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#51 04/06/2018 07h32
- Bernard2K
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C’est assez affligeant de voir un premier foreumeur poser la question de la PV en SCI IR, puis un second répondre quelque chose de faux, alors que :
1) c’est hors sujet par rapport au fil que le premier a lui-même lancé (sujet = LMNP, donc possession en nom propre, pas en SCI ; la SCI IR étant particulièrement inadaptée à la location meublée)
2) l’un comme l’autre aurait pu trouver la bonne réponse à la question en 2 minutes de recherche, au lieu de poster une question HS pour le premier et une réponse fausse pour l’autre.
La réponse courte est : c’est bien la PV du particulier qui s’applique en cas de cession d’un immeuble par une SCI IR.
Pour plus de détails, Cf. notamment : SCI : le piège de la plus value immobilière. .
Il faut que tout change pour que rien ne change
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#52 17/10/2019 17h51
- sylvain0102
- Membre (2019)
- Réputation : 0
Bonjour,
Je souhaiterais avoir une confirmation ou du moins votre avis concernant la question des durées d’amortissement en LMNP, sur lesquelles j’ai eu beaucoup de mal à trouver des informations fiables.
De ce que j’ai pu lire, il n’y a pas de règle absolue sur les durées d’amortissement, cela va dépendre notamment de la nature de l’appartement ou de l’immeuble, avec nécessité d’amortir par composants, et c’est en grande partie pour cela qu’un expert comptable est nécessaire. C’est lui qui déterminera ces composants et leurs durées d’amortissement respectives. Des quelques exemples que j’ai trouvés sur Internet, j’arrive à une durée moyenne d’amortissement (sur l’ensemble de l’immeuble moins la part correspondant au terrain) de 35/40 ans.
Or j’ai une amie qui a un petit appartement, j’ai consulté sa liasse fiscale de déclaration LMNP et celui-ci est amorti sur 20 ans, ce qui me paraît très peu (mais bien sûr très avantageux) et qui correspond comme par magie à la durée de son prêt (ce qui est bien sûr pour elle très pratique et très avantageux).
Aussi j’aurais besoin des avis éclairés de ce forum sur les questions suivantes :
1) Est-ce que vous confirmez ma compréhension sur les durées d’amortissement (et notamment le fait que la durée du prêt à l’achat n’a rien à voir) ?
2) Avez-vous des exemples vécus de durée d’amortissement (en moyenne sur la globalité de la valeur amortissable de l’immeuble) que je me fasse une idée ? Et notamment des durées de type 20/25 sont elles constatées et pour quels types d’immeuble ?
3) Quelle est la responsabilité exacte de l’expert comptable dans ce cas-là ? Typiquement si je trouve un expert comptable qui accepte d’amortir sur 20 ans, et que l’administration fiscale décide de faire un contrôle fiscal, en considérant que j’aurais dû amortir sur 40 ans, est-ce que je peux légalement me retourner contre l’expert comptable ?
Merci beaucoup,
Sylvain
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#53 17/10/2019 22h15
- lachignolecorse
- Membre (2014)
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Mon EC préconise :
- 10 à 15% pour la valeur du terrain
- amortissement sur 30 ans pour le l’ancien
- amortissement 40 ans pour du neuf.
Il gère 200 lmnp et a été contrôlé l’an dernier sans souci.
L’EC a un standard auquel vous devez adhérer pour les amortissements. Dans le cas où le client demande à réduire l’amortissement, c’est le client qui prend la responsabilité.
Faire et laisser dire
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#54 17/10/2019 23h27
- Ernest
- Membre (2017)
- Réputation : 103
1) oui
2) Sur un investissement pour du locatif nu, mon comptable préconise un amortissement sur 15 ans, sans autre forme d’argumentation que celle-ci "en général on choisit une durée d’amortissement égale à la durée du financement". Il n’y a pas non plus de décomposition en terrain / bati / équipement. En LMNP il y aura bien sûr les meubles.
3) C’est bien sûr votre responsabilité qui est engagée en cas de contrôle fiscal, c’est donc à vous de contrôler les durées d’amortissements. Plus la durée d’amortissement est courte, plus l’administration fiscale sera vigilante.
