BorderLine a écrit :
Enfin, pour revenir sur la natalité, expliquez moi ce qu’on fera quand la France sera aussi peuplé en densité qu’un Japon ? On met les vaches dans des buildings? On enterre les déchets sous les champs agricole? On boit l’eau de notre urine?
Les japonnais mettent ils leurs vaches dans des buildings? Grace au tsunami, on a pu pu voir qu’ils avaient aussi chez eux la campagne et les zones résidentielles; le cas de tokyo est celui des grandes villes!
Ceci étant, meme avec une population vieillissante, le Japon était encore l’an dernier la 2ème économie mondiale!
En ce qui concerne la "multiplication des pauvres", un enfant, ayant des parents pauvres, est il condamné à le rester? Gageons que les riches (ou intelligents), du jour au lendemain n’aient plus d’enfant; ils n’auraient donc aucuns remplaçants sur terre?
Un cerveau reste un cerveau, et quelque soit la richesse, nous sommes fait pour nous compléter: un pour inventer la machine, un autre pour la construire (la machine ne sert à rien sur les plans); et beaucoup de notions essentielles au quotidien ne demandent pas de connaissances particulières.
Pour la fiscalité: une réduction d’impôts grâce à la parentalité, oui, car être parents est un métier, et pas des plus faciles; pour peu qu’on le prenne au sérieux! Grace, ou à cause de celui ci, on a moins de temps que les "privilégiés" célibataires sans enfants, qui peuvent bosser leurs investissements ou avenir.
Pour la question de la fiscalité; celle ci devient un problème lorsqu’elle est une incitation à l’action, comme pour un investissement locatif; mais peu de personnes font des enfants pour la fiscalité (même si cela existe)!
Argent ou pas, les personnes modestes font beaucoup d’enfant, et ce partout sur terre!
Reste à savoir si la question se pose vraiment, l’impact réel sur la fiscalité française, et notre pouvoir face à cela, parce que d’ici peut, il n’est pas exclu que nous arrivions à parler de la fiscalité avantageuse des assistantes maternelles .
N’y voyez pas d’attaques, mais lorsque l’on privilégie les sentiments sur la réflexions, les décisions prises sont d’une part temporaires et par là même facilement manipulables.
Je parle au nom des parents, en réponse aux indignés, et en privilégié plus sur le plan émotionnel que fiscal.
Celui qui meurt de honte meurt de faim _
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