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#1 13/10/2023 12h37
- amoilyon
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Face à la crise immobilier, Lyon réagit, à lire ici
Lyon s’enfonce dans la crise de l’immobilier : "la Métropole veut construire plus"
La crise du logement touche durement la métropole de Lyon en ce deuxième semestre de 2023. Renaud Payre, vice-président délégué au logement au Grand Lyon, répond à nos questions.
Situation « préoccupante », « dramatique », Renaud Payre ne manque pas d’adjectifs pour qualifier la crise du logement qui touche la métropole de Lyon et toute la France.
Le vice-président délégué à l’Habitat, au logement social et à la politique de la Ville au Grand Lyon répond aux questions de notre rédaction ce jeudi 12 octobre 2023.
Entre la pénurie de logements sociaux, les acquéreurs de biens immobiliers de plus en plus rares et les difficultés des promoteurs à sortir de nouvelles constructions de terre, l’élu de la majorité écologiste dit se mettre en mode « gestion de crise ».
« Les ménages n’arrivent plus à acheter » à Lyon et dans la métropole
Renaud Payre : La situation est préoccupante, d’abord pour celles et ceux qui attendent un logement social. Sur neuf demandes de logement social, une seule aboutit.
Une situation qui frappe bon nombre d’habitants et d’habitantes du territoire et qui apparait désespérante. Au-delà du logement social, il y a une crise de la promotion et de la construction immobilière. Une crise qui touche tous les territoires urbains de notre pays.
C’est ça le constat. C’est un constat d’alarme et d’alerte absolue. On a tiré la sonnette d’alarme, il y a bien longtemps, auprès du gouvernement, et on n’a pas été entendu.
Quel est le fond du problème aujourd’hui ? Alors que la métropole est en retard sur ses objectifs, pourquoi autant de logements sociaux tardent-ils à sortir de terre ?
R.P. : Les ménages n’arrivent plus à acheter. C’est aussi simple que ça.
Les promoteurs ont acheté très cher le prix du foncier et, en plus, ils sont percutés par la hausse des coûts de construction, 40% depuis 2020. Le problème, c’est que maintenant, ils ne peuvent plus se rattraper sur le prix de vente de l’accession libre.
On a de moins en moins d’acheteurs car les taux d’intérêt ont pris 4 points. Quand on prend un point de taux d’intérêt, on perd 30 000 acquéreurs dans la métropole de Lyon. Donc là, c’est comme si on en avait perdu 120 000.
Lyon. « Un logement pour 50 candidats » : l’alerte rouge du secteur de l’immobilier
R.P. : Le promoteur engagera le chantier qu’à partir du moment où il aura commercialisé une part de logements en accession libre. Ce qui n’est plus le cas.
Aujourd’hui, la grue n’arrive jamais sur le chantier et le logement ne sort pas, que ce soit la part de libre ou la part sociale que nous avions négociée.
Ces opérations bloquées représentent 2 000 à 3 000 logements qu’on pourrait perdre sur la métropole de Lyon.
R.P. : On a pris nos responsabilités. On a lancé un plan d’urgence à la Métropole de Lyon qui permet de subventionner les bailleurs sociaux, pour faire un peu plus de logements sociaux et sauver les opérations des promoteurs. C’est un plan de 10 millions d’euros pour dire aux bailleurs sociaux qu’ils peuvent se porter acquéreurs et que les promoteurs peuvent vendre. Cela va sauver les 2 000 à 3 000 logements qu’on allait perdre et, en plus, on récupère 600 à 900 logements sociaux supplémentaires sur ces opérations.
Noël Pétrone, directeur Aura d’Action Logement, dresse le constat du logement social dans la métropole de Lyon.
"Avec l’inflation, les gens ne quittent plus les logements sociaux. Les taux de rotation sont en baisse. Si les locataires de logements sociaux ne les quittent plus, nous, on ne peut plus les proposer aux salariés. Il y a une raréfaction de l’offre."
Il affirme que les demandeurs de logements sociaux sont de plus en plus nombreux dans la métropole de Lyon. Aujourd’hui, ils sont près de 80 000 à attendre un logement social.
