Vous oubliez les revenus financiers ponctionné de 30% = 0,3065€.
Les revenus du tableau sont nets de fiscalité à l’étranger , bruts de fiscalité française sur les revenus et nets de fiscalité française sur la plus-value.
Le principe, c’est de retenir ce que perçoit un associé personne physique assujetti à l’impôt sur le revenu.
_Je retiens les revenus à l’étranger nets de fiscalité car l’impôt est payé à la source et est le même pour tout le monde.
_Les dividendes français sont bruts car même si les PS sont pour tout le monde, ensuite cela dépend de la TMI de chacun.
_La plus-value est nette car cela a toujours été ainsi et certains gérants s’amusent à distribuer tantôt de la PV nette, tantôt du "reset fiscal" ce qui revient à dire "je vous donne 100 mais ils ont servi à payer l’impôt sur la PV à hauteur de 100" (et tantôt un mélange des deux mais parfois décorrélé, parfois non). Il serait préférable de distibuer un montant imposé à la hauteur de ce qu’il a généré mais ce n’est pas le cas.
La communication que je vois par différents gérants a tendance à me conforter dans cette approche, Sofidy indique un dividende en euros net de fiscalité à l’étranger tout en indiquant les pourcentages nets et bruts de fiscalité étrangère. Aestiam en fait de même dans les bordereaux de distribution, dividende net en euros.
La direction choisie par l’ASPIM n’est pas durable, sur la fiscalité à l’étranger pourquoi pas, ils donnent raison à Corum, bravo à eux donc mais pourquoi diable avoir choisi de calculer le taux de distribution sur la valeur de la part au 1er janvier de l’année N et non pas au 31 décembre ?!
C’est pour moi incompréhensible et preuve d’une certaine incompétence, même si j’approuve l’abandon du TVDM qui compliquait les choses. Là on simplifie mais en embrouillant/trompant l’investisseur dans le cas des SCPI qui ont vu leur prix de part évoluer :
_Si le prix a augmenté, l’investisseur touchera un pourcentage inférieur à ce qui est communiqué, à dividende stable.
_Si le prix a diminué, l’investisseur touchera un pourcentage supérieur à ce qui est communiqué, à dividende stable.
C’est trompeur dans les deux cas. Si le prix de part n’a pas évolué, alors rien à signaler.
Désolé si c’est compliqué mais cela permet en plus de comparer les chiffres que l’on a avec ceux des années précédentes.