les payez ! wink

Ca rejoint également une autre file sur "louer ses titres": Sur les actions qui coûtent cher à emprunter dont vous êtes long, vous pouvez échanger votre position longue contre des shorts sur des PUTs très dans la monnaie: Vous bénéficierez de cette composante "frais d’emprunts" que vous allez encaisser, avec la quasi certitude de retrouver vos titres à l’expiration de l’option. Ca vous permet d’effectivement "louer vos titres" (encaisser les intérêts) par le biais de vente de puts. L’éventuel avantage est comme noté plus haut: Vous connaissez à l’avance le montant que vous allez gagner, et sur des titres qui deviennent ponctuellement très chers à louer, quand il y a des options à long terme disponibles (LEAPS), ça peut être assez intéressant, même si les coûts de location chutent par la suite.

Si  vous voulez regarder un cas pratique, il y a PSEC, un BDC que j’ai en portefeuille depuis quelques temps dans ce cas, et sur lequel j’ai échangé mes position longues pour les shorts puts il y a plusieurs mois. Et pour revenir plus sur le sujet de cette file, lorsque la panique guette, si vous détenez des titres gros payeurs de dividendes, dont le potentiel de hausse vous parait limité et qui deviennent cher à louer, vous pouvez vendre des puts avec un strike plus bas en échange de vos positions longues. La hausse de la volatilité + des coûts d’emprunts font que ça peut très bien devenir financièrement aussi intéressant que de garder vos titres, et vous avez une protection supplémentaire: En cas de baisse, vous recevrez à nouveau vos titres moins cher. Le risque est de ne plus avoir ses titres à l’arrivée s’ils ne baissent pas ou augmentent, il faut donc y être prêt (c’est surtout adapté aux mREITS et BDCs qui versent plus de 90% de leurs profits sous forme de dividendes et qui ont un potentiel de hausse plus limité lorsqu’ils sont bien valorisés). Pour les dividendes versés, comme précisé plus haut, ils sont aussi intégrés dans la prime des puts, si votre put vendu n’a pas un strike trop bas, vous toucherez bien plus de prime que l’ensemble des dividendes payés, avec une protection supplémentaire en cas de baisse ou de coupure de la distribution sur la période (le montant de la prime étant calculé à l’avance en fonction du taux de distribution à ce moment, sous réserve qu’une baisse ou coupure ne soit pas anticipée biensur)

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#41 18/07/2016 11h46

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J’ai juste 2 minutes :

Vos stratégies semblent très intéressante Mevo, hélas pour moi, elles sont surtout destinées à de gros portefeuille, puiqu’il ne faut pas oublier qu’une option = 100 actions.

Mais partager ce genre de stratégie mérite bien un +1

-> Jef56 : j’ai toujours manié les options pour les primes, je n’ai jamais été au bout d’une échéance.

Je vais d’ailleurs téléphoner un de ces jours à Degiro pour comprendre concrètement ce qu’il se passe lorsque l’on va jusqu’à l’échéance.

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#42 18/07/2016 12h50

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@Koldoun et @Jef56, j’ai démarré une nouvelle file pour répondre à vos interrogations: Fonctionnement des options

Jef56, cette file démarrée par Miguel sera éventuellement un bon complément: Stratégies simples sur le marché des Options : Short Call Spread, Bear Call Spread… (Il parle plus de la stratégie, je vais plus m’orienter sur la partie opérationnelle, comme vous le souhaitez)

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#43 07/08/2016 15h57

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Pour revenir sur le sujet et compléter la bonne synthèse du post #33 de FrankInvestor je retiens personnellement 5 pistes:

- avoir du cash. Cela coûte un coût d’opportunité difficile à évaluer (au mini la performance réalisée donc pour moi en 2016 un coût rédhibitoire ;-)
A défaut de cash, on peut avoir de la marge et la gérer en conséquence.

- les options. Elles ont un coût et surtout il faut avoir un bon timing ce qui est difficile. C’est la solution finalement la moins évidente je trouve. Je n’envisage les options que sur des situations particulières comme la saison des résultats où la volatilité est importante. Aussi sur des échéances longues (plusieurs mois) avec des stratégies de spread (le coût est limité), cela est peut-être envisageable. Je vais creuser à la lumière de mes premiers spread en cours (mais ils sont longs et pas short…).

- le VIX. J’avoue que la stratégie de MisterVix (acheté le VIX lorsqu’il est bon marché) est une stratégie qui me tente et que je vais expérimenter dès que je pourrai trader des futures. Je n’ai pas d’idée sur le coût par contre.

