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#51 20/03/2017 15h31
- Geronimo
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Bonjour,
comme je vois que cette discussion est à nouveau active, je me permets de re-poser ma question du post 43 :
A quoi serviront l’IOBSP et l’IAS du CGPI s’il ne peut plus se rémunérer sur commissions ? Seul le statut CIF lui sera utile non ?
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#52 20/03/2017 18h01
- carpediem
- Membre (2012)
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Déjà aujourd’hui un CGP peut prendre un honoraire pour une recherche de financement ou la gestion d’un compte titre indépendamment des montants impliqués (IOBSP) et rien n’empêche un CGP de vous facturer une recherche ou une gestion de contrat d’assurance selon un barème qui n’est pas lié au montant souscrit (IAS).
Donc les statuts vont encore servir….
Pour Aristophil, il y a surement des CGP qui en ont acheté à titre personnel car le "push" commercial était puissant.
Carpediem (Précision importante: pas d’Aristophil et autres bizarreries dans mes activités)
«Voir c’est savoir, vouloir c’est pouvoir, oser c’est avoir. »Alfred De MUSSET
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#53 26/04/2017 14h11
- Virgule86
- Membre (2017)
- Réputation : 0
Bonjour à tous (et à toutes peut-être on sait jamais :-))
Je vous remercie tout d’abord pour ce sujet très intéressant.
Me concernant, je suis également en pleine réflexion sur une possible orientation vers cette activité.
Je suis actuellement en train de terminer un master 1 en droit des Affaires, j’étais plutôt parti dans la perspective de préparer le concours d’avocat et de faire un master 2 en droit fiscal afin de devenir rapidement avocat fiscaliste. Mais à la réflexion, ce qui m’intéresse dans la fiscalité ce n’est pas l’aspect juridictionnel ou encore le fait de rechercher à sortir victorieux d’un face à face avec l’administration fiscale, mais le conseil, les montages et la recherche de l’optimisation fiscale.
De plus, j’ai l’impression qu’avocat n’est certainement pas un métier d’avenir et même si les perspectives sont plutôt bonnes en droit fiscal, la tendance est plutôt au regroupement en grandes structures et j’ai l’impression qu’à terme, cette profession sera complètement phagocytée par la logique anglo-saxonne avec des associés en haut et une masse d’avocats salariés hyper spécialisés en bas. Moi qui recherche plutôt à terme l’indépendance ou à travailler dans une petite/moyenne structure et à être assez généraliste dans mon approche, cela me pose problème.
Maintenant j’ai plusieurs questions qui me viennent à l’esprit avant de concrétiser mon choix :
1° Que pensez-vous de mon profil et de ce raisonnement ? Est ce un choix judicieux selon vous ?
2° J’ai vu que l’on pouvait exercer en tant que conseiller en gestion de patrimoine/ Conseiller financier et immobilier dans un cabinet d’avocat ou un office notarial, ce type d’exercice est t’il courant ? En quoi consiste cette activité exactement ? Et de quelle façon on y accède in fine ?
3° Concernant la formation, les meilleures formations me sont fermées, j’ai un parcours plutôt périlleux avec quelques années de retard accumulées (réorientation, problèmes de santé…);
Mais je pense avoir de grandes chances d’être accepté dans le MBA Gestion de Patrimoine de l’ESA
(École supérieur de l’assurance), Selon SMBG c’est une bonne formation et la plaquette détaillant la formation (environ 1200H étalées sur deux ans) m’incite à la confiance, qu’en pensez vous ?
La première année étant dédiée à la gestion de patrimoine des particuliers et la seconde à celle des professionnels.
Me conseillez vous une autre formation ?
J’ajoute que j’hésite à effectuer cette formation en formation à distance de façon à pouvoir faire des stages etc de façon libre et d’éviter un déménagement vers la capitale. Est ce un mauvais choix ?
Cette formule m’enlève des perspectives en terme de réseaux et si je m’engage là dedans il faut que je sois à peu près certain de trouver rapidement un emploi dans le secteur quand je serais diplomé.
4° Quels sont les modes d’exercice de la gestion de patrimoine des professionnels ?
Banque, Compagnie d’assurance, entreprise, cabinets d’avocats, offices notariales… ?
5° En pratique que représente la part d’activité ou un conseiller en gestion de patrimoine entre en concurrence avec un fiscaliste/notaire… pour par exemple préparer une succession, une transmission d’entreprise etc
En vous remerciant par avance pour votre intérêt et de m’avoir lu jusqu’au bout si c’est le cas.
