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[+2 / -1]    #1 01/10/2013 14h21

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Kiceka a écrit :

Sauf erreur de ma part, il me semble que le compte espèce PEA n’accepte pas de devises autres que l’euro -

Cela fait plusieurs fois que je lis ça sur le site par plusieurs interlocuteurs et ça ne cesse de m’étonner (une petite recherche "google est mon ami" est si rapide wink pour des sujets complexes c’est moins bien qu’un forum et des gens qui prennent le temps d’expliquer mais là dans un cas simple de définition…).

Le PEA (et c’est une des ses forces) permet bien sûr d’accéder aux places britanniques et plusieurs scandinaves… s’il s’agit de titres d’entreprises avec siège dans l’UE + Islande et Norvège ! Et je ne crois pas que le Royaume-Uni ou la Norvège aient l’euro comme monnaie.

Concernant les frais de change, ça dépendra de votre courtier et c’est à bien vérifier (ça peut faire mal et chez d’autres c’est indolore genre 0.1 % de spread voire moins). Un euro fort peut d’ailleurs être une cerise sur le gâteau au moment de l’achat (mais en aucune façon la raison d’investir puisqu’il est bien difficile de prévoir les taux…).

J’ajouterai qu’Unilever PLC est intéressant pour… les taxes sur les dividendes ! Donc oui il y a un avantage. Après c’est à vous de faire le calcul : est-ce que ça compense la différence de frais de courtage (si elle existe) entre UK et NL dans VOTRE cas ?


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1    #2 01/10/2013 16h38

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Bonjour,

En regardant vite fait , il me semble qu’il y a un problème dans le nombre d’actions que vous retenez.

Il me semble que vous prenez uniquement les actions d’Unilever NV alors que les éléments du compte de résultat, du bilan et du tableaux des flux de trésorerie sont des éléments consolidés entre Unilever NV et Unilever PLC.

Je pense qu’il faudrait tenir compte des actions Unilever PLC dans votre calcul.

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1    #3 05/10/2013 07h32

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Il y a surement des sites qui donnent "leur" valeur intrinsèque
Pour Morningstar c’est payant, sauf pour le CAC 40, qui accessible sur Boursorama
Peut être que la fair value d’Unilever de Morningstar est disponible sur un site étranger (en NV ou en UK).

Par exemple, sur Trefis on arrive à 40$ soit 29,5€, mais je ne sais pas ce que cette analyse vaut !
Unilever Group (NYSE:UL) stock analysis and investing -- Trefis

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1    #4 05/02/2014 17h33

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tourix a écrit :

Une rapide évaluation avec xlsValorisation me donne une fair value à 50EUR (!), mais je suis dubitatif, je me demande s’il n’y a pas un problème lié aux cotations à Amsterdam et à Londres

Oui tourix, il faut corriger manuellement le nombre de titres pour avoir le nombre total réel de titres circulant (et donc sur lesquels calculer les profits et valeurs par part) : voir dans les pages précédentes de cette même discussion.

Avec xlsValorisation, et après cette correction, on trouve plutôt une fair value inférieure à celle donnée par Morningstar.

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1    #5 07/03/2014 10h29

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C’est la première fois que vous touchez des dividendes de ces valeurs j’imagine ? Unilever et Shell ont un délai assez long entre le détachement et le paiement.

cf le site d’Unilever, Dividend calendar | Investor Relations | Unilever global company website

Paiement prévu le 12 mars


"La meilleure façon de prévoir l’avenir, c’est de l’inventer", Peter Drucker | Mon portefeuille

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1    #6 15/05/2014 16h19

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tourix a écrit :

Tu parles bien d’Unilever côté à Londres ? Il y a 10% de prélèvement à la source non ?

Salut Tourix, pas de prélevement à la source chez Binck en tout cas, d’où mes investissements massifs à Londres.


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1    #7 22/02/2017 22h52

Exclu définitivement
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Bonsoir,

Donc même avortée, cette tentative de prise de contrôle aura été bénéfique pour les actionnaires d’Unilever.

Tout comme la peur du gendarme est le commencement de la sagesse chez le voleur, la menace d’une OPA hostile réveille le dirigeant grassement rémunéré en train de s’assoupir sur ses lauriers.

