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#51 01/07/2012 10h20
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“INTJ”
Christian,
Il faut distinguer deux choses.
Un aspect rentabilité : le passage du statut auto-entrepreneur à EI/EURL/SAS qui grève une partie de la rentabilité du fait de la fin de la franchise de TVA. Ceci peut mettre à mal le modèle économique d’un petit site.
Un aspect administratif : bcp plus formel avec les statuts EURL/SAS, avec l’urssaf et tout le toutim (obligation aussi d’ouvrir un compte bancaire professionnel, plus couteux en frais). Ceci peut en grande partie être déléguée à un cabinet d’experts comptable/un expert-comptable. Selon votre volume d’activité, vous payerez 1500 à 3000 Euros.
Pour le 1er aspect, il n’y a pas vraiment de solution à part limiter volontairement la croissance de son site.
Pour le 2e aspect, comme indiqué dès lors que l’on s’appuie sur un professionnel, ça se gère même si cela à un coût.
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#52 01/07/2012 10h42
- christian5
- Membre (2012)
- Réputation : 2
InvestisseurHeureux
Oui, je comprend tout à fait cette problématique. Et en passant, vous voyez que j’ai rejoins votre avis, vous m’avez un peu ouvert les yeux avec cette notion d’investissement à haut rendement. Merci.
De votre coté, comprenez que ce genre de startup réussissent parce qu’elles sont l’issue d’un travail au départ passionné, désintéressé, sans business plan. On peut avec internet faire des choses très ambitieuses avec trois bout de ficelle et énormément d’obstination, des choses que des entreprises hésiteraient à développer ce le cout du développement est alors énorme, même si la tendance est de délocaliser celui ci en Inde. Ma problématique a plus été de motiver les gens à m’aider, un patron lui se contente de donner des ordres. Donc ce travail de chef de projet dont j’ai revêtu l’habit a été tout bonnement titanesque et harassant. Je peux donc voir cela comme un produit à haut rendement, mais le coté investissement, je ne peux le considérer que comme énorme de mon point de vue, en temps comme en casse tête. Financièrement, l’investissement réel représentait à peu près 1500 €, et là, oui, c’est peu.
En fait, dans l’idéal, je vise à terme à me séparer de l’activité. Car ces problèmes que vous décrivez restant cornéliens. Pour que ce soit rentable d’opter pour une structure plus formalisée, il faudrait un véritable saut quantique au niveau du chiffre d’affaire. Hors j’ai encore un long travail de développement à faire aboutir pour avoir un produit (quel terme..), qui soit visiblement pérenne et potentiellement beaucoup plus fructueux qu’actuellement. Mais j’ai un atout: Mon site intéresse des très grosses sociétés. J’ai un partenariat avec l’une d’elle. Si une de ces sociétés souhaite un jour avoir l’exclusivité du système, ce qui lui donnerait alors un gros avantages sur ces concurrents, elle pourrait envisager de l’acheter. Et c’est ce que j’espère. Il restera alors à étudier la question fiscale de la vente d’une entreprise, ou d’un site (ce n’est pas la même chose), et là aussi les politiques vont modifier les textes. Donc je vais m’intéresser tranquillement à cette question et en suivre l’actualité, de toute façon, ce n’est pas pour tout de suite. Ce que je peux dire c’est que jusqu’à maintenant je ne me suis jamais trompé dans mes projections et je crois rationnellement que ce sera la conclusion logique de l’histoire.
En conclusion, pour l’instant je choisis la solution de la limitation forcée de la croissance qui me permet d’avoir un revenu confortable pour le provincial que je suis. Cela représente à peu près 2000 € net par mois et c’est quand même déjà sympathique.
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#53 02/07/2012 10h14
- mdelobel
- Membre (2011)
- Réputation : 19
lobourse a écrit :
Il ne faut pas se faire manger par son projet. Je passe trop de temps et je suis incapable de délégué quoi que ce soit, j’ai eu trop de mauvaise expérience, c’est très difficile de trouver des gens compétent qui ont la même approche que soi.
