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#51 31/07/2022 09h44

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Pour les coureurs indiens, j’en ai réellement eu (pas en vidéo, d’ailleurs youtube n’existait pas), mais la race est assez diverse, alors peut-être ais-je eu de la chance 🤩🤩🤩
Les miens faisaient bien moins de bruit que les autres races.

Pour l’ombrage, on peut y remédier partiellement avec de petits arbres ou des arbustes, pêcher de semis par ex, pruniers…

J’ai aussi des sureau, avec jus des baies, je fais des sorbets très colorés qui ont fait le bonheur de mes enfants jeunes.
Ils appelaient ça la glace Hallowen, oui c’est très coloré. Et un petit goût "miellé" d’après moi.

On peut penser aussi aux pergolas recouvertes de vigne, mais plus pour s’y reposer.
J’ai trouvé ça très en vogue en Italie et en Espagne, pays assez chauds comparativement à la France.

Là ou j’arrose le moins, comparativement à la surface, c’est dans les serres, à condition de n’y cultiver que tomates, piments, etc.. on fait une petite cuvette au pied, et le tour est joué. Tout au moins dans mon jardin, le sous-sol étant très frais voir humide par endroits.
Le goutte à goutte y trouve sa place bien sûr.
Autre avantage, sous une serre, l’herbe ne pousse que là où l’on arrose.
Petit conseil, utiliser une bâche diffusante, pour ne pas griller les plants.

@Lausm, les limaces que vous alliez perdre dans la forêt😂 il y a de fortes chances qu’elles aient fait le bonheur "du" renard, car les images d’Épinal montrant le renard se nourrissant de poules…
Au quotidien dans la vraie vie, il mange ce qu’il trouve, pour ça qu’il y a tant de mortalité chez le juvéniles.
… Mettre un renard dans son jardin pour les limaces ?…😏

@nivelle, je vous assure qu’un peu de présence au jardin, c’est comme un peu de présence auprès de son portefeuille.
On n’a que ce que l’on mérite, en travaillant un minimum.
J’élimine les limaces manuellement (peut-être de façon moins imagée), @Philippe30 adopte la même technique, et je puis vous assurer que c’est efficace

Dernière modification par Aigri (31/07/2022 10h20)


Donne un cheval à celui qui dit la vérité, il en aura besoin pour s'enfuir.

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1    #52 31/07/2022 10h12

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@Nivelle: ce qui vous semble un joli rêve, ça fait aussi parfois mal au dos et aux genoux.
Ayant connu la condition du jardin de Victoire, c’est une des raisons qui nous a poussé à quitter notre maison située
en plein  centre France où nous étions. Des étés avec trois mois sans une seule averse, où l’arrosage était devenu harassant et inefficace, et bien nous ne regrettons pas d’être en un lieu où les limaces sortent de temps en temps: ça veut dire qu’il y a de l’eau !
Là nous n’avons plus pour l’instant de jardin à nous et les propriétaires de celui que nous avions commencé il y a trois mois vont probablement le laisser mourir puisqu’ils ne donneront pas ce temps de présence.
N’étant pas rentiers et loin de l’être, je ne fais pourtant pas du jardin un indispensable pour vivre: l’autonomie est un énorme travail.
Mais c’est un lieu, oui, qui sanctionne la présence. Et comme l’a dit Aigri, il en est de même pour le portefeuille. Il faut être là.
Du coup nous nous sommes trouvés vocation d’arroser le jardin d’un nouvel ami. Très gros travail à lui tout seul, mais il a droit à des vacances.
Je suis fort content d’être dans cette region pyrénéenne, au pied des montagnes, ça aussi c’est une forme d’investissement à très long terme, car ça fait plus de vingt ans que je suis convaincu que pour vivre bien, il faut quitter les villes et monter en altitude où il y a de l’eau.

Certains rêves sont une douce anesthésie avec réveil difficile.
D’autres la poursuite d’une vision qui peut-être n’arrivera pas à réalisation.
Mais quand on n’investit pas dans la présence, on est sûr de n’avoir aucun résultat.

Après chacun sa vision de l’existence, mais on peut respecter celle de chacun dans sa différence, au lieu d’être sarcastique à son égard. Ça donne plus le sentiment d’être respecté.