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#55 18/10/2019 01h51
- lachignolecorse
- Membre (2014)
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Ernest a écrit :
2) Sur un investissement pour du locatif nu, mon comptable préconise un amortissement sur 15 ans,
Vous pouvez nous indiquer un texte qui autorise cela?
Faire et laisser dire
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#56 18/10/2019 07h11
Je ne fais pas de LMNP pour ma part, mais me permet d’intervenir ici sur les amortissements :
Gérant de plusieurs sociétés, quand j’investis, je fais un point au moment du bilan avec l’EC pour déterminer les durées d’amortissement :
Exemple typique les voitures : l’EC préconise 5 ans pour du neuf et 4 pour de l’occasion (avec un plafonnement de value en fiscal d’ailleurs ce qui n’est pas le sujet). Dans les faits, on fait plutôt comme on veut sans incidence : je mets souvent 2 ou 3 ans sur des occasions, quand il s’agit de voitures qui finiront ensuite à la casse et qui correspondent par expérience à leur durée réelle d’exploitation dans la société.
A contrario, j’étire (raisonnablement) la durée pour limiter la PV sur VNC quand je pense à une revente à son terme.
Vous aurez compris que je pense qu’une certaine élasticité est tolérée du moment qu’elle se justifie dans les faits. De par son mécanisme de taxation de Pv, je pense aussi que le sujet est d’un intérêt faible pour le fisc en cas de contrôle.
Profiter de ne rien foutre….
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#57 18/10/2019 08h32
- Bernard2K
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La question de la durée applicable à l’ensemble du bien immobilier ne se pose même pas, puisqu’il est obligatoire d’amortir par composants, dès lors que l’actif immobilisé a des parties qui s’usent sur des durées différentes, et que chacun de ces composants a une valeur significative.
C’est une obligation qui a été vulgarisée par l’instruction fiscale du 30/12/2005. Celle-ci nous dit que cette obligation d’amortissement par composants découle de "la modernisation du plan comptable général entreprise par le Comité de la réglementation comptable qui a adopté deux règlements n° 2002-10 relatif aux amortissements et aux dépréciations des actifs et n° 2004-06 relatif à la définition, à la comptabilisation et à l’évaluation des actifs."
Pour la culture générale : l’amortissement a été instauré en France par la loi de finances de 1917. Comment était-ce avant ? Une entreprise qui investissait massivement l’année N était-elle obligée d’inscrire un énorme déficit cette année-là ? Ou bien l’amortissement était-il déjà pratiqué, mais sans reconnaissance légale ?
Il faut que tout change pour que rien ne change
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1 #58 18/10/2019 09h22
Même parmi les EC qui pratiquent bien l’amortissements par composant, les durées d’amortissement retenues pour chaque composant sont dans la pratique variables d’un EC à l’autre.
Parmi certains investisseurs avec qui je suis en contact qui font du LMNP à rendement élevé, j’en vois certains comparer (et même avoir réalisé un véritable benchmark) pour choisir leur EC sur le critère "celui qui pratique les amortissements les plus courts" afin de ne pas se retrouver en bénéfice comptable trop rapidement à leur goût..
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#59 18/10/2019 09h34
- Trahcoh
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Enfin 15 ans d’amortissement moyen en immobilier, même en hôtellerie ou air bnb, il faut quand même pas mal de culot pour les justifier.
Pour une tente ou la maison en paille des 3 petits cochons, pourquoi pas.
“Time is your Friend, Impulse is your Enemy.” John Bogle
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#60 18/10/2019 09h42
- skepalm
- Membre (2016)
- Réputation : 22
Bonjour,
L’amortissement est une méthode de dépréciation forfaitaire. Par conséquent, il n’est pas réellement représentatif de la réalité.
Et ce d’autant moins que pour les TPE, on amortit sur les durées d’usage (et non réelle) et sans tenir compte de la valeur résiduelle.
Il y a donc une certaine latitude dans les taux retenus et ce d’autant plus que la décomposition de chaque bien va être différente en fonction de leurs spécificités (immeuble, maison, bord de mer, récent, ancien…).
De mémoire, la décomposition fournie par le BOFIP conduit à un amortissement moyen de 3,33 % par an.
A mon sens, en restant dans une fourchette +/- 0,5 %, le risque fiscal est très faible (pour un bien de 1 000 K€, le delta annuel serait de 5 K€ / an. Pas de quoi rentabiliser le contrôle!).