- les ETFs leveraged et inverses. J’ai commencé à essayer mais dans le sens long, pas dans le sens short qui est le sens concerné en cas de baisse pour protéger son portefeuille. Je vais donc identifier des ETFs éligibles pour être prêt à dégainer le moment venu sur un ETF short leveraged.
Le coût est minime mais le risque de retournement (et donc le timing) est fort.

- les ventes à découvert. C’est la piste la sur laquelle je réfléchis le plus en ce moment.
J’ai découvert la vente à découvert depuis 2 mois et cela me donne des idées de couverture. Idéalement lorsque ça fonctionne, être short sur des titres permet de se protéger contre une baisse puisque quand une VAD baisse, on profite. Aussi en général lorsque les marchés baissent fortement, tout baisse.
Donc si on arrive à identifier des actions qui peuvent baisser en temps normal, elles baisseront aussi en cas de baisse générale et on est donc gagnant dans toutes les configurations.
Bien sûr identifier des titres qui vont baisser dans un marché stable ou haussier, c’est le challenge. Il est certain qu’il y aura beaucoup d’échecs ou de succès très rapides, alors que idéalement on souhaiterait une couverture totale et donc 100% du portefeuille long couvert par des positions courtes.
Les screeners ’short’ que propose Stockopedia sont d’ailleurs tous en performance négative sur le moyen terme. C’est donc une réelle difficulté de trouver des titres éligibles.
Par contre une fois que l’on a trouvé un candidat et qu’il perd quelques pourcentage rapidement, on peut sécuriser le risque de retournement avec un stop loss.
Il n’y a pas non plus de ‘free lunch’, les titres les plus susceptibles de baisser sont prêtés à un taux d’intérêt qui peut être important (>10% par an). Donc on ne peut pas non plus garder éternellement un short qui stagne, les intérêts finiront par coûter trop chers. C’est une raison de plus qui oblige à une forte rotation des shorts et qui ajoute à la difficulté et à l’impossibilité (?) de gagner de l’argent avec cette méthode.
Mais si on ne peut pas vraiment gagner de l’argent, avoir des positions short lorsque le marché se retourne est une façon de couvrir le portefeuille contre des pertes importantes.
C’est donc toutefois je trouve une piste intéressante à poursuivre.
Je vais essayer avec les screeners Stockopedia d’identifier des candidats au short. Idéalement (je suis ambitieux!) je voudrais 1/3 de mon portefeuille en position short et avec un coût nul.

L’avantage des positions de VAD par rapport à une couverture par des options ou des futures (VIX) est que le temps est moins important (on paye un taux d’intérêt toutefois) et que donc la solution est moins ‘market timing dépendante’ que les deux autres.
Le risque de la VAD est la perte ’infinie’ donc il faut positionner un stop loss systématiquement.
Aussi si le support est volatile il est probable qu’on ne l’aura pas en VAD au bon moment (on l’aura revendu lors d’une phase de hausse). Cette stratégie nécessite beaucoup de transactions et le coût nul recherché est loin d’être garanti.
Il faut regarder aussi du côté des ETFs qui sont par définition moins volatiles qu’une action. Par exemple NGE chute régulièrement depuis 2 mois sans fortes variations.

Réussir à conserver des positions en VAD avec un coût nul ou très faible permettrait sans faire de market timing d’être couvert pour une partie du portefeuille en cas de retournement des marchés. C’est la théorie, la pratique est réputée beaucoup plus difficile à mettre en oeuvre, voire impossible.


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#44 08/08/2016 09h09

Exclu définitivement
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Belle synthèse Jef56.

Je ne veux pas vous décourager, mais votre emballement sur les VADes me semble excessivement positif.

Vous l’avez noté, il y a le risque de perte illimitée.

Les 2 principaux inconvénients :

1/ identifier la valeur (ou les valeurs) à vader. C’est un peu du timing aussi. Et est-ce que cette VAD, si elle fonctionne, sera réellement décorrélée de votre portefeuille ?

2/ contrairement à un tracker (type SPXU - short S&P 500 x 3) qui englobe tout le marché (500 valeurs) et avec lequel vous êtes hyper diversifié, en VADant en direct, vous devez ne pas vous tromper. Quels seront les coûts pour diversifier suffisamment votre sous-portefeuille de VADes ?