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1    #8 27/03/2017 15h09

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Bonjour à tous,
ci dessous un article de la lettre Vernimmen sur l’offre Heinz sur Unilever,
Pour vous abonnez La lettre Vernimmen

La lettre Vernimmen a écrit :

Quelques réflexions sur le projet d’offre de Heinz Kraft sur Unilever

Le vendredi 17 février, on apprend que Kraft Heinz (110 Md$ de capitalisation boursière) a approché Unilever pour lui proposer de le racheter à un prix de 143 Md$, avec une prime de 18 % sur le cours de bourse. Kraft Heinz est contrôlé à 49 % par le fonds 3 G qui regroupe des entrepreneurs brésiliens actionnaires d’AB Inbev et Berkshire Hathaway de Warren Buffett.
Deux jours plus tard, face à l’opposition des dirigeants de Unilever et l’attitude non positive du gouvernement britannique,l’offre envisagée est retirée. Celle-ci n’a pas manqué de frapper les esprits pour deux raisons. Elle visait l’une des plus grosses capitalisations boursières européennes (115 Md€ en l’occurrence ; il n’y a que 17 groupes dépassant 100 Md€ de capitalisation boursière en Europe) et elle a été si vite retirée avant même d’avoir été déposée.

Cette offre virtuelle illustre plusieurs points :

1/ La taille n’est pas une protection contre la sous-performance dans la durée.
Depuis le point bas de mars 2009 (qui correspond à peu près à l’arrivée du dirigeant actuel en janvier 2009) et le rebond qui a suivi, le cours de bourse de Unilever a naturellement progressé (de 152 %), mais a significativement sousperformé ses pairs : + 250 % pour l’indice STOXX 600 HPC. Quand cette situation dure longtemps, 8 ans en l’occurrence, tôt ou tard, un groupe doit rendre des comptes et donner des explications. L’offre publique ou la menace d’une offre publique joue un rôle disciplinaire sain que le prix Nobel M. Jenssen avait mis en évidence. Il ne s’agit pas de capitalisme débridé, mais de s’assurer qu’une ressource rare, les capitaux propres, sont alloués là où ils paraissent les plus utiles et que les combinaisons d’actifs qu’ils financent soient les plus efficaces possibles. L’offre sur Unilever nous rappelle qu’aucun groupe, quelle que soit sa taille ou sa réputation, n’est à l’abri d’une offre d’un tiers. Et quand la taille dépasse un certain seuil (disons environ 150 Md€ à l’heure actuelle), un ou des actionnaires activistes peuvent néanmoins agir comme cela a été montré par D. Einhorn et C. Icahn qui ont poussé la plus grosse capitalisation boursière mondiale, Apple, à cesser de thésauriser des masses oisives et inutiles de trésorerie en 2012 et 2013.

2/L’abondance de liquidités permet de financer des offres avec une composante majeure en numéraire
Les commentateurs ont noté que l’offre de Kraft Heinz valorisant Unilever à 143 Md$ en aurait fait la 3ème plus grosse acquisition au monde de tous les temps. Il nous aurait paru plus intéressant de regarder la composante cash de cette offre qui atteignait 100 Md$, ce qui l’aurait mis au premier rang de toutes les acquisitions comprenant du numéraire. En effet l’offre de Vodafone sur Mannesmann (181 Md$ en 2001) et celle de AOL sur Time Warner (162 Md$ en 2000) étaient entièrement en actions, sans un euro de cash. On était alors en pleine bulle TMT (Télécom Media Technologie), où un chien affublé d’un point com pouvait valoir 1M$ et un chat, avec aussi un point com, valait 0,5 M$. La seule façon de réaliser une opération de croissance externe dans un tel contexte était de payer en titres et non en liquidités : un chien valait deux chats. Le relatif permettait de contourner l’absolu sur lequel les gens raisonnables commençaient à avoir des doutes ; la preuve, ils n’étaient pas prêts à payer en numéraire. Avec une offre à 70 % en cash, les principaux actionnaires de Kraft Heinz n’ont pas envoyé le message qu’ils pensaient que leur titre était surévalué, au contraire. L’offre de AB InBev sur SABMiller à l’automne 2015 avec une composante en numéraire de l’ordre de 75 Md$ avait déjà montré la profondeur du marché de la
dette. Avec 100 Md$, l’offre sur Unilever aurait constitué un nouveau record.