La construction de nouveaux biens immobiliers ne permettrait même pas de résoudre ce problème. "On a besoin immédiatement de logements, quand bien même les bailleurs décident de la construction d’une résidence, le temps qu’elle se fasse, il y en a pour deux ou trois ans…"
6 000 nouveaux logements sociaux par an : un objectif irréalisable ?
La majorité écologiste s’est régulièrement positionnée contre l’étalement urbain, mais plutôt pour la surélévation. Votre opposition vous a même souvent accusé de ne plus vouloir construire…
R.P. : La Métropole est engagée dans l’idée qu’il faut construire. Il y a deux ans, j’ai lancé une cellule qui se réunit tous les trois mois avec les promoteurs pour voir les permis de construire qui bloquaient. On essaie de débloquer des permis de construire, tout en ouvrant le chantier de la surélévation.
Le nombre des permis de construire a augmenté sur les six derniers mois. Le travail que je fais avec les promoteurs à Lyon n’a jamais été fait jusqu’alors. Le manque de permis n’est plus le problème. Je cherche toutes les solutions. En 2022, nous avons engagé 50 millions d’euros pour préempter des immeubles
La crise est beaucoup plus grave que celle rencontrée par nos prédécesseurs. Je me bats pour trouver une solution à la crise du logement.
Allez-vous revenir sur votre objectif de début de mandat sur la construction de 6 000 logements sociaux par an jusqu’en 2026 ?
R.P. : Ces objectifs, ils sont présents. Mais simplement, je mesure la gravité de la crise. Je veux juste dire à vos lecteurs qu’on se bat au quotidien car ces objectifs sont les bons. On est en situation de gestion de crise mais je maintiens l’idée que ces objectifs devront être atteints un jour
Je crois qu’on aura un jour le bon nombre de logements sociaux. Les objectifs, je les ai à l’esprit, mais aujourd’hui, je suis en gestion de crise, en mode combat.
« On ne peut plus se réjouir de ne pas délivrer de permis de construire »
La préfète, Fabienne Buccio, s’inquiète du manque de construction de nouveaux logements, notamment sociaux et va retirer la compétence urbanisme à des maires des communes de la Métropole. En êtes-vous satisfait ?
R.P. : J’en suis très content. Nous avons travaillé ça avec la préfecture. J’y vois aussi l’aboutissement de notre sonnette d’alarme sur le fait que dans certaines communes, c’était bloqué.
La Métropole a été pleinement associée. C’est une prérogative de l’État, mais ça ne suffira pas. Ce n’est plus une crise des autorisations. C’est lié à l’absence d’acquéreurs.
Au regard de la gravité de la crise, on ne peut plus se réjouir de ne pas délivrer de permis de construire, c’est irresponsable. Ce que fait l’État c’est bien, mais ce n’est pas suffisant…
Vous ne cachez pas depuis le début du mandat votre combat contre la politique de logement d’Emmanuel Macron et de son gouvernement…
R.P. : Sans un État qui met en place une politique de production de logements, ce n’est pas possible. La politique du logement doit être mise en œuvre par un gouvernement. Les dernières annonces me réjouissent sur la rénovation mais me déçoivent au plus haut point dans la non-prise en compte des bailleurs sociaux, qui utilisent leurs fonds propres pour produire.
J’aurais aimé que le gouvernement vote un plan d’urgence, car on ferait beaucoup mieux. C’est regrettable qu’il n’y en ait pas.
Et aussi, pour pouvoir construire ces logements sociaux, les maires ne pourront plus signer les permis de construire, à lire ici
La décision de la préfète du Rhône Fabienne Buccio va faire l’effet d’une bombe dans certaines communes de la métropole de Lyon. La représentante de l’Etat s’inquiète du manque de construction de nouveaux logements notamment sociaux et va retirer la compétence urbanisme à ces maires.
