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1    #301 17/09/2014 15h00

Membre (2011)
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@chris76 ce serait très surprenant.
Je ne suis pas familier du droit US, mais il me semble qu’un créancier ne peut pas prendre plus que ce que le débiteur lui doit.
Donc si il y a défaut, que l’immobilier pris en collatéral est revendu pour plus de 400 M, Lampert serait obligé de reverser le surplus à Sears.
En plus Lampert est actionnaire de Sears et semble croire en SYW puisqu’il y investit bien plus de 400M par an.S’il voulait liquider entièrement le business il ferait autrement il me semble.
Je crois que Lampert essaye réellement de stabiliser le retail et pense même pouvoir le rendre rentable avec SYW ("a better mousetrap" d’après lui) même si on ne voit pas d’améliorations et que les indicateurs du succès ou de l’échec du programme de fidélité ne sont pas affichés, si ce n’est le pourcentage de ventes effectués par des membres, ce qui n’est pas suffisant pour savoir dans quelles mesures ça pourrait devenir un avantage concurrentiel.

Dernière modification par gilgamesh (17/09/2014 15h36)

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#302 17/09/2014 15h36

Membre (2013)
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+1 pour gilgamesh, j’allais dire la même chose, je ne pense pas  qu’un créancier puisse se servir comme il veut dans le collatéral, il se sert à hauteur de ce qu’on lui doit.

Par contre, gros point négatif, Kmart va offrir l’album de Maroon 5 V pour tout achat de plus de 30$. Lampert fait vraiment n’importe quoi, c’est la fin… Le marché n’a pas encore réagi à la nouvelle, bizarre…

Dernière modification par Wawawoum (17/09/2014 17h29)

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#303 17/09/2014 18h24

Membre (2014)
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gilgamesh a écrit :

@chris76 ce serait très surprenant.
Je ne suis pas familier du droit US, mais il me semble qu’un créancier ne peut pas prendre plus que ce que le débiteur lui doit.
Donc si il y a défaut, que l’immobilier pris en collatéral est revendu pour plus de 400 M, Lampert serait obligé de reverser le surplus à Sears.

EL est un malin qui connait le bankruptcy code sur le bout des doigts. En causant un defaut technique (plutot que de paiement), il se pourrait que ESL vende le collateral immo a une autre entite qu’il controle, a un prix artificiellement bas, egal peu ou prou a sa creance sur Sears. Et voila Sears, ses actionnaires et autres crediteurs depeces desdits immeubles. Pure speculation, je ne pretends pas qu’il le fera. Simplement, cela me parait possible.

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#304 17/09/2014 18h41

Membre (2013)
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thomz a écrit :

… Il y avait toujours $8B de brevets immédiatement monétisables (pour une capi de $3B, visez un peu).

Il y a les faits. Et puis il y a le marché, qui pour la même camelote vous demande un prix différent chaque jour. Vous je ne sais pas, mais moi je fais plus confiance aux premiers qu’au second.

Comme Seth Klarman disait l’autre jour: "Being a value investor means you’ll be called an idiot sometimes. Get over it."

Voilà. Get over it.

Merci Thomz pour votre intervention mais j’en profite pour rebondir et poser une question;

La valorisation des brevets m’intrigue. Comment peut-les pricer ?

Car si vous vous basez sur la valeur inscrite au bilan, cela ne me semble pas très prudent.

Imaginons que je crée mon entreprise.

Un matin je demande à un de mes ouvriers de creuser un trou, il y passe 4h soit 120 € de dépense
L’après midi je lui demande de le reboucher, il y a passe de nouveau 4h soit 120 € de dépense.

Comme je suis malin et ne veut pas passer cette improductivité sur mon résultat de l’année, je considère que c’est un investissement en incorporel, après tout c’est une technique que je vais pouvoir breveter.
Je passe donc 240€ en incorpo dans mon bilan.

A la fin de la journée je vous montre mon bilan et vous dis ; Regardez Thomz ma belle entreprise vous pouvez monétiser mon brevet pour 240€, et vous pouvez l’avoir pour 100€ car je suis un mec sympa.

@SerialTrader, si EL veut voler ses actionnaires autant lancer une OPR sur Sears et s’entendre avec Berkovitz et pas faire du gagne petit à coup de centaines de millions.

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#305 17/09/2014 18h58

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thomz a écrit :

Le marché réagit comme il lui chante. Le prix de l’action Nokia a chuté de 60% sur les huit semaines qui ont suivi mon investissement. Ca ne m’a pas empêché de doubler mon capital sur l’année qui suivait. Il y avait toujours $8B de brevets immédiatement monétisables (pour une capi de $3B, visez un peu).

D’ailleurs, j’aime bien ce seuil de 2-3 milliards de capitalisation qu’on est en train d’atteindre avec Sears. Pour moi, c’est le niveau en deça duquel j’arrive à me représenter plus "concrètement/tangiblement" la somme. 2-3 milliards c’est 1000 fois le patrimoine de ma connaissance qui en a mis le + à gauche, 100 fois le prix que se revend la petite boite locale de btp de 30-40 salariés etc.
C’est d’ailleurs le seuil autour duquel nous avons vous comme moi investi dans Nokia ou Peugeot.