C’est quand même malheureux d’écrire ça, je suis conscient que cela doit être difficile à comprendre pour certains.
a+
Salut Loïc et content de te retrouver ici :-) Je comprend en tout cas tout à fait. Je trouve aussi que c’est très difficile de trouver des personnes compétentes et surtout qui ont la même approche et vision que soit, ou en tout cas suffisamment proche pour pouvoir déléguer sans problèmes.
J’ai pas mal galéré pour trouver des associés. Après plusieurs tentatives infructueuses, j’ai enfin trouvé, mais cela ne se fait pas sans difficultés pour autant.
Quant aux problèmes administratifs, et de plafond, c’est effectivement absurde en un sens. Si des progrès ont été fait pour aider les gens à entreprendre, il y a encore des efforts à faire… Les coûts n’augmentent malheureusement pas proportionnellement, et les incitations devraient être dans l’autre sens : aider les autoentrepreneurs et micro entreprises à grossir plutôt que l’inverse…
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#54 02/07/2012 10h50
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christian5 a écrit :
En fait, dans l’idéal, je vise à terme à me séparer de l’activité. Car ces problèmes que vous décrivez restant cornéliens. Pour que ce soit rentable d’opter pour une structure plus formalisée, il faudrait un véritable saut quantique au niveau du chiffre d’affaire. Hors j’ai encore un long travail de développement à faire aboutir pour avoir un produit (quel terme..), qui soit visiblement pérenne et potentiellement beaucoup plus fructueux qu’actuellement. Mais j’ai un atout: Mon site intéresse des très grosses sociétés. J’ai un partenariat avec l’une d’elle. Si une de ces sociétés souhaite un jour avoir l’exclusivité du système, ce qui lui donnerait alors un gros avantages sur ces concurrents, elle pourrait envisager de l’acheter. Et c’est ce que j’espère. Il restera alors à étudier la question fiscale de la vente d’une entreprise, ou d’un site (ce n’est pas la même chose), et là aussi les politiques vont modifier les textes.
Je peux déjà vous répondre.
Avec le statut auto-entrepreneur vous serez limité dans le montant de la vente liée à la cession.
Et dans le cadre d’une structure juridique ad-hoc (EURL, etc), vous payerez environ 35% de taxes sur la cession.
Autant dire que c’est très dissuasif et que vous auriez plutôt intérêt à prendre sur vous et à apprendre à déléguer et faire croitre "proprement" votre business…
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#55 02/07/2012 11h27
- christian5
- Membre (2012)
- Réputation : 2
Merci.
C’est une possibilité que je n’exclue pas. Déléguer l’administratif/comptable etc… je ne demande pas mieux de toute façon. Je ne suis pas fait pour ça.
De plus il faudra que j’anticipe tout ça car j’ai toute les chances d’exploser le plafond bien avant la fin de l’année et je ne pourrais pas l’empêcher. La TVA déjà, je devrais pouvoir la faire supporter à mes clients sans problèmes.
Quand je parlais de délégation dans un précédent message, j’évoquais le travail proprement dit sur mon système, et encore. Il sagit de son évolution que je me contente de superviser. Le système lui même est automatisé à 99% et j’ai déjà passé de longues périodes sans m’en occuper.
Plus le temps passe et plus je suis convaincu que le potentiel est à peine effleuré et surtout que ce sera pérenne à très long terme. Donc partant de là, pourquoi vendre ?
Ce sont mes déboires administratif et l’idée aussi de prendre ma retraite qui motivent l’envie d’une vente fructueuse mais d’autres voies sont possible, je n’avais pas envie de les emprunter, après, tout n’est que barrière à franchir (psychologique), le passage à l’acte peut en découler rapidement.