Pour ma part, je suis plutôt sur 20 % pour la valeur du terrain pour les appartements (j’ai relevé mes estimations suites aux jurisprudences parisiennes). Pour les maisons, je pense que l’on pourrait monter facilement à 40/50 % vu les valeurs des terrains dans les grandes métropoles.
Pour l’amortissement, je pratique environ 3,6 / 3,9 % par an.
Ps: Mettre en cause l’expert comptable en cas de mauvais conseil OK, mais qu’elle récompense prévoir en cas de bon conseil?😊
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#61 18/10/2019 10h13
- Trahcoh
- Membre (2014)
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En cas de bon conseil, et après avoir épuisé toutes les autres solutions possibles, une récompense envisageable serait peut-être de payer l’expert comptable.
En cas de conseils contraires aux recommandations de l’administration fiscale, comme l’amortissement immobilier sur 15 ans soit 6,66 % par an cité plus haut, j’envisagerais un autre type de paiement.
“Time is your Friend, Impulse is your Enemy.” John Bogle
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#62 18/10/2019 10h23
- skepalm
- Membre (2016)
- Réputation : 22
Je crois surtout que la meilleure attitude est de travailler avec les bons et de fuir les mauvais.
Et aussi, de prendre ses responsabilités…
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#63 18/10/2019 12h59
- Ernest
- Membre (2017)
- Réputation : 103
lachignolecorse a écrit :
Ernest a écrit :
2) Sur un investissement pour du locatif nu, mon comptable préconise un amortissement sur 15 ans,
Vous pouvez nous indiquer un texte qui autorise cela?
Non, mais le premier exercice n’étant pas encore validé, je ne manquerai pas de l’interroger à ce sujet… et vérifier ainsi la conformité avec la documentation fiscale disponible.
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#64 18/10/2019 15h38
- sylvain0102
- Membre (2019)
- Réputation : 0
Bonjour et merci à tous pour vos réponses.
Quant à la "récompense" de l’EC, je rejoins Trahcoh pour penser que je le paie pour un travail et que le minimum est bien qu’il applique des durées d’amortissement cohérentes et en ligne avec la législation fiscale.
Et j’ai également posé la question de la responsabilité de l’EC à un ami qui termine de passer son diplôme d’EC, il me confirme que l’EC a une responsabilité (et une assurance associée) en cas de mauvais conseils conduisant à un redressement fiscal pour son client. La seule exception, c’est si un cas est exclu dans la lettre de mission de l’EC.
Evidemment, le seul responsable vis à vis de l’administration fiscale en cas de contrôle, c’est bien le contribuable, mais il y aurait dans ce cas possibilité de se retourner contre l’EC quant aux conséquences pécuniaires de ce contrôle.
Donc pour lui, il serait envisageable d’amortir sur 20 ans si c’est l’EC qui le préconise et que la lettre de mission n’écarte pas sa responsabilité sur ce point.
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1 #65 15/03/2020 14h04
- sotigui
- Membre (2019)
- Réputation : 11
Bonjour,
Je ne suis pas en LMNP mais en SCI à l’IS et ma comptable a amorti mon immeuble sur 20 ans après avoir estimé le terrain à 10% (l’immeuble se trouve en région lilloise).
Je lui ai demandé pourquoi elle n’avait pas fait un amortissement par composant. Elle m’a répondu que ce qu’elle avait fait est conforme aux règles du fisc (sans plus de détails).
Après différentes lectures sur ce forum et ailleurs, ci-dessous mon point de vu.
Le risque d’abus est limité en SCI à l’IS, car les amortissements ne sont pas réintégrés dans l’assiette de la plus-value (prix de vente - valeur nette comptable). Ce qu’on gagne en amortissant, on le perd en plus-value. En accélérant l’amortissement, on accélère la plus-value ==> peut-être moins sujet au contrôle fiscal.
Autre point, le principe d’un amortissement par composant ne me choque pas, mais graver les durées dans le BOFIP me parait antinomique au principe même de l’amortissement.
BOFIP - Méthode par composant
Je m’explique.
Pour un nouvel immeuble ==> ok.
