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#1 23/04/2020 10h06
- drosx
- Membre (2019)
- Réputation : 4
Bonjour à Tous,
Je suis sur le point de signer un compromis de vente d’un immeuble (commercial et habitation). En discussion depuis janvier avec le vendeur. Nous nous sommes entendus récemment. Le COVID est arrivé entre temps. J’en profite pour bien ficeler pour mon dossier d’emprunt de 350k€ sur 13 ans.
Du coup, cette crise m’a aussi fait réfléchir sur ma gestion d’ensemble de mon patrimoine.
Je souhaite éventuellement retrouver, si cela existe, des rapports humains dans mon lien avec une banque. je suis prêt à tout centraliser chez elle, placer 100k€, domicilier les comptes courants, prendre les assurances des locaux commerciaux actuels chez elle au besoin etc..
Mais, je ne veux pas me retrouver avec des conseilles bancaires (désolé si certains d’entre vous en font partie..) de 30 ans qui tournent tous les 2 ans et qui n’ont jamais rien risqué dans leur vie…
Idéalement, j’aimerais une relation de confiance pour les prochains achats. Celui actuel va générer quand même 13% et devrait pouvoir être très rentable. J’aimerais aussi simplifier mes démarches d’achat et arrêter la course aux dossiers comme quand j’étais plus jeune, quitte à avoir un taux d’intérêt plus important.
Mon parcours d’investisseur autodidacte m’a amené à fuir ces banques commerciales comme la peste ces 15 dernières années. Aujourd’hui, je voudrais aussi faire mon emprunt chez quelqu’un qui propose un vrai service sur le long terme. Sans compter que je risque doucement de faire des opérations de marchand de biens à l’avenir et que j’attends de nouveaux revenus mensuels (donation) d"ici 2 ans …
Qui doit-on voir ?
- Une banque privée (c’est plutôt pour du capital à investir..)
- Une banque privée régionale
- Une banque de réseau classique en demandant à avoir un interlocuteur stable (directeur ?)
- Personne, je rêve :-)
- Autre ?
Merci de me dire si je suis utopique.
Prenez soins de vous,
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3 #2 23/04/2020 10h15
- kiwijuice
- Membre (2014)
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Un conseiller de bon niveau coûterait 80k€ de fixe hors charge.
Son poste devrait coûter avec les charges et les frais fixes (loyers, services recherche, conformité, origination, coût du capital…) disons 400k€ par an.
Avec une marge de 20% typique du private banking, il faut des revenus de 500k€.
Ce conseiller parfait aurait 50 clients pour bien vous servir.
Il faudrait donc que vous généreriez 10k€ de revenus par an pour ce conseiller de la Banque Parfaite.
Vous en êtes loin et c’est pour cela que vous avez le bal des conseillers à admirer.
Dirige un cabinet de CGP - triple compétence France / Suisse / UK
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#3 23/04/2020 10h28
- amoilyon
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drosx a écrit :
Qui doit-on voir ?
- Une banque privée (c’est plutôt pour du capital à investir..)
- Une banque privée régionale
- Une banque de réseau classique en demandant à avoir un interlocuteur stable (directeur ?)
- Personne, je rêve :-)
- Autre ?
- Pas d’expérience la dessus
- Banque régionale : Je pensais avoir trouver LA conseillère qui me suivrait sur toute ma vie d’investisseuse, celle qui m’a suivie depuis ma majorité, et j’ai reçu ceci le mois dernier :
Ma banquière a écrit :
Mar 17/03/2020 17:30
Bonjour Madame,
J’espère que vous allez bien en cette période très spéciale…
Je voulais vous annoncer que je vais quitter le crédit Mutuel *************** prochainement, après 14 années de bons et loyaux services…
Je vais bien entendu être remplacée.
J’ai été ravie d’avoir été votre conseillère pendant toutes ces années , idem pour votre conjoint.
Vous lui transmettrez l’info et mes amitiés à tous les 2 !