N.B : Bien sûr si je suis ici c’est que j’ai déjà un certain intérêt et une curiosité pour les différents placements financiers et pour les méthodes dédiées à la recherche d’une certaine rentabilité.
Dernière modification par Virgule86 (26/04/2017 16h59)
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#54 19/02/2018 17h55
- Nicolax
- Exclu définitivement
- Réputation : -3
Mer-ci pour cette dictature.
Dernière modification par Nicolax (19/02/2018 23h04)
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#55 19/02/2018 18h19
- salaze
- Membre (2011)
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Dommage que vous n’ayez pas été aussi détaillé dans votre présentation.
Vous paraissez plus pressé d’avoir des réponses à vos questions,que de vouloir respecter l’esprit du forum et sa charte.
Apprenez comme si vous deviez vivre toujours, vivez comme si vous deviez mourir demain.
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2 #56 19/02/2018 18h42
- Nicolax
- Exclu définitivement
- Réputation : -3
Dommage que vous ayez fusionné mon sujet avec un autre qui ne traite absolument pas de la même problématique.
Les modos semblent plus pressé de montrer qu’ils sont maîtres en ces lieux que de respecter la problématique de mon sujet.
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2 #57 20/02/2018 08h22
- Caceray
- Membre (2017)
- Réputation : 85
Bonjour,
Je me permets une petite intervention quant à la formation envisagée :
Virgule86 a écrit :
Je suis actuellement en train de terminer un master 1 en droit des Affaires, j’étais plutôt parti dans la perspective de préparer le concours d’avocat et de faire un master 2 en droit fiscal afin de devenir rapidement avocat fiscaliste. Mais à la réflexion, ce qui m’intéresse dans la fiscalité ce n’est pas l’aspect juridictionnel ou encore le fait de rechercher à sortir victorieux d’un face à face avec l’administration fiscale, mais le conseil, les montages et la recherche de l’optimisation fiscale.
Virgule86 a écrit :
3° Concernant la formation, les meilleures formations me sont fermées, j’ai un parcours plutôt périlleux avec quelques années de retard accumulées (réorientation, problèmes de santé…);
Mais je pense avoir de grandes chances d’être accepté dans le MBA Gestion de Patrimoine de l’ESA
(École supérieur de l’assurance), Selon SMBG c’est une bonne formation et la plaquette détaillant la formation (environ 1200H étalées sur deux ans) m’incite à la confiance, qu’en pensez vous ?
Vous semblez vouloir apporter une expertise pointue, et c’est tout à votre honneur. Mais retenez une chose pour ce métier : la technique c’est bien, la vente c’est mieux.
Après avoir passé un an au sein d’un cabinet indépendant, à faire de la prospection auprès de particuliers de la "classe moyenne/haute", l’un de mes constats les plus flagrants et qu’il y a deux catégories de clients :
- ceux qui n’y comprennent rien et qui s’en foutent
- ceux qui s’y intéressent ou qui s’y connaissent déjà bien (genre sur ce forum)
Clairement, le chiffre que vous pourrez générer s’appuiera principalement sur la première catégorie ; la deuxième catégorie demande beaucoup d’effort de recherche, de production de document, de synthèse, de rdv, pour peu de résultats car ils chercheront à négocier les droits d’entrée (votre rémunération) si vous êtes à la com’, ou à voir avant de payer mais une fois que vous les avez conseillé en général ils ne veulent plus payer…
Pour ma part, je n’ai aucune expérience de la banque, une formation universitaire qui n’a rien à voir avec l’économie ou la finance, 1 an de carrière comme CGPI (= vendeur de Pinel) et je me retrouve aujourd’hui en charge d’une clientèle "patrimoniale" dans les beaux quartiers de Paris au sein d’une banque de réseau.
Pourquoi ? Parce qu’au delà de la maîtrise du dixième de pourcent de rendement de telle ou telle SCPI, il faut savoir vendre, et savoir SE vendre (et non pas mentir), que ce soit au nom d’une banque ou d’un cabinet indépendant. Bonne présentation, écoute active, être en mesure de discuter Porsche ou Wall Street avec ses interlocuteurs avec un grain de sel de connaissance en CAC40 et transmission de patrimoine vous feront gagner des sous.
