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#1 23/10/2024 12h52

Membre (2016)
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Bonjour,

j’ai signé en 2017 un contrat de crédit immobilier que je souhaite rembourser par anticipation.
La banque me réclame des indemnités de remboursement anticipé (IRA) qui dépassent assez allègrement ce que j’avais calculé; à cette occasion je m’aperçois que la clause du contrat signé à l’époque ne respecte pas la législation, en indiquant une indemnité de 5% sur le capital remboursé par anticipation (cette clause a échappé à mon attention lors de la signature du contrat, c’est une faute de ma part…).

Le code de la consommation (article R313-25) en vigueur au 1er juillet 2016, soit avant la signature du contrat de prêt, stipule bien que des IRA ne peuvent excéder un semestre d’intérêts ou 3% du capital restant dû (la formule la plus favorable au consommateur s’appliquant):

Je vais donc demander à la banque de reconsidérer son calcul compte tenu de la loi, en revanche je m’interroge si je n’aurai pas dû de prime abord refuser et demander une modification du contrat initial pour le mettre en adéquation avec la loi, car on risque de me rétorquer que j’ai signé cette clause en connaissance de cause…

Quelqu’un a-t-il déjà connu une situation similaire, et quelles sont les voies de recours possibles (dépôt de réclamation, saisie du médiateur bancaire ?)

Mots-clés : credit immobilier, indemnité de remboursement anticipé, ira

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1    #2 23/10/2024 13h46

Membre (2015)
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Selon le code civil, Article 1102, ’Chacun est libre de contracter ou de ne pas contracter, de choisir son cocontractant et de déterminer le contenu et la forme du contrat dans les limites fixées par la loi.

Article 1103: ’Les contrats légalement formés tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits.’

Tout ce qui ne respecte pas les limites est soit nul, soit réputé non écrit.

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1    #3 23/10/2024 13h48

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Si vous êtes sur de votre coup, je tenterai carrément d’indiquer que vous considérez cette clause comme non-écrite vu qu’elle outrepasse la loi. Vous irez probablement au médiateur mais ca a le mérite de fixer une base de négociation très avantageuse pour vous.

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#4 23/10/2024 13h49

Membre (2016)
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Bonjour

Dans votre cas, vous pourriez même envisager de demander de ne pas avoir d’IRA considérant que cette clause n’a aucune valeur.

A voir si le jeu en vaut la chandèle.

Edit : Doublé par Kabal

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1    #5 23/10/2024 14h02

Membre (2017)
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Et si la réglementation ne s’appliquait pas à votre crédit ? Dans l’historique de vos messages il n’est question que de financement de SCPI …

Article L313-1 du code de la consommation a écrit :

Les dispositions du présent chapitre s’appliquent :

1° Aux contrats de crédit, définis au 6° de l’article L. 311-1, destinés à financer les opérations suivantes :

a) Pour les immeubles à usage d’habitation ou à usage professionnel et d’habitation :

-leur acquisition en propriété ou la souscription ou l’achat de parts ou actions de sociétés donnant vocation à leur attribution en propriété, y compris lorsque ces opérations visent également à permettre la réalisation de travaux de réparation, d’amélioration ou d’entretien de l’immeuble ainsi acquis ;

-leur acquisition en jouissance ou la souscription ou l’achat de parts ou actions de sociétés donnant vocation à leur attribution en jouissance, y compris lorsque ces opérations visent également à permettre la réalisation de travaux de réparation, d’amélioration ou d’entretien de l’immeuble ainsi acquis ;

-les dépenses relatives à leur construction ;

(…)

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/se … 0032225973

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#6 23/10/2024 14h03

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Pourriez-vous
   1) confirmer que l’emprunteur est bien une personne physique / un consommateur, et pas une personne morale ou un professionnel  (ça pourrait changer un peu les choses…)
   2) indiquer quelle banque est le prêteur (ça pourrait rendre plus attentif les lecteurs qui auront à faire avec…).


