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#26 17/02/2021 13h33

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gunday, le 16/02/2021 a écrit :

D’ailleurs, je trouve un peu bizarre de comparer le salaire d’un ouvrier avec la facture finale.

Je ne crois pas avoir dit cela ou comparé quoi que se soit, je vous posais une question, rien de plus.

gunday, le 16/02/2021 a écrit :

Finalement je maintiens : comparer la facture du donneur d’ordre avec le salaire de l’exécutant, c’est un peu caricatural.

j’ai du mal lire ou écrire, car je ne vois toujours pas ou je fais cette comparaison.

gunday, le 16/02/2021 a écrit :

bascarol a écrit :

Pourquoi ne montez vous pas une entreprise de rénovation d’appartement vous seriez rentier plus vite.

Imaginez la même logique au restaurant : si vous arrivez à vous nourrir pour 10 fois moins cher qu’au restaurant, c’est que vous avez la capacité à ouvrir un restaurant ?

C’était ironique, pas une question cette fois ci,

Pas grave!
Quand a vos mésaventures avec les entreprises, comme je dis toujours soit vous les choisissez mal (je n’ai pas la prétention de savoir le faire), soit vous négociez âprement et faut assumer après.
C’est sur que si vous expliquez à un artisan/entreprise que vous serez 10 fois moins cher que lui, il aura du mal à vous faire un devis sérieux ou a mettre ce qu’il faut pour bien faire. C’est malheureusement mon quotidien, séparer les vrais devis des devis catastrophes.

Tant mieux si vous êtes 10 fois moins cher en réalisant les travaux vous même, l’important est la satisfaction que l’on tire de son travail.

piwai a écrit :

Il est je l’avoue compliqué de trouver des professionnels… « professionnels ». Et après tout, c’est compréhensible : la rénovation chez le particulier est un métier ingrat, et ceux qui en ont les capacités se développent dans d’autre secteurs du bâtiment (copros, immo pro, neuf…).

C’est un vrai sujet et je vous félicite pour votre clairvoyance

Pascal

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#27 17/02/2021 13h47

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bascarol a écrit :

Quand a vos mésaventures avec les entreprises, comme je dis toujours soit vous les choisissez mal (je n’ai pas la prétention de savoir le faire), soit vous négociez âprement et faut assumer après.

Effectivement, j’ai mal choisi mon entreprise.
Une grosse structure, ancienne, conseillé par un architecte qui bossait avec, etc.
Et comme indiqué, le coût facturé est élevé, et je suis au delà des x10, c’est juste que n’ayant pas fait, je ne peux pas comparer de manière fiable.

Au final, je n’ai pas de critère fiable pour trouver une bonne entreprise.
Une entreprise qui bosse bien ailleurs, ne bossera pas forcément bien chez vous.
Une des explications semble est que la norme est la sous traitance et selon le sous traitant, vous avez un résultat très variable!
L’autre que les entreprises sont rares donc elles peuvent se permettre de mal bosser, elles auront toujours des pigeons à plumer!

Sinon je n’avais pas compris que c’était des questions, j’avais plutôt l’impression que c’était de l’ironie.
D’où ma réponse.

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#28 17/02/2021 14h04

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Sans compter que cela peut varier dans le temps.

Une entreprise ou un artisan fait du bon boulot puis, petit à petit, fait du moins bon boulot… Lassitude, changement d’équipe, trop de chantiers en même temps etc etc….


"Money is a tool to buy Time"

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#29 17/02/2021 14h57

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Je vais préciser mon propos sur le fait de faire soi-même les travaux, puisque cela fait réagir.

Je considère qu’un marchand de biens (ou l’investisseur locatif, la logique est la même) fait une bonne affaire quand il peut atteindre ses objectifs en termes de renta en sous-traitant les travaux à des artisans. 

La question de faire ou non les travaux soi-même soit être traitée indépendamment et dépend de pas mal de critères : les compétences, l’envie, le temps dispo, si on veut ou non une garantie, si on a ou non la trésorerie dispo pour les financer.

Sans oublier les coûts d’opportunité : si on est plus lent qu’un artisan, pertes de loyers le temps où on immobilise le bien. Le chantier requière du temps et des ressources qui auraient pu être consacrées à développer une autre activité.

Enfin comme l’a dit la chignole, la valorisation apportée au bien sera imposée d’une manière ou d’une autre (PV à la revente en particulier).