Pour un immeuble ancien, acheté 20 ans après sa construction, sans travaux de rénovation (par exemple) cela revient à mettre le compteur à zéro, tout en sachant que le précédent propriétaire l’avait déjà amorti pendant 20 ans. La logique voudrait donc que le nouvel acquéreur l’amortisse sur la durée restante.
Toutefois étant gérant de la SCI et n’étant pas certain de continuer à travailler avec cette comptable (pour d’autres raisons), j’essaie de trouver un ensemble de justificatifs en cas de contrôle dans le prochaines années:
1/ La durée du prêt est sur 20 ans. Il semblerait que l’argument "durée d’utilisation = durée du prêt" soit accepté par le fisc.
2/ Faire une décomposition par composant et faire en sorte que la durée moyenne d’amortissement soit 20 ans et voici un exemple de décomposition :
Gros œuvre : 30ans 40%
Façades, étanchéité : 20ans 20%
Installation Générale et Technique : 15ans 30%
Agencements : 15% 10%
Avec cette répartition, sur les 15 ans premières années, l’amortissement calculé correspond à ce qu’on obtient en faisant un amortissement linéaire de l’ensemble sur 20 ans.
Bien évidement dans le cas 2, il sera question d’expliquer que l’on ne respecte pas exactement les durées du BOFIP compte tenu de la vétusté des différents composants.
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#66 15/03/2020 17h59
- lachignolecorse
- Membre (2014)
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Je suis en lmnp, pas en sci is mais je pense que ça n’a pas d’incidence. Mon EC n’utilise pas la méthode par composant. Il a été contrôlé et n’a pas de remarque sur ce point. Par contre, les durées d’amortissement sont de 30 ans sur l’ancien et 40 ans sur le neuf (réduction faite de 15% pour le terrain). Si vous comparez cette simplification par rapport à la méthode des composants que vous citez, vous trouverez un écart de quelques pourcents entre les 2 méthodes.
Mon EC gère plusieurs centaines de lmnp donc je pense que sa méthode est valable. Dans le cas d’une sci is, je ne vois pas trop l’intérêt de faire autrement.
Comme vous le mentionnez, le fisc viendra vous poser des questions s’il y a un écart de rentrées fiscales entre la méthode classique (composants) et celle que le contribuable/EC aura choisi. Par exemple, je considère comme exemple répréhensible la vente du bien et un amortissement sur une durée (trop) courte. C’est surtout flagrant sur un lmnp, moins sur une sci is. Bref, seul un calcul au cas par cas peut vous indiquer l’intérêt d’un contrôle fiscal.
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#67 22/03/2020 14h54
- Maveryck
- Membre (2017)
- Réputation : 10
Bonjour,
je rebondis sur le premier message du fil de discussion
blacked a écrit :
b/ La méthode par composant est-elle adaptable au bien ? Exemple comment gérer l’amortissement de la partie du bien concernant la façade (5 à 20% pour une durée de 20 à 50 ans) lorsqu’on l’on compte faire un ravalement (ou qu’on s’attend à ce que la copropriété le vote 1 ou 2 ans après).
En plein bilan d’activité LMNP sur 2019, je me pose également cette question : dans les amortissements, comment prendre en compte un ravalement après 2 ans d’activité LMNP ?
En quelques chiffres :
- Sur le composant "Second œuvre (Façades, étanchéité, couverture, menuiseries extérieures), VNC à fin 2018 d’environ 19 000€ lié à la décomposition du bien lors de l’achat en 2017 (15% du montant total, hors terrain, sur 25 ans)
- Ravalement de 15 000€ en 2019 pour isolation extérieure, peinture façade, remplacement des menuiseries extérieures
La solution que j’identifie est la suivante :
- Passer le montant du ravalement en charge avec une durée d’amortissement de 25 ans sur le composant Second Oeuvre
- Diminuer (ou mettre au rebut) une fraction (50% par exemple) de la VNC restante, ce qui revient à "perdre" cet amortissement
En faisant cela, je considère que les travaux ont engendré le renouvellement d’une partie des éléments du Second Oeuvre (tous les éléments composants le Second Oeuvre n’ont pas été remplacés, ex : couverture, étanchéité, toiture, etc…) et une partie qui vient augmenter la valeur du bien (isolation extérieure)
Est-ce que ce raisonnement vous parait cohérent ?
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