Je vous souhaite bonne continuation dans vos projets
Bien cordialement
***********
On ne peut pas forcer les gens à rester à leurs postes et dans leurs fonctions toutes leurs vies…
Il y a des évolutions de carrière, des déménagements, des congés maternité long cours, …
On va devoir découvrir le remplaçant et devoir expliquer tout notre dossier. ( J’ai demandé à changer de banque pour suivre ma conseillère, pas eu de retour sur ce point ).
- Banque réseau classique
Société Générale dans notre précédent département : 3 directeurs depuis 2012. Bon feeling avec la première, bon feeling avec le second, et la troisième qui ne nous suit pas personnellement, ne s’est jamais présentée, on est dans les mains d’une jeune " conseillère en gestion de patrimoine" avec une expérience de moins de 1 an ( catastrophique…). On pense clôturer les comptes. On a l’impression de parler à une coquille d’huître, il faut TOUT ré expliquer à chaque entretien. Et elle a le syndrome de " Oui oui", elle hoche la tête, répète toujours " oui oui" et jamais eu d’actions qui ont suivies.
Société Générale ici : Déjà second interlocuteur depuis 2017. Pas de soucis pour l’instant.
Courage pour votre recherche
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#4 23/04/2020 11h45
- gunday
- Membre (2011)
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Top 20 Immobilier locatif - Réputation : 411
j’avais la blague du changement de conseiller dans la banque des agriculteurs, c’était hallucinant et fatiguant.
j’y allais environ tout les 2 ans, et j’avais à chaque fois un conseiller différent.
Usant, surtout quand il faut ré-expliquer à chaque fois.
Là dans la banque populaire (enfin une filiale régionale), j’ai la même conseillère depuis plus de 5 ans, et vu qu’elle est du coin, ça devrait rester stable.
C’est une "simple" conseillère, et quand il y a plus compliqué (assurance vie, emprunt SCPI, etc), elle invite un collègue à l’entretien.
Ca a le mérite d’assurer le suivi et de stabiliser la relation sur la durée.
Après, il n’y a pas de garantie sur la durée, mais comme dit, une personne peux changer d’emploi, déménager, etc.
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1 #5 23/04/2020 11h57
- SeptiemeVague
- Membre (2013)
- Réputation : 12
Essayez axa banque via un agent général.
Vu que c’est ça propre boutique, vous aurez la stabilité que vous cherchez.
Je travaille avec un agent qui a ouvert son agence il y 12 ans.
Vous ne trouverez que très rarement une telle longévité auprès d’un salarié bancaire.
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#6 23/04/2020 19h11
- chuck
- Membre (2013)
- Réputation : 0
Bonjour,
Pour notre cas, suite à un rachat, nous sommes partis chez Tarneaud.
Les conseillers gèrent 2x moins de clients que les banques "classiques".
De plus, tous les conseillers sont formés ou ont des bases en AV, SCPI….
Il est donc plus simple pour parler projets et investissements….
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2 #7 23/04/2020 20h14
- AntS
- Membre (2020)
- Réputation : 2
Conseiller en agence dans une banque régionale j’ai quelques clients qui m’ont suivis lors de mon changement d’agence, la gestion se fait à distance.
Si un conseiller vous convient demander à savoir où il va et suivez-le !
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#8 23/04/2020 23h47
- zappaty
- Membre (2017)
- Réputation : 60
Je crois surtout que votre recherche ne peut se régler via un forum, car il y a autant de situations que de participants.
L’un vous dira que sa banque à tel endroit est bien, mais l’autre vous dira que non ce n’est pas top…
Gunday nous indique qu’il voyait au crédit "patate" un bal de conseillers réguliers.
A l’inverse, j’y suis aussi, pas de changement de conseillers tous les 2 ans, un suivi que je trouve top, les lignes directes des responsables pour les dossiers plus techniques qui rappellent toujours sous 24H…
Vous ne trouverez pas de réponse ici, car vous cherchez de "l’humain". Je dirais même plus, vous cherchez la BONNE personne.