J'écris comme "membre" du forum, sauf mention contraire. (parrain Fortuneo: 12356125)

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#7 23/10/2024 15h16

Membre (2015)
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Bonjour,

Serait-il possible de communiquer le taux, la durée restante et le CRD ?

Est-ce un souhait de votre part ou il y a eu vente du bien immobilier (ou une clause qui vous oblige) ? 

La position de la banque est étonnante car c’est l’opportunité de clôturer un taux bas dans un contexte de taux haut (en tout cas c’est le cas de mon employeur).

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1    #8 23/10/2024 15h16

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Bonjour,

Si c’est un crédit habitation, la loi s’applique et supplante le contrat. Aucune difficulté et aucune nécessité de modifier le contrat.

Vous aviez la bonne démarche : vous rappeler à la banque les dispositions légales et elle appliquera sans difficulté.

En cas de soucis : vous pouvez écrire 1) à la DDPP et avertir à la banque que vous le faites, 2) à l’ACPR qui contrôle les établissements financiers et 3) médiateur.

Ce n’est vraiment pas une situation bloquante à partir du moment ou l’erreur est avérée. Peu de chances que la banque tienne tête.

Bonne journée

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#9 23/10/2024 18h34

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Merci à tous pour vos retours très utiles ; pour préciser les éléments de contexte, comme demandés par GoodbyLenine et Paladin:

- Il s’agit effectivement d’un crédit affecté à l’achat de parts de SCPI, donc je pense durand18 qu’il rentre bien dans le cadre de l’article L313, en tant que "souscription ou l’achat de parts ou actions de sociétés donnant vocation à leur attribution en jouissance" ?!
- Il a été contracté en 2017, pour une durée de 15 ans et un taux de 2,1%, en tant qu’emprunteur physique. Le capital restant dû est d’environ 41000 €
- La banque concernée est le CIC; je précise que je n’ai pas eu à me plaindre de leurs services jusqu’à présent; à vrai dire j’ai été assez surpris du retour (et encore plus de moi-même pour n’avoir pas relevé ces frais astronomiques dans le contrat de crédit…)

J’ai pour l’instant fait un retour à ma conseillère sur le fait que la clause me semblait abusive, elle effectue des vérifications de son côté. Dépendamment de son retour, je compte effectuer les réclamations comme l’a suggéré EpsonValue, car on parle tout de même d’un facteur quatre entre le plafond de frais théorique (500 € environ) versus celui appliqué pour l’instant par le CIC (2050 € !).

Je tiendrai informé le forum du dénouement de ce dossier.

Bonne soirée

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1    #10 23/10/2024 18h55

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grbatz a écrit :

- Il s’agit effectivement d’un crédit affecté à l’achat de parts de SCPI, donc je pense durand18 qu’il rentre bien dans le cadre de l’article L313, en tant que "souscription ou l’achat de parts ou actions de sociétés donnant vocation à leur attribution en jouissance" ?!

A mon sens non, car premièrement il y a peu de chance que vous ayez acheté des SCPI d’habitation, et deuxièmement les parts de SCPI n’ont pas vocation à vous attribuer la jouissance des biens acquis, je pense que ce cas est plutôt relatif au financement de parts de SCI dont les statuts prévoient effectivement une attribution en jouissance. Mais bon je n’ai pas l’intention de creuser plus que cela la question donc on verra bien ce que vous répondra la banque !

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#11 23/10/2024 19h13

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C’est durand18 qui a raison.

La clause n’est pas abusive car il ne s’agit pas d’un crédit immobilier car l’acquisition de parts de SCPI ne permet pas d’entrer en jouissance du bien.
Jurisprudence à ce sujet : https://www.courdecassation.fr/decision … 8459c42934

Vous avez tellement bien écrit "crédit immobilier" partout qu’il était particulièrement difficile de repérer l’erreur de raisonnement. Encore bravo à lui.


Il faut que tout change pour que rien ne change

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#12 23/10/2024 19h57

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Je ne pense pas que la rédaction de cette clause corresponde à une clause abusive. Ce n’est pas la bonne approche.