3/ Une tactique qui a réussi n’est pas toujours une tactique qui réussira Le retrait rapide de l’offre envisagée s’explique, nous semble-t-il, par une erreur de tactique. Dans la mesure où l’un des deux partenaires de l’offre, Warren Buffett, avait encore récemment réaffirmé qu’il ne ferait pas d’offre hostile, il fallait tout faire pour éviter qu’une offre sur Unilever soit ainsi désignée par le management en place. Une offre qui affiche une prime de seulement 18 %, contre une moyenne générale de l’ordre de 25-30 %, n’est pas à même de faire hésiter un management naturellement rétif à perdre son pouvoir et à faire monter au créneau des actionnaires importants pour exiger que l’offre soit prise en considération. Mais le leader du consortium, 3G, a lui une expérience réussie de commencer par offrir de petites primes, puis de mettre progressivement la pression en relevant son offre et de proposer des primes de plus en plus fortes, jusqu’à faire tomber les résistances. C’est ainsi que sur SAB Miller, il avait commencé par offrir 38 £ pour un cours avant annonce de 29,34 £ (+30 %), puis 40 £, puis 42,15 £, puis 43,50 £ pour finir avec une prime de 50 % à 44 £. Dans ces conditions, il aurait probablement été plus avisé de mettre sur la table une offre financièrement irrésistible, donnant cette fois du premier coup toute la réserve que s’était gardée 3 G. Toujours plus facile à dire qu’à faire, surtout après. Avec une hausse de son cours le vendredi de la fuite de 11,3 Md$, Kraft Heinz aurait eu les moyens financiers de relever significativement son offre, sans  probablement atteindre le niveau de la prime qu’il avait payée en 2010 pour acquérir Cadbury (49 %). Mais entre les deux, il y avait de la marge.

4/ De l’importance de respecter ses engagements
Il nous semble que cette tactique de négociation aurait été d’autant plus nécessaire que le gouvernement britannique, depuis l’offre réussie de Kraft sur Cadbury en 2010, ne semble plus aussi disposé qu’auparavant à considérer que la nationalité de l’actionnariat des grands groupes britanniques n’est pas son sujet. On l’a déjà vu au moment de l’approche de Pfizer sur Astra Zeneca en 2014. C’est encore plus vrai en période de préparation des négociations du Brexit pour ne pas accréditer l’idée que, la baisse de la livre post referendum aidant, les groupes britanniques sont à vendre à l’encan. Mais il est clair aussi que l’attitude du groupe Kraft, post acquisition de Cadbury,
reniant ses promesses faites en matière d’emplois pour faciliter sa prise de contrôle, n’a certainement suscité aucun mouvement de sympathie à son endroit dans les sphères gouvernementales. Et c’est très bien ainsi. Les promesses sont faites pour être tenues par ceux qui les ont données, et pas uniquement dans le pays dont la Bourse a pour devise "My word is my bond".

5/ Deux gouvernances bien différentes
L’accusation portée contre 3 G d’être un coupeur de coûts sans limite et d’abandonner le long terme au profit du court terme, nous semble contradictoire avec le fait qu’il garde le contrôle des entreprises qu’il a acquises (AB Inbev, Kraft Heinz, Burger King), contrairement à un fonds de LBO classique par exemple. Il sera donc en première ligne pour en supporter les éventuelles conséquences de son éventuel court-termisme qui nous paraît plus relever de la critique facile et superficielle que d’une analyse sérieuse. Sa gouvernance d’entrepreneurs actionnaires opérationnels ne paraît pas spontanément moins bonne que celle d’un grand groupe coté, sans actionnaire principal, dans un contexte de gestion passive sans cesse plus importante dans le
capital des groupes. C’est un euphémisme.

6/ Et maintenant ?
Le cours de Unilever n’est pas revenu à son niveau d’avant l’annonce de la possibilité
d’une offre ; il lui est supérieur de 21 %, donc plus que de la prime proposée. Les
investisseurs anticipent que Unilever, ayant senti le vent du boulet passer de près, va
revoir sa stratégie et sa gestion pour améliorer ses résultats et éviter que pareille
mésaventure pour lui ne se reproduise. C’est d’ailleurs ce à quoi ses dirigeants
semblent s’être attelés. S’ils y parviennent, son cours, son cours progressera, ce qui
constituera sa meilleure protection contre une nouvelle offre. S’il échoue, une offre
reviendra et il sera beaucoup plus difficile de la contrer une seconde fois (cf. Zodiac et
Safran).

Bonne lecture à tous.

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1    #9 06/06/2017 23h50

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Bonjour à tous,
Via xlsValorisation j’ai tenté d’estimer la valeur de l’entreprise Unilever et comme pour Nike, je ne sais pas quel est le nombre d’actions exact (à 1 milliard prêt…). C’est pourtant une information primordiale pour valoriser une action.

Dans xlsValorisation le nombre de titres en J10 est :


Et le nombre d’actions diluées 2016 en H33 :


Pourquoi une telle différence ? Quel est le bon nombre d’actions ?

Unilever possède au moins 2 entités juridiques bien distinctes, Unilever NV et PLC. source site Unilever

Unilever a écrit :

The history of Unilever
Unilever was founded in 1930 following a business merger between Naamlooze Vennootschap Margarine Unie of the Netherlands and Lever Brothers Limited of the UK.

To avoid punitive taxation levies and the disruption to the business that would result from dividing integrated national companies into their component parts, both companies pooled their interests through a business merger as opposed to a legal merger.