Et en dehors de ça, j’ai besoin de capitaux pour un projet personnel, l’idée de m’endêtter lourdement ne m’enchante pas.
Avec amusement, je pensais hier au fait que nous sommes vous et moi dans des situations opposées. Il me semble que vous avez investi dans l’immobilier. Cela implique des problèmes autres, notamment les variations des prix, et aussi le problème du politique qui peut contraindre ce genre d’investissements. Hors vous avez investi dans quelque chose de matériel, qui conservera une certaine valeur quoi qu’il arrive. (je ne pense pas qu’une bulle éclatera, elle se dégonflera tout au plus), quand à moi c’est l’inverse. Je possède quelque chose de virtuel, qui a une valeur actuelle et potentielle au futur difficile à évaluer, et qui peut aussi ne plus rien valoir du jour au lendemain pour un tas de raisons. Par contre, je n’ai pas eu à investir autre chose que du travail pendant une durée relativement courte pour posséder cette chose.
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#56 02/07/2012 12h00
- christian5
- Membre (2012)
- Réputation : 2
mdelobel a écrit :
Quant aux problèmes administratifs, et de plafond, c’est effectivement absurde en un sens. Si des progrès ont été fait pour aider les gens à entreprendre, il y a encore des efforts à faire… Les coûts n’augmentent malheureusement pas proportionnellement, et les incitations devraient être dans l’autre sens : aider les autoentrepreneurs et micro entreprises à grossir plutôt que l’inverse…
Bonjour,
Je ne suis pas entièrement d’accord avec vous. Dans un premier temps, il faudrait déjà donner un peu de soufle aux artisans et PME. Si on en fait plus pour les auto entrepreneurs, ce sera la goutte d’eau qui déborde du vase.
J’ai eu un aperçu de ce qu’était la galère financière que peut connaitre un entrepreneur individuel au vu des sommes que me réclamait l’URSAFF, par anticipation, ce qui est absolument injuste comme système.
Nous sommes dans un pays qui massacre les PME, quand aux autoentrepreneurs, cela sert à récupérer une partie des flux financier du travail au noir, même si des gens bien intentionnés ont aussi oeuvrés à ce statut.
Maintenant, dans le fond, oui, vous avez entièrement raison, dans un système qui prône la croissance, il faut alors copier le modèle anglo saxon qui encense l’esprit d’entreprise et la réussite.
Mais cela se fait au détriment de l’aspect social. C’est marche ou crève. C’est le jeu du "que le meilleur gagne" et tant pis pour les autres.
Il n’y a pas d’issue.
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#57 02/07/2012 12h24
- mdelobel
- Membre (2011)
- Réputation : 19
Christian,
Je ne parlais pas d’autoentrepreneur, puisque dès le départ, je me suis mis en EURL. Je suis donc tout à fait d’accord : donnons du souffle aux artisans et PME :-), qui restent le premier employeur du pays. Le problème, c’est que je n’ai absolument pas envie d’embaucher actuellement. J’ai pris l’option de m’associer et créer sans doute une SAS. Mais là aussi, c’est loin d’être simple…
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#58 02/07/2012 12h42
- christian5
- Membre (2012)
- Réputation : 2
mdelobel
Oui, alors nous sommes bien d’accords.
Signé: un peut être futur entrepreneur
Avez vous examiné la SASU ?
Pas de cotisations sociales si vous avez un autre travail. Ensuite, si vos moyens vous le permettent, vous percevez des dividendes en fin d’exercice. Pour la fiscalité je ne sais plus trop, j’avais creusé il y a déjà un moment. Enfin on peut choisir l’IS il me semble et ensuite il reste la CSG. Ca me parraissait très rentable comme solution quand elle est possible.
Et si je comprends bien, vous ne pouvez faire fonctionner votre entreprise tout seul donc cela élimine sans doute cette solution.
Je vois que je me plains mais qu’au final je suis bien loti semble t’il.