Envoyez une LRAR en expliquant que cette clause contrevient à l’une des dispositions du code de la consommation, détaillez pourquoi, affirmez qu’elle est donc illicite (c’est à dire non conforme à la loi), ce qui la rend réputée non écrite.

Une clause est réputée non écrite lorsqu’elle entre en contradiction avec un texte de loi, fixant des dispositions d’ordre public.

Constatez alors l’absence de clause relative aux IRA dans le contrat, et exigez l’absence d’application d’indemnité, et expliquez qu’en cas de refus, vous engagerez une procédure avec votre avocat.

Et attendez la réponse ! tenez nous informé.

PS: ne pas tenir compte de ce message vu le message de Bernard2K

C’était quoi comme crédit. Crédit à la consommation?

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#13 23/10/2024 20h56

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A vrai dire j’ai monté deux dossiers en parallèles d’achat de SCPI à crédit à l’époque et dans mon souvenir il s’agissait tous deux de crédits immobiliers…  En réalité après vérification suite à vos divers commentaires / questions, l’un est un crédit immobilier (Crédit Foncier), mais celui du CIC correspond bel et bien à un crédit personnel affecté, donc vous avez tout à fait raison (il faut peut être changer le titre du fil de discussion, mes excuses pour la confusion).

En tout cas le type de prêt est un point important pour les personnes qui envisagent l’achat de SCPI à crédit, cette subtilité autour des IRA m’a complètement échappé -  il peut donc être très désavantageux d’opter pour un crédit affecté, comme j’en fait l’expérience, à moins bien sûr de bien négocier les conditions de remboursement anticipé… En espérant que ma mésaventure soit utile pour d’autres investisseurs.

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#14 23/10/2024 22h32

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Cela ne change rien.

Je crois comprendre que ce n’est pas le type de prêt (prêt à la consommation, affecté ou non, prêt immobilier) qui empêche d’appliquer les dispositions des articles L. 312-1 et suivants du code de la consommation, mais le fait qu’il s’agit d’un financement de SCPI.

Comme indiqué dans le lien donné par Bernard2K, pour rentrer dans le champ de ces dispositions, le prêt doit être destiné à financer notamment la souscription ou l’achat de parts ou actions de sociétés donnant vocation à l’attribution en propriété ou en jouissance d’un immeuble d’habitation ou à usage professionnel et d’habitation.

Les parts acquises étaient des parts de SCPI, sociétés civiles qualifiées par l’article L. 214-1 du code monétaire et financier d’organismes de placement collectif et que la détention de parts de telles sociétés ne donne nullement vocation à l’attribution en propriété ou en jouissance d’un local à usage d’habitation ou à usage professionnel et d’habitation, mais seulement à la perception des revenus locatifs encaissés par la SCPI dans le cadre de la gestion des immeubles dont elle est propriétaire.

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Favoris 1    #15 24/10/2024 08h12

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Ravito a écrit :

A vrai dire j’ai monté deux dossiers en parallèles d’achat de SCPI à crédit à l’époque et dans mon souvenir il s’agissait tous deux de crédits immobiliers…  En réalité après vérification suite à vos divers commentaires / questions, l’un est un crédit immobilier (Crédit Foncier), mais celui du CIC correspond bel et bien à un crédit personnel affecté

sm94, le 23/10/2024 a écrit :

Cela ne change rien.

En fait, si.

La loi ne place pas ce type de prêt dans les crédits immobiliers tels que définis par le code de la consommation. Donc, il n’y a pas la protection obligatoire du code de la consommation. Mais il pourrait y avoir cette protection de façon volontaire, contractuelle.

Si la banque utilise un modèle de contrat de prêt "crédit immobilier", qui fait référence au code de la consommation,et cela de façon suffisamment claire et explicite, je pense que le juge interprétera que les parties se sont placées volontairement dans le cadre du code de la consommation.

