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1 #1 28/06/2011 10h25
- InvestisseurHeureux
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Hall of Fame
“INTJ”
Dans mon livre, même si la section la plus importante est sur l’investissement, l’ordre des sections est :
1) Augmenter ses revenus d’activité
2) Contrôler ses dépenses
3) Investir
Ce n’est pas un hasard : le fait est que je ne connais de façon direct PERSONNE qui se soit construit un patrimoine net de dettes important (+ de 800 k€) uniquement par ses investissements. L’essentiel vient des revenus d’activités (souvent non salarié d’ailleurs). L’investissement n’est qu’un accélérateur.
Ou alors il s’agit d’investissements que je qualifie de privilégiées et non reproductibles : achat en 2000 d’un appartement parisien avec l’aide de la famille, stock-options dans une start-up techno qui a miraculeusement survécu et été rachetée ou encore PEE avec abondement et tarif préférentiel (qui ensuite a permis d’acheter un bien immo avec effet de levier).
Si je ne doute pas qu’ils existent des personnes comme Élise Franck (cf. son livre rentière en 4 ans, avec des achats, travaux, reventes successivement et très rapidement gagnants sur Paris) je n’en connais directement aucune.
Le dernier n° "Vivre sans travailler" du mensuel le Revenu va dans ce sens.
5 patrimoines sont décrits :
Cas 1 - Bertrand : 1,7 M€
Ancien pilote Air France : 13 300 € brut mensuel en fin de carrière
Cas 2 - Daniel : 1,5 M€
Entrepreneur dans la métallurgie, puis achat d’un bar-tabac, travail acharné pour augmenter le CA puis revente, puis achat d’un gros bar PMU, travail acharné pour augmenter le CA, puis revente.
Cas 3 - Jacqueline : 1,4 m€
Ancienne chef comptable ("seulement") mais héritage de 750 k€ suite au décès de son mari (chef d’entreprise).
Cas 4 - Anne : 1,2 M€
Le revenu décrit son patrimoine comme provenant dans l’immobilier, mais le mari d’Anne est chirurgien.
Cas 5 - Julien, ingénieur : 815 MK€ à 33 ans
! Ingénieur ? Là je me dis, a quel prodige de l’investissement boursier ou immobilier va-t-on avoir à faire pour avoir 815 K€ à 33 ans. Et bien non ! Julien est expatrié avec un salaire annuel de 150 k€ quasi net d’impôt (statut expatrié). Il a aussi un logement de fonction, couverture maladie 100% et budget voyage de 20 k€. Donc 150 000 € d’argent de poche. :-)
D’ailleurs, c’est assez logiquement : pour que les revenus d’investissement rapportent significativement, il faut que le capital soit important.
Et la manière la plus "simple" d’amorcer ce capital, c’est d’avoir des revenus d’activité important.
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1 #2 28/06/2011 11h43
Je suis en phase avec ce qui a été écris, et il est bon de rapeler quelques règles de bases que beaucoup oublient :
- Le meilleur moyens de s’enrichir, c’est de travailler
- Même en travaillant l’enrichissement n’est pas garantis
- A la naissance notre plus grand capital c’est notre capital travail. Ce nombre d’heure etant finis, alors autant que chaque heure travailler donne la meilleure rémunération possible.
- L’Egalité de Liberté, Egalité, Fraternité n’est pas l’egalité des remunerations ni des resultats mais uniquement le fait de pouvoir prendre le départ de la course afin de montrer ce que l’on est capable de faire.
- Aides toi, car les autres ne t’aiderons pas.
- La chance intervient mais celui qui l’attends ne la verra jamais.
- Humilité, tout peut aller très vite, surtout dans le sens que l’on ne souhaite pas.
- etc …
Bref, tout cela pour rebondir sur le fait que contrairement à l’idéee très largement répandue, tout ne tombe pas du ciel (même si c’est vrai pour quelques uns), chacun est moteur de son avenir et que si l’on se bouge pas le cul, il y a peu de chance que cela se fasse tout seul.
