Tout à fait Romain. Typiquement sur des blue chips où, a priori il y a peu de mouvements, et avec des frais de courtage faibles, Binck reste avantageux.
Mais dès qu’on veut, comme moi (et la preuve ça m’est arrivé 2 fois en seulement un an !), construire une partie significative de son portif sur des situations spéciales et/ou des micro caps, on a une forte probabilité d’OST et Binck est vraiment catastrophique pour ça et du coup implique temps, énergie voire argent perdus. Le pire c’est qu’ils viennent de m’écrire qu’ils ne comptaient pas… changer (juste un one shot pour moi) ! Et je trouve ça GRAVE. Je leur donnais le bénéfice du doute de la jeunesse et, dans une interaction positive, je me voyais comme un client qui les poussait à être meilleur. Mais en fait non…
(sur DIC Asset AG on parle de plusieurs centaines d’euros que j’aurais perdu si je n’avais pas râlé longuement. En effet mes DPS étant cotés, je pouvais les revendre aussi et pas uniquement participé à l’AK. Il faudrait vraiment une grosse différence de frais de courtage entre BSD et Binck pour rattraper ce genre de perte énorme auxquelles Binck peut nous confronter ! Même si en effet Binck est un peu moins cher en frais de courtage sur l’Allemagne)
Ma conclusion : même si je vais conserver Binck pour le fonds de portefeuille de grosses boîtes américaines, anglaises et allemandes (voir ma file portif de mélange de blue chips et micro caps), pour tout le reste je vais faire du BSD. Soit absolument tout pour France Bénélux (pas photo BSD est meilleur) et micro caps ou situations spéciales Allemagne, USA, Canada, etc.
Et puis à terme faudra bien que j’ouvre un compte IB… (enfin bon pour les PEA c’est tjs une telle galère de les transférer que je ne me vois pas le faire sauf énorme bourde. Je jonglerai entre les avantages de Binck et Bourse Directe. Il y aurait Lynx je crois pour pouvoir à la fois avoir un PEA et le bon côté IB).
Parrain pédago pour Bourso, Binck et Bourse Directe.
Meduse Paris :)