Ne vous trompez pas sur vos attentes concernant ce métier ; si vous voulez en vivre, l’expertise ne sera pas garantie de réussite.
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#58 28/06/2018 15h41
- Hazdrubal
- Membre (2017)
- Réputation : 35
Bonjour
Me renseignant un peu sur le sujet, je tombe sur le site de l’AMF :
AMF a écrit :
Les conditions d’accès et d’exercice du CIF
Conditions d’âge, d’honorabilité et de compétence professionnelle, souscription d’une assurance, adhésion à une association professionnelle agréée, etc. Tout conseiller en investissements financiers (CIF) doit respecter un certain nombre d’obligations administratives, professionnelles et morales.
Etre immatriculé auprès de l’ORIAS
Chaque CIF doit être immatriculé dans un registre tenu par l’ORIAS, après vérification que le CIF remplit les conditions d’accès à la profession en termes de compétence professionnelle, d’honorabilité, de souscription d’un contrat d’assurance et d’adhésion à une association de CIF.
Sur les conditions d’accès à la profession en termes de compétence professionnelle, je trouve l’obligation d’une formation habilitante de 150h.
En cherchant « formation CIF », je tombe sur
Votre formation CIF en e-learning
Le site de formation a écrit :
En application de l’article 325-1 du règlement général de l’AMF, préalablement à son entrée en fonction, le conseiller en investissements financiers justifie :
- Soit d’un diplôme national.
- Soit d’une formation professionnelle adaptée
- Soit d’une expérience professionnelle suffisante
1° Soit d’un diplôme national sanctionnant trois années d’études supérieures juridiques, économiques ou de gestion
Cela ressemble par exemple à la formation Juriscampus
C’est sur le point 2 que je tilte :
Le site de formation a écrit :
2° Soit d’une formation professionnelle adaptée à la réalisation des opérations mentionnées au I de l’article L. 541-1 du code monétaire et financier.
Cette formation professionnelle, d’une durée minimale de 150 heures, doit avoir été acquise auprès d’un prestataire de services d’investissement, d’une association de conseillers en investissements financiers ou d’un organisme de formation.
La validation du cursus de formation donne droit à un livret de formation (article R.519-13), attestation habilitante, permettant au candidat de s’enregistrer auprès de l’ORIAS.
Le site en question propose cette formation pour 1500 € alors que la formation juriscampus est à 6000 € (et encore, je crois qu’il faut faire 2 ans donc dans les 12000 €):
Votre formation CIF en e-learning
D’où ma question : peut-on réellement exercer le métier de CGP avec la formation e-learning de 150h ? Dans ce cas quel est l’intérêt des masters de gestion du patrimoine (type juriscampus à Toulouse) ?
Dernière modification par Hazdrubal (28/06/2018 16h13)
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#59 03/07/2018 15h21
- Hazdrubal
- Membre (2017)
- Réputation : 35
Personne pour confirmer ou infirmer ?
Voici la formation M2 Gestion du patrimoine :
Master (M2) mention Droit du Patrimoine parcours type Ingénierie du Patrimoine (cycle de formation continue) - JurisCampus - Institut de formation professionnelle
M2 Gestion du patrimoine a écrit :
15 mois
Prérequis
Préalablement au dépôt d’une candidature, les participants devront :
Avoir un Bac+4 dans un domaine juridique ou économique
ou Justifier d’une importante expérience professionnelle en gestion de patrimoine ou l’un des domaines (immobilier, banques, assurances, placements financiers…) ET être titulaire d’un diplôme de Niveau Bac+2
ou Etre titulaire du Certificat de Conseiller en Gestion de Patrimoine (RNCP Niveau II)
Le certificat est le suivant :
Certificat de Conseiller en Gestion de Patrimoine - JurisCampus - Institut de formation professionnelle
Certificat de Conseiller en Gestion de Patrimoine a écrit :
10 mois
Prérequis
Préalablement à cette formation, les participants devront :
Avoir au moins 3 ans d’expérience professionnelle dans un secteur lié à la gestion de patrimoine (banque, commerce, assurance, immobilier), une activité stable
ou Avoir un diplôme de niveau bac + 2 dans un domaine juridique, économique ou de gestion
ou Etre titulaire de la Capacité en Investissement et Patrimoine
La Capacité est obtenue ainsi :
Capacité en Investissement et Patrimoine - JurisCampus - Institut de formation professionnelle
Capacité en Investissement et Patrimoine a écrit :
3 mois
Pas de prérequis
Cette formation s’adresse à tous ceux qui souhaitent :
Acquérir les bases de la gestion patrimoniale
Débuter un cycle de formation complet en gestion de patrimoine
Former des collaborateurs
Et pour la formation CIF :
Livret de formation ORIAS Conseiller en Investissements Financiers - JurisCampus - Institut de formation professionnelle
Formation CIF a écrit :
150h
Objectifs
A l’issue de cette formation, vous serez capable de :
Répondre aux exigences du livret formation posées par la loi pour les Conseillers en Investissements Financiers
Répondre aux exigences capacité professionnelle pour être immatriculé(e) auprès de l’ORIAS en tant que CIF
Répondre aux obligations légales entrée en vigueur en avril 2013
Prérequis
Préalablement à cette formation, les participants devront :
Avoir des notions des services et marchés financiers
Connaître le vocabulaire associé au secteur d’activité concerné
A la lecture des objectifs de la formation, est-il possible de devenir CGP avec cette habilitation CIF ?
