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2 #1 27/01/2016 13h05
- Geoges
- Membre (2012)
- Réputation : 125
Vivement qu’on puisse se procurer tous les médicaments d’usage commun dans les grandes surfaces
Cela donnera le résultat suivant : vente forcée de la direction aux docteurs en pharmacie, aucun refus de vente si un patient veut faire des bêtises, prix à la hausse comme c’est déjà le cas sur les testeurs de grossesse, bien souvent plus chers qu’en pharmacie, moins de contrôle de la provenance des médicaments.
Si demain vous allez acheter 15 boites d’Aspegic en grande surface, qui vous refusera une telle vente et vous en demandera l’usage ? personne.
Un pharmacien en officine sera susceptible de vous refuser une telle vente.
Et pour donner une idée de ce que travail veut dire pour certains : le pharmacien que je connais bien, à ses débuts, faisait environ 08H00-21H00 du lundi au samedi. Tout le temps Premières vraies vacances (15j) au bout de 17 ans d’activité.
Moi, je ne fais pas cela. Je ne saurais pas tenir ainsi et ne voudrait en aucun cas le faire. Mais aujourd’hui, il est critiqué parce qu’il gagne (très) bien sa vie. Je trouve qu’il a beaucoup investi de sa vie, mais en a perdu une partie aussi. Chacun ses choix. Je n’envie pas les pharmaciens, ni leur salaire. Et leur avenir n’est clairement pas rose.
Mais que certains considèrent que les rentes de situation sont inacceptables se souviennent bien que pour une partie de la population, le simple fait d’écrire sur un forum comme celui-ci mériterait d’être pendu haut et court. Un peu de hauteur de vue serait tout de même une bonne chose, non ?!
Mots-clés : commerce, entreprendre, pharmacie
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1 #2 27/01/2016 13h54
- ZeBonder
- Membre (2012)
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Geoges a écrit :
Cela donnera le résultat suivant : vente forcée de la direction aux docteurs en pharmacie, aucun refus de vente si un patient veut faire des bêtises
On ne parle pas de vendre des médicaments chez un buraliste.
En quoi un docteur en pharmarcie salarié d’une officine pourrait prendre des décisions différentes de celles d’un docteur en pharmacie salarié d’une officine, dans les deux cas il a la pression du patron …
Geoges a écrit :
prix à la hausse comme c’est déjà le cas sur les testeurs de grossesse, bien souvent plus chers qu’en pharmacie
Donc les pharmaciens n’ont rien à craindre pour leur business.
Geoges a écrit :
, moins de contrôle de la provenance des médicaments.
Si demain vous allez acheter 15 boites d’Aspegic en grande surface, qui vous refusera une telle vente et vous en demandera l’usage ? personne.
Un pharmacien en officine sera susceptible de vous refuser une telle vente.
Encore une fois la profession essaye de faire de l’amalgame, ici on parle de vendre des médicaments dans une grande surface par un docteur en pharmacie salarié de l’enseigne, pas de vendre des médicaments en libre service.
Ce genre de discours me rappelle les taxis qui affirement devant les télés que les chauffeurs UBER ne payent aucune charge, que les clients ne sont pas assurés …
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2 #3 27/01/2016 14h05
- Cali
- Membre (2015)
- Réputation : 2
Bonjour,
L’image du pharmacien chez les investisseurs heureux fait de la peine a lire.
Je vais malgré tout revenir sur l’histoire du black. En pharmacie, l’encaissement en espèce représente une bien faible part du CA (dans mon cas moins de 10%). Et le non remboursé représente 21% du CA en moyenne en France. Alors chapeau a ceux qui font 30% de black car ils arrivent même a détourner l’argent versé sur leur compte par les organismes sociaux.
Plus sérieusement, j’avais entendu parlé de 3% non détectable a une époque qui de toute façon est révolu avec les certifications des LGO. Aujourd’hui tout est tracé et même s’il y a toujours moyen de détourner quelques euros, le temps passé a le faire est probablement moins rentable que celui passé a exercer son métier, et au moindre contrôle, la fraude sera détectée.
Concernant la profitabilité des officines, c’est également quelque chose qui a bien changé. Le secteur subit des baisses de marge constantes sur le médicament remboursé (147M€ l’année passé) qui représente le cœur du métier (contrairement a ce qu’essai de faire croire des émissions comme celle passé sur la 6 récemment)
Après, comme toujours, il y a des hommes d’affaires particulièrement doué qui arrive a transformer une profession de santé de proximité en machine a cash, tous comme certain dentiste ou médecin dégagent 400k€/an mais ce n’est pas la norme.