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#53 31/07/2022 11h08

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Je ne fais pas de permaculture mais c’est un sujet qui m’intéresse.
Donc ce que je vais dire n’est pas le fruit de mon expérience mais de ce que j’ai pu retenir et n’est qu’à l’état de théorie pour moi.
De mes lectures un des gros problèmes des potager/jardins et "nuisibles" c’est que les gens ont un jardin trop "propre" mais la nature c’est un chaos organisé.

Les limaces s’attaquent aux cultures parce qu’elles n’ont rien d’autres à se mettre sous la dent. Un de leur rôle est de faire le ménage.
Deux possibilités me viennent en tête pour limiter qu’elles ravagent les cultures :
Avoir un compost, elles iront de préférence se nourrir de vieilles feuilles de salade que des cultures qui se développent.
(La position du compost idéalement est de le mettre au centre de ses cultures, selon la taille du potager plusieurs composts peuvent être déployés).

Avoir une jardin accueillant suffisamment de diversité biologique (ex: quelques arbres qui feront venir les oiseaux qui se nourriront des limaces).

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#54 01/08/2022 16h11

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Je peux répondre en connaissance de cause, potageant depuis quelques années sur des principes permaculturels mais sans volonté de les suivre dogmatiquement.

Les limaces sont en effet un enfer. Car favoriser la préservation de l’eau et en général incompatible avec limiter les limaces (paillage).
Les autres membres de ce club de l’enfer : campagnols, liseron, chiendent, potentille rampante

Mes humbles conseils :
- planter 30% de + que nécessaire : il faut accepter les pertes !
- mélanger les cultures : je n’ai pas eu preuve que le mélange des odeurs fonctionne. en revanche, je suis certain qu’une limace qui mange une salade préfèrera que la suite de son repas soit à 15cm plutôt qu’à 2m
- composter en surface : je vide mon bac à compost alternativement sur chacune de mes planches. Cela nourrit soit mon sol, soit les limaces, dans les 2 cas j’y gagne
- en période hors culture, lachez les poules dans le potager (non-testé) : leur capacité de grattage sans équivalent mettra à jour tous les œufs de limaces pour tuer le mal à la source ! Et vous profitez d’un engrais naturel…

Et même si ce n’est pas permaculture : la bâche noire pdt 6-8mois est une bénédiction dans certaines zones. Quand les engrais verts ne fonctionnement pas, que le grelinettage est impossible ou que la surface est trop grande pour désherber raisonnablement, la bâche d’ensilage (de réutilisation évidement) est un allié inestimable

Sinon, essayez les limaces léopard : elles mangent leurs consoeurs !

Pour les oiseaux, croyez-moi, ils mangeront vos framboises ou fraises bien avant vos limaces ! Personnellement, je valide l’option coupelle d’eau pour préserver mes petits fruits de leur besoin d’hydratation.

Et important : testez. Car beaucoup de conseils sont de simples répétitions de croyances (cendre, coquille, bière n’ont jamais arrêté les limaces, j’ai essayé…)
C’est avec l’observation que j’ai opté pour un treillis métallique supportant les haricots à rames et concombres qu atténuent ainsi le soleil estival trop fort pour tout ce qui pousse dessous…


"We judge a book by its cover ; And read what we want ; Between selected lines"

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#55 01/08/2022 17h53

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Pour les limaces, j’utilise un voile de forcage, qui permet théoriquement de gagner un ou deux degrés de moyenne, en laissant passer l’eau et l’air (modele p17 donc 17 g au m2). Dans la pratique, aucune limace ni perce oreille ne vient manger mes plantations pendant qu’elles sont jeunes. Et ces insectes se concentrent sur les jeunes pousses (tendres) donc quand la plante a bien poussé et est suffisamment forte pour se faire un petit peu manger et continuer à pousser, alors j’enleve le voile (au feeling). Réutilisable au passage si vous y faites attention.

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#56 01/08/2022 19h15

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Ce que j’ai trouvé de plus efficace contre les limaces est encore de les ramasser à la main, la nuit, surtout après les jours de chaleurs où elles se sont cachées pour ne pas dessécher et sortent une fois la température et l’obscurité devenues favorables. Les invasions sont sous contrôle après quelques séances.
Les orvets m’aident un peu dans cette besogne : ne surtout pas utiliser de motoculteur ou autre engin d’extermination ne laissant aucune chance à ces animaux fragiles et utiles. Ce serait bien aussi d’embaucher un crapaud, mais il faudrait probablement que je creuse une mare pour trouver des candidats…

Certains hivers, de plus en plus rares, m’évitent de faire ce type de "récolte" à la belle saison : les coups de gels sévères et brusques sont fatals aux limaces, qui n’ont alors pas le temps de s’abriter sous la terre si celle-ci gèle trop vite.