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#59 02/07/2012 13h10
- mdelobel
- Membre (2011)
- Réputation : 19
Je n’ai pas examiné la SASU car quand j’ai créé mon EURL, cela n’existait pas. Je suis par ailleurs à l’IR avec cette EURL.
Mais comme vous l’avez bien compris, ne souhaitant plus rester seul pour accompagner la croissance de mon entreprise (car j’ai en parallèle un boulot de gestionnaire de portefeuille sous mandat et je ne peux pas concilier les deux sans une aide), j’avais plusieurs options. J’ai opté pour m’associer avec une personne ayant un profil similaire au mien, et dans cette optique, il faut naturellement sortir de l’entreprise unipersonnelle. D’où mon orientation pour la SAS.
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#60 03/07/2012 02h55
- lobourse
- Membre (2012)
- Réputation : 0
Je suis en EURL IS et je pense payer moins de charge qu’en auto-entrepreuneur.
IS , car j’ai un autre travail à coté et qu’en cumulant je franchissait des tranches de l’impôt sur le revenus.
3000 euros par an d’expert comptable, c’est ma plus grosse dépense.
Après, le problème, c’est de récupérer l’argent que l’entreprise génére.
Exemple avec 10 000 euros de bénéfice.
Soit je me verse une rémunération tous les mois, environ 45% de charge, je recois 5 500 euros et je paie 30% d’impôt sur le revenus, reste 3850 euros.
Soit je me le verse en dividende à la fin de l’année, 15% d’IS, reste 8500 euros, 15,5% de prélèvement sociaux, je reçois 7180 euros et je paie l’impôt sur le revenus après abbatement de 40%; c’est-à-dire 30% de (7180/2) , reste 6100 euros.
avec les dividendes, 0 cotisation pour la sécu, retraite et autres.
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#61 03/07/2012 21h46
- davefrr
- Membre (2011)
- Réputation : 4
(Presque) sur le même sujet, est-ce que certains d’entre vous connaissent des sites fiables consacrés à la vente de site et/ou de NDD francophones?
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#62 05/07/2012 12h31
- christian5
- Membre (2012)
- Réputation : 2
@ lobourse.
Cela me confirme que la SASU est une possibilité pontiellement intéressante pour moi. Le capital peut se limiter à 1 €, il y a surement des avantages et des inconvénients pour chaque type de société.
Je te contacte bientôt pour te donner un lien et des explications concernant mon site.
@ davefrr
Sur Webrankinfo il c’est un sujet fréquemment soulevé. De ce que j’ai retenu, c’est que de ce coté de l’atlantique ce n’est pas très développé. Ailleurs on sait mieux flairer le potentiel de valeur d’un site. L’idéal est bien sur d’avoir des chiffres sur deux ou trois ans avec une belle progression. Désolé, je n’ai pas noté de liens.
@ mdelobel
Merci pour toutes ces précisions, et je vous aurai évité des répétitions si je vous avais mieux lu.
J’ai les idées plus claires maintenant et je pense que notre admin a raison, je peux assumer d’avoir à gérer quelque chose de plus important qu’une auto entreprise et le jeu peut en valoir la chandelle.
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#63 03/03/2015 06h52
- Discret
- Membre (2014)
- Réputation : 23
Je me cultive et je me forme en ce moment dans le domaine de la monétisation, du seo et du smo. Sans projet rémunérateur pour l’instant.
Cela peut recouper la thématique du site : revenus passifs, autoformation, possibilité d’administrer à distance sous des cieux plus cléments.
Le nouvelobs a rédigé un article sur un entrepreneur, Simon Lagouge, basé en Thaïlande, qui dit gagner 10 K/mois. Les chiffres paraissent peu cohérents par rapport au CA déclaré (150K/an) et au nombre de salariés (4). L’aspect financier n’est donc pas solidement étayé. En revanche, l’origine des revenus a piqué ma curiosité.