A+
Zeb
Tout ce qui peut merder, va inévitablement merder.
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1 #3 29/06/2011 00h14
- swantonbomb
- Membre (2010)
Top 50 Dvpt perso. - Réputation : 91
J’identifie 4 moyens pour acquérir un capital suffisant pour assurer une rente correcte:
1/ faire des études pour obtenir un job a responsabilité et viser une rémunération d’au moins 5kE mensuelle:
stratégie: vivre avec 40 % de ses revenus et placer, investir le différentiel pendant 20 ans.
avantages: technique reproductible pour quiconque de volontaire s,en donnant les moyens
inconvénients: se sacrifier et mener une vie de chien pendant 20 ans pour épargner chaque sou. Maintenir le cap physiquement et moralement dans cet objectif dans un poste a forte responsabilité durant deux décennies peut causer de sérieux troubles au quotidien.
2/bénéficier de dons ou d’héritage
stratégie: essayer de bien naître ou de bien se marier
avantage:aucun effort a fournir ou a peine
inconvénients: très peu; mais n’ayant pas acquis a la sueur de son front les biens transmis, risque de dilapidation pour certains.
3/la spéculation volontaire ou pas
stratégie: miser cash ou a crédit sur des supports en espérant (ou pas) que ce support se valorise dans le temps a des multiples bullesques ( il s’agit de toucher un gros capital et pas deux francs six sous)
avantages: il suffit d’un pécule disponible ou de s endetter massivement sans autre véritable talent que penser, espérer miser sur le bon support et ensuite attendre.
inconvenients: aussi predictible que gagner au casino. Peut lessiver l’aspirant rentier s’il a utilise du credit.
4/l’entrepreunariat
stratégie: créer une boite au succès fulgurant ( rien a voir avec les combines foireuses d’autoentrepreneur de la semaine des 4 jours)
avantages: voie royale du rentier par le gain en capital et la rente de facto créée
inconvénients: beaucoup d’appelés peu d’élus (même si l’on essaie d’entretenir le mythe en citant les Gates et Jobs)
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2 #4 29/06/2011 12h04
- Job
- Membre (2010)
Top 50 Dvpt perso.
Top 50 Vivre rentier
Top 50 Monétaire - Réputation : 194
Considérant le mariage comme un investissement, on peut aussi devenir rentier en épousant une héritière de grande fortune
Ericsson…! Qu'il entre !
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1 #5 30/06/2011 11h15
- Vincent
- Membre (2010)
- Réputation : 15
Il ne faut pas voir le seul salaire mais le package complet. Mon conseiller clientèle (exemple réel et assez classique de jeunes diplômés performants) touche l’air de rien un package de plus de 50 k€ si on intègre le loyer payé (en général, indemnité de 500 à 600 € par mois, négociable). Et je ne compte même pas les autres plus : un CE généreux, les gains lors de challenge commerciaux en chèques cadeaux, les taux privilégiés pour emprunter, les droits d’entrées et frais de gestion à taux réduit sur AV, le PEE largement abondé…
Il existe d’autres professions intéressantes comme on le notait, l’audit et le conseil mais avec un rythme assez élevé. Grosso modo, c’est du 9h - 20h avec des pointes plus tardives quand on devient manager afin de s’occuper de la vie du cabinet, du recrutement, des propositions commerciales…
Enfin, j’ai en effet l’impression que l’industrie paye moins bien (l’écart atteint je pense 20% avec le conseil ou l’audit après 3-4 ans d’expérience) mais il faut voir plusieurs aspects :
- Le fixe est souvent plus faible mais les primes, intéressement, PEE doivent entrer dans ton calcul. Certains industriels sont d’ailleurs assez généreux de ce point de vue. Ceci permet de rattraper une partie de l’écart de salaire initial
- La valeur du salarié de l’industrie me semble plus simple à estimer et à valoriser dans la durée. Dans mon cas, je ne sais pas forcément comment je pourrai rebondir dans quelques années si je veux arrêter le conseil. L’internalisation n’est pas si simple, d’autant que je ne suis pas un IT
- Le rythme de travail est en général plus calme, même si cette différence tend à s’estomper
- Un salaire (et un rythme) plus élevé se traduisent par une imposition plus forte (logique) mais aussi par des coûts annexes. On n’a plus le temps de faire certaines tâches, on délègue donc. Ce qui a un coût.