Two controlling companies were set up, one English (Unilever Ltd - now Unilever PLC) and the other Dutch (Naamlooze Vennootschap Margarine Unie – now Unilever N.V.).

To allow both companies to operate as a single legal entity notwithstanding their independent legal structures, a series of agreements was put in place: mutual sharing of brands and technology; equalisation of dividend; mutual guarantee of borrowings; identical Boards of Directors and equal treatment for shareholders in the event of dissolution.

Google traduction a écrit :

L’histoire d’Unilever
Unilever a été fondée en 1930 à la suite d’une fusion commerciale entre Naamlooze Vennootschap Margarine Unie des Pays-Bas et Lever Brothers Limited du Royaume-Uni.

Afin d’éviter les prélèvements punitifs imposés et la perturbation de l’activité qui résulterait de la division des entreprises nationales intégrées dans leurs composantes, les deux sociétés ont mis en commun leurs intérêts par une fusion commerciale par opposition à une fusion légale.

Deux sociétés de contrôle ont été créées, un anglais (Unilever Ltd - maintenant Unilever PLC) et l’autre néerlandais (Naamlooze Vennootschap Margarine Unie - maintenant Unilever NV).

Pour permettre aux deux sociétés de fonctionner en tant qu’entité juridique unique, en dépit de leurs structures juridiques indépendantes, une série d’accords a été mis en place: le partage mutuel de marques et de technologies; Égalisation des dividendes; Garantie mutuelle des emprunts; Conseils d’administration identiques et égalité de traitement pour les actionnaires en cas de dissolution.

Wikipédia a écrit :

Une public limited company, traduisible par « société ouverte à responsabilité limitée » ou « société publique à responsabilité limitée », est une forme d’entreprise dans plusieurs pays du Commonwealth notamment en Irlande et au Royaume-Uni. Il s’agit d’une entreprise dont les parts ont été vendues par offre au public de titres financiers. Elle peut être comparée aux sociétés anonymes (SA) du système juridique français.

ISIN GB00B10RZP78 cotée sur le London Stock Exchange et l’ADR aux USA est ISIN US9047677045.

Et donc Unilever NV pour :

Wikipédia a écrit :

Naamloze Vennootschap (abréviation: N.V. ou NV) est un acronyme pour l’expression française Société ouverte à responsabilité limitée, une société publique. Le suffixe N.V. ou NV est utilisé aux Pays-Bas, la Belgique, le Suriname et les Antilles néerlandaises. Il est aussi utilisé en Indonésie, Curaçao, Saint-Martin et Aruba.
Le droit commercial néerlandais distingue deux types de sociétés de capitaux à responsabilité limitée :
les sociétés à responsabilité limitée "publiques" (type SA), dites NV (naamloze venneetschap).
les sociétés à responsabilité limitée "privées" (type SARL), dites BV (besloten vennootschap).
Littéralement, « société à responsabilité limitée » (S.A.) signifie « risque sans nom », puisque les actionnaires d’une société publique peuvent rester anonymes. Une telle société ou des stocks sont négociés à une bourse. C’est le contraire d’une société Besloten Vennootschap (B.V.), un « partenariat fermé » ou « exclusive ». Une telle société ou des stocks ne sont pas en vente sur le marché libre.

ISIN NL0000388619 and depositary receipts of ordinary shares ISIN NL0000009355.

Ok, donc 2 entités juridiques distinctes dans 2 pays + les 2 ADR associés, le tout ne représentant qu’une entité économique… maintenant le nombre de parts :

Unilever a écrit :

Each ADR represents 1 underlying ordinary PLC share. There are 1,714,727,700 NV ordinary shares in issue, each having a nominal value of €0.16. There are 1,310,156,361 PLC ordinary shares in issue, each having a nominal value of 3 1/9 pence.

Si je traduis bien, chaque ADR représente 1 action ordinaire sous-jacente de l’entité UK PLC.
Il y a 1,714 millions d’actions de l’entité NV et 1,310 millions d’actions de l’entité PLC.

On retrouve cette même décomposition dans le RA 2016 page 34.

Je ne comprends pas si je dois additionner les deux types d’actions ou si elles sont équivalentes, si c’était le cas il y en aurait le même nombre non ?
Vu l’histoire de la société citée plus haut je ne pense pas qu’il faille les additionner mais quel nombre prendre ?

De plus, aucun de ces deux nombres ne correspond au nombre d’actions dans xlsValorisation.

Unilever a écrit :

The Equalisation Agreement between NV and PLC is such that each Unilever N.V. ordinary share of €0.16 represents the same underlying economic interest in the Unilever Group as each Unilever PLC ordinary share of 3 1/9 pence (safe for exchange rate fluctuations).

