SCI : créer sa propre rémunération avec une SCI ?

Ma SCI est soumis L’IS.
Concernant l’associé il n’y a aucun problème.
Je ne sais donc pas quel montage faire pour se rémunérer sans se faire "allumé" niveau taxation…

Bonjour, Merci de vos réponses.

Non pas de société domiciliée à l’étranger, quel serais l’intérêt ? Comment procédée ?

Intéressant …

Bon tanpis pour ca , alors des avis concernant une rémunération avec le gain occasionnée lors de location d’appartements ?

D’ou l’interet de ma question !
Une rémunération = salaire , et ma question est comment se créer une rémunération sans se faire "allumé" avec toutes ses charges

Merci bien.

Auriez vous un exemple concret a me fournir ? avec des chiffres en exemple svp

Si tu as 120e a me filé pourquoi pas, sinon je vois pas bien l’intérêt de ta visite sur ce forum si c’est pour conseiller des livres, a moins que tu ne soit l’auteur …

A défaut d’investir 120 euros dans un livre sur les SCI, peut être est il disposé a investir 15 euros dans un besherelle ?

Bonjour, à ceux qui prônent l’usage de la SCI pour ne presque plus payer d’impots, ou d’acheter à credit des immeubles de rapports avec plein de travaux.
Est ce que vous vous versez un salaire de votre SCI, dividendes ? j’imagine plus les dividendes qui sont taxés à 30%.
Ceci dit, en imaginant qu’on veuille sortir 100 000e de dividendes chaque année, ça fait quand meme 30 000 e d’impots.
Et je ne comprends pas le discours de faire des travaux importants pour amortir, le prix des travaux, c’est quand vous qui les payer (ou à credit), moyennant une baisse d’impots, je ne vois pas en fait , ce que vous gagnez chaque mois.
Je ne sais pas si ma question est claire, mais en gros, supposons que vous ayez un million d’euros de patrimoine en sci, combien vous prenez chaque année de cette sci pour vivre ?
Je parle de l’hypothese de quelqu’un qui vit de l’immobilier uniquement.

Et je ne comprends pas le discours de faire des travaux importants pour amortir, le prix des travaux, c’est quand vous qui les payer (ou à credit), moyennant une baisse d’impots, je ne vois pas en fait , ce que vous gagnez chaque mois.

Avec SCI IR ou pas SCI c’est une stratégie en revenus foncier.

Si vous avez 150k à investir c’est plus rentable fiscalement de les investir sur un projet avec travaux.

Si X = charges communes au deux situations.

Sur un immeuble à 150k qui rapporte 15k annuel, vous êtes imposable sur 15k - X.
Sur un immeuble à 100k + 50k de travaux qui rapporte 15k annuel, vous êtes imposable sur 15k - 50k - X.
Donc vous créez du déficit et vous n’êtes pas fiscalisés pour la même somme dépensée.

Quelques éléments de réflexion :
    - si vous avez des droits à indemnisation par pôle emploi (ce qui est probable si vous avez perdu votre emploi après 30 ans comme salarié, sauf à avoir démissionné sans projet précis), pourquoi ne pas vouloir les utiliser (certes, il faudra "rechercher activement un emploi", mais monter une autre activité rentre aussi dans ce cadre); êtes-vous inscrit à pôle emploi ?
    - il existe une multitude de possibilité pour vous créer une activité professionnelle (car c’est bien de ceci que vous parlez, non ?) en gérant un parc immobilier plus ou moins grand (ce que vous savez déjà un peu faire), comme par exemple celles que vous avez listées (par ex. gérant de SCI avec rémunération pour ce rôle), ou d’autres (comme LMP, en faisant de la location meublée, ce qui ne nécessite pas forcément de créer une société, et ce pour quoi une SCI est très mal adapté), et vous pouvez en cumuler plusieurs (ainsi : je suis LMP, je perçois aussi une "rémunération de gérant" d’une de mes SCI), mais il vous faudra évaluer le montant des cotisations au SSI que ceci impliquera (comme salarié, vous encaissiez le salaire net chaque mois, et ne vous occupiez pas trop de toutes ces cotisations, salariale : différence entre le salaire brut et le salaire net, comme patronale : tout le reste que l’entreprise devait payer et qui figurait aussi sur toutes ces lignes du bulletin de salaire). Vous allez devoir vous former, pour mieux comprendre toutes ses possibilités et leurs implications : sur ce forum (en lisant, pas mal des discussions de Vivre rentier et indépendance financière et des présentations de personnes ayant fait un peu la même chose que ce que vous envisagez), dans les livres, et ailleurs (auprès d’experts, à la chambre de commerce, dans des formations pôle emploi, etc.).

Connaissez-vous la SAS à l’IR ?

Vous la nommez gérante de la SCI et vous facturez comme vous voulez. Vous ne prenez pas de salaire sur la SAS (sauf un minimum pour cotiser si besoin) car le résultat vous revient par transparence, et à ce jour sans aucune cotisations sociales.

Attention, l’option IR pour une SAS ne peut durer que 5 exercices maximum, ce n’est pas une solution pérenne. En revanche, l’option IR est possible de manière permanente pour une SARL de famille.

Et cela ne permet pas de s’affranchir des cotisations sociales…

BOFIP a écrit :

Dans le BOFIP (BOI-IS-CHAMP-20-20-20-20-20140325) l’administration indique que  deux  situations sont alors possible :

La quote-part de l’associé relève d’une activité BIC, BNC ou BA à titre « professionnel», la quote-part de revenus (ou « dividendes ») est alors soumise à 9,7% ( 9,2 % de CSG + 0,5 de CRDS) de prélèvements sociaux (à déclarer dans le bordereau 2777-D ).
La quote-part de l’associé relève d’une activité BIC, BNC ou BA à titre « non professionnel», la quote-part de revenu (ou « dividendes ») est soumise à 17,2% de prélèvements sociaux (à déclarer dans le bordereau de cotisations pour les salaires versés à la ligne 260D).