Les objectifs du M2 Gestion du patrimoine sont les suivants :
M2 Gestion du Patrimoine a écrit :
Objectifs
Devenir Ingénieur patrimonial
Maîtriser des règles de gestion patrimoniale nécessaires à la réalisation d’un diagnostic patrimonial
Les lauréats du Master 2 pourront répondre aux exigences de capacité professionnelle des activités règlementées suivantes :
Conseiller en Investissements Financiers (CIF)
Intermédiaire en Opérations de Banque et Services de Paiement (IOBSP) – Courtier et/ou Mandataire non exclusif – Immatriculation ORIAS Niveau 1
Intermédiaire en Assurance (IAS) – Courtier ou Agent général – Immatriculation ORIAS Niveau 1
Carte de Transaction immobilière (carte T)
Conseiller en Investissements Participatifs (CIP)
Intermédiaire en Financement Participatif (IFP)
Compétence Juridique Appropriée (CJA)
Dernière modification par Hazdrubal (03/07/2018 16h12)
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#60 31/10/2018 09h46
- BriochePainPerdu
- Membre (2014)
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“INFJ”
Je relance le sujet !
De ma compréhension, le statut CIF permet d’exercer en temps que CGPI (uniquement honoraires sur conseils et pas de rétrocommissions) par contre l’IOBSP, l’IAS et éventuellement la carte T sont nécessaires pour accompagner les clients qui le désirent. Auquel cas on est CGP et non CGPI, puisqu’on touche des commissions en tant qu’intermédiaire (via rétrocessions) et ces dernières doivent être détaillées aux clients.
N’hésitez pas à me dire si je me trompe. Je suis en pleine réflexion et j’espère que certains ici pourront m’aider à avancer.
Je suis plutôt intéressé par l’activité de conseil, principalement car je pense que je me sentirai mal de vendre un contrat d’AV avec des frais alors que je sais qu’il existe des alternatives sans frais tout aussi intéressantes. De plus obtenir le statut CIF demande un investissement plus léger en temps et en argent (par exemple sur juriscampus 2000€ et 150h au lieu de 5500€ et 500h).
D’un autre côté qui peut le plus peut le moins et obtenir une formation complète permettrait d’accompagner jusqu’au bout les clients qui ont besoin d’être rassurés et de se sentir accompagnés. Cela permet également de pouvoir changer de voie selon les projets. Par exemple si on veut effectuer des transactions immobilières ou se reconvertir en tant que courtier en crédit ou assurance, c’est possible.
Je précise également que les honoraires sur conseils (CIF) sont bien moins rémunérateurs (26% du CA) mais dans mon cas cela n’est pas bien grave car je suis dans une situation similaire à Carpediem, c’est-à-dire un rentier qui cherche une activité à temps partiel pour créer du lien social principalement.
Est-ce que je me trompe quelque part ? S’il y a des CGP qui passent par là, pouvez-vous me dire si le CIF est suffisant pour une activité de conseil ou s’il y aurait une trop grosse perte en clientèle sans l’IOBPS et l’IAS ?
Merci d’avance
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#61 31/10/2018 10h13
- skarnik
- Membre (2015)
- Réputation : 10
Pour ma part il n’y a pas besoin d´être CIF non plus, une compétence juridique suffira.
