#1 02/06/2012 11h19
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“INTJ”
Je créé une file dédiée, c’est + facile pour discuter.
Donc le pb essentiel avec l’actualisation des bénéfices futurs, c’est la détermination du taux d’actualisation.
D’autre part, comme ici on travaille avec le résultat net, la valeur intrinsèque obtenue est sensée être celle de l’actionnaire (donc créanciers exclus), car les intérêts de la dette ont déjà été payés.
Mais comme une société comme Kellogg utilise beaucoup les marchés obligataires, sa dette est un peu comme un crédit "in fine". De fait, le résultat net inclut certes le payement des intérêts, mais pas le payement principal, qui est assez élevé dans le cas de Kellogg.
En conséquence l’estimation de la valeur intrinsèque se trouve "artificiellement" assez élevée.
Pour corriger ce biais, il faut soit utiliser un taux d’actualisation plus élevé, soit considérer que la valeur intrinsèque obtenue doit être corrigée de la dette nette.
Mais dans les deux cas cela nous fait prendre des libertés sur la méthodologie et donc peut être considéré comme de la bidouille ?
Mots-clés : actualisés, bénéfices, futurs, kellogg, valorisation
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