Et ça… Hormis avec du bouche à oreille, et surtout de la chance, je ne connais pas d’autres moyens de trouver la perle rare.
A vous lire,
Zappaty
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#9 24/04/2020 00h18
- Woyal
- Membre (2019)
Top 50 SCPI/OPCI - Réputation : 91
Dans l’ouest de la France, chez l’écureuil j’ai la même conseillère depuis quelques années et chez les fermiers je dois en être au 3ème depuis 2017 (changement durant le confinement). Les deux précédents étaient clairement incompétent dès lors qu’on dépasse le livret A. Plusieurs mails à envoyer pour annuler des frais non justifiés etc. Si j’y suis encore c’est uniquement pour une question de purge de PV sur mon AV. Seul point positif, leur espace client à l’air de mieux marcher depuis le changement ce qui permet d’être un peu plus autonome car avant à la moindre démarche "veuillez contacter votre conseiller(e)".
De toute façon ça dépend de l’endroit, de son interlocuteur qui représente la banque auprès du client etc..
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[+1 / -1] #10 24/04/2020 00h22
- FCP
- Membre (2011)
Top 20 SCPI/OPCI - Réputation : 104
A quoi vous sert ce genre de conseiller ?
Tout ceux que j’ai rencontré étaient au mieux incompétents, au pire des vendeurs d’AV à 4% de frais.
Autant éviter de perdre son temps avec eux non ?
Cela doit faire 10 ans que je n’en ai pas rencontré un.
Mon code parrain Corum : X2BNTB
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1 #11 24/04/2020 12h44
- Caratheodory
- Membre (2019)
Top 50 Dvpt perso.
Top 50 Monétaire
Top 50 Finance/Économie - Réputation : 166
Les conseillers bancaires sont utiles au particulier pour l’épargne réglementée et les emprunts immobiliers . C’est déjà beaucoup. Pour beaucoup de ménages, il est à peu près inutile d’aller chercher des placements plus compliqués que l’épargne réglementée, un petit peu d’AV et l’achat de RP pour avoir une situation financière saine sur le long terme. Saine signifie que les dépenses sont inférieures ou égales aux revenus et que le patrimoine a une valeur positive.
On peut être parfaitement heureux ainsi. Le savetier de la fable est plus heureux que le financier. Ce n’est pas l’unique façon d’être heureux mais c’est sans doute la plus simple et combien de gens parfaitement respectables y aspirent et y ont aspiré!
Dans IH, la lettre importante est H. Bien sûr si on commence à avoir de la marge, à vouloir faire du I, le conseiller bancaire standard de la banque de réseau ne suffit plus.
Si un particulier n’a pas une situation saine, c’est différent, le conseiller bancaire est l’un des premiers harceleurs qui lui appuient sur la tête. Ensuite viennent l’huissier, le juge, le gendarme, etc…. Le conseiller bancaire est alors utile comme est utile la douleur qu’on ressent quand on met sa main dans le feu et qui incite à la retirer avant qu’elle ne devienne viande grillée.
Personnellement, j’ai toujours été dans une situation saine et mes parents avant moi. Quelques années ont été sans marge. Ça n’a pas été toujours le cas de mes grands-parents et des générations précédentes qui etaient paysans mais si je comprends bien comment ils raisonnaient (raisonnement qui m’a été transmis) le premier objectif était d’avoir une situation saine et je ne les ai jamais connus autrement. La caisse d’épargne -voire le crédit agricole- semble leur avoir été d’une grande aide. De même, le conseiller bancaire m’a été très utile comme courtier en prêts et en produits d’épargne réglementés. Evidemment ce sont les dossiers de crédit ou la valeur ajoutée est la plus grande.