Since each PLC ADR in New York represents 1 underlying ordinary PLC share, the equalisation agreement implies, in rounded terms, a ratio of 1 NV New York registry share to 1 PLC ADR.

"une action ordinaire NV représente les mêmes intérêts économiques sous-jacent que les actions PLC."
"un ADR PLC représente une action PLC…….. 1  action NV = 1 ADR PLC"

Unilever a écrit :

Overview of structure
Unilever N.V. and PLC have separate legal identities but operate as a single entity. Each Unilever N.V. ordinary share of € 0.16 represents the same underlying economic interest in the Unilever Group as each Unilever PLC ordinary share of 3 1/9 pence

Même constat 1 action NV = 1 action PLC mais pourquoi n’y en a t-il pas le même nombre ?

Et suivant les portails boursiers je trouve différents résultats:

Sur Boursorama on trouve une capi de 13 260 248.90 MGBX / 4370 GBX/action soit 3 034 millions actions. xlsvalorisation donne une capitalisation de 56 Mds£

Sur Zonebourse.com, on trouve 1 310 millions d’actions A (comme l’entité PLC) et 1 714 millions d’actions D (comme l’entité NV) soit 3 024 millions d’actions si l’on somme.
Sur ce même site je n’ai pas les mêmes données financières entre les deux structures
Entité PLC CA 2017 : 56 212 M€
Entité NV CA 2017 : 55 619 M€

Sur FT

"Outstanding shares 3.00 BN".

D’après les portails boursiers j’aurais plutôt tendance à sommer le nombre d’actions des deux entités, mais cela me semble incohérent avec le site d’Unilever cité en début de message.

Enfin dans le RA 2016 nous avons un "Diluted earnings per share" de 1.82 euros divisé par 1.19 (parité €/£ du 15/07/2016) soit 1.52£ par action, à peu près comme le pavé fondamentaux d’xslvalorisation pour 2854 millions d’actions.


Alors à votre avis, combien y’a t’il d’actions réellement ?

23h40 je crois que j’ai enfin trouvé la réponse page 106 du RA 2016…..


NV 1714.7
(+) PLC 1310.2
(-) participation des employés 184.7
(+) effet dilutif des stocks options 13.7
= 2853.9……….

Comme le WSJ et la cellule H33 de xlsValorisation….
Il semble donc que les deux sociétés distinctes doivent bel et bien s’additionner…

Je posterai la valorisation selon cette donnée ultérieurement…


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1    #10 07/06/2017 17h10

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Bonjour,

Pour la valorisation d’Unilever, j’ai finalement utilisé l’entité NV par simplicité car sur le site investisseur d’Unilever les chiffres sont en euros.



J’ai choisi les sociétés comparables suivantes :

Colgate-Palmolive : produits d’entretien et hygiène tels que les savons, les détergents, les dentifrices et les brosses à dents. IH Score 7.0 positif

Procter & Gamble : 21 marques : Always, Ambipur, Ariel, Bonux, Bounty, Braun, Dash, Febreze, Fluocaril, Gama, Gilette, Head & Shoulders, Oral-B, Pantene, Pampers etc…. IH Score 7.0 positif

Kimberly Clark Corp : produits  d’hygiène personnelle à base de papier : marque Kleenex, Kotex (serviettes féminines), papier toilette Cottonelle, lingettes nettoyantes, couches Huggies IH Score 7.5 positif

The Clorox Company : entreprise américaines de produits d’entretien ménager (marques ci-dessous que je ne connais pas) IH Score 7.8 positif


Les multiples historiques d’Unilever via Morningstar (par sécurité j’ai pris l’entité PLC, les multiples étaient légèrement inférieurs à NV (0.1 point en moyenne)


On note une pondération assez équilibrée des trois ratios.

Les multiples des comparables


Cette fois le prix/CP est pondéré à zéro du fait des très faibles capitaux propres de Colgate Palmolive et de Kimberly-Clark Corp qui entraînent un ratio négatif, typique des entreprises rentables rachetant massivement leurs actions.

Pour les données normalisées, j’ai utilisé le consensus des analystes disponible sur le site investisseurs d’Unilever.


Il y a des écarts d’incohérence entre les chiffres bruts du consensus et les chiffres 2016 inflatés de xlsValorisation.
Exemple : le CA 2017 est estimé dans le consensus en moyenne à 55.725 M€ soit +3.4%.
Dans xlsValorisation le CA 2016 est 52.713 M€ + 3.4% = 54.505 M€.
Sur ce genre d’écarts je prends toujours la version basse (l’EPS aussi par exemple …)
Les écarts sont minimes mais cela me fait penser au CA différent selon l’entité sur le site zonebourse.