Actuellement, un officine ferme tout les 1.87j en france, mais il ne s’agit clairement pas que de faillite. Il y a des regroupements, des départs a la retraite non remplacé …
Pour finir, je vais vous parler de mon cas, qui ai fait pharma pour le coté profitable et qui regrette chaque jour qui passe. J’ai saigné ma famille (très modeste) pour gratter 70k€ qui m’ont permis de m’installer sur une officine qui allait fermer et dont le CA était de 450k€. Elle était vendu 150k€ et après 7 refus bancaire, m’a été cédé pour 80k€. Depuis 2 ans, je bosse donc les 45h30 d’ouverture (plus 22 gardes annuelles les soir de semaines et 12 dimanche et jours ferier) sans aucune vacances, pour un salaire de l’ordre de 2000€ net en première année et 2500 en 2ème. Ma capitalisation est proche de zéro car ma pharma sera invendable.
Après effectivement, si mes parents m’avait filé 400k€ pour acheter une pharma de 2M, les choses seraient différente j’imagine.
La majorité des pharmaciens titulaires sont lourdement endetté et l’amalgame est souvent fait entre salaire et remboursement du capital, car les pharmacies étaient souvent exploité en nom propre jusqu’à récemment. L’intérêt financier de l’officine se fait sur la capitalisation via le remboursement de son outil de travail. Ceci change également car seul les grosses structures se vendent encore cher. Du coup ceux qui ont acheté cher une pharmacie moyenne (1.5M€ CA) il y a quelques années subissent les difficultés propre au secteur, et leur capitalisation est fortement dégradé par la baisse des prix de cession.
Quant au pharmacien qui a payé sa boite, lui effectivement a investi au bon moment et se trouve dans une situation très confortable.
Enfin concernant l’investissement, car c’est ce qui nous intéresse sur ce forum n’est-ce pas ? seul un pharmacien (docteur en pharmacie) titulaire d’une pharmacie, peut posséder des parts dans une pharmacie d’officine. il me semble que les adjoints (pharmacien) vont pouvoir prendre jusqu’à 10% de part et il est prévu une ouverture au préparateur en pharmacie pour la pharmacie dans laquelle ils travaillent. Alors si vous pensez que c’est un investissement rentable, foncez passer le concours et le doctorat qui va avec.
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1 #4 27/01/2016 15h14
- Geoges
- Membre (2012)
- Réputation : 125
ZeBonder a écrit :
On ne parle pas de vendre des médicaments chez un buraliste.
Non. On parle de vendre des médicaments dans des grandes surfaces dont l’unique but est la rentabilité et non le conseil. Vous avez souvent du conseil dans les grandes surfaces, hors boucherie/poissonnerie ?
En quoi le prix des médicaments va baisser s’ils sont vendus en grande surface ? Par plus de vente ? Les groupements d’achats pharmaceutiques en France sont déjà des négociants de poids (OCP etc.)
En quoi un docteur en pharmarcie salarié d’une officine pourrait prendre des décisions différentes de celles d’un docteur en pharmacie salarié d’une officine, dans les deux cas il a la pression du patron …
Je ne crois pas que l’on peut comparer la pression d’un pharmacien entrepreneur au sein de son officine, et la pression que peut mettre un groupe comme Leclerc…
Ah oui, et dans une grande surface, le pharmacien salarié est malade. Il vient ? ne vient pas ? Dans une officine, le problème ne se pose pas : pas de pharmacien, la pharmacie est fermée. Du fait, les pharmaciens sont rarement malades.
Donc les pharmaciens n’ont rien à craindre pour leur business.
Raisonnement par l’absurde. La question n’est pas le business mais le conseil et le tarif pratiqué au client.
Encore une fois la profession essaye de faire de l’amalgame, ici on parle de vendre des médicaments dans une grande surface par un docteur en pharmacie salarié de l’enseigne, pas de vendre des médicaments en libre service.
Je ne suis pas pharmacien donc pas d’amalgame.
Prenons le problème à l’envers : quel interêt aura le consommateur de voir ses médicaments vendus en grande surface ?
mise à part la mort continue des petits commerces de centre-ville
mise à part le défaut de conseil comme c’est le cas dans la majorité des grandes surfaces
Et ne me parlez pas du coût de la rente de situation du pharmacien, qui sera juste remplacée par la marge de la grande surface.