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#30 18/02/2021 23h57

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Bonsoir à tous,

@Lachignolecorse: Merci de votre partage d’expérience. Votre parcours donne envie et colle bien à ma personnalité. Vous dites être 3x moins cher qu’une bonne entreprise côté achat : si je fais un calcul de coin de table. sur des travaux à 30’000 euros HT réalisés par ladite bonne entreprise, cela signifie que vous économisez 20’000 EUR à prestation équivalente du point de vue qualitatif. Cela devrait normalement vous permettre de porter le financement et de compenser le manque à gagner côté loyer pendant que vous travaillez. A supposer que vous soyez 3x plus lent, même sur la base d’un chantier d’un mois, cela vous fait perdre deux mois.

Toujours sur la base de ce calcul de coin de table, les 20’000 EUR économisés devraient largement excéder le coût du financement et des loyers qui n’ont pas été collectés. Et j’imagine que plus le montant des travaux est élevé, plus le gain est important dans l’absolu.

lachignolecorse a écrit :

Ne pas négliger les aspects fiscaux car la main d’oeuvre économisée se transforme en rendement puis en impôts.

C’est à prendre en compte mais à moins que chaque EUR gagné soit taxé à plus de 100%, le gain reste positif puisqu’on compare 1 EUR payé auquel on déduit le prorata du taux d’imposition moyen à 1 EUR non payé qui engendrera un taux d’imposition également. Le premier sera forcément négatif et le second forcément positif. J’imagine que vous insinuiez simplement que le gain serait moindre au regard des chiffres bruts escomptés au premier abord.

perecastor a écrit :

Sans oublier les coûts d’opportunité : si on est plus lent qu’un artisan, pertes de loyers le temps où on immobilise le bien. Le chantier requière du temps et des ressources qui auraient pu être consacrées à développer une autre activité.

A la différence notable que dans mon cas, le temps n’est pas un facteur à prendre en compte. Il me semble que vous raisonnez dans un univers où la limite est le temps et qu’il faut moduler pour consacrer un temps aussi court que possible, alors que ce n’est pas mon but.

Pas de retour sur d’éventuelles formations légales ou techniques à l’immobilier ? Cela ne tente personne ?

Merci et bonne soirée,
Ursule

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#31 19/02/2021 04h12

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J’ai vérifié ce ratio de 1/3 sur la rénovation d’un petit immeuble de 2 logements de 30m2 chacun. On m’avait fait 2 offres de l’ordre de 50k€ pour la rénovation totale (hors meubles). J’en ai eu pour 20k€ avec meubles et tous aléas confondus. La renovation globale revient à 350€/m2 (coût des matériaux). Le gain dépend de la prestation. Sur un changement d’huissierie par exemple, le gain sera beaucoup plus faible.

Pour la durée du chantier, cela dépend de la taille de l’ouvrage mais je pense pas qu’il y ait une grosse différence sur des petites surfaces. C’est très compliqué de gérer différents corps de métiers sur des petites prestations et une entreprise tous corps d’état n’a pas toujours la réactivité souhaitée.

Idem pour de petites prestations comme le changement d’un robinet fuyard ou d’un cumulus. Pour ce dernier, cela me coûte 200€ contre 600€ fait par mon plombier et je suis plus rapide que lui pour intervenir. J’en ai encore changé 1 en décembre, ça m’a pris 1/2 journée, y compris passage chez Leroy Merlin pour l’achat des composants. Par contre, je paierai tôt ou tard l’IR et les PS sur les 400€ gagnés. A noter aussi que j’ai le temps de le faire, ce qui n’est pas forcément le cas d’un investisseur qui a un boulot salarié.

Pour les formations,  je crois qu’il faut avoir des bases et aimer le bricolage. Si vous ne bricolez rien chez vous, ça commence mal. Je conseillerai bien une formation en électricité car c’est un domaine complexe et une formation peut faire gagner du temps, notamment sur la conception/câblage des tableaux et les règles à appliquer dans les salles de bains. Et ne pas oublier qu’il faut aller au bout de vos challenges et que vous ne pouvez compter que sur vous. Je regarde aussi beaucoup de vidéos de YouTubeurs (faire le tri pour éviter les bricoleux).

Il faut savoir aussi gérer son projet. Sur le projet de rénovation cité ci-dessus,  j’ai mis un an en totalité (un appartement tous les 6 mois). Je pense qu’une entreprise aurait mis 6 mois maxi pour l’ensemble. Donc le calcul est vite fait et c’est rentable de le faire soi-même. Ne pas oublier que vous pouvez tomber sur des entreprises pas sérieuses.