Pour les oiseaux, je mets des abreuvoirs comme @lemouz : mes fruits les intéressent beaucoup moins quand ils ne sont pas assoiffés.


« Celui qui croit en une croissance exponentielle dans un monde fini est fou, ou économiste. »

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1    #57 03/08/2022 18h07

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InvestisseurHeureux, le 29/07/2022 a écrit :

Thejul a écrit :

D’ailleurs à ce sujet, n’hésitez pas à mettre un bol d’eau dans votre jardin, sur votre terrasse, etc.

Je fais ça. Une assiette creuse au sol et une assiette creuse en hauteur.

Tout le monde va s’y abreuver le soir ou y prendre un bain frais en journée : écureuils, palombes, merles, geais des chênes, petits oiseaux en tout genre.

Si en plus vous mettez des miettes juste à côté, c’est un festival !

Je ne mens pas :



Un faon en pleine journée. :-)

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1    #58 08/08/2022 20h59

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Une assiette ou petite bassine d’eau avec bouchons en liège ou planchette…aussi pour les abeilles, et ça bourdonne un peu plus dans le jardin.

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#59 09/08/2022 20h34

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Quelques bouchons de liège suffisent, comme vous pouvez y déposer aussi tous vos bouchons de liège en surface, c’est au choix. Sinon un vieux paillasson en fibre sur un bac plein d’eau (au bout d’un moment il se recouvre de mousse c’est plus esthétique), tout ce qui flotte ou permet un accès facilité pour les insectes : morceaux de bois, vieille tuile, ardoise etc.

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#60 20/08/2022 19h39

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Chez nous, nous avons un jardin qui s’agrandit d’année en année.

Nous avons commencé avec 3 carrés potager et nous avons maintenant plus de 75m2 de jardin. Nous y plantons les basiques (tomates, courgettes, courges, haricots verts, petits pois, pommes de terre, cotes de bettes).
Plus ça va, plus je diversifie les cultures, afin d’éviter d’avoir un seul légume, car si ça ne fonctionne pas comme les tomates l’année dernière, c’est vraiment frustrant!

Nous avons également quelques bacs (bien pratique pour les cultures à désherbées car on est à hauteur).

Les abords du jardin et certains bacs sont plantés de petits fruits (murier sans épine, framboisiers, fraisiers).
Nous avons fait installer une cuve enterrée de 8m3, qui nous permet d’arroser le jardin.
Nous avons également un cerisier ancien sur le terrain, ainsi qu’un merisier (mais qui végète depuis une taille un peu sévère). Nous avons plantés de nouveaux arbres cette année (super timing!).

Nous jardinons sans aucun produit ni traitement.
Je fais une partie de mes graines chaque année (sur les tomates par exemple, c’est super facile).
Je fais la totalité de mes plants.

Le jardin est paillé. Nous ajoutons régulièrement des amendements naturels (essentiellement fumier, paille pour le paillage et nous faisons un compost).

Nous avons aussi quelques poules pour les oeufs.

Les récoltes sont intéressantes. Nous mangeons quasiment exclusivement des légumes du jardin les mois d’été. Après, il faut se montrer créatif sur les recettes, car à la 50ème courgette, on peut ressentir une certaine lassitude :-)
Je fais également des conserves (sauces tomates, ratatouille, caviar d’aubergines….).
On est bien content de trouver du tout prêt l’hiver, avec le gout incomparables des légumes d’été en prime.

Cela demande quand même pas mal de temps. Je pense qu’on est à une dizaine d’heures par semaine entre les plantations, les arrosages (à la main), les récoltes, l’entretien du jardin sur les mois d’été et un peu moins au printemps.

Toutefois, on y trouve un vrai plus. Les légumes sont délicieux. Jardiner en famille est une activité vraiment sympa. J’adore aller faire le gouter dans le jardin avec mes filles.
Si les conditions sont réunies, on arrive à de très beaux rendements en légumes.