Il spécule sur les noms de domaines. Et il en vit (en Thaïlande)- 14 décembre 2014 - L’Obs
Y-a-t-il d’heureux investisseurs sur le site qui ont expérimenté ce type de business (achat de noms de domaines, optimisation (seo, smo) avant revente) ? Si oui, quel background technique avez-vous ?
Essentiellement investi en immo. Adjudications et divisions.
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#64 03/03/2015 09h41
- zetrader
- Membre (2011)
Top 50 Expatriation - Réputation : 89
Discret a écrit :
Un commentaire bien amusant sur le type de business du gars
Toni Golan a posté le 15 décembre 2014 à 15h17
Jeune talent … ben voyons ! Mon expérience avec ce jeune talent :
Un jour S.Legouge contacte par mail ma société pour nous informer qu’il a créé un site avec un nom de domaine très proche du notre, qu’il va le référencer et que si on ne veut pas que ce site soit confondu avec le notre on n’a qu’a lui envoyer un chèque et il supprimera le site ….
Quand on lui répond en lui disant qu’il doit fermer ce site car la marque est protégée et que c’est un cas de cybersquatting, le gars répond : "mais vous êtes vraiment des enc…… vous pourriez me payer pour le temps que j’ai passé, tout travail mérite salaire"…
Bref un jeune talent dont on n’a pas besoin en France.
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#65 03/03/2015 09h55
- mercators
- Membre (2012)
Top 50 Monétaire - Réputation : 34
lobourse a écrit :
Je suis en EURL IS et je pense payer moins de charge qu’en auto-entrepreuneur.
Soit je me le verse en dividende à la fin de l’année, 15% d’IS, reste 8500 euros, 15,5% de prélèvement sociaux, je reçois 7180 euros et je paie l’impôt sur le revenus après abbatement de 40%; c’est-à-dire 30% de (7180/2) , reste 6100 euros.
avec les dividendes, 0 cotisation pour la sécu, retraite et autres.
bonjour,
vous avez raté une réforme, pour les EURL les dividendes sont soumis aux cotisations sociales pour la part excedant 10% du capital social.
cdlt
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1 #66 03/03/2015 10h23
- Sanbouddha
- Membre (2014)
- Réputation : 56
mercators a écrit :
vous avez raté une réforme, pour les EURL les dividendes sont soumis aux cotisations sociales pour la part excedant 10% du capital social.
cdlt
La réforme date de 2013. Le message auquel vous répondez est de juillet 2012.
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#67 03/03/2015 18h34
- Discret
- Membre (2014)
- Réputation : 23
@Zetrader, clairement, il prend très cher dans les commentaires. Et la journaliste aussi indirectement. C’est typiquement le papier rédigé à la va-vite à partir d’une seule source sans vérification ou complément d’information extérieur. Surtout, le côté financier est ridiculement incohérent.
En revanche, au-delà du cas personnel énoncé, je sollicitais des infos sur ce business des noms de domaine que je croyais sur le déclin, avec la raréfaction des noms disponibles et le durcissement du cybersquatting.
Essentiellement investi en immo. Adjudications et divisions.
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#68 05/03/2015 13h17
- NicolasV
- Membre (2013)
Top 50 SCPI/OPCI - Réputation : 128
Je trouve également dommage que des magazines de type capital, MVV mettent souvent en avant ce genre de "sucess story" alors qu’elles sont parfois bidonnées par leurs auteurs. Ces auteurs ont d’ailleurs souvent un produit à vendre (ce qui n’est pas le cas ici cela dit), ce qui fait de l’article un contenu publi-rédactionnel.
Pourtant des exemples de startup innovantes et qui ont réussi il y en a ! mais la réalité sera souvent moins vendeuse que la carte postale.