Dernière modification par lachignolecorse (19/02/2021 04h41)


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Favoris 1    2    #32 19/02/2021 07h10

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Ursule, le 16/02/2021 a écrit :

J’aimerais en profiter pour faire d’une activité professionnelle indépendante un loisir qui me permettrait de pratiquer en on/off par tranche de plusieurs mois pendant des années (pour voyager ou déconnecter le reste du temps).

Marchand de biens n’est pas un loisir qu’on peut faire on/off.

Déjà, vous êtes chef d’entreprise, forcément. Vous connaissez beaucoup de chefs d’entreprise qui vivent leur responsabilité de chef d’entreprise comme "un loisir qui leur permet de pratiquer en on/off par tranche de plusieurs mois pendant des années (pour voyager ou déconnecter le reste du temps)" ?

Sur les travaux, ce que lachignolecorse ne dit peut-être pas assez :
- c’est compliqué. On n’apprend pas les compétences de plusieurs corps de métier en claquant des doigts.
- c’est fatiguant.
- c’est dangereux. Très dangereux. Si vous vous coupez un doigt avec une disqueuse, ça ne repousse pas, vous restez estropié à vie. Si vous tombez d’une échelle, vous pouvez vous tuer ou garder des séquelles à vie.
- il faut des milliers d’euros de matos et de fournitures (comptez même plutôt une ou deux dizaines de milliers).
- le matos nécessite un local de stockage.
- le matos et les fournitures doivent être rangés, organisés.
- le matos doit être entretenu.
- le matos doit être transporté : besoin d’un gros véhicule qui ne craint pas les coups et les salissures.
- le matos est volé.
- c’est difficile de faire seul. Travailler à plusieurs permet d’aller plus vite, de soulever des choses lourdes, d’échanger pour trouver des idées et résoudre les problèmes, de discuter pour faire passer le temps et pour satisfaire nos besoins sociaux. Travailler seul, c’est plus lent, il y a des tâches qu’on n’arrive pas à faire ou alors bien plus difficilement car il faudrait être deux, on est tout seul face à ses problèmes, ses questions et ses décisions, et la solitude, même si au début on croit qu’on est immunisé, ça finit par peser.

Sur les travaux en tant que marchand de biens, ce n’est pas du tout pareil que faire des travaux pour conserver et louer. Le bailleur et le marchand de biens ne sont pas du tout dans la même situation juridique. En tant que marchand de biens, vous êtes un professionnel qui vend un bien immobilier à un particulier. Si le particulier trouve un défaut dans le bien, résultant de vos travaux, il va vous faire un procès. Ca va vous faire tout drôle quand le juge va vous demander :
"- quelles compétences professionnelles aviez-vous pour concevoir ces travaux ? Etes-vous architecte ? Bureau d’études ?
- quelles compétences professionnelles aviez-vous pour réaliser ces travaux ? Où est votre diplôme ?
- quelles assurances professionnelles aviez-vous pour couvrir votre responsabilité en tant que concepteur et réalisateur de ces travaux ?"
Bref, vous allez perdre votre procès, évidemment. Parce que vous n’êtes pas censé concevoir ni réaliser des travaux du bâtiment. Un marchand de biens est un commerçant. Un commerçant achète et revend.

Ursule, désolé de vous le dire, mais vous êtes en train de vous faire du bien à la tête en rêvant tout haut. Vous n’êtes pas en train de concevoir un projet professionnel de façon rigoureuse, objective, pragmatique.

Dernière modification par Bernard2K (19/02/2021 09h16)


Il faut que tout change pour que rien ne change

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#33 19/02/2021 20h32

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Bonsoir à tous,

@lachignolecorse, merci une nouvelle fois de votre participation à ce fil.

@Bernard2K, merci de votre contribution, bien que le message me semble sévère (et j’ai pourtant l’impression qu’il s’est adouci depuis ce matin quand je l’ai lu au réveil smile ). J’apprécie vos réserves sur les métiers du bâtiment, il est bon de les lire, cela rappelle les risques et contraintes liées.

Bernard2K a écrit :

Marchand de biens n’est pas un loisir qu’on peut faire on/off.

Je pense qu’il y a erreur sur la compréhension de ce sur quoi je m’interroge, et il me semble que cela vient du fait que mon message a été déplacé dans le sujet "Marchand de bien : formation à l’activité de marchand de bien". Le sujet initial était "Retraite à 30 ans - voyager, me former, et rénover des appartements". J’ignore pourquoi ce déplacement a eu lieu et il semble donner une fausse impression sur mon projet. Je ne me reconnais pas dans les premières questions posées sur le fil.