Pour la marge opérationnelle deux taux sont communiqués : « Core operating margin » et « Operating margin ». Ne comprenant pas la différence j’ai pris le plus faible (0.1 point d’écart).

On retrouve également dans ce consensus le nombre d’actions trouvé hier :
"Average # of shares on a fully diluted basis : 2.854"

Ensuite les taux d’actualisation, avec des taux historiques conservateurs et le beta le plus élevé.


Selon l’industrie


La croissance du RO


Ce qui nous amène à une valorisation de………


Les multiples historiques et les comparables sont plutôt en accord avec une valorisation autour de 43€ mais l’actualisation des flux de trésorerie fait descendre la valorisation à 35€.

Même sur une valorisation historique et comparable à 43€ le cours actuel est largement surévalué, seul le plus bas à 52 semaines, autour de 36€ était une valorisation correcte sans être une opportunité !

L’achat ne sera pas pour tout de suite.

Pourtant ma première valorisation faisait apparaître une décote d’une 20aine de %….

Mais c’était avec l’entité PLC en £ avec le nombre d’actions propres uniquement à cette structure (donc avec des prévisions et multiples complètement faux).

En conclusion : bien vérifier les chiffres que l’on utilisent


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1    #11 15/06/2018 10h44

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Les dernières informations que j’ai trouvées à lire ici.

Si tout se passe bien la suppression sera effective en 2019… Wait and see…

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1    #12 15/06/2018 11h39

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il est fort probable que la convention fiscale entre la FRANCE et les PAYS-BAS soit revue et que les dividendes versés aux résidents des PAYS-BAS ne subissent pas de retenue à la source. A l’image de la convention entre la FRANCE et la FINLANDE qui stipule que "Les dividendes payés par une société qui est un résident d’un Etat contractant à un résident de l’autre Etat contractant ne sont imposables que dans cet autre Etat."

https://www.impots.gouv.fr/portail/file … d_1877.pdf


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1    #13 15/06/2018 12h06

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En somme le résident français paierait l’IR à son TMI si ses actions sont en CTO mais aucun IR si ses actions sont en PEA (si la retenue à la source de 15% est bel et bien supprimée).
En ce qui concerne la taxation des dividendes en PEA, les actions Néerlandaises auraient donc les mêmes avantages que les actions françaises, et même un certain avantage car pas de TTF.

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1    #14 15/06/2018 15h44

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Il deviendrait alors évident que l’enveloppe fiscale pour détenir les titres des sociétés localisées aux PAYS-BAS est le PEA. L’application de la  TFF est indépendante de la nature du compte titre CTO ou PEA


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1    #15 04/07/2019 11h37

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Tout est expliqué ici, rien à voir avec la "malchance". smile


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1    #16 04/07/2019 11h38

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J’avais demandé hier pourquoi le titre n’était plus éhangeable. On m’avait prévenu d’un opération sur l’ISIN.

Aucun problème a priori, c’est une opération qui arrive occasionnellement, même si je ne saurais en détailler les raisons (probablement légales ou de séparation/rassemblement d’entités ?)
Si vous voulez surveiller quelque chose, c’est que le broker a bien conservé votre PRU.

edit: croisement avec bibike qui en donne les raisons


La vie d'un pessimiste est pavée de bonnes nouvelles…

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1    #17 04/11/2020 16h57

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La fusion attendue est déclarée:

Bourse Direct a écrit :

UNILEVER NV (NL0000388619) - FUSION

Suite aux assemblées générales des sociétés UNILEVER N.V. et UNILVER PLC des 21/09/2020 et 12/10/2020, nous vous informons de la décision de fusion des actions UNILEVER NV (NL0000388619) par les actions UNILEVER PLC (GB00B10RZP78) à partir du 30 novembre 2020.
La fusion sera effectuée automatiquement à partir du 30 novembre 2020 de la façon suivante (sous réserve de la réalisation effective de la fusion le 29 novembre 2020):

1 action UNILEVER PLC (GB00B10RZP78)
pour
1 action UNILEVER NV (NL0000388619) détenue le 27/11/2020 au soir

Les actions UNILEVER NV (NL0000388619) seront négociables sur Euronext jusqu’au 27 novembre 2020 au soir inclus.