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[+1 / -1] #12 24/04/2020 22h21
- vincmoh
- Membre (2019)
- Réputation : 2
Un conseil (si vous êtes dans les 99% du patrimoine moyen ) = c’est VOTRE argent donc ne faites confiance qu’à vous même. Le bien mal-nommé conseiller bancaire n’est qu’un employé qui n’a d’intérêt que pour finaliser des actes techniques/juridiques que vous ne pouvez que réaliser avec la banque (épargne réglementé, emprunt immobilier ou pret bancaire). Pour le reste et en particulier les placements = fuyez! (et (auto)formez-vous … ). Ils n’ont le plus souvent qu’une formation très sommaire et ne sont intéressés uniquement que par leur petite commission à gratter… Intérêt = NUL! (d’ailleurs, les réseaux bancaires généralistes l’ont bien compris et vont sans doute accélérer leur mutation en supprimant 25% de leurs sites).
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[+5 / -1] #13 24/04/2020 22h55
- Caine
- Membre (2018)
- Réputation : 70
Je suis effaré par les réponses que je lis ici, et par les généralités que vous pouvez faire.
Je travaille en banque, je compte donc parmi ces conseillers ayant "une formation très sommaire" et évidemment "intéressé uniquement par mes petites commissions à gratter".
Je pense que vous vivez dans un autre monde, mes collègues sont globalement d’excellents généralistes, ayant une connaissance relativement poussée des marchés financiers, et capables de répondre à la quasi totalité des questions qui leur sont posées. Nous avons tous une formation bac +5, et nous avons la possibilité de nous spécialiser auprès d’experts dédiés (anciens traders notamment).
Les unités de compte les plus commercialisées dans notre agence sont… des trackers… alors non, le bon conseil passe avant la petite commission.
Par ailleurs, et je vous l’apprends sans doute, nous sommes largement plus objectivés sur la relation client, et la qualité de celle-ci, que sur les éventuelles ventes que nous pouvons faire.
Bien évidemment, l’objectif de chacun est d’évoluer, et passer en agence est avant tout un tremplin, nous restons entre 2 et 4 ans en poste, comme la plupart des salariés cadres du privé en fait… Donc je ne vois pas ce qu’il y a de choquant… La relation de confiance est normalement maintenue dans la durée, car les passations sont très bien assurées, et, avant de reprendre un fonds de commerce, nous échangeons largement avec le conseiller précédent.
Je vous invite donc à ne pas avoir de préjugés, et à sonder différentes banques. Vous serez probablement heureusement surpris.
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1 #14 25/04/2020 11h48
- Spotlight
- Membre (2020)
Top 20 Entreprendre - Réputation : 68
Il convient de faire des distinctions en fonction des profils et des besoins de chacun, et s’abstenir de toute généralité.
Tout d’abord, comme l’a rappelé Caratheodory, tout le monde n’est pas un investisseur, loin de là, et tout le monde n’a pas le souhait de s’intéresser à ces sujets (même si, à mon sens, cela est une erreur). Dès lors, le contact avec un chargé de clientèle, notamment pour l’ouverture de produits d’épargne réglementée, au-delà de son caractère obligatoire, pourra être apprécié
Si, pour des investisseurs avertis, tout ceci peut se faire via des banques/courtiers en ligne, et donc sans qu’il n’y ait lieu d’avoir de contacts avec un chargé de clientèle, cela n’est valable qu’à la condition d’investir directement en bourse ou sur des assurances-vie.
Si drosx a ouvert cette file, c’est qu’il souhaite être accompagné d’un chargé de clientèle/CGP pour réaliser des investissements locatifs. Certes, le financement d’investissements locatifs sera possible auprès de banques en ligne, il n’en demeure pas moins qu’il faudra absolument "rentrer dans des cases", et que pour tout dossier qui sortira de l’ordinaire ce n’est même pas la peine d’y penser.