Je ne souhaite PAS vivre de cette activité. Évidemment, dégager un profit de ladite activité me semble un bon objectif secondaire à poursuivre mais il n’est pas l’objectif premier. Si l’objectif n°1 était l’argent je ne quitterais pas mon job actuel qui rémunère particulièrement bien. En l’occurrence, il s’agit plutôt de faire de mes mains quelque chose qui me plait en apprenant des compétences qui me semblent utiles et universellement applicables.

Je pense donc que l’on peut dire qu’acheter un actif à rénover occasionnellement correspond bien à une activité on/off. Travailler sur 6 chantiers en même temps ne le permet pas, sans aucun doute, mais travailler 6 mois sur un chantier sans autre projet à l’horizon ne me semble pas nécessiter une activité quotidienne ou hebdomadaire intense. Tout au plus, en période "off", quelques formalités administratives liées à la gestion, qui sont par ailleurs tout à faire gérables à distance.

Bernard2K a écrit :

Déjà, vous êtes chef d’entreprise, forcément. Vous connaissez beaucoup de chefs d’entreprise qui vivent leur responsabilité de chef d’entreprise comme "un loisir qui leur permet de pratiquer en on/off par tranche de plusieurs mois pendant des années (pour voyager ou déconnecter le reste du temps)" ?

Tout dépend de votre définition du chef d’entreprise, de son activité, de ses ambitions, de ses responsabilités… La gestion de plusieurs biens immobiliers ne me prend que quelques heures par mois par exemple. Mon père est en on/off 15 jours par mois depuis bientôt 5 ans dans un secteur industriel. J’ai quelques autres exemples. Mais j’en conviens, leurs ambitions ne sont plus la croissance ou un profit élevé.

En lien avec mon premier point et sauf erreur de ma part, il me semble que votre interprétation se base sur une perception d’un projet viable économiquement. Ceci n’est pas un "projet professionnel" au sens où vous l’évoquez. Ce qui n’empêche évidemment pas que cela soit fait avec sérieux, et c’est bien pour cela que je me tourne vers vous.

Bernard2K a écrit :

En tant que marchand de biens, vous êtes un professionnel qui vend un bien immobilier à un particulier. Si le particulier trouve un défaut dans le bien, résultant de vos travaux, il va vous faire un procès. Ca va vous faire tout drôle quand le juge va vous demander :
"- quelles compétences professionnelles aviez-vous pour concevoir ces travaux ? Etes-vous architecte ? Bureau d’études ?
- quelles compétences professionnelles aviez-vous pour réaliser ces travaux ? Où est votre diplôme ?
- quelles assurances professionnelles aviez-vous pour couvrir votre responsabilité en tant que concepteur et réalisateur de ces travaux ?"
Bref, vous allez perdre votre procès, évidemment. Parce que vous n’êtes pas censé concevoir ni réaliser des travaux du bâtiment. Un marchand de biens est un commerçant. Un commerçant achète et revend.

Je note notamment en priorité le risque lié à la responsabilité juridique lors de la revente. Et mon premier message vise justement ce genre de point que vous soulevez : les formations, diplômes, et éventuels risques liés. L’assurance est un excellent point. Si vous en avez d’autres, je suis preneur.

Encore une fois, si quelqu’un souhaite s’atteler au conseil sur les formations légales et techniques de l’immobilier… j’en serai ravi !

Amicalement,
Ursule

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#34 19/02/2021 22h25

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Ursule a écrit :

Je note notamment en priorité le risque lié à la responsabilité juridique lors de la revente. Et mon premier message vise justement ce genre de point que vous soulevez : les formations, diplômes, et éventuels risques liés. L’assurance est un excellent point. Si vous en avez d’autres, je suis preneur.

Je pense (Bernard2K confirmera ou infirmera) que ce qui est dit c’est que ses responsabilités couvrent plusieurs métiers, donc plusieurs formations.
Par exemple architecte c’est plusieurs années d’étude (6 je crois pour signer de son nom).

Ursule a écrit :

Encore une fois, si quelqu’un souhaite s’atteler au conseil sur les formations légales et techniques de l’immobilier… j’en serai ravi !