Après vous pouvez être CGP mais rester indépendant en proposant plusieurs solutions sans forcément n’avoir que celles qui vous permettent de toucher une quelconque commision.
s’il y aurait une trop grosse perte en clientèle sans l’IOBPS et l’IAS ?
Si vous pensez perdre de la clientèle, c’est que vous en cherchez ? Pour ma part (je suis en création de mon activité également) il est dommage de ne pas proposer des solutions que vous avez sélectionnées et dont vous touchez des commissions (immo, crédit, assurance…).
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#62 28/02/2019 15h57
- stef8080
- Membre (2012)
- Réputation : 33
Bonjour à tous,
Je gère les comptes bourse de personnes proches et je donne des conseils d’achat de valeurs boursières le tout à titre gratuit depuis un moment.
J’aimerai désormais officialiser et donc en tirer des bénéfices.
Evidemment c’est réglementé et c’est bien normal donc il me faut devenir CGPI ?
Ce n’est pas mon domaine professionnel (je trade depuis plus de vingt ans néanmoins) car
j’ai un doctorat en pharmacie mais je viens de quitter mon emploi.
Je m’oriente vers une activité de "rentier" mais j’ai néanmoins besoin d’une activité notamment pour les droits retraite et également pour la perception familiale.
Après lecture des différentes files du forum, j’ai effectivement trouvé des formation de 150 heures de conseiller en investissement financier (CIF).
En pratique, vous pensez que ce serait suffisant pour ce que j’envisage? Validation d’un CIF puis création d’une entreprise comme CGPI.
Merci de vos lumières. Amicalement.
carpe diem
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1 #63 28/02/2019 17h31
- Ledep
- Membre (2014)
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Bonjour,
Au delà de la formation (le CIF n’est pas obligatoire pour un CGPI mais cela permet d’encadrer la profession, un master 1 avec une spécialité en gestion de patrimoine ainsi qu’en finance et patrimoine sont à privilégier + long stage qualifiant) il faudrait vous pencher sur votre stratégie d’acquisition de clientèle donc sans doute de prospection et également de trouver des partenaires produits.
J’ai bien peur que votre plan ne soit peut-être un peu trop léger pour avoir la crédibilité de vos futurs clients. Un investissement humain en formation plus fort est clairement nécessaire selon moi.
"Never argue with an idiot. They will drag you down to their level and beat you with experience" Mark Twain
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#64 28/02/2019 18h26
- stef8080
- Membre (2012)
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Bonjour,
Merci de votre réponse, qu’est ce qui est obligatoire pour être CGPI ?
Je pense qu’il faut un agrément AMF pour facturer des conseils financiers et notamment sur des UC AV ou des valeurs mobilières.
Concernant l’acquisition de clientèle, ce n’est pas mon objectif d’aller recruter des clients, je me contenterai de mes clients actuels (amis-famille)
Je suis conscient que ce n’est peut-être pas la meilleure option (possibilité de créer un SAS avec plusieurs associés mais c’est également compliqué)
Comment toucher une commission par exemple si je fais une plus-value de 50k€ annuelle sur un CTO de 500K€ de mes parents?
Légalement, tout don d’argent c’est de la donation et c’est déjà fait.
Amicalement.
carpe diem
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#65 28/02/2019 21h56
- Ledep
- Membre (2014)
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Re,
Vous trouverez un déroulé très bien fait ici: Devenir CGP
ainsi que les notions de réglementation Le métier et la législation - La Compagnie des CGPI La législation en matière de gestion de patrimoine - Que dit la loi ?
Pour vos "clients actuels", honnêtement je pense que c’est une des plus mauvaises idées au monde que de faire cela avec vos amis et famille, l’argent n’y fait pas bon ménage en règle générale. Ce n’est que mon avis, mais il y a bien plus souvent à perdre qu’à y gagner.
Pour votre dernière question cela n’aurait rien à voir avec un don puisque cela serait une facturation.
"Never argue with an idiot. They will drag you down to their level and beat you with experience" Mark Twain
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#66 01/03/2019 00h59
- stef8080
- Membre (2012)
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re,
Merci pour les liens, désolé mes demandes sont "puériles" pour le moment, c’est lié à mon incertitude professionnelle actuelle mais il n’est jamais trop tard pour changer de voie donc je me renseigne.
Je comprend votre avis sur argent-famille-amis, réseau le plus simple mais risqué psychologiquement.
