[+1 / -1] #76 26/11/2020 18h15
- J59
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Surin a écrit :
Déjà avec ce message on comprend mieux les précédents, c’est bien d’avoir donné ces précisions.
Pour ma part j’ai acheté aussi des Actipierre 2 en 2019, persuadé de faire une bonne affaire, toujours est-il que pour l’instant, cet argent aurait été mieux sur mon compte courant.
Pour faire le parallèle avec Accès Valeur Pierre que j’ai aussi achetée décotée, le soufflet est retombé, on perd 12,5% depuis le plus haut au début du confinement. Nous verrons si cela remonte par la force des choses ou si la société de gestion y contribue, en tout cas ceux qui vendaient en 2018 bien de deçà de la valeur de réalisation étaient dans une situation comparable à celle des Actipierre aujourd’hui.
Il n’y a pas tellement de "market timing" à faire sur ces SCPI, on peut profiter d’un trou d’air pour les acheter un peu moins chères mais il fallait de préférence déjà envisager de les acheter indépendamment de cela car même quand ça remonte, il n’est pas aisé de revendre rapidement (pour investir où ?) et toute remontée peut-être un leurre qui s’essouffle quelques mois après.
C’est dans 5 ou 10 ans que l’on verra quelles étaient les opportunités et à quel moment.
Ici achat d’Actipierre 3 en 2017 , donc plus de 30% de perte latente à valeur de marché sur l’investissement que je pensais être le plus tranquille et le moins volatil de tout ce que j’avais, au final je n’avais jamais encaissé une perte pareille de ma vie et peut être bien récupéré un truc invendable qui ne fait que baisser comme vous dites ici…
Paradoxalement je gagne en bourse alors que c’est censé être plus risqué , et si j’avais fait comme les michus et acheté du bitcoin sur la même période j’aurais 5x plus d’argent. J’’enrage pas mal.
On peut se consoler en se disant qu’à valeur de reconstitution c’est encore correct avec 4.5 de rendement , et d’ici 2021 il suffira d’une dose de vaccin à arn modifie tout les 6 mois pour être tranquille et que les commerces rouvrent , mais bon j’ai bien le sentiment de m’être fait avoir par le conseiller de la banque postale à l’époque.
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