En immobilier, les formation pour devenir agent immobilier sont assez englobante sur le côté commercial.
Pour le juridique, notaire ou avocat.
Pour les travaux, y a quelques formations généralistes, mais qui ne vont pas très loin.
Après, faut faire une formation plomberie, une élec, etc.

Bref, loin d’être simple!

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1    #35 19/02/2021 22h54

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Bernard2K a écrit :

Sur les travaux, ce que lachignolecorse ne dit peut-être pas assez :

Puisqu’on parle de moi…

Bernard2K a écrit :

- c’est compliqué. On n’apprend pas les compétences de plusieurs corps de métier en claquant des doigts.

Non, rien n’est compliqué dans la vie, pas plus de rénover un bien que d’apprendre à faire du vélo. On apprend vite à ne pas tomber. Certes, ça prend du temps, mais si on a envie, tout est possible.

Bernard2K a écrit :

- c’est fatiguant.

Euh… celui à qui vous dites cela a 30 ans. J’en ai bientôt 2 fois plus. Je sais qu’il est à la mode de ne pas trop transpirer, mais avec les moyens/outils dont nous disposons aujourd’hui,  c’est nettement plus facile que nos anciens. Et lorsqu’on a travaillé une journée de 7/8/10 h, il est normal d’être fatigué. Mais cela s’oublie vite si vous êtes content de votre travail.

Bernard2K a écrit :

- c’est dangereux. Très dangereux. Si vous vous coupez un doigt avec une disqueuse, ça ne repousse pas, vous restez estropié à vie. Si vous tombez d’une échelle, vous pouvez vous tuer ou garder des séquelles à vie.

A partir du moment où vous vous levez de votre lit, c’est dangereux. Je bosse avec des machines depuis 40 ans. La première cause de blessure est le manque de vigilance. Ca n’est pas la disqueuse qui vous agresse, c’est vous qui ne prenez pas les précautions nécessaires. Il ne me manque aucun bout de doigt et je vais tout faire pour que cela continue… tout en continuant de renover.

Bernard2K a écrit :

- il faut des milliers d’euros de matos et de fournitures (comptez même plutôt une ou deux dizaines de milliers).

Euh… non. Suis équipé en marque pro, avec 5000€ vous avez de quoi vous équiper largement pour la rénovation. Si vous choisissez du parkside, vous êtes équipé pour 1000€…

Bernard2K a écrit :

- le matos nécessite un local de stockage.

Un petit local suffit.

Bernard2K a écrit :

- le matos et les fournitures doivent être rangés, organisés.

C’est pour cela qu’il faut acheter les machines dans des caisses. Ça s’empile et ça ne prend pas de place.

Bernard2K a écrit :

- le matos doit être entretenu.

Vous démontez souvent votre visseuse pour entretien ?

Bernard2K a écrit :

- le matos doit être transporté : besoin d’un gros véhicule qui ne craint pas les coups et les salissures.

Une remorque me suffit aujourd’hui.

Bernard2K a écrit :

- le matos est volé.

Euh… même pas un tournevis en 5 ans.

Bernard2K a écrit :

- c’est difficile de faire seul. Travailler à plusieurs permet d’aller plus vite, de soulever des choses lourdes, d’échanger pour trouver des idées et résoudre les problèmes, de discuter pour faire passer le temps et pour satisfaire nos besoins sociaux.

Faux, pour la manutention,  il y a tout ce qu’il faut. Les forums, les vidéos sont des moyens adéquats pour apprendre. On a accès à tous les documents techniques en ligne. Et je ne parle pas de la diversité des composants/produits disponible en GSB qui vous facilitent la vie.

Bernard2K a écrit :

Travailler seul, c’est plus lent, il y a des tâches qu’on n’arrive pas à faire ou alors bien plus difficilement car il faudrait être deux, on est tout seul face à ses problèmes, ses questions et ses décisions, et la solitude, même si au début on croit qu’on est immunisé, ça finit par peser.

Franchement pas du tout.

Vous avez un très bon sens de la synthèse,  il est dommage que vous versiez régulièrement dans l’exagération, voire la caricature.

Désolé de vous contredire sur de nombreux points, mais je pense avoir avoir une expérience suffisante dans ce domaine de la rénovation….

Quand à l’activité de marchand de biens, je préfère me référer aux messages de perecastor, puisque vois avez décidé de ne pas partager votre expérience,  ce qui me semble étonnant.

Ursule a écrit :

Encore une fois, si quelqu’un souhaite s’atteler au conseil sur les formations légales et techniques de l’immobilier… j’en serai ravi !