Le cout est somme toute modeste, chez nous, essentiellement, le terreau à semis. Je pense qu’on doit tourner à environ 40€ sur une année. Je prends un terreau de super qualité.
On achète quelques bottes de paille (2€ la botte).
Pour le fumier, on s’arrange, souvent contre une bouteille.

J’ai également un peu de frais pour l’achat de graines. (j’ai un côté collectionneuse, donc je me fais plaisir à essayer de nouvelles variétés). Mais c’est un poste qui pourrait aisément être limité avec les graines reproductibles que j’ai en stock.

Je pense qu’on est gagnant, car si on achetait la même quantité de légumes en bio, le budget serait assez conséquent. A 4-5€ le kilo de tomates bios, on rembourse rapidement les investissements.

Les poules ne me semblent pas hyper rentables. J’en avais parlé dans une autre file. Mais il est vrai que les oeufs sont qualitatifs, de mon point de vue. Rien que la couleur du jaune….

Après, sur le jardinage, il ne faut pas se leurrer, il y a des aléas. Les limaces, les "mauvaises herbes", les pucerons, …. Cette année, nous expérimentons la colocation avec un (ou plusieurs) rat taupier. Et bien, je peux vous dire qu’il nous fatigue Ratatouille! Je ne compte pas le nombre de pieds de tomates qu’il nous a mangé. On n’a pas gouté une seule betteraves et mon conjoint a vu son champ de patates réduit à néant ou presque (Ratatouille est bien nourri, on ne se fait pas de souci).

C’est une activité plaisante, qui offre de l’autonomie (ce qui est un des point important de mon point de vue). Après, il me semble très difficile, voir impossible de produire 100% de sa nourriture, sauf à avoir de grandes surfaces à cultiver, du temps à y consacrer et un régime végétarien ou faiblement carné.
La culture des céréales me semble notamment complexes à mettre en oeuvre sur petite surface.
J’ai testé mais et blé, ça n’a pas été très concluant.


Le matin tu as 2 choix: soit tu retournes te coucher et tu continues de rêver soit tu te lèves et tu vas réaliser tes rêves

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#61 20/08/2022 23h06

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Si vous manquez d’idées pour les courgettes :
- râpées comme des carottes ou des betteraves. Ça change même si pas doudou non plus. Mais ca permet d’ en liquider qq unes différemment
- en remplacement du beurre dans les gâteaux. La en revanche, gros + : plus digeste. Et si vous ne le dites pas, personne ne s’en rendra compte.

Pour les rats taupiers, c’est la’premiere fois que j’entends une attaque sur les tomates. Il a grignote la racine ou juste déterré le plan au passage ?


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Favoris 1    #62 20/08/2022 23h36

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Alors pour les courgettes, j’ai déjà testé en gateau, effectivement c’est indétectable et le gateau au chocolat est super fondant. J’ai une amie qui fait aussi du brownie à la patate douce.

Je les cuisine aussi en röstis ou en feuilles de brick avec un peu de feta et quelques épices, ça passe bien ou en pakoras. Pour mes filles qui adorent les blinis, je fais une version avec de la carotte et de la courgette. Il y a aussi les basiques: en tarte, en flan, poêlées, en lasagnes avec de la crème et des ravioles…. il y a mille et une façons de cuisiner les courgettes.

Pour le rat taupier, les pieds de tomates disparaissent littéralement, il les emmène dans les galeries apparemment ou alors parfois, ils sont coupés au pied. Il nous a aussi abimé des pieds de courgettes. Visiblement, il doit soit manger soit détruire les racines, le pied sèche sur place.
Je vais essayer le tourteau de ricin pour déloger Ratatouille, mais il fait trop chaud pour en mettre pour le moment.


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#63 18/09/2022 09h57

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Pour les limaces j’ai eu un peu de mal au début, mais ça c’est calmé.

J’utilise du phosphate de fer en début de saison pour protéger les semis et c’est tout. Le phosphate de fer est certes chimique, mais c’est un simple sel composé de deux éléments courants dans le sol (le phosphore, et le fer), et est bien moins toxique pour l’écosystème que le sulfate de cuivre (ou "bouillie bordelaise" qui lui tue les champignons du sol par exemple)

Je le fais uniquement en curatif quand je vois un nombre de limace non négligeable, comme je jardine essentiellement le soir et parfois de nuit je repère facilement le problème)

Mais il faut avouer qu’avec les années le problème est de moins en moins important, je soupçonne les crapauds qui se baladent sur mon terrain d’y être pour quelque chose.