La préfète a fait cette annonce ce lundi 9 octobre 2023 lors d’un échange avec les journalistes du club de la presse de Lyon. Questionnée sur le retard de la Métropole de Lyon sur la construction de 6 000 logements sociaux par an, elle a aussi ciblé les maires qui ne construisent pas assez, selon elle.
L’Etat devrait signifier dans les tous prochains jours aux communes concernées cette décision très rare. En 2020, quatre maires du Val-de-Marne avaient perdu la main sur les permis de construire au profit du préfet face au manque de logements sociaux dans leur commune.
Une dizaine de communes « qui ne respectent pas le taux de logements sociaux, qui paient de fortes amendes et qui ne progressent pas voire reculent sur ce sujet », seront concernées selon Fabienne Buccio.
La loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU) impose à certaines communes urbaines de disposer d’un nombre minimum de logements sociaux, proportionnel à leur parc de résidences principales (25 % ou 20 %).
L’Etat signera les permis de construire
Concrètement, dès le début de l’année 2024, l’Etat signera les permis de construire dans ces communes aussi bien pour des projets de logements sociaux ou de logements privés.
Ce n’est pas simple pour nous de reprendre cette compétence. C’est l’Etat qui va signer les permis de construire. C’est une priorité au vue des difficultés sur le logement. Je n’aime pas dire des choses sans aller jusqu’au bout. L’intérêt général n’est pas défendu, l’Etat va reprendre la compétence générale. C’est une réflexion assumée.
Une dizaine de communes mauvaises élèves
Les noms des communes ne sont pas encore connues mais sur la période 2017 – 2019, onze d’entre elles situées sur le territoire de la métropole de Lyon n’avaient pas respecté leur taux de logements sociaux.
Il s’agissait de Charly, Corbas, Fontaines-sur-Saône, Marcy-l’Etoile, Meyzieu, Mions, Oullins, Saint-Didier-au-Mont-d’Or, Saint-Genis-Laval, Saint-Genis-les-Ollières et Sainte-Foy-lès-Lyon. Des communes surtout situées dans le très cossus ouest lyonnais.
Les communes seront averties par courrier par la préfète du Rhône et la mesure devrait entrer en vigueur d’ici début 2024.
Mots-clés : investir, logement social, lyon, permis de construire
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#2 13/10/2023 12h55
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Bref, ils ne parlent tous que de logements sociaux, quid de ceux qui n’y sont pas éligibles et qui ne peuvent plus acheter dans le privé ?
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#3 13/10/2023 13h03
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@Oblible : Pour cela aussi, on a une solution néo-communiste :
Contre la crise du logement, Lyon propose aux classes moyennes ses premiers logements en bail réel solidaire
Vous achetez les murs mais vous louez le terrain, pour une durée maximum de 99 ans. Si jamais vous décidez de revendre, le prix est encadré.
Bien comprendre le bail réel solidaire
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#4 13/10/2023 13h10
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Même pour les BRS ( Belle Rotteca Socialiste ), il y a des plafonds de revenus :
Bien comprendre le bail réel solidaire
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#5 13/10/2023 13h16
- amoilyon
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De partout les professionnels de l’immobilier alertent sur la crise du logement qui arrive.
Ici à Nantes
Nantes : Les professionnels de l’immobilier s’alarment de la crise et réclament des « mesures d’urgence »
EN PANNE Le club de l’immobilier Nantes-Atlantique se montre très préoccupé par le manque de logements, de bureaux et de commerces neufs. Il craint une « crise sociale » dès 2024
« Il faut des mesures d’urgence, changer les règles du jeu. Si on reste dans le modèle actuel, on ira dans le mur », s’alarme le Club de l’immobilier Nantes-Atlantique (CINA). Cette organisation regroupant un vaste échantillon de professionnels du secteur (promoteurs, urbanistes, architectes, constructeurs, investisseurs…) s’inquiète vivement de la « crise immobilière » dans laquelle la France est entrée depuis plusieurs mois. En retard dans la production de logements, la métropole nantaise serait plus touchée que d’autres.