Chaque semaine, mon portefeuille analysé sur http://valeuretperformance.posterous.com/
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1 #6 05/09/2015 22h16
- Igorgonzola
- Membre (2013)
Top 50 Dvpt perso.
Top 50 Finance/Économie
Top 50 SIIC/REIT - Réputation : 156
Juste pour préciser sur le conseil, car IH a un biais très orienté SSII.
On peut découper le conseil en trois gros morceaux :
- Le conseil en IT => les SSII
- Le conseil en orga/management
- Le conseil en strat
Les cabinets de conseil facturent en gros un TJM (taux journalier moyen) cohérent avec la "gamme" de conseil exercée. + c’est du high level, plus c’est cher. Les SSII sont en bas de la chaîne alimentaire. D’où des TJM plus bas, et des salaires qui vont avec.
Là où une SSII va facturer un consultant (2/3 années d’expérience) 600, un cabinet de conseil en orga le factura plutôt 900, et un cabinet de strat 1200 voire plus (ça monte très vite).
Idem, un junior en SSII, sorti d’école, sera environ à 35K. En orga, plutôt 40K. En strat, plutôt 50K
Et les progressions sont là aussi liées (5% - 10% - 20%, en caricaturant). Et le variable grimpe avec l’xp.
Le manager à 60K€ d’IH, c’est plutôt en SSII. C’est ce que touchera un consultant avec 4 ans d’expérience en orga, et avec 2 ans d’expérience en strat.
Le senior manager à 75K€, c’est le manager en orga, etc…
Gagner 5K net mensuel, ça se fait dans le conseil, on parle de 80k bruts annuels, (hors variable, participation ou intéressement, donc plutôt 100K). Mais cela signifie un niveau d’expérience non négligeable, donc des responsabilités (production courante, engagement interne, relation client, encadrement…) s’être fait fouetté jusqu’à la trentaine, et s’apprêter à être écartelé entre ses boss, ses clients et son troupeau à tenir…
Donc le jeu, c’est arriver à ce niveau de rémunération, faire le passage en interne (=dans la boîte que l’on conseille) en conservant le même niveau de salaire. Moins d’augmentations, mais plus de temps, moins de contraintes et les avantages déjà cités du salariat dans une grande entreprise.
Passer en freelance au bout de qqs années permet d’améliorer son sort si l’on parvient à se vendre, comme IH l’a fait. Changer 2 ou 3 fois de boîte de conseil permet également d’accélérer le rythme d’augmentation. Tjs avec la limite du TJM de l’industrie.
Maintenant, gagner 5K€ net c’est bien, mais :
1) 5K net c’est 4K net une fois l’IR payé
2) 5K net en île de France, c’est aussi un loyer important (en début, de trentaine, vous aspirez à autre chose que passer des heures dans les transport ou vivre dans une cage à poule)
Je dirais que c’est difficile d’épargner plus de 2K€ sur les 5K€ sans dégrader son niveau de vie.
Bref, bosser dans le conseil jusqu’à 30 ans puis continuer jusqu’à 40 dans un poste à responsabilité un peu plus pépère, si c’est dans le conseil, ça marche selon le schéma d’IH (150 K€ + 2K par mois à 6,5% pendant 10 ans).
Mais plutôt en orga ou strat qu’en SSII.
Rester dans le conseil jusqu’à 40 ans, c’est passer associé, et là on parle acquisition de parts, dividendes et/ou PV à la sortie/revente. Mais il faut avoir les crocs et de la patience.