Il faut noter aussi que mes enfants passent un temps non négligeable à ramasser les escargocs qui trainent pour les donner aux poules, ça doit aider :-)

Pour les oiseaux, je n’a pas de problème de mon coté, mais plusieurs raisons à cela :
- j’ai des chats et un chien qui fréquentent le potager (les chats guettent les campagnols)
- je dispose de zones "sauvages" avec des petits fruitiers que je ne consomme pas (prunelilers notament)
- j’ai plusieurs bassins qui ne sont jamais à sec donc pas de manque d’eau pour eux

Par contre les campagnols sont un vrai problème, c’est la raison pour laquelle je ne fais pas de pommes de terre. Les chats, les renards dans les champs voisins, les rapaces diurnes et nocturnes, le piegage aident mais cela ne fait que limiter le problème.

En ce qui me concerne je’en susi à 350 kilo de légumes cette année, sachant que la saison n’est pas finie et que les grandes récoltes de fruit n’ont pas commencé (chataignes et pommes)

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#64 05/01/2023 14h23

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Bonjour,

question du jour : il s’agit de redonner forme humaine à un jardin à l’abandon. Présence de ronces et de robinier faux-acacia.

Le robinier faux-acacia étant un un feuillu, et de plus une espèce pionnière, il est connu pour faire de nombreux drageons et rejets. Coupe l’arbre n’est donc pas du tout suffisant pour l’éradiquer. Sachant qu’il n’est pas possible d’amener un tracteur pour dessoucher (terrain en pente), quelles solutions avez-vous déjà pratiquées avec succès dans un tel cas ?


Il faut que tout change pour que rien ne change

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#65 05/01/2023 14h40

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Je ne connais pas l’espèce en question, mais loue une rogneuse aussi appelée dessoucheuse pour ce type de chantier.

Gabarit d’un motoculteur, en une heure on détruit à peu près n’importe quelle souche à l’état de copeaux.


Profiter de ne rien foutre….

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#66 05/01/2023 15h05

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Bonjour,

Malheuresement, la rogneuse n’est pas adaptée car :
- il s’agit de nombreux arbres de petit diamètre, et non pas d’une grosse souche.
- plus on attaque du robinier, plus il va faire des rejets et drageons. C’est un peu le principe du chiendent, des ronces, des framboisiers… C’est à dire que, si on détruit la souche, même avec une rogneuse, on va voir des tiges neuves sortir de terre d’ci quelques mois, à partir des racines qui seront restées dans le sol. On peut finir par épuiser ces racines, à force de couper ces rejets, mais c’est un travail de longue haleine (plusieurs années).


Il faut que tout change pour que rien ne change

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#67 05/01/2023 15h34

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Le plus simple est de mettre du gros sel dans les petites souches.
Percer des trous le plus long possible dans la souche et mettre du gros sel pour faire mourir l’arbre.
Par contre cela va prendre du temps.
Si cela ne suffit pas, brûler les repousses avec un chalumeau ou un désherbeur thermique.

Voilà les techniques que j’utilise de mon côté.

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#68 05/01/2023 15h35

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Et si on ne veut pas "contaminer" la terre pour en faire un potager ? Le sel est encore une solution ?

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#69 05/01/2023 17h27

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Apparemment l’huile de coude est un moyen :

Éliminer les rejets de robinier (faux acacia) sans herbicide

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#70 05/01/2023 18h05

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Je prends connaissance de ce sujet avec plaisir ! J’ai planté à partir de 2017, de nombreux arbres fruitiers sur mon terrain de 1500 m2 aux alentours de Montréal, donc le sud du Québec. Aucun autre choix ici, si l’on veut avoir des fruits dignes de ce nom, presque tout étant importé de milliers de km donc avec un goût n’y étant pas et de nombreuses espèces introuvables (oubliez les mirabelles ou reines-claudes).

