Un article du monde parlait aussi du sujet et ne disait vraiment rien de plus que ce que vous avez dit. Ceci dit, pour ceux qui aiment les confirmations, je recopie ici ce que j ai trouve d interessant.
Le monde du 20 Juien 2012 a écrit :
Créé au Royaume-Uni au milieu des années 2000, le peer-to-peer lending est encore marginal aux Etats-Unis, mais il enregistre une expansion rapide. Lending Club et son rival, Prosper, affichent tous deux des taux de croissance à trois chiffres. En mai, ils ont dépassé, en cumulé, la barre du milliard de dollars de prêts.
Les Echos n° 21087 du 26 Decembre 2011 • page 20 a écrit :
Peu ou pas de club ont réussi à s’exporter au-delà de leur marché domestique, y compris les leaders du marché. Prosper et Zopa, qui avaient annoncé leur arrivée au Japon, ont plié bagage. Peu sont en outre bénéficiaires. A cause de coûts opérationnels liés à sa forte expansion, Lending Club a enregistré une perte de 3,11 millions de dollars au deuxième trimestre, alors que ses revenus ont plus que doublé, à 2,79 millions de dollars.
J arrive pas a savoir si ces sites, rencents, vont continuer a exister.
En supposant que vous aimez aussi les confirmations et les donnees, je vous en fait part :
sky a écrit :
Celui qui n’a pas d’argent aujourd’hui, et veut vous en emprunter, n’en aura pas non plus pour vous le rendre,
crosby a écrit :
Le risque principal de ce genre de chose c’est bien l’auto sélection potentielle des emprunteurs -- ce sont ceux qui n’ont pas pu emprunter ailleurs.
FelixInvestor a écrit :
S’il fait appel à vous et non à un organisme créancier, c’est qu’il ne le peut pas. C’est d’ailleurs pour cela que vous vous permettez de lui proposer un taux 2 fois supérieur au taux de sa banque
le directeur des opérations de Prosper a écrit :
La majorité des emprunteurs sur notre plate-forme souhaitent refinancer leurs encours de cartes de crédit
Ces sites sont ludiques, et expliquent qu il faut investir au moins 20,000 dollars pour diversifier suffisament sur differentes notes.
Prosper a écrit :
Certains ont accusé des pertes en misant sur les mauvais emprunteurs, admet Prosper, qui ne limite l’accès à son service qu’aux très mauvais payeurs
Lending Club a écrit :
Lending Club se montre plus exigeant à l’entrée, refusant 90 % des demandes de prêt, […] avec a l’appui un taux de défaut compris entre 3 % et 4 %, deux fois moins important que son concurrent.
Lending Club a écrit :
Les prêteurs, eux, bénéficient de retours sur investissement plus élevés. » Entre 9,5 % et 10 % en moyenne, assure cette société de San Francisco
Je copie ici le principe general selon Lending Club pour vous simplifier la vie des curieux comme moi. Lending Club argue qu une bonne diversification est obtenue a partir de $10,000 (400 notes) ou $20,000 (800 notes).
Perso, je me dis que c est interessant, mais qu un marche secondaire me permettrait d avoir plus confiance.