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#69 08/03/2015 16h31
- marcoschwartz
- Membre (2015)
- Réputation : 1
Bonjour,
Etant nouveau sur ce forum, je découvre ce sujet avec beaucoup d’intérêt puisque c’est en gros mon métier
Je ’construis’ depuis 2 ans maintenant des sites webs dans le but de générer du cashflow ou de les revendre un jour, et j’ai pour l’instant acheté 1 autre site web.
Je monétise mes sites webs principalement avec Amazon (via le programme affilié) et via la vente de produits numériques comme les eBooks.
Dans le future je compte investir dans de plus gros sites webs, par exemple en achetant via des brokers comme Established Websites for Sale on the Empire Marketplace (je n’ai aucun liens avec eux, c’est juste un exemple).
En tout cas, si vous avez la moindre question sur le sujet, n’hésitez pas! Je considère l’investissement dans un site web comme un investissement immobilier ’numérique’. Avec bien sur plus de risques, mais aussi plus de rendement: la plupart des sites listés à la vente on un rendement annuel d’environ 50% - 60% et un retour sur investissement en moins de 2 ans.
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#70 08/03/2015 16h51
- Sanbouddha
- Membre (2014)
- Réputation : 56
marcoschwartz a écrit :
Je ’construis’ depuis 2 ans maintenant des sites webs dans le but de générer du cashflow ou de les revendre un jour
[…]
En tout cas, si vous avez la moindre question sur le sujet, n’hésitez pas!
J’ai une question : concrètement vous produisez quoi ? quelle est votre valeur ajoutée ?
Hors ligne
1 #71 08/03/2015 17h04
- marcoschwartz
- Membre (2015)
- Réputation : 1
En gros après avoir choisi le thème d’un site (par lequel je suis intéressé, je ne fais pas ça que pour l’argent), construire un site consiste en:
- créer le site en lui même (mais cela est rapide, moins d’un jour)
- ajouter du contenu sous formes d’articles avec liens affiliés vers Amazon
- créer de l’activité autour du site sur les réseaux sociaux
- éventuellement, créer des produits numériques en lien avec le contenu, par exemple des eBooks
- créer du contenu multimédia: vidéos/podcasts/etc
- si le site s’y prête, évoluer vers une partie eCommerce
Evidemment on est loin de l’approche ’investissement’, le processus prend en général 6 mois/1 an avec d’avoir une source de revenus décente.
Hors ligne
#72 08/03/2015 18h15
- Sanbouddha
- Membre (2014)
- Réputation : 56
marcoschwartz a écrit :
En gros après avoir choisi le thème d’un site (par lequel je suis intéressé, je ne fais pas ça que pour l’argent), construire un site consiste en:
- créer le site en lui même (mais cela est rapide, moins d’un jour)
Ce n’était pas le sens de ma question.
Ce que vous me répondez là, c’est comme si je demandais à un constructeur automobile ce qu’il produit et qu’il me réponde : une usine, une chaîne de montage, des points de vente etc.
Certes, mais la réponse que j’attends c’est : des voitures. C’est ça que le contructeur produit, et c’est là qu’est sa valeur ajoutée.
Et vous ?
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#73 08/03/2015 18h24
- marcoschwartz
- Membre (2015)
- Réputation : 1
Dans ce cas la réponse est plus simple effectivement: des sites webs qui produisent des revenus
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#74 08/03/2015 18h32
- Sanbouddha
- Membre (2014)
- Réputation : 56
marcoschwartz a écrit :
Dans ce cas la réponse est plus simple effectivement: des sites webs qui produisent des revenus
On ne se comprend pas, mais c’est pas grave. Bonne continuation.
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#75 08/03/2015 22h50
- Guillaume33
- Membre (2014)
- Réputation : 41
Bonjour,
Je pense que sa "valeur ajouté" est de créer de AàZ des sites webs qui vont dégager du cashflow dans un délai de 6 mois à 1 an.
"Rendement annuel de 50%"
Si ça roule tout seul (ou presque) pourquoi revendre la poule aux œufs d’or ?!
mon blog : www.immeuble-de-rapport.fr
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