« Le neuf est un régulateur, or on est en panne dans la construction de logements, de bureaux et de commerces. On a un marché paralysé alors que le territoire demeure attractif », déplore Christine Serra, présidente du Cina. Les causes sont multiples : « lenteur des procédures », « hausse des coûts de construction », « difficultés de financement » des ménages… Le problème est tel que le Cina craint que de grands projets urbains annoncés, comme Pirmil-Les Isles, ne puissent plus sortir de terre.
Pour des « assises de l’immobilier » à Nantes
La crise frappe aussi le marché locatif. « Le taux de vacance des logements est descendu à 2 %, un niveau exceptionnellement bas. Cela signifie qu’il y a des gens qui ne peuvent plus travailler sur Nantes parce qu’ils ne trouvent pas à se loger, des étudiants qui dorment dans leur voiture ou au camping. Et on ne voit pas d’éclaircie. On va vers une crise sociale dès 2024 », annonce le Cina.
Il réclame la tenue à Nantes « d’assises de l’immobilier » réunissant les collectivités, l’Etat et l’ensemble des représentants de la filière. Le Cina propose, notamment, de « relancer la production » en expérimentant des « permis de construire sans destination » permettant d’adapter de manière agile la part de logements ou de tertiaire dans les opérations mixtes. A plus long terme, il milite pour « densifier la ville » afin de « répondre aux usages et besoins de mobilité de la population ».
A Lyon, comme ailleurs, le marché se grippe.
Les locataires ne peuvent pas acheter, restant dans leur appartement. Les achats diminuent.
Et le marché de la location est complètement grippé.
Tout le marché se paralyse progressivement
Depuis un an, la pénurie de biens à la location s’accélère dans les grandes métropoles. Et pour l’instant, rien ne semble pouvoir enrayer la chute du marché locatif, liée au durcissement des conditions de financement pour les acquéreurs.
Etudiants, ménages modestes, jeunes actifs… les exemples de personnes incapables de louer un bien immobilier se multiplient depuis la rentrée. Et pour cause : le marché de la location connaît un net ralentissement. La quantité de biens à louer en France régresse de 24 % sur un an en septembre, selon le réseau Laforêt Immobilier, qui note un découragement des investisseurs face aux nouvelles obligations de rénovation et à l’encadrement des loyers.
Louer, une mission devenue impossible ?
À tel point que le site d’annonces SeLoger se demande, dans un communiqué du 27 septembre dernier, si la location n’est pas devenue mission impossible dans les grandes villes. Selon le site, le record des baisses de biens à louer depuis un an appartient à Rennes, avec un recul de 42,9 % (volume des annonces disponibles sur le marché de la location au 1er août dernier sur SeLoger.com). Suivent Paris (-38,3 %), Nice (-33,9 %), puis Marseille et Bordeaux à égalité (-15,8 %). Conséquence : les loyers grimpent, soit jusqu’à 6,1 % de hausse à Nice, +4,9 % à Marseille ou +4,6 % à Strasbourg. Soit des niveaux constatés bien supérieurs au plafonnement des loyers prolongé en juillet dernier (+3,5 % maximum) jusqu’à la fin du premier trimestre 2024. Dans un communiqué publié le 2 octobre, la CLCV indique d’ailleurs que 31 % des annonces concernées par le plafonnement des loyers sont encore non conformes. En moyenne, relève l’association de consommateurs, ce sont 143 € par mois qui sont ainsi réclamés aux locataires en toute illégalité. Pour SeLoger, la mesure d’encadrement n’a pas eu d’effets bénéfiques sur l’offre : « malgré une hausse de loyers plus modérée que pour le reste des grandes villes, les villes « encadrées » sont tout aussi en situation pénurique », constate Barbara Castillo Rico, responsable des études économiques du site d’annonces. À Paris, la baisse atteint ainsi 68,2 % depuis juillet 2021.