Une autre problématique ici, étant qu’il n’y a pas de pollinisation. Le peuple nord américain n’étant pas amateur d’arbres fruitiers mais de gazon bien taillé et exempt de mauvaise herbe. J’ai donc eu la surprise d’arriver avec un cerisier d’une taille assez conséquente au fil des ans, mais ne donnant pas la moindre cerise (problème qui m’était inconnu en France). Je suis donc obligée de tout planter en double, ce qui complique les choses. J’ai donc, pour l’instant un mirabellier et un reine-claude qui donnent, uniquement car ces deux espèces se pollinisent. Il y a aussi le fléau canadien "nodule noir" qui atteint tous les arbres à noyaux et des maladies des arbres lié au climat moins favorable, qui fait que les arbres fruitiers vivent souvent 10 ans en moyenne ici. L’été, toutes les récoltes sont dévorées par les écureuils et autres. Protection au filet (filet lui-même détruit avec les griffes des animaux maximum au bout de 2 ans même les plus résistants) obligatoire. J’espère un jour avoir des récoltes suffisamment abondantes pour être moins ennuyée.

Un autre problème encore : la faune est très vivace. Malgré que je sois en ville, il y a des lapins en profusion et ils abîment les troncs des petits arbres fruitiers l’hiver, grignotent au complet mûriers, vignes et framboisiers. J’ai donc dû faire un énorme travail de protection cet automne, j’ai mis des clôtures de grillage presque partout.

Dernière modification par Myrtilles (05/01/2023 19h23)

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#71 05/01/2023 18h24

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Concernant la video postée par timiron : le monsieur est gentil de vanter les mérites du bois d’acacia, mais 1) cet arbre est classé officiellement comme espèce envahissante, donc préconiser de le replanter est un peu irresponsable à mon avis (comme le mimosa, qui est si joli et sent si bon, et le bambou, si joli et si pratique pour en faire des piquets ; ce sont néanmoins des envahisseurs ; personnellement, je n’implanterai jamais volontairement de telles espèces végétales). 2) les robiniers dont je parle n’ont rien à voir avec les gentils petits drageons que l’on voit à l’image.
Cela dit, la vidéo a au moins le mérite de montrer l’extraordinaire capacité d’envahissement du robinier : cet arbre a lancé tout exprès une très longue racine de 20 mètres, en surface, pour faire des drageons ! Multipliez cela par des dizaines d’arbres, laissez le temps aux drageons de devenir de vrais arbres, et vous aurez une idée de l’ampleur du problème.

Car le terrain dont je parle est envahi d’arbres qui font entre quelques cm de diamètre pour les plus petits et 20 cm de diamètre pour les plus gros. Le terrain est donc saturé de racines qui vont rejeter et drageonner à la première occasion. Or, ce terrain a vocation à redevenir un jardin potager et/ou d’agrément, ce qui est incompatible avec les acacias. Ceux-ci doivent être éliminés. Quelques arbres seront peut-être replantés quand le jardin aura repris forme humaine, mais ce seront des arbres fruitiers.

Je vais donc vous dire où j’en suis de mes réflexions, en supposant bien sûr qu’on commence par abattre les arbres et qu’on  se retrouve donc avec un champ de souches de 10 à 20 cm de haut à dévitaliser :

- extraction mécanique : il faudrait retourner le terrain entièrement et profondément ce qui serait un travail de dingue, et on en oublierait encore. Donc hors de question.

