#1 04/07/2012 15h50
- Despe44
- Membre (2012)
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Avant toute chose, je tiens à référencé plusieurs liens qui traitent des investissements dans l’art, et des problèmes liés :
Marble Art Invest : une nouvelle arnaque sur les oeuvres d’art
Investir sur l’art : attention aux arnaques ?
MARBLE ART INVEST
http://www.unaf.fr/IMG/pdf/commalertemarble.pdf
http://www.20minutes.fr/economie/876668 … llionnaire
http://www.boursorama.com/patrimoine/gu … on_art.htm
Voilà, toujours en recherche de source d’investissement ingénieuse, mais aussi d’une source de revenus me permettant de vivre ma vie comme je l’entends, m’est venu une idée récemment : constituer un fonds de placement dans l’art ! Génial, non ?!
Malheureusement, mon enthousiasme a quelque peu été douché après des recherches sur notre cher Google. En effet, je constate que ce genre de fonds existe déjà, et que l’actualité de ceux-ci est plutôt tourmentée (ex : Marble Art).
Néanmoins, convaincu de l’opportunité de ce concept je me suis aventuré à réfléchir sur les intérêts d’un tel investissement.
Après quelques heures de réflexions m’est venu l’idée de "l’art papier", un peu comme des SCPI ou des fonds d’investissement dans les forêts.
Le concept pourrait être le suivant :
Pour la société de gestion:
- acquérir des objets d’art (tableaux, sculpture, livres…);
- les proposer à la location à des musées, expositions, bibliothèques;
- tirer éventuellement partie d’une plus-value à la revente.
Pour les investisseurs :
- acquisitions de part : moins chère qu’une oeuvre d’art (et une seule !), diversifiée, sans nécessité de souscrire une assurance-vie ou un support quelconque (cela est-il envisageable ?);
- ces parts pourraient produire des revenus (issus des locations), être exonérées d’ISF, présenter un potentiel de plus-value, être liquides, et permettraient de diversifier le patrimoine des investisseurs.
La décorrélation certaine avec l’évolution des marchés financiers serait un argument favorable à ce type de produit, et particulièrement en temps de crise. L’art, une valeur refuge…
Au même titre qu’une oeuvre d’art physique, il pourrait être envisageable de payer l’IR avec les titres que l’on possède.
Ce bref sommaire se veut peut être utopique. Néanmoins, un tel produit pourrait-il être agréé par l’AMF ? Exonération d’ISF et production de revenus sont-ils envisageables de manière simultanée ? Ce genre de produit existe-t-il déjà ? Est-il plausible d’acquérir ce type d’instrument en "direct" sans le nicher sur un quelconque contrat ?
La transposition internationale de ce concept ne vous semble-t-elle pas pertinente ?
Comment les musées (…) décident-il d’exposer tels ou tels biens ? Accepterez-t-il de louer un bien pour l’exposer momentanément ?
Dans l’hypothèse où ce type de produit n’existe pas encore, est-il possible de déposer un brevet "sur le concept".
Peut être que je rêve en plein jour, mais je reste persuadé que le monde appartient aux audacieux, et qu’en tentant rien on ne reçoit rien.
Merci pour vos avis, conseils, critiques et encouragements.
Cordialement,
Anthony
Mots-clés : art, diversification, fonds de placement, investisement
A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire….
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