Amicalement,
Ursule

Il n’y a pas de formation légale hormis celle d’agent immobilier. Mais est-ce un point de passage obligé pour vous?

J’ai recherché sur google les formations de marchand de biens, il y a pléthores…

Par contre, je trouve votre projet "mal ficelé". En gros, quel est le business plan de votre nouvelle activité? Combien de biens achetés? Estimation des marges? Nombre d’heures passées à la renovation ? Etc

Si vous voulez faire marchand de biens, que vous renovez en partie, tout en passant pas mal de temps en vacances, cela me semble peu réalisable. Trouver des bonnes affaires, cela prend du temps, nécessite l’entretien d’un réseau de contacts.

Vous allez être très vite limité en chiffre d’affaires. Selon ma vision (je ne suis pas marchand de biens), vous avez 2 possibilités :
- achat revente en faisant le strict minimum (surtout rien qui pourrait engager votre responsabilité)
- achat revente avec travaux de sous-traitants qui ont une décennale qui vous couvrira en cas de souci.

Mais sur le fond, j’ai du mal à comprendre votre souhait de passer d’un métier très rémunérateur à une activité à laquelle vous ne connaissez pas grand chose.

Dernière modification par lachignolecorse (20/02/2021 04h34)


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#36 20/02/2021 07h21

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lachignolecorse, le 19/02/2021 a écrit :

Bernard2K a écrit :

- c’est compliqué. On n’apprend pas les compétences de plusieurs corps de métier en claquant des doigts.

Non, rien n’est compliqué dans la vie, pas plus de rénover un bien que d’apprendre à faire du vélo. On apprend vite à ne pas tomber. Certes, ça prend du temps, mais si on a envie, tout est possible.

Votre optimisme vous honore. Mais non, tout n’est pas possible et si, il y a des choses compliquées. Je ne serai jamais footballeur professionnel, chanteur d’opéra, astronaute… Il faut des compétences que je n’ai pas. Apprendre tous les métiers du bâtiment, c’est compliqué et ça prend beaucoup de temps. J’apprends progressivement, mais c’est du boulot. Je commence à me débrouiller en menuiserie et en peinture. Mais il y a des métiers que je pratique peu et où je serai probablement toujours limité par le manque de savoir-faire et le manque de matériel spécifique (la maçonnerie notamment).

lachignolecorse, le 19/02/2021 a écrit :

Et lorsqu’on a travaillé une journée de 7/8/10 h, il est normal d’être fatigué.

Donc, c’est fatiguant, nous sommes d’accord. Ce n’est pas une raison pour ne rien faire, nous sommes d’accord aussi.

Bernard2K a écrit :

- c’est dangereux. Très dangereux. Si vous vous coupez un doigt avec une disqueuse, ça ne repousse pas, vous restez estropié à vie. Si vous tombez d’une échelle, vous pouvez vous tuer ou garder des séquelles à vie.

A partir du moment où vous vous levez de votre lit, c’est dangereux. Je bosse avec des machines depuis 40 ans. La première cause de blessure est le manque de vigilance. Ca n’est pas la disqueuse qui vous agresse, c’est vous qui ne prenez pas les précautions nécessaires. Il ne me manque aucun bout de doigt et je vais tout faire pour que cela continue… tout en continuant de renover.

Certes, se lever de son lit est dangereux. Y rester l’est encore plus car la sédentarité tue.
Il n’empêche, certaines activités sont plus dangereuses que d’autres, et les métiers du bâtiment en font partie.

Ameli a écrit :

le BTP reste l’un des secteurs les plus sinistrés, avec 56 accidents du travail enregistrés pour 1 000 salariés (la moyenne de tous les secteurs est autour de 34)

Risques professionnels - BTP : État des lieux | ameli.fr | Entreprise

Côté amateur, ce n’est pas mieux : le bricolage est la 2e cause d’accident domestique. On estime que, chaque année, les urgences accueillent 300 000 accidentés pour cause de bricolage ou jardinage. Ca fait du monde quand même, non ? Ca mérite quand même qu’on en parle, non ?