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1 #8 12/10/2015 17h20
- commentinvestir
- Membre (2015)
- Réputation : 4
Le pire au boulot ce sont les fans de boulot. Qui "adorent" être là, étalent leur travail avec beaucoup d’inefficacité sur des heures et des heures. Qui aiment perdre le temps en réunions à se faire des nœuds au cerveau. Qui arrivent plus tôt et partent certainement plus tard. Et qui me prennent pour un fainéant parce que j’optimise mon temps en me calant strictement sur les horaires…
La seule occasion où je me permets de déborder sur les horaires, c’est quand il est justement plus efficace que je finisse ce que j’ai commencé, quitte à ne rien avoir à faire le lendemain.
Arnaud
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[+3 / -2] #9 13/01/2016 14h22
- stokes
- Exclu définitivement
- Réputation : 284
Bonjour,
L’actualité de ce début d’année nous livre l’exemple d’une personne à revenus professionnels pourtant modestes (800€/mois), issue d’une famille encore plus modeste, ayant réussi à force de travail et de persévérance à constituer un joli patrimoine financier de l’ordre de 750 000€, composé notamment d’assurance-vie et de pièces d’or. Soucieuse d’éviter les risques de faillite bancaire, cette personne avisée a ouvert des comptes dans plus d’une quinzaine d’établissements bancaires. La rente procurée par ce capital s’élèverait à 14000€, ce qui permet de vivre paisiblement, surtout dans un département rural, l’intéressé semblant de ce point de vue avoir un train de vie pour le moins parcimonieux.
La profession exercée ne paye pas très bien, mais elle procure une grande autonomie dans l’organisation des tâches et la hiérarchie ne semble pas être très regardante ni vétilleuse ; il y a certes quelques contingences, en particulier le fait de devoir travailler le dimanche, mais aucune obligation de résultat, juste une obligation de moyens. Ajoutons à cela que le taux d’accidents du travail dans la profession est très faible.
Plus de détails ici :
Le curé, la « peur de manquer » et les 700 000 euros de denier du culte détournés | Chroniques judiciaires
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2 #10 18/03/2016 16h17
- chris76
- Membre (2010)
- Réputation : 18
Pour les lecteurs en anglais un témoignage de Early Retiree Reality " How I retired at 45 "
sur Seeking Alpha…
How I Retired At 45 | Seeking Alpha
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1 #11 16/12/2016 17h51
- Magnetov
- Membre (2016)
- Réputation : 43
ZeBonder a écrit :
Et petite anecdote, suite à son passage dans Capital sur M6, notre ami pompier a eu un contrôle fiscal approfondi et un redresement à la clé
Pour vivre heureux vivons caché!
Je ne suis pas d’accord sur votre remarque de l’inflation immobilière. Même si les prix ne montent plus dans le futur et stagnent, voir même baissent un peu.
Il y a deux facons de voir les choses concernant l’investissement immobilier:
1) Vous avez 10 appartements, valeure du total :1M. Les prix doublent en 10 ans votre patrimoine passe à 2M.
Ce raisonnement tient à toutes choses égales par ailleurs c’est à dire que vous n’avez pas continué à acquérir encore de nouveaux logements vous avez tout misé sur l’évolution des prix futurs.
2) On ne se focalise pas sur l’évolution future des prix de nos appartements mais plutôt sur l’évolution de notre nombre d’appartement à l’intérieur de notre patrimoine.
Vous avez 10 appartements, valeure du total :1M. Les prix baissent un peu en 10 ans votre patrimoine passe à 900k.
Mais votre stratégie a été de vous focaliser sur votre rentabilité locative et de faire en sorte d’optimiser votre taux d’endettement en prenant soin que vos loyers couvrent à chaque investissement votre mensualité de crédit ainsi que vos charges (copro +TF + éventuellement impot si vous êtes doués..)
Vous avez acquéris grâce à cette stratégie durant ces 10 ans, 10 nouveaux appartements soit 20 au total: valeure du total au bout de 10 ans : 1M800k
C’est avec cette 2ème stratégie que des personnes sans avoir de capital initial, arrivent à se constituer de gros patrimoine.
