Locataire qui ne paye plus son loyer et trafiquant de drogue : que faire ?

La fin du bail doit être différenciée de la restitution des clés, mais la question du bail saisonnier m’avait échappée ( au passage, c’était encore une raison supplémentaire de ne pas paniquer car la chose était assez cadrée en terme de procédure judiciaire )

Je pense surtout qu’il faut mesurer la pression à infliger. La plupart des démarches de JR étaient pertinentes . Mais avec une crackeuse qui n’avait rien à perdre, avec ses "connaissances" potentiellement  en mesure de faire preuve de violence gratuite, le fait de vouloir faire une liste de choses à mettre en oeuvre systématiquement avec ce type de profil peut virer soit à l’inconscience soit à jouer le rôle de la mouche du coche . En pratique, aucune pression psychologique ou physique n’a été infligée à cette occupante, c’est pourquoi je constate qu’elle est partie d’elle même ( à moins qu’une convocation lui ait été adressé par la gendarmerie )

Je ne suis pas un adepte de la passivité pour le traitement de la question des locataires à problème, il m’est déjà arrivé de passer plus que régulièrement voir des locataires indélicats ( schizo, trafiquant de drogue etc ), il faut juste pouvoir être en mesure de dormir paisiblement.