Il faut donc empoisonner la souche pour la dévitaliser. il faut que la sève véhicule le poison pour aller dévitaliser jusqu’au bout des racines. Les solutions que j’ai pu identifier sont (je commence par les plus gentilles) :
- percer des trous, verser du lait entier, protéger de la pluie. Le lait entier accélère le pourrissement de la souche. Si ça peut être adapté pour des souches qui ne vont pas rejeter (notamment les résineux), je ne crois pas une seconde à cette solution pour des robiniers. Même si le coeur de la souche pourrit localement, ça ne va pas tuer les racines.
- percer des gros trous, y introduire des gousses d’ail pointes en haut, reboucher avec de la terre glaise. L’idée est que les gousses vont germer et empoisonner l’arbre par l’Allicine, composé anti-bactérien, anti-fongique, et prétendument phytotoxique. J’ai de gros doutes sur le fait que ça soit suffisant pour tuer des robiniers, mais je vais traiter quelques troncs ainsi et on verra bien.
- percer des trous, y introduire du gros sel (de déneigement, c’est le moins cher). Protéger de la pluie. Le sel est phytotoxique. Ce n’est pas très bon pour l’environnement, mais à comparer aux milliers de tonnes qui sont déversés sur les routes chaque année… Du point de vue de pouvoir récupérer le jardin pour un usage potager et/ou agrément, je pense que ça ne pose pas de problème. Les doses utilisées restent modestes, et seront lessivées par la pluie quand l’arbre sera mort et qu’on enlèvera donc la protection contre la pluie.
- en jardinerie, on vous vend comme destructeur de souche du nitrate de sodium. C’est une variété de salpêtre, dit "salpêtre du Chili", le salpêtre tout court étant du nitrate de potassium aux propriétés très similaires. Le mode d’emploi dit : percer des trous, y introduire la poudre. Ajouter du pétrole lampant. Mettre le feu. La souche se consume. Le mode d’emploi dit aussi : marche mieux sur des souches bien sèches. A mon humble avis, ce n’est pas adapté du tout : 1) ça contrevient à l’interdiction quasi généralisée de faire brûler les déchets végétaux dans les jardins. 2) ce n’est pas phytotoxique, ou faiblement phytotoxique. Sur des robiniers vivants, ça va donc brûler un petit peu la souche autour des trous, mais les racines vont rester vivantes et rejeter violemment. C’est vraiment complètement inadapté. Merci monsieur le vendeur de jardinerie, de m’avoir vendu un produit cher et inadapté.
- percer des trous, y introduire du chlorate de soude. Protéger de la pluie. Eventuellement, plusieurs mois plus tard, mettre le feu, et la souche va se consumer. Mais on peut aussi ne pas mettre le feu et garder la souche morte. Le plus important est que la souche aura été dévitalisée efficacement par le chlorate de soude. Attention, le chlorate de soude est interdit depuis 2009, donc c’est pas bien du tout ! Ah, quel méchant pollueur ! Pourtant, c’était une méthode préconisée encore récemment par le "petit guide du jardinage biologique" des éditions Terre Vivante, ce qui donne à réfléchir. On voit mal un auteur féru de jardinage biologique préconiser l’emploi d’un produit très polluant !
Alors, pourquoi le chlorate de soude a-t-il été interdit en Europe ? 1) Parce qu’aucun industriel de la chimie n’a voulu faire le dossier pour demander le renouvellement de son autorisation. Parce que ce n’était pas leur intérêt financier. Ils préféraient vendre des produits plus chers, et notamment le fameux glyphosate, donc ils étaient bien contents que le chlorate de soude, ce concurrent trop bon marché, disparaisse. 2) Parce que ça ne plaît pas beaucoup aux gouvernements, vu qu’on peut assez facilement en faire des explosifs (les terroristes ont un accès facile à des moyens de fabriquer des explosifs plus puissants ; il n’empêche que le chlorate de soude a mauvaise réputation). Il n’y a pas d’autre raison valable. Les autres herbicides qui sont restés en vente après 2009 étaient presque tous plus dangereux pour l’environnement que le chlorate de soude.
Et alors, sa fameuse toxicité ? En fait, il n’est pas rémanent, car il se décompose essentiellement en sel de cuisine (NaCl). Autant je ne préconiserais pas de l’utiliser en application sur de grandes surfaces (désherbant pulvérisé sur des allées, des orties, des ronces) car la quantité apportée au sol devient importante, autant, pour traiter les souches, on en met des petites quantités, et on protège de la pluie pour que la faible dose aille bien dans la sève au lieu d’être lessivée par la pluie, donc l’impact sur l’environnement est très faible. La dose préconisée par Terre Vivante est de 1 gramme par cm de diamètre de souche. Donc, à mon sens, c’était vraiment un excellent produit : efficace pour dévitaliser, puis il se transforme en sel de cuisine, qui est anodin à ces doses. Je ne remercie pas nos bienpensants qui ont ainsi mis hors la loi un produit aussi bien adapté à cet usage.
- idem chlorate de soude, mais avec un désherbant chimique plus costaud et/ou rémanent. Un agriculteur me disait "une croix tracé à la tronçonneuse sur la souche, et appliquer ce désherbant vigoureux et désormais interdit, mais dont j’ai encore des réserves". Mais là, j’objecte. Dans mon échelle de valeurs à moi, le sel de cuisine et le chlorate de soude sont les seuls désherbants qui me semblent acceptables, et encore, en emploi ponctuel et localisé sur des souches, et non pas épandus sur de grandes surfaces.