Pour ma part, je me moque complètement de l’évolution du prix de mes appartements dans le futur. Je veux juste que mes crédits et charges soient intégralement payées par mes locataires.
Si les prix montent, je dirai que c’est seulement la cerise sur le gateau ;-)
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1 #12 22/01/2018 16h27
- BigLebowski
- Membre (2018)
- Réputation : 4
J’ai lu l’ensemble des messages et je suis un peu surpris vis-à-vis de certaines considérations, surtout celles liées aux SSII.
Pour mieux comprendre, voici ma situation personnelle :
J’ai fait deux ans en alternance lors de mon master dans une SSII, je travaillais chez le client SNCF.
Obtenu mon master la SNCF voulait m’embaucher, je leur ai proposé de me prendre en freelance.
Pendant un an j’ai facturé 12k euro par mois puis j’ai trouvé une autre mission dans une banque (que je ne citerai pas) pour travailler sur les algorithmes de scoring bancaire ce qui était intéressant, car je voulais utiliser de façon optimale l’effet levier de la banque. Deux ans et demi après avoir pris la décision d’investir j’ai 9 crédits pour 9 appartements qui me dégagent du cashflow dans une sci à l’is, je vais bientôt vendre deux appartements pour en rembourser un et le nantir pour commencer à investir sur "mon propre levier" avec des crédits in-fine. Je suis en contacte avec différents investisseurs comme moi (informatique + immobilier) et je ne suis pas le meilleur, certains ont fait mieux que moi (avec des immeubles de rapport).
Je ne raconterai pas leur histoire mais cela me porte à quelques considérations :
Les études
- Mon master (et celui de mes connaissances dans l’immobilier) n’est pas un titre "de ouf", c’est un simple master en informatique et mon université n’est pas dans les 10 meilleures de France. Pour gagner de l’argent je pense que nous n’avons pas besoin d’un MBA ou un titre d’ingé dans une grande école, il suffit de prendre le meilleur de chaque conversation et surtout d’avoir une bonne capacité d’écoute : réfléchir sur ce que l’on entend, pas sur ce que nous avons envie de dire après. Les conversations enrichissantes sont partout. Moi c’est comme ça que j’ai découvert les contrats en freelance et du coup entrepreneuriat, l’immobilier, le bourse.
SSII
- Travailler dans une SSII n’a selon moi aucun sens (le seul c’est d’avoir de l’expérience à vendre après mais le passage en freelance est obligatoire pour avoir un bon salaire).
La mentalité des nouvelles générations est différente, ils ne donnent pas d’importance aux contrats en CDI, aux CE, ils savent qu’ils ne resteront que quelques années pour aller chercher après une mission et un salaire plus intéressants ailleurs.
Le monde de l’entreprise dans le domaine informatique change car le mentalités changent aussi : parler des salaires rapportés aux SSII c’est un peu comme danser d’architecture (ça n’a rien à voir). Tout cela, IMHO, bien-sûr.
Rentiers
- Pour revenir au sujet de ce topic (qui reste selon moi plutôt intéressant) je crois qu’il est possible de devenir rentiers en partant de rien, mais cela demande une prise de risque considérable (l’effet levier de la banque est là pour ça). Je suis d’accord avec ceux qui disent que ne pas avoir d’enfants facilite la tâche.
Je suis désolé pour les éventuelles fautes d’orthographe ou de syntaxe mais je suis en France que depuis 5 ans.
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1 #13 06/01/2019 18h37
- atlasshrugged
- Membre (2019)
- Réputation : 36
“INTJ”
Je peux répondre par l’affirmative et cette « promotion » de rentiers pourra à jamais se targuer d’avoir bénéficié pleinement d’un changement fiscal majeur. En effet, PAS oblige, les revenus d’activité 2018 ne seront jamais imposés pour ceux arrêtant leur activité au 31/12.
En ce qui me concerne, cela représente un « gain » de plusieurs dizaines de milliers d’euros et cela a contribué à avancer ma date d’arrêt théorique.
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