Si cela passe, et nul doute qu’un jour, cela risque de passer, je continuerai d’aller chercher mes médicaments en pharmacie, au même titre que quand je veux de la bonne viande, je ne vais pas acheter de la m. au supermarché mais vais voir un boucher. Un boucher qui a son commerce, sa réputation et son fric dans le local, et non un artisan boucher salarié de l’enseigne qui peut très bien n’en avoir rien à f…. et qui ne gère pas la qualité de ce qu’il achète.
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1 #5 27/01/2016 15h46
- ZeBonder
- Membre (2012)
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Je pense que le mieux est que vous alliez visiter un pays où la rente de situation des pharmacies n’existe pas.
Bien sûr s’il n’y a pas de pharmarcien présent, le rayon sera fermé et les arguments sur les grandes surfaces on les a déjà entendus 50 ans en arrière.
Vous imaginez demain que l’état impose un nombre restreint de boucheries et qu’une licence de boucher se vende 200ke ? Parce que dans la grande surface il y aurait moins conseil, que vous n’auriez pas assez d’information sur la viande proposée ….
Le monde a changé et certaines professions doivent s’en accomoder, ça permettrait à des investisseurs de faire bouger ces secteurs économiques basés sur la rente et ainsi créer de l’emploi, de la richesse …
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1 #6 28/01/2016 18h41
- stokes
- Exclu définitivement
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Bonsoir,
Si certains veulent à tout prix investir dans une pharmacie sans être pharmacien, peut-être est-il possible d’acheter des parts minoritaires pour peu qu’un professionnel diplômé soit gérant majoritaire ?
Quoi qu’il en soit, je ne me risquerais pas là-dedans, même pour une officine très rentable : le pharmacien majoritaire pourra toujours décider de transforme le bénéfice en salaire du gérant et ne pas verser de dividende au malheureux minoritaire.
Même si cela a eu davantage payé, le métier de pharmacien semble encore assez sûr et confortable, mais cela ne me gêne en rien ; les spécialités remboursées le sont au tarif fixé par l’assurance-maladie et la vente en grande distribution n’y changerait rien ; pour ce qui est de la parapharmacie, elle est déjà assez largement disponible en grandes surfaces.
D’une façon générale, dès lors qu’un métier procure des revenus conséquents et sûrs (pharmaciens, pilotes de ligne, contrôleurs aériens, notaires….), plus ou moins à l’abri de la concurrence "libre et parfaite", les intégristes du libéralisme à l’anglo-saxonne s’insurgent et dénoncent "privilèges" et autres "rentes de situation" ; même les fonctionnaires sont dans le collimateur en raison de la garantie d’emploi prévue dans leur statut. C’était d’ailleurs l’objet du rapport Attali dont Macron fût le soutier : libérer du pouvoir d’achat par la concurrence.
Ces thèses étant reprises en choeur par les médias, l’opinion finit par s’accoutumer à l’idée que les revenus du travail doivent être misérables et précaires pour entrer dans la norme, toute autre situation ne pouvant relever que de la rente indue.
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1 #7 26/05/2018 10h23
- lachignolecorse
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Les pharmacies sont un monde à part. Le nombre est déterminé et gérer par l’ordre. Un pharmacien ne peut être titulaire uniquement pour 1 pharmacie et doit s’associer pour être actionnaire minoritaire d’une autre pharmacie. Les pharmaciens s’associent dans le but principal de mieux négocier leurs achats. Les pharmacies qui ont un CA à 1.2m€ sont vouées à disparaître en se faisant racheter par un groupement de pharmacien, qui demandera a l’ordre :
- soit le transfert de la pharmacie dans un lieu plus commercial (grande surface par ex)
- soit la suppression de la pharmacie ce qui induit la suppression d’un concurrent et l’augmentation du CA de celui qui rachète.
C’est un marché bien à part où de gros flux financiers passent, le prix de l’immobilier est assez anecdotique dans l’histoire. Une pharmacie de grande surface a un chiffre d’affaire de 5 à 10m€ lorsque va fonctionne bien. Le prix de vente du fond de commerce de la pharmacie se situait entre 0.5 et 1 fois le CA il y a 5 ans. Je ne pense pas que ça ait beaucoup changé depuis.
Faire et laisser dire
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1 #8 26/05/2018 11h27
- maxcorporis
- Exclu définitivement
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Instructif avant un investissement dans une pharmacie :
Cour des comptes : Pharmacies
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1 #9 27/05/2018 10h28
- FXB67
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Le problème c’est que c’est le sans ordonnance et la parapharmacie qui font la marge et permettent aux pharmacies de vivre. Leclerc et consorts se gardent bien de revendiquer le droit de délivrer des médocs sur ordonnance - autant il peut payer son jambon 6 mois plus tard à son fournisseur, autant big pharma l’enverra se faire voir s’il pense faire la même chose avec des médocs de sclérose en plaques ou de cancer à 1000€ la boîte.