Cordialement

Cristobal


Préférer les entreprises qui crachent du "cash-flow" (à la LVMH) à celles qui cachent du "krach-flow" (à la Enron, Wirecard, …)

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1    #18 05/11/2020 08h55

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Bonjour
Du fait de cette fusion, il va falloir retirer ses UNILEVER NV de son PEA, puisque les UNILEVER plc ne pourront plus s’y loger non plus sous peu.
Pas une bonne affaire pour les actionnaires français, d’autant que les frais sur le London Stock Exchange sont bien supérieurs à ceux d’Euronext ! A Amsterdam, on échappait même à la TTF !
Je pense que je vais acheter du P&G en lieu et place de mes UNILEVER. Au moins, les frais de courtage seront inférieurs sur le NYSE, et je préfère le dollar US à la livre sterling comme risque de change.

Déontologie : je détiens une position acheteuse/vendeuse sur une ou plusieurs société(s) listée(s) dans ce message.

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1    #19 06/11/2020 11h52

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Bonjour,

Je viens d’avoir Bourse Direct au téléphone qui vient de me confirmer que les actions ne pourront pas être gardées dans le PEA à l’issu du 27/11.

Cdt

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1    #20 01/12/2020 18h12

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Je penche effectivement pour un excès de zèle et je vous conseille de les rappeler à l’ordre demain matin si ce n’est pas fait, rien ne justifie de ne pas pouvoir négocier le titre.

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1    #21 02/12/2020 14h32

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Toujours pas de mise à jour chez EasyBourse

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Favoris 2    2    #22 05/12/2020 10h18

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Réponse de Bourse direct sur des titres UNILEVER sur un PEA

Pour faire suite à votre demande au sujet de vos titres Unilever, nous n’avons toujours pas d’informations si le Brexit se ferra avec ou sans accord, pour rappel, l’UE et l’UK ont jusqu’à la fin de l’année afin de savoir s’il y a un accord ou non.

Pour information, la dernière session de négociation (23/07/2020) n’a rien donné de nouveau, et " le négociateur de l’UE a jugé jeudi "peu probable" en l’état de trouver un accord, lors d’une conférence de presse. ".
( Plus d’informations : Brexit : la perspective d’un accord rapide entre Londres et Bruxelles s’évanouit )

Pour les clients détenteurs de titres UK Dans le cadre de leur PEA (voir PEA-PME), les délais en cas de sortie de l’UK sans accord est le suivant :
- Les titres britanniques vifs régulièrement souscrits ou acquis avant la date d’un Brexit sans accord restent éligibles au PEA ou au PEA-PME pendant 15 mois,
- Les parts d’OPC restent éligibles au PEA ou au PEA-PME pendant 15 mois après la date d’un Brexit sans accord si leur société de gestion décide de ne plus respecter les ratios d’exposition et renonce ainsi à l’éligibilité au PEA ou au PEA-PME à l’issue de cette période,
- Les parts d’OPC restent éligibles au PEA ou au PEA-PME pendant 21 mois après la date d’un Brexit sans accord si leur société de gestion décide de respecter les ratios d’exposition et conserve ainsi l’éligibilité au PEA ou au PEA-PME à l’issue de cette période,
- Les parts ou actions d’OPCVM britanniques, régulièrement souscrites ou acquises avant un Brexit sans accord, restent éligibles au PEA pendant 15 mois.

Nous restons disponible si vous avez la moindre question,

Bien cordialement,

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4    #23 04/02/2021 10h55

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Les résultats annuels étaient annoncés ce matin:
- Augmentation du CA en euros constants de 3,1%, mais effet devise de -6,5%. Le CA baisse donc de 2,4%.
- La marge opérationnelle passe de 19,1% à 18,5%.
- L’EPS passe de 2,55€ (+4,1% en euros constant) à 2,48€ à cause du même effet devise.
- Le FCF reste à 7,7Md€, la ratio Net debt/Ebitda à 1,8x, le ROIC à 18%

Voici le document de référence

=> Slide 33
Grosse insistance sur les positions de leaders (#1 ou #2 dans les pays présentant les potentiels de croissance les plus importants des 10 prochaines années: Chine, Inde, USA, Indonésie, Turquie, Vietnam, Pakistan, Brésil, UK, Philippines)

=> Slide 38
Bilan du plan stratégique présenté en 2017: Aura-t-on le même type de slide chez Danone ?
Le critère de croissance CA est dans le bas de la fourchette 3-5%

=> Slide 57
Investir sur le réseau de distribution et sur les marques leaders.
Insistance sur le eB2B qui présente un fort potentiel de croissance.

=> Slide 59
Investir sur la technologie et sur le personnel (upskilling) pour améliorer la performance.

=> Slide 66
Comme d’habitude: Sustainability, Portfolio Management, + Returns to shareholders (div, buyback, rachat minoritaires)
Augmentation du dividende trimestriel de mars 2021 de 4% à 0,4268. Je n’ai pas vu de communication pour les trimestres suivants.