Mes propos n’étaient évidemment pas un encouragement à ne rien faire, mais un encouragement à la prudence. En particulier quand on découvre et qu’on n’a pas encore les gestes, habitudes et précautions qu’aurait une personne habituée à ces tâches.
Vous dites qu’il ne vous manque aucun bout de doigt. Très bien. Mon non plus. Mais mon père, il lui manque un bout de doigt, donc je vois bien comment ça arrive et quelles en sont les conséquences. Puisqu’on en est à raconter nos vies : moi personnellement, je suis déjà tombé d’une échelle. Déjà 3 fois, en fait, si je compte bien. Une fois en milieu agricole : le sol était souple et l’échelle est tombée sur le côté. Une fois en milieu industriel : le sol était un peu poussiéreux et le pied de l’échelle (en aluminium nu, non revêtu de tampons en caoutchouc) a ripé vers l’arrière. Et une fois en milieu du bâtiment, même cause et même conséquence qu’en milieu industriel. J’en ai été quitte pour des bleus et des contusions (un de mes lointains aïeux était un chat). La première échelle n’était pas en cause et n’a pas été abîmée, mais les deux échelles suivantes étaient clairement en cause et ont fini à la casse, remplacées par des neuves avec tampons en caoutchouc. Mais oui, les chutes existent vraiment, les accidents existent vraiment, et voilà pourquoi j’en parle.

Certes, quand on se blesse, c’est toujours un manque de vigilance (et/ou un matériel inadéquat et/ou un matériel mal utilisé). D’où l’intérêt de bien rappeler le besoin de vigilance et de précautions.

Bernard2K a écrit :

- il faut des milliers d’euros de matos et de fournitures (comptez même plutôt une ou deux dizaines de milliers).

Euh… non. Suis équipé en marque pro, avec 5000€ vous avez de quoi vous équiper largement pour la rénovation. Si vous choisissez du parkside, vous êtes équipé pour 1000€…

Je n’ai pas l’impression qu’on parle de la même chose. L’électroportatif, en Parkside, 1000 € peut-être. Mais je parle bien de tout ce qui est nécessaire pour faire des travaux tout corps d’état. Par exemple, un petit escabeau, un grand escabeau, et une échelle, le tout en alu : on est déjà à 200 € grand minimum, non ? Ensuite, rien que pour pouvoir taper sur des trucs : petit marteau, gros marteau, massette, masse. Pour arracher des clous et autres : un pied de biche et une paire de tenailles. Et aussi : un jeu de tournevis. Un rabot manuel. Des râpes et des limes. Etc.
Celui qui s’équiperait tout en neuf pour faire des travaux tous corps d’état, en partant de rien, et qui garderait bien toutes ses factures pour la compta, au bout de 2 ans, il aura dépassé les 10000 € rien qu’en matériel, ça me semble difficilement évitable.

Bernard2K a écrit :

- le matos nécessite un local de stockage.

Un petit local suffit.

Un local est nécessaire, nous sommes donc d’accord.

Bernard2K a écrit :

- le matos et les fournitures doivent être rangés, organisés.

C’est pour cela qu’il faut acheter les machines dans des caisses. Ça s’empile et ça ne prend pas de place.

Ce que vous dites est valable seulement pour l’électroportatif. Les autres outils et fournitures ont besoin de rangement aussi et ils sont rarement fournis avec.

Bernard2K a écrit :

- le matos doit être entretenu.

Vous démontez souvent votre visseuse pour entretien ?

Jamais. Par contre, j’affûte mes outils. Sur un rabot électrique, c’est un peu de travail. Ce n’est pas monstrueux, mais c’est du temps et du savoir-faire qui sont nécessaires.

Bernard2K a écrit :

- le matos doit être transporté : besoin d’un gros véhicule qui ne craint pas les coups et les salissures.

Une remorque me suffit aujourd’hui.

Je vous admire. Moi je n’ai jamais été un ami des remorques. Ne serait-ce que pour enchaîner deux achats dans des deux magasins, j’aime avoir mes affaires dans un véhicule qui ferme à clé.

Bernard2K a écrit :

- le matos est volé.

Euh… même pas un tournevis en 5 ans.

Tant mieux pour vous, et moi non plus, je touche du bois. Il n’empêche que, là aussi, les vols dans les véhicules et sur les chantiers sont statistiquement significatifs.

Bernard2K a écrit :

- c’est difficile de faire seul. Travailler à plusieurs permet d’aller plus vite, de soulever des choses lourdes, d’échanger pour trouver des idées et résoudre les problèmes, de discuter pour faire passer le temps et pour satisfaire nos besoins sociaux.

Faux, pour la manutention,  il y a tout ce qu’il faut. Les forums, les vidéos sont des moyens adéquats pour apprendre. On a accès à tous les documents techniques en ligne. Et je ne parle pas de la diversité des composants/produits disponible en GSB qui vous facilitent la vie.