Des ménages qui ne libèrent pas leur bien
Lors de leur congrès annuel fin septembre, les notaires ont formulé plusieurs propositions pour favoriser l’accès au logement. La profession propose notamment de généraliser le dispositif solidaire Loc’Avantages avec un allègement des conditions actuelles (location nue, durée d’engagement de 6 ans…) ou encore de simplifier le droit de préemption du locataire en l’étendant notamment au meublé en cas de congé pour vente. Car à l’évidence, les freins sur le marché de la location sont fortement corrélés aux difficultés des ménages à acheter : « contraints de renoncer à l’achat à cause du durcissement des conditions de financement, les ménages ne libèrent pas le bien qu’ils louent, ce qui entraîne mécaniquement une hausse de la tension locative. Et ce, alors que la demande est déjà fortement concentrée dans les métropoles, où l’accession à la propriété est le plus contrainte », analyse Barbara Castillo Rico. « Depuis un an, les ventes accusent un net recul et les acquéreurs sont moins nombreux, empêchés par les difficultés d’accès au crédit », confirme Laforêt Immobilier dans un communiqué du 3 octobre. Soit une chute des transactions estimée à 15 %.
Un surplus de biens à vendre
Résultat, le stock des biens à vendre ne cesse de gonfler. Selon MeilleursAgents, ce stock s’inscrit en forte hausse dans les onze plus grandes métropoles françaises, soit +86 % à Lille, +44 % à Lyon et +43 % à Paris sur un an. Et alors qu’un assouplissement du respect de 35 % d’endettement maximum avait été évoqué, le Haut Conseil de stabilité financière a brutalement refermé cette porte le 26 septembre dernier. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire s’est toutefois prononcé en faveur de nouvelles mesures telles qu’un prêt à taux préférentiel (inférieur aux taux pratiqués sur le marché) pour aider les ménages modestes à accéder à la propriété.
En gros, rien ne bouge et tout le monde reste dans son bien actuel, même s’il ne correspond plus à ses besoins.
L’attente pour les logements sociaux se comptent en mois, voire en année.
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#6 13/10/2023 13h20
La préfète va peut-être avoir une mutation. Pour l’instant c’est encore de l’esbrouffe, ce qui devrait révolter les habitants des communes c’est également de devoir payer annuellement les pénalités issues de l’art 55 de la loi SRU sans avoir sans doute jamais compris pour la majorité de ces électeurs de quoi il retournait faute d’explication (les élus ont achetés leurs élections ?).
D’ici 2024 il va y avoir des études de gisement pilotées par un EPF type EPORA (c’est leur secteur) en cohérence avec le PLUIH. Pour être clair je vous parie qu’il va falloir "reconstruire la ville sur la ville" vu que le ZAN est sous-jacent.
Donc conclusion pour l’investisseur prudent il vaut mieux :
- aller voir ailleurs, le risque de se faire exproprier à bas prix (encore que si les domaines se basent sur les ventes de ces dernières années ?) par l’EPF ;
- prendre les devants et conventionner c’est à dire produire du LLS (logement locatif social) avec les avantages inconvénients que tout le monde connaît.
La démarche ZAN (Zéro Artificialisation Nette)
Epora ? Établissement public foncier, au c?ur de la région Auvergne-Rhône-Alpes
Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*
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#7 13/10/2023 13h25
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@Oblible : Au train où ça va les "plafonds de revenus" seront à comprendre littéralement
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#8 13/10/2023 13h26
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Icqe a écrit :
D’ici 2024 il va y avoir des études de gisement pilotées par un EPF type EPORA (c’est leur secteur) en cohérence avec le PLUIH. Pour être clair je vous parie qu’il va falloir "reconstruire la ville sur la ville" vu que le ZAN est sous-jacent.
Epora ? Établissement public foncier, au c?ur de la région Auvergne-Rhône-Alpes
Tout marche parfaitement ^^
(Tout va bien Madame la Marquise…)
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#9 13/10/2023 14h20
Ah c’est "Etat" vous savez…Précisément c’est l’Etat qui joue au promotteur immobilier "pour la bonne cause". On y trouve le meilleur et le pire, cela tient comme souvent aux personnes. J’ai fait semblent de postuler un jour, idée vite écartée (cela revient à avoir non pas un patron mais des 10nes).
EPORA accompagne les collectivités dans leur stratégie foncière
Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*
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