#51 06/12/2013 00h28
- ChrisSystemique
- Membre (2013)
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Merci GoodbyLenine, je ne disais pas que si c’était compliqué c’était faux je voulais juste savoir ou prendre l’info à la source
roudoudou a écrit :
Re-bonjour,
Je ne vois même pas comment vous pouvez donner du crédit aux infos que vous tenez "d’insiders" car vous semblez indiquer qu’elles viennent de la part d’agences de la banque de réseau qui n’ont aucune vue sur la situation globale du groupe dans sa totalité. Vous devriez donc prendre un peu plus de recul.
Cordialement,
Merci pour le recul, je vous propose que l’on s’y rejoigne ^^.
je n’ai pas parlé de banque de réseau, mais de celle qui vous fourni les cotations.
Les critère s’assouplissent dans la notation, (l’éligibilité au prêt) C’EST UNE DIRECTIVE de service. Point.
Le reste me surprend assez, quoi que..
- les certitudes des certains qui me rendaient ridicule, finalement, se transforment en convictions forte, et se font sur les déclarations non pas de choses mise en œuvre mais de volonté d’un politicien, ex vice-président pour de Goldman Sachs Europe (cher à la Grêce) datant en plus d’il y a un peu plus d’un an.
Je ne suis pas investisseur confirmé, mais ça me parait léger pour me dire que je peux y placer mes billes en toute sécurité et rassurer les autres.
"Moi j’en conclus simplement que 6% de dépréciation de certains actifs (emprunts souverains, crédits immobiliers, prêts à la conso, Kerviel…) et pouf plus de capitaux propres…
L’histoire française sans remonter il y a bien longtemps est pleine de banques avec des ratios comparables, qui y sont passées. Crédit Lyonnais, Dexia, Crédit Immobilier de France. On peut certainement dire, il y a telle ou telle raison pour ces faillites. Ceci étant, avec cette fragilité de bilan, il suffirait de peu pour que les capitaux propres soient réduits à néant."
Je trouve ça très intéressant, qu’enfin quelqu’un commence à en parler.
Finalement le problème des levier est toujours là, même si au file de la discussion on est passé de c’est "complètement faux", à "je ne conclus rien du tout de ses deux chiffres (et je ne pense pas qu’on puisse en tirer quelque chose de particulier)" pour arriver à des leviers qui avec 6% de dépréciation les capitaux propres s’envolent.
Finalement au plus on creuse et au plus j’ai l’impression que ce qui était clair et dans le marbre ne l’est pas vraiment..
Je n’ai pas une "confiance absolue" dans les banques centrales. Mais je considère qu’elles ont vraiment beaucoup de moyens pour imposer à peu près tout ce qu’elles veulent
Je pense aussi qu’elles ont beaucoup de moyens, mais qu’elles n’ont pas imposé grand chose et un peu tard.
Est ce la difficulté d’une élite politique à imposer à un secteur privé des réformes qui ne les arrangent pas à cause d’une trop grande proximité?
"Si vous ne donnez pas un levier suffisament élevé par rapport aux FP a une banque, alors comment voulez vous qu’elle prete assez ?"
Pourquoi les banques ne joueraient pas avec leur levier avec autre chose que des comptes de dépôt.
Quand elle prête de l’argent elle prend des intérêts pour.
Et il me semble que vu les salaires et les dividendes qu’il en ressort, c’est plus un problème de volonté que de possibilité de rendement.
Les banques n’ont pas toujours existé et encore moins avec cette mentalité de fonctionnement donc en quoi ce mode de fonctionnent qui amène les risques que l’on paie très cher seraient indispensable?
Je rejoins aussi Seb51 sur une partie du discours.
Je comprends très bien son point de vu que je trouve trop caricaturé par Roudoudou qui voit des surnaturalistes partout ^^
Question:
Peut on ne pas avoir une confiance aveugle dans la solidité ou la volonté des banques, sans pour autant en conclure qu’elles VONT tomber.
Vous pensez que ceux qui ne pense pas qu’il y a 99% de chance que rien n’arrive comme vous, pense obligatoirement qu’il y a 100% de chance que cela arrive.
Quand à l’investissement immobilier, le constat est le même.
Parce que Seb51 ne fait pas confiance à 100% dans l’avenir du secteur financier, alors il est une personne illogique parce qu’il envisage un investissement immobilier…!
Il pense peut être qu’il y a 60/70% de chance que tout PUISSE tomber?
Cela ne l’empêche peut être pas de vivre et d’acheter sans pour autant avoir peur qu’on meurt tous? Peut être pour être au moins propriétaire et avoir un toit sur la tête sans pour autant chercher une plus value ou une rentabilité quelconque?
J’ai l’impression que l’on doit être OU pleinement confiant, OU complotiste de la théorie de l’effondrement, mais que vous n’arrivez pas à intégrer que l’on peut juste avoir envie de savoir ou l’on a les pieds tout simplement.
Et ensuite, de prendre une décision sur notre épargne, voir ne rien changer malgré tout.
Pourquoi tant de manque de nuance et de juste milieu..?
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