Vous êtes CGP je suppose Ledep.
Je constate en critères requis CNCGP: CIF + au minimum deux autres accréditations.
Votre message précédent (CIF non obligatoire) et le "pas de statut spécifique" m’interroge sur mes besoins a titre personnel.
L’inscription à l’Orias avec mon diplôme actuel me semble difficile, avec un CIF ça peut être suffisant visiblement?
Un autre point, peut-on être salarié de son entreprise CGP?
(j’envisage à défaut de CGP de créer une SAS ou une SCP comme certains membres du forum)
Amicalement.
carpe diem
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1 #67 01/03/2019 01h40
- Ledep
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Non je ne suis pas CGP et pas la volonté de le devenir.
Le CIF n’est pas obligatoire mais il est tout de même fortement conseillé.
Ce que vous devez vous dire c’est que là il ne s’agit pas seulement de transformer un "hobby" en activité professionnelle pure et dure mais bien une reconversion avec la formation adéquate.
Sans cela vous pourriez finir sur la paille comme ceux qui croient qu’on peut monter un resto parce qu’on sait bien faire à manger pour ses potes et sa famille, il y a bien d’autres compétences parallèles à obtenir.
Pour les statuts des sociétés, je ne saurais vous aider, ce n’est pas un domaine dans lequel je suis confortable.
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#68 01/03/2019 09h45
- stef8080
- Membre (2012)
- Réputation : 33
Bonjour à tous,
Je vais réfléchir et probablement passer un CIF avec mes acquis points formation dans un premier temps.
D’autres avis (en privé si besoin)?
Concernant la facturation de conseils par un CGP à ses parents, c’est une pratique tolérée ou risquée niveau fiscal?
Quel montant d’honoraires annuel peut-on envisager si on conseille une personne sur un portefeuille d’un million d’euros?
Possibilité de faire varier les honoraires en fonction des performances réalisées.
Exemple:
* Rentabilité de 4% soit 40K€, honoraires de 10% sur les plus-values soit 4000€
* Rentabilité 5% soit 50k€, honoraires 15% soit 7500€ etc…
Amicalement.
carpe diem
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1 #69 01/03/2019 10h19
- Geronimo
- Membre (2012)
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Le périmètre du terme CGPI n’est pas réglementé mais regroupe en général CIF + IAS + IOBSP + parfois CJA.
Si vous êtes CIF, vous pouvez vous dire CGPI, rien ne vous en empêche à ce jour.
Avec une rémunération en honoraires et non en retrocommissions IAS et IOBSP n’ont pas d’intérêt.
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1 #70 14/02/2020 10h31
- mehdi57
- Membre (2014)
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Bonjour,
Un CGP qui n’a pas de CJA ou équivalent ne peut pas délivrer d’informations juridiques à son client, ce qui me parait tout de même essentiel pour conseiller sur la gestion patrimoniale de son client de manière globale et sécurisée.
senat a écrit :
Question écrite n° 17566 de Mme Sylvie Goy-Chavent (Ain - UMP)
publiée dans le JO Sénat du 10/03/2011 - page 584
Mme Sylvie Goy-Chavent attire l’attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur le problème de délimitation entre l’activité résultant de l’exercice de la compétence juridique appropriée au conseil en gestion de patrimoine (CJA), créée avec l’arrêté du 19 décembre 2000 modifié par l’arrêté du 1er décembre 2003, et l’activité de conseil en haut de bilan (CHB) comprise dans l’activité de conseil en investissements financiers (CIF) définie à l’article L. 541-1 du code monétaire et financier.
Elle a posé la question écrite n°15232 publiée dans le JO Sénat du 23/09/2010 sur ce sujet. Dans la réponse publiée au JO Sénat du 03/02/2011, Mme la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche la renvoie au ministère de tutelle.
Le 11 février 2011, Mme la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie a chargé par décret M. Louis Giscard d’Estaing d’une mission afin de définir et encadrer l’usage de l’appellation de conseiller en gestion de patrimoine et de donner un cadre réglementaire à cette profession.