Donc, voilà, j’en suis rendu à devoir choisir le poison à utiliser, entre l’ail (efficacité incertaine), le sel de déneigement (efficacité probable, avantageux car bon marché, mais relativement grosses doses nécessaires), et le chlorate de soude, efficace dès les faibles doses, mais indisponible car interdit par nos bienpensants.

Dernière modification par Bernard2K (05/01/2023 21h56)


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1    #72 05/01/2023 19h10

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ENTJ

Bonjour,

Moi, je l’ai fait. Je connais bien le robinier, je chauffe un peu avec (très bien mais fait des étincelles à éviter en foyer ouvert). Oui, c’est du vrai chiendent, oui à tout ce que vous avez écrit.

Ma situation était peut-être pire que la vôtre (?) car de l’autre coté du terrain le voisin ne faisait rien ou presque à part couper tailler…

J’ai tout tenté ; l’arrachage avec la pioche sur le petits rejets est, je crois, LA méthode de base.

…Reste votre le vrai soucis : les gros troncs.

Cela m’a pris 3 ans, étant sur le site en pointillé, vous iriez plus vite sans doute, je ne sais pas ce qui fût déterminant, le tout sans doute :
- abatage et coupe des grosses racines ; peut-être "inutile" de prime abords car effectivement c’est pire mais sur le long terme ? => pioche hache…
- pelage des écorces à la tronçonneuse + traits de scie circulaires, sel
- rejets, pioche…
- sac noir poubelles très solides et ligatures des dits sacs
- rejets, pioche…Les sacs se déchirent vite…
- acide de batterie dans des fentes ouvertes au coin + traits de scie etc (oui, je sais "c’est pas bien" mais j’attends que les critiques se confrontent au problème).
Et  là enfin, terminé les rejets partir des souches.
Du coup dessouchage avec la pioche hache des racines mortes.

C’est un vrai travail de paysan testard / obstiné : le temps fait tout.


Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*

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#73 05/01/2023 19h15

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Merci pour le retour d’expérience. Ca ne m’étonne pas que vous ayez réussi à les éradiquer avec un tel programme, mais j’aimerais bien éviter tout ce qui implique la pioche. Extirper des souches et des racines à la main, j’ai déjà donné, c’est un boulot de forçat. Et le terrain n’est pas accessible au tracteur ni même à la mini-pelle. D’où mon programme "trous + poison". La difficulté étant de trouver le poison qui soit efficace tout en ayant aussi peu d’impact que possible sur l’environnement.

Si, après ce programme "trous + poison", il y a quelques petits rejets qui ressortent, promis je sortirai la pioche. Car enlever quelques rejets jeunes et tendres, c’est du gâteau, à comparer de dessoucher.

Et sinon, quelqu’un a testé la méthode avec l’ail ?


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1    #74 05/01/2023 20h50

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Bonjour Bernard2k. La technique de l’ail ne fonctionne pas. En effet, les 3/4 des gousses seront mortes avant même d’avoir germé (testé sur une 40aine de cypres). Peut etre que la solution serait d’extraire les troncs+ racine avec un systeme d’etais, trepied et palan… Tres efficace, utilisé pour extraire des haies à croissance rapide ainsi que des petits troncs avec tout le systeme racinaire…
Bonne chance, ce sera éprouvant dans tous les cas.

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1    #75 05/01/2023 22h53

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Une parenthèse pour vous présenter la chaîne
YouTube Ver de Terre Production.

Objectif : partager librement le savoir pour aller vers l’agroécologie.

Public cible : les agriculteurs.

En tant que jardiniers on y trouve de précieuses informations sur l’agronomie, qui peuvent bien sûr  orienter nos pratiques.

Par exemple, cette intervention sur le pâturage, qui en apprend beaucoup sur la vie des graminées :
[youtube]https://youtu.be/zbSZtOca-EI[/youtube]
(désolé pour le problème d’intégration de la vidéo)

Ayant un petit verger, j’avais pour habitude de tondre assez court pour contenir ronces et autres pousses de robiniers (justement).

Maintenant je tâche de laisser au moins 3cm de limbe pour favoriser l’agradation de mon sol par les graminées (production de racines, meilleure repousse des feuilles + longues, donc plus de production de biomasse et plus de sucres relargués qui nourrissent les organismes du sol).

Dernière modification par nor (05/01/2023 23h12)

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