On trouve presque toujours une solution pour faire seul, oui. Saut peut-être pour monter des choses lourdes en étage sans ascenseur ; à part le monte-charge type sauterelle et passer par la fenêtre, je ne vois pas trop quelle solution technique permet de le faire.

Bernard2K a écrit :

Travailler seul, c’est plus lent, il y a des tâches qu’on n’arrive pas à faire ou alors bien plus difficilement car il faudrait être deux, on est tout seul face à ses problèmes, ses questions et ses décisions, et la solitude, même si au début on croit qu’on est immunisé, ça finit par peser.

Franchement pas du tout.

Tant mieux pour vous. J’ai déjà travaillé seul, j’ai déjà travaillé à deux, je préfère à deux : ça va plus vite, c’est plus plaisant et il y a un paquet de choses qui sont plus faciles à deux.

Vous avez un très bon sens de la synthèse,  il est dommage que vous versiez régulièrement dans l’exagération, voire la caricature.

Désolé de vous contredire sur de nombreux points, mais je pense avoir avoir une expérience suffisante dans ce domaine de la rénovation….

Nous avons manifestement une expérience et une vision différentes. Vous préférez dire "tout est possible, la preuve j’y arrive". je préfère dire : "presque tout est possible, mais ne négligez pas le temps d’apprentissage, l’investissement financier nécessaire, ainsi que les risques et précautions nécessaires."
Il me semble que ces deux types de messages ont leur intérêt et se complètent utilement.

Quand à l’activité de marchand de biens, je préfère me référer aux messages de perecastor, puisque vois avez décidé de ne pas partager votre expérience,  ce qui me semble étonnant.

Ca ne devrait pas vous étonner car j’ai déjà expliqué plusieurs fois pourquoi, et c’est une explication très simple, donc très facile à retenir : je ne vais pas travailler gratuitement à former ma propre concurrence qui va ensuite (comme toute concurrence à l’achat dans un jeu d’offre et demande) pousser à la hausse les prix d’achat, donc rogner ma marge. Ca serait vraiment ce qu’on appelle "se tirer une balle dans le pied".

Dernière modification par Bernard2K (20/02/2021 10h30)


Il faut que tout change pour que rien ne change

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2    #37 20/02/2021 08h43

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La vérité semble donc entre les deux.

Sur le travail à deux/plusieurs : pourquoi vouloir faire de son expérience une généralité, ça me semble très personnel. Moi, je déteste : l’autre m’exaspère sauf s’il est capable de la fermer et de se limiter à faire ce pour quoi j’ai souhaité sa présence/son intervention, et de préférence pour un truc ponctuel.
L’autre  faim, a soif, envie de bavasser des con.eries sur les vaccins, les virus, le gluten ou je ne sais quoi.
C’est don,oui , très personnel.

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2    #38 20/02/2021 09h07

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lachignolecorse, le 19/02/2021 a écrit :

J’ai recherché sur google les formations de marchand de biens, il y a pléthores…

Comme le titre est Formation Marchand de Bien, à vrai dire il existe pas de formation MdB puisque ce n’est pas reconnu comme qualifiant.
Toutes les formations ne délivrent qu’un certificat de formation, pas un diplôme.

D’ailleurs si vous voulez faire financer votre formation "MdB" par la formation Pro vous verrez que comme aucunes formations qualifiantes existent, elle sera non finançable par les organisme de type Fongecif.

En revanche, toutes les formations "MdB" que l’on trouve sur Internet se reporte à des chapitres de formation Immobilier issue de formation qualifiante.

MdB c’est du juridique, c’est de la Promotion Immobilière. Pour être simpliste, c’est un Promoteur Immobilier non diplômé, non reconnu, et surtout non règlementé comme un  Promoteur.

Raison pour laquelle les banques apprécient peu les marchands de biens
Raison pour laquelle les organismes de financements ou de garanties de financement pour les banques (Promoteur) ne financent pas les MdB

Promoteur = Métier réglementé
MdB = rien, on fait ce qu’on veut.

MdB ca ne veut  pas dire non plus je construis n’importe quoi, n’importe comment, car si ce n’est pas un métier réglementé,  il en reste pas moins que la construction elle reste règlementé (code de la construction, code du travail, Urbanisme, ect) . Et c’est là ou le bas blesse. Le MdB n’étant issu d’aucunes formations reconnues est considéré comme un non professionnel.
D’ailleurs  pléthore de MdB font du grand n’importe quoi.

Pascal

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