Vous retrouvez ce raisonnement dans la dernière partie de la jurisprudence citée :

la cour d’appel a estimé que n’était pas établie la volonté clairement exprimée et expressément partagée des deux parties de voir le code de la consommation régir une situation à laquelle il ne s’appliquait pas de plein droit

Dans cette jurisprudence, ce n’était pas le cas, mais le juge reconnaît ici que cela aurait pu être le cas.

Donc, je pense que Ravito avait le choix entre un prêt placé volontairement, contractuellement, dans le cadre des crédits immobiliers y compris le plafonnement des IRA, et l’autre, prêt affecté, où les IRA sont libres et définies contractuellement. Il a choisi le second, il en paie maintenant les conséquences.

On retiendra :
- un crédit pour l’achat de SCPI n’est pas, par nature, un crédit immobilier et il ne bénéficie donc pas des diverses protections prévus par le code de la consommation dans les articles L313-1 et suivants, et notamment il ne bénéficie pas du plafonnement des IRA.
- une banque peut néanmoins proposer un contrat de crédit de type immobilier. On peut alors retrouver les protections prévues par le code de la consommation, non pas parce que c’est obligatoire, mais parce que les parties ont convenu cela dans le contrat ; à condition, bien sûr, que ce soit stipulé de façon très claire dans le le contrat. Il faut donc bien regarder le type de prêt proposé, et bien lire l’offre de prêt.

Dernière modification par Bernard2K (24/10/2024 09h54)


Il faut que tout change pour que rien ne change

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#16 24/10/2024 15h18

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Bonjour,

Je ne me positionnerai pas sur l’aspect légal  de la clause. D’autres membres seront plus pertinents dans leur réponse.

Si vous ne parvenez pas à faire plier la banque sur le terrain juridique. Je me permets de proposer une lecture plus commerciale/relationnelle  de votre sujet.

Je connais  mieux les enjeux d’une négociation d’IRA ayant pratiqué le métier.
Il m’est arrivé que des clients (pro) me demandent de renoncer aux Indemnités, il y a deux situations très distinctes :
1)    Le client n’a pas « joué le jeu » pendant la relation (pas de domiciliation des comptes malgré des demandes, Assurance emprunteur à la concurrence etc..) Le prêt était appliqué à des conditions tirées et les indemnités  permettaient de rentabiliser l’opération => IRA appliqués
2)    a- Il s’agit d’un bon client avec qui on travaille régulièrement ou b-  le client était prêt à travailler avec nous par la suite via d’autres sujets. => on est beaucoup plus enclin à ne pas appliquer les IRA

Les conseillers du CIC ont de nombreux objectifs à atteindre (et une certaine pression du résultat). La palette de produits vendue est assez large (du forfait téléphonique en passant par l’AV et en terminant par la location de système de sécurité pour la maison)…. Bref  le but est de trouver un terrain d’entente pour demander une exo d’IRA et pour motiver votre conseiller à demander l’accord auprès de son décideur. La volonté première du conseiller et de se dégager du temps pour faire ses objectifs et ne pas perdre de temps sur des demandes chronophages (et une exo d’indemnité en est une).

Vous n’êtes pas obligé de placer des fonds mais vous pouvez peut-être souscrire votre assurance habitation /Auto etc ou même prendre des forfaits téléphoniques pour la famille. Vous ne paierez pas forcément plus que par un autre fournisseur, mais vous économiserez les Indemnités.

Sauf erreur, vous n’avez pas précisé l’objectif du Remboursement ?

Dernière modification par Paladin (24/10/2024 16h33)

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#17 24/10/2024 15h53

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Paladin a écrit :

Vous n’êtes pas obligé de placer des fonds mais vous pouvez peut-être souscrire votre assurance habitation /Auto etc ou même prendre des forfaits téléphoniques pour la famille. Vous ne paierez pas forcément plus que par un autre fournisseur, mais vous économiserez les Indemnités.

Et les résilier discrètement 6 mois plus tard ?


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