Travailler avec un chargé de clientèle/CGP est dès lors obligatoire lorsqu’on investit dans l’immobilier. Si la réalité des chiffres (revenus, taux d’endettement, rentabilité du projet, etc …) sera décisive, je ne peux m’empêcher de penser (peut être naïvement, d’ailleurs) qu’une bonne relation avec son chargé de clientèle/CGP permettra de faciliter l’obtention dudit financement. Partant de là, cette relation ne pourra être bonne que si elle s’inscrit dans la durée.
Bien évidemment, il ne faudra jamais aveuglement faire confiance à ce conseiller, et toujours garder en tête qu’il travaille dans l’intérêt de son employeur : la banque. Cela ne veut pas dire qu’il va essayer de vous « plumer », et n’empêche nullement de « travailler avec lui » pour l’obtention du financement.
Toutefois, comme certains l’ont déjà rappelé, les évènements de la vie pourront faire que cette personne soit amenée à évoluer/déménager, et, à mon sens, vous ne pourrez (malheureusement) jamais avoir la certitude qu’elle restera votre interlocutrice sur une longue période.
Éventuellement, il est possible de sonder des amis/connaissances, qui traitent avec un conseiller (compétent) en poste depuis de longues années, et demander à travailler avec lui, mais, là encore, aucune certitude qu’il reste à son poste.
"L'expérience est une lanterne que l'on porte sur le dos et qui n'éclaire jamais que le chemin parcouru" - Confucius
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1 #15 30/04/2020 12h44
- drosx
- Membre (2019)
- Réputation : 4
Merci à tous pour vos avis. Il y a toujours des pistes à explorer et des ressentis à prendre en compte. Je suis toutefois conscient qu’il n’y a pas une piste unique.
Ces 20 dernières années, j’ai cumulé un bon million d’euros d’emprunts sur 6 dossiers différents entre mes achats et reventes de fonds de commerces, de murs, maisons…..
Le tout avec une situation qui n’était jamais dans les cases. (Saisonnier et indépendant, achat/revente fréquent de Résidence principale, déménagements géographiques nombreux puis maintenant une rente d’invalidité…
Je remercie Spotlight pour son analyse car effectivement, j’ai besoin d’un conseiller à l’écoute. Mes atouts sont mes 3 locaux commerciaux payés et un parcours à "succès" dans l’immobilier et les commerces. Mais cela risque d’être insuffisant pour la plupart des banques il va falloir le défendre.
Merci kiwijuice pour l’information du coût d’un conseiller dédié.
Merci SeptiemeVague et chuk pour les pistes.
Merci AntS pour l’idée de suivre un conseiller qui part. J’en ai un en tête et je n’y avais pas pensé..
Merci zappaty effectivement, Je cherche LA BONNE et cela est personnel.
FCP
A quoi sert ce conseiller ?
Pouvoir avec le temps montre patte blanche plus facilement et plus rapidement sans tout refaire
Et redevenir plus humain dans mes démarches…
Caine
Merci de nous démontrer que les conseillers peuvent être à l’écoute et formés. Cela remonte le moral.
Concernant mon projet d’acquisition d’immeuble, Je prévois de revendre directement l’appartement à l’étage pour passer de 9% à 13% de rentabilité sur les deux locaux du bas. Je sais que les banques n’aiment pas trop ces actions car plus un investissement est "tordu", moins ils y croient. Pourtant, tout est bien calculé et l’appartement sera revendu à 30% en dessous du marché dans mes calculs. Il me resterait après revente une mensualité de 1200 euros/mois pour un loyer total des 2 locaux de 2000€ sur 12 ans.
Le tout à 600 mètres de l’océan dans une station balnéaire hyper dynamique et un emplacement numéro 1.
D’autre part, Je prévois la revente de ma résidence principale avec plus-value 200k€ que je voudrais investir directement en marchand de bien et mettre mon boulot de négociateur de côté. Je vais donc étudier la piste de banques privées plus sensibles à ces démarches. Je ne vais en parler au conseiller bien sûr mais c’est pour vous expliquer ma démarche…
Je signe semaine prochaine et repars en quête. Je vous tiens informés !
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