Comme la commission prévue à l’article 54 de la loi du 31 décembre 1971 modifiée est responsable des agréments donnant la CJA, et est placée sous la responsabilité du garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, elle lui adresse les questions suivantes : la création d’un cadre réglementaire pour la profession de conseiller en gestion de patrimoine ne contribuerait-elle pas à remettre en cause la CJA puisque cette dernière relève de l’article 60 de la loi de 1971 modifiée comme le souligne la réponse à la question n°15232 ? Quelle serait la procédure mise en œuvre pour créer ce cadre réglementaire ? Un CIF ne pouvant pas justifier aujourd’hui de l’obtention de cette CJA mais ayant un diplôme sanctionnant 5 années d’études après le baccalauréat avec un contenu pédagogique en haut de bilan a-t-il le droit de conseiller à un client particulier soumis à l’impôt sur la fortune de souscrire au capital initial ou à l’augmentation de capital d’une entreprise en présentant de façon personnalisée les avantages fiscaux liés à la loi TEPA ? Enfin, si tel n’est pas le cas, elle lui demande s’il est aujourd’hui possible, dans le cadre de la création de l’appellation de conseiller en gestion de patrimoine envisagée par Mme la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, d’accorder une compétence juridique appropriée aux titulaires d’un diplôme de 3ème cycle sanctionnant 5 années d’études après le baccalauréat avec un contenu pédagogique en haut de bilan.
L’enjeu est très important puisqu’il s’agit de l’avenir des formations financières de l’enseignement supérieur nécessaires au redressement de l’investissement dans les entreprises françaises. Elle lui demande donc de bien vouloir apporter des réponses dans ce domaine.
Réponse du Ministère de la justice et des libertés
publiée dans le JO Sénat du 01/09/2011 - page 2282
La consultation juridique, définie comme une prestation intellectuelle personnalisée qui tend à fournir un avis sur une situation soulevant des difficultés juridiques ainsi que sur la (ou les) voie (s) possible (s) de résolution, concourant, par les éléments qu’elle apporte, à la prise de décision du bénéficiaire de la consultation, est réservée, par principe, aux membres des professions judiciaires ou juridiques. Cependant, d’autres catégories de personnes peuvent être autorisées à donner des consultations en matière juridique ou à rédiger des actes sous seing privé dans des conditions très précises définies dans l’intérêt même des usagers du droit. L’article L. 541-1 IV du code monétaire et financier rappelle que les conseillers en investissements financiers ne peuvent à titre habituel et rémunéré donner de consultations juridiques ou rédiger des actes sous seing privé pour autrui que dans les conditions et limites des articles 54, 55 et 60 de la loi n° 71-1130 du 31 décembre 1971 modifiée portant réforme de certaines professions judiciaires et juridiques. En application de l’article 54 de ladite loi, nul ne peut, à titre habituel et rémunéré, pratiquer l’activité de conseil juridique, d’une part, s’il n’est titulaire d’une licence en droit ou s’il ne justifie d’une compétence juridique appropriée et, d’autre part, s’il n’y est autorisé au titre des articles suivants et dans les limites qu’ils prévoient. Les personnes exerçant une activité professionnelle non réglementée, telle le conseil en gestion de patrimoine, ne peuvent donner des consultations juridiques que lorsque la profession qu’elles exercent bénéficie d’un agrément accordé par arrêté du garde des sceaux en application de l’article 60 de la loi susmentionnée et à la condition qu’elles disposent d’une licence en droit ou justifient d’une compétence juridique appropriée telle que définie dans l’arrêté accordant l’agrément. En outre, cette activité juridique doit constituer l’accessoire direct de la prestation fournie au titre de l’activité principale. L’arrêté du 19 décembre 2000 modifié par l’arrêté du 1er décembre 2003 a conféré l’agrément prévu par les articles 54 et 60 de la loi du 31 décembre 1971 aux conseils de gestion de patrimoine sous certaines conditions de qualification strictement définies par ledit arrêté. Ainsi, seuls les conseils en gestion de patrimoine titulaires d’une part, d’une licence en droit ou à défaut d’un diplôme de maîtrise en droit ou d’un diplôme d’études approfondies ou d’études supérieures spécialisées (DEA ou DESS) en droit, ou d’un diplôme de troisième cycle en gestion du patrimoine, ou du diplôme de premier clerc de notaire, ou d’un mastère en gestion de patrimoine d’une école supérieure de commerce reconnu par la conférence des grandes écoles, ou qui d’autre part justifient d’une expérience professionnelle d’une durée de sept ans au moins dans le domaine du droit général et fiscal du patrimoine et sont titulaires d’un diplôme d’études universitaires générales (DEUG) de droit ou d’un diplôme d’études universitaires scientifiques et techniques (DEUST) du secteur juridique, d’un brevet de technicien supérieur ou d’un diplôme universitaire de technologie (BTS ou DUT) du secteur juridique, peuvent donner des consultations juridiques. Tout autre diplôme que ceux énumérés par l’arrêté susvisé ne saurait justifier la compétence juridique approfondie d’un conseiller en gestion du patrimoine. Si un cadre réglementaire venait à être créé pour cette profession, selon une procédure relevant du ministère de tutelle, l’activité de conseiller en gestion de patrimoine deviendrait par voie de conséquence une profession réglementée relavant ipso facto de l’article 59 de la loi du 31 décembre 1971 modifiée. Les professionnels concernés ne pourraient alors donner des consultations juridiques relevant de leur activité principale qu’à la condition que cette possibilité leur soit offerte par la réglementation applicable à la profession qui résulterait des textes nouveaux. Dans ce cas, cette activité juridique ne pourra être exercée qu’à titre accessoire de l’activité principale des intéressés et dans les limites autorisées par la nouvelle réglementation.