Remarque des analystes:

- En retard par rapport à Colgate et P&G au niveau marge.

=> Alan Jope: Nous n’avons pas les mêmes répartitions géographiques et les mêmes % par division.

- Impact (Notoriété) réel des marques "sustainable" (Slide 34)

=> Le management est convaincu de l’impact et n’est pas vraiment convaincu de la méthode de calcul de Kantar.

- Etes-vous capable de délivrer 3-5% sur les prochaines années ?

=> 2020: do not use the year as a benchmark as it is an aggregate of chaos
Confiant sur les marques et sur leur capacité à augmenter les prix, ils ont déjà réussi à le faire les années précédentes.

- Capacity à maintenir le ROIC dans les high teens et M&A ?

=> Investir dans le business, se séparer de certaines unités sous-performantes si besoin.
L’impact complet de Horlick ne se verra qu’en 2021 sur une année complète (Acquisition finalisée en avril 2020).
La guidance est plutôt de devenir net acquirer.
Les cibles M&A Prestige Beauty sont trop chères actuellement.
Pas de d’agenda sur le business thé.

- L’ESG a-t-il un impact négatif sur le business ? (Cost of sustainability)

=> Non, les marques "Sustainable" croîssent plus vite que le reste même s’il y a un coût de départ.

- Endettement ?

=> Confortable avec 1,8x , les rachats d’actions ne se feront qu’en fonction de la position cash, donc aucun chiffre indiqué.

- Petcare sector, do you plan to develop this sector ?
=> Not in the strategy

- Evolution des coûts additionnels liés au Covid sur les prochaines années ?
0,5% de marge tant que le virus est là.
Continuer à investir sur les marques (marketing) afin de garder leurs valeurs

Le cours perd 4,65% (donc le management a pris une dizaine de questions d’analystes en tout)

CCL d’Alan Jope: Insistance sur le Cash, l’investissement sur l’omnicanal, la distribution, et les positions de leaders sur les marchés en croissance.

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2    #24 19/03/2021 09h32

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INTJ

MisterVix, le 18/03/2021 a écrit :

Bonjour

J’ai un peu de mal à comprendre les conséquences du transfert de l’intégralité du siège social Unilever à Londres avec maintien d’une cotation en euros.

Pour l’action cotée sur Euronext, en euros:

>Pas de stamp duty à l’achat?

> Le dividende ne souffrira plus de prélèvement à la source (convention fiscale UK et non néerlandaise)?

> Le montant du dividende euro sera t’il sensible à la parité euro/GBP (si jamais Unilever raisonne sur des chiffres en GBP, et que GBP baisse, alors le dividende Euro en valeur absolu peut baisser malgré une hausse du dividende GBP?)

Pas d’action en portefeuille.

La devise de référence de la société dans ses comptes est l’€.
A mon avis, le pb du taux de change du dividende est minime par rapport au taux de change €/$ ou à la fiscalité indienne.

Pour l’action Euronext:
+ pas de stamp duty
+ dividende en euros (donc pas de frais de changes sauf si compte multi-devise)
+ pas de prélèvement à la source sur le dividende (société UK)
- PEA: indisponible à l’achat depuis le 29/12/2020, on devra vendre les titres d’ici la fin du mois de septembre
- pas de bénéfice des frais réduits Loi Pacte

Pour l’action cotée sur LSE:
- Frais plus élevés
- stamp duty
- dividende en £
+ pas de prélèvement à la source

=> Il n’y a plus d’intérêts à la posséder sur LSE pour éviter la retenue à la source NL

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1    #25 11/02/2024 12h47

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Les résultats annuels 2023 sont disponibles ici et  :
- chiffre d’affaires de 59,6 milliards d’euros soit -0,8% mais +7% (+6,8% de prix et +0,2% de volume) à périmètre et change constants, retour de la croissance en volume grâce au 4éme trimestre
- marge opérationnelle en hausse à 16,7%
- résultat net par action de 2,6€ euros (+1,2% mais 2,84€ soit +10,5% à change constant)
- free cash flow de 7,1 milliards d’euros
- ratio dette/EBITDA inchangé de 2,1 et notation maintenue à A+ par Standard & Poor’s

Dividende inchangé à 0,4268€ par trimestre, soit 1,7072€ par an. Rendement de 3,6%. Prochain détachement le 22 février pour un paiement le 22 mars.

Perspectives 2024 :
- croissance du chiffre d’affaires sous-jacent entre 3% et 5% mieux équilibrée entre volume et prix
- modeste hausse de la marge opérationnelle grâce à une meilleurs productivité et une inflation revenue à des niveaux plus normaux
- à nouveau 1,5 milliard d’euros de rachat d’actions

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