Attention au risque de concentration sur une ou quelques valeurs qui vous expose à des pertes illimitées et avec quelle corrélation - ou plutôt quelle décorrélation - avec votre portefeuille ?

Dernière modification par FranckInvestor (08/08/2016 09h33)


Les Daubasses - Investir sur les petites valeurs avec succès / Graines Voltz : défendre une offre > 40 EUR

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#45 08/08/2016 09h44

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Je pense que les VAD sont la meilleure solution.

Mais comme je l’ai décrit dans mon portefeuille, voici les situations que vous rencontrerez immanquablement certains jours/semaines/mois :

1 - idéale : les positions longues montent, les positions courtes baissent. Très rémunérateur.

2 - flat en gain : ça monte par ci, ça baisse par la, mais vous restez collé à votre indice de comparaison (CAC40 pour moi)

3 - flat en perte : idem, mais vous sous-performez l’indice

4 - catastrophique : les positions longues baissent, les positions courtes montent.
La il faut rester calme.

Je ne sais pas pourquoi, je m’échine à me tenter sur les options.

Mais je trouve les VAD bien plus claires, moins sujette à de grosses variations sur lesquelles vous n’avez aucun controle (hausse de la volatilité implicite subite, spread qui s’écartent etc).

Après, vient la place du choix des sociétés à vendre à découvert.

J’ai ma méthode (AT + un peu de fondamental + suivi des VAD via le site shortsell), ma façon d’optimiser la taille de la position etc.

A vous de trouver ce qu’il vous convient le mieux, et c’est ça que je trouve passionnant :-)

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#46 08/08/2016 11h17

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INTJ

Ce que vous décrivez avec les VAD sur les titres à plus fort potentiel baissier et des achats longs de titres high quality est la stratégie appliquée par certains fonds dits MARKET NEUTRAL sensée être la panacée des fonds indifférends au sens du marché, qui gagnent un peu moins en période d’euphorie boursière mais ne baissent pas ou peu en période de baisse…

Franchement je n’ai pas la notion que les retours de cette stratégie soient totalement exceptionnels



Il s’agit là de moyennes, et certains fonds semblent faire beaucoup moins (et par conséquence d’autres beaucoup moins bien!)


L’argent est un bon serviteur et un mauvais maître (A. Dumas )

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#47 08/08/2016 12h32

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Personnellement je ne pratique pas de stratégie market neutral.

Si j’estime qu’aucun titre n’a de potentiel baissier, je ne vais pas me forcer à faire de VAD juste pour être neutral.

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#48 08/08/2016 22h29

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Merci pour les éléments de réflexion messieurs.

Les paramètres sont toujours multiples et réussir une VAD est loin d’être évident, sinon ça se saurait. On n’est pas sûr non plus de la réaction de nos VAD en cas de forte baisse et en terme de corrélation en effet.
Je pense que les hedge funds qui font du market neutral utilisent des outils plus sophistiqués que les VAD un peu comme les ETFs synthétiques qui arrivent à reproduire la performance d’un indice à l’aide de swaps (aucune idée comment cela fonctionne).

Je vais quand même essayer et voir ce que ça donne (comme j’ai essayé les options), mais je ne pense pas en effet avoir trouvé la panacée.
Il faut toutefois étudier les pistes pour essayer de protéger son portefeuille au mieux en espérant comme une assurance que cela ne serve jamais.


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#49 09/08/2016 08h37

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Jef56 a écrit :

- le VIX. J’avoue que la stratégie de MisterVix (acheté le VIX lorsqu’il est bon marché) est une stratégie qui me tente et que je vais expérimenter dès que je pourrai trader des futures. Je n’ai pas d’idée sur le coût par contre.

Acheter le VIX, comme exposé par MisterVix, cela peut vouloir dire être long sur un future VIX ou prendre des options sur le VIX. C’est pour ma part cette seconde approche qui m’intéresse le plus, si tant est que les marchés et le VIX restent inversement corrélés (ce n’est pas garantie).
Avec un VIX si bas (proche des 11) le risque de perte sur ce hedge reste limité IMHO, pourquoi s’en priver ? Avec une maturité suffisamment lointaine et/ou un sizing limité.

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#50 09/08/2016 15h18

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Je suis d’accord avec vous surtout qu’avec les élections US de novembre et la réunion de la FED de septembre on est quasiment certain de voir bouger le VIX.

Je ne peux toujours pas le trader, mon conseiller ne l’autorise pas… pour l’instant. J’ai demandé si cela pouvait évoluer.


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