Avertissement: je suis en exécutive master après obtention de la capacité et du certificat mentionnés précédemment.
La règle n’est pas absolue, mais il semblerait que plus le niveau de scolarité de votre lecteur est élevé, plus ce dernier accorde de l’importance à l’orthographe. Le lecteur aurait tendance à mesurer l’intelligence de son interlocuteur à son mode d’expression. Méconnaître ce réflexe vous exclura.
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#71 27/06/2020 19h42
- Geronimo
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Question : y’a-t-il un délai maximum entre la validation d’une formation type CIF et l’enregistrement à l’ORIAS ? En clair, est il possible de passer la formation maintenant mais ne s’enregistrer à l’ORIAS que dans N années ? (sans exercer entre temps, bien évidemment).
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#72 27/06/2020 20h09
- SeptiemeVague
- Membre (2013)
- Réputation : 12
Bonjour.
Le plus sûr serait de demander directement à l’orias : contact[at]orias.fr
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#73 28/06/2020 12h10
- stef8080
- Membre (2012)
- Réputation : 33
Bonjour,
J’ai effectué la formation CIF fin 2019 (CEFIOB) et j’ai crée une SASU gestion de patrimoine orientée trading.
Pour le moment, je ne suis pas inscrit à l’ORIAS car je ne pense pas m’orienter CGPI sauf peut-être à terme pour des souscriptions à titre personnel qui sait.
Si vous pouvez partager la réponse ORIAS, ce sera sympa.
Amicalement.
carpe diem
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#74 28/06/2020 15h12
- Geronimo
- Membre (2012)
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stef8080 a écrit :
Bonjour,
J’ai effectué la formation CIF fin 2019 (CEFIOB) et j’ai crée une SASU gestion de patrimoine orientée trading.
Je comprends de votre message qu’il s’agit de gestion de votre propre patrimoine. Pour quelle raison aviez vous besoin de la certification CIF ?
Si vous pouvez partager la réponse ORIAS, ce sera sympa.
Amicalement.
Oui bien sûr.
A lire les textes, je ne pense pas qu’il y ait la moindre contrainte de temps.
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#75 28/06/2020 15h42
- as98qr53
- Membre (2018)
- Réputation : 68
Bonjour,
J’ai réussi également la formation ces derniers mois. Je l’ai faite plus pour l’information et pour utiliser mon DIF que pour exercer.
Enfin, je suis intéressé par le retour de l’ORIAS aussi, on ne sait jamais ce qui peut se passer.
Je suis intéressé par votre retour sur son contenu également.
J’avoue avoir été agréablement surpris du focus sur la gestion des conflits d’intérêts. Mais pour avoir vu plusieurs CGP, aucun ne me semble respecter ce qui est demandé (le dernier CGP que j’ai vu, c’était il y a 3 ans, ça a dû changer depuis).
Néanmoins au global, j’ai trouvé instructif bien que trop théorique. L’examen devrait plutôt être un mix QCM et cas pratique, car c’est ce dernier qui me semble le point le plus important pour savoir si on peut exercer. Mais ça nécessiterait plus de moyen et le niveau de réussite ne serait pas le même avec une véritable analyse de cas argumentée devant un jury.
Bonne après-midi.
Dernière modification par as98qr53 (28/06/2020 17h36)
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