C’est le gouvernement lui même qui tue les pharmacies en compressant le prix des médocs (et donc les marges) pour faire des économies. On arrive d’ailleurs en bout de course, car les industriels n’hésitent plus à mettre la France en pénurie y compris sur des produits essentiels (vaccins, etc.) parce qu’elle pense dicter ses prix.
Si on continue sur cette lancée, soit il faudra rémunérer les pharmas essentiellement en honoraires de dispensation (et en partie avec un forfait structure indépendant des volumes) ce qui est beaucoup plus sain que des les laisser vendre des colliers d’ambre etc, soit il faudra leur confier des missions, ce qui commence déjà avec la vaccination etc., ce qui suscitera des tensions avec les autres professionnels (ce qui est déjà le cas) et/ou pose des questions éthiques (sauf si on désintéresse totalement le pharmacien de la vente des produits de santé, ce qui n’est pas non plus réaliste). Sans oublier que les "bases" sont loin pour beaucoup de pharmas d’officine et que leur formation de départ est très, très peu clinique, ou en tous cas l’était il y a 20 ou 30 ans : on en fera pas facilement des "officiers de santé" pouvant pallier l’absence de médecins. Surtout, on en est actuellement à zéro sur ce chantier alors que la souffrance économique des officines, elle, est déjà là.
Dans tous les cas le métier a vocation à changer, et ce n’est pas vraiment quelque chose de rassurant. A vrai dire, je ne comprend même pas comment des jeunes peuvent encore sa lancer là dedans, sauf certitude d’hériter de l’officine de papa amortie depuis 20 ans, et encore…
Je crois que des investisseurs non professionnels sont admis dans le capital des SELARL et des SPFPL mais c’est plafonné.
En tout cas personnellement je n’y mettrais pas le moindre euro…
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1 #10 27/05/2018 19h55
- lachignolecorse
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Surin a écrit :
Ne vous inquiétez pas trop pour les pharmaciens, le numerus closus remplit toujours bien son rôle et ce n’est pas prêt de changer.
Je vais prendre un exemple qui va vous parler. Prenez un immeuble que vous achetez 1 000 000€, vous remboursez le prêt durant 12 ans. Vous y travaillez 10 à 12h/jour 6 jours/semaine. Et au bout de 15 ans, vous essayez de le vendre 800 000€, personne n’en veut, 600 000€ personne n’en veut sauf votre concurrent avec qui vous vous partagez le marché depuis des années et qui vous en propose 400 000€… C’est ce qui se passe actuellement.
Le pharmacien titulaire ou un autre pharmacien de l’officine doit être présent de l’ouverture jusqu’à la fermeture (pas de délégation possible à un préparateur). Vous assurez les gardes (donc dodo à la pharmacie). Si vous êtes dans un village où vous êtes la seule pharmacie, les gens viennent sonner chez vous pour avoir au plus vite les médocs que le médecin vient de délivrer (même si c’est taty Danièle…). Et pour finir, le pharmacien est responsable de la prescription : à savoir que si l’ordonnance comporte des médocs pas compatibles, c’est le pharmacien qui endosse la responsabilité et pas le médecin.
De plus, le gouvernement baisse régulièrement les marges en échange de quelques avantages comme dernièrement la possibilité de vacciner… donc en plus de vendre moins cher les médocs, il faut avoir une salle pour pouvoir recevoir le patient à vacciner. Je ne parle pas de l’impact sur l’infirmière libérale…
Si vous connaissez des pharmaciens titulaires, discutez avec eux de leur métier, c’est très instructif.
Faire et laisser dire
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1 #11 27/05/2018 20h52
- toufou
- Membre (2017)
- Réputation : 115
Politok a écrit :
Amazon a obtenu le droit en octobre 2017 de vendre des médicaments sur ordonnance dans 12 états américain. Pas encore la totalité des US, mais la tendance est plutôt claire.
Le cas d’Amazon est particulier car ce sont des tiers qui peuvent vendre pour son compte. Mais la vente sur Internet de médicaments de prescription existe déjà; cf. les recommandations de la FDA pour les consommateurs américains :https://www.fda.gov/Drugs/ResourcesForYou/Consumers/BuyingUsingMedicineSafely/BuyingMedicinesOvertheInternet/default.htm
Les pharmaciens se serviront de la plateforme d’Amazon ? Peut être…Mais pour être parfaitement cynique, il vaudra mieux s’entendre avec les prescripteurs du coin.
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