Je dis ça juste pour l’idée globale, cela n’empêche pas bien sûr une étude approfondie des comptes et bilans de la Société , et ainsi de comparer le prix (la capitalisation) à la valeur estimée de la Société.

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1    #306 18/09/2014 15h59

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thomz a écrit :

Comme dit Sergio, ce n’est pas la première fois que la holding emprunte à ESL. Pourquoi la debt est-elle secured par de l’immobilier? Je ne suis pas expert, mais à priori ESL (le hedge fund de lampert) n’a contractuellement pas le droit de pretter en unsecured - après tout, c’est de l’argent des autres dont il s’agit.

Pourquoi Lampert voudrait flouer les actionnaires? Il EST le premier actionnaire, et Berkowitz/Fairholme le second.

Voilà. Get over it.

Thomz,

Une question : Eddie étant le premier actionnaire, s’il récupère les assets de Sears par un autre moyen, s’en moquerait que sa part ne vaille plus que 0 dans la Holding. Pourquoi n’est ce pas une possibilité ?

Peut être que le collatéral demandé par ESL est juste un moyen pour Eddie de couvrir ses fesses et de minimiser ses risques

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#307 18/09/2014 16h09

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Je me pose la même question, je n’ai pas compris cet argument de Thomz.

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#308 18/09/2014 16h36

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Pryx a écrit :

@SerialTrader, si EL veut voler ses actionnaires autant lancer une OPR sur Sears et s’entendre avec Berkovitz et pas faire du gagne petit à coup de centaines de millions.

Possible, et meme probable, mais:
(1) Apres une OPR, il aurait tjs la dette a rembourser. Ds mon scenario, les autres crediteurs sont aussi leses (ils perdent en asset coverage la difference entre la valeur reelle de marche des actifs immos et le cash recu par Sears lors du tirage initial sur le pret ESL).
(2) A-t-il encore les moyens de lancer 1 OPR seul? Je ne sais pas. Avec Berko, oui, si d’aventure le mandat de Fairholme autorise un investissement "public to private".

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2    #309 18/09/2014 16h56

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roudoudou a écrit :

Une question : Eddie étant le premier actionnaire, s’il récupère les assets de Sears par un autre moyen, s’en moquerait que sa part ne vaille plus que 0 dans la Holding. Pourquoi n’est ce pas une possibilité ?

Si sa part vaut 0, il perd 25 millions d’actions qui lui ont coûté 1 Md de $.

S’il récupère les assets de Sears par un autre moyen comme vous le suggérez, ce n’est pas gratuit: en l’occurrence récupérer 25 propriétés par ce moyen coûte à son fond 400 Millions de $.

Et je n’y connais pas grand chose en droit US, mais si son but est de faire défaut au remboursement du prêt pour récupérer des propriétés à bas prix, à mon avis il risque d’y avoir des conséquences juridiques, surtout s’il renouvelle l’opération.

N’oubliez pas que Lampert est milliardaire (donc l’argent n’est plus forcément sa motivation première). Il était considéré comme le meilleur investisseur du moment.
Il passe en ce moment pour un CEO lamentable.

C’est quoi son but à votre avis ?
Tenter de gagner quelques milliards supplémentaires de vile façon, confirmer sa mauvaise réputation de CEO et en plus avoir une réputation d’arnaqueur et risquer d’avoir des ennuis juridiques ?

Ou alors gagner quelques milliards supplémentaires en redressant Sears et en montrant à tout le monde que depuis le début il avait raison. Et ainsi prouver qu’en plus d’être un investisseur d’exception, il est un CEO brillant.

A mon avis, le premier scénario relève de la science fiction.

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#310 18/09/2014 17h06

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La question n’est pas d’avoir un avis sur les intentions de EL. La question que nous nous posons est de comprendre si, et comment, EL perdrait financièrement à récupérer les actifs en échange d’un défaut.

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#311 18/09/2014 17h14

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Voici un article sur SA selon lequel il y a une transition de la détention de stocks vers détention des bonds, au détriment des actionnaires.

Sears Holdings: Non-Linear Thought From A Master Investor

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#312 18/09/2014 17h15

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Effectivement, surtout qu’il est place sur de la dette a 9%. Disons qu il n’a pas interet a faire defaut mais qu au cas ou, il est couvert.

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1    #313 18/09/2014 17h15

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Il y a clairement un risque réputationnel que ce soit pour Lampert ou Berkowitz. Ce n’est pas parce que Lampert passe déjà pour un "idiot" qu’il devrait passer en plus agir malhonnêtement. Les 2 ont réussi sont multi-millionnaires voire milliardaires, je ne vois leur intérêt de flouer les actionnaires minoritaires.

"It takes 20 years to build a reputation and five minutes to ruin it. If you think about that, you’ll do things differently." Warren Buffett

Cela dit, les réactions de théorie du complot montrent qu’il y a un tel pessimisme sur la valeur qu’une éventuelle OPR pourrait marcher nonobstant les législations protégeant les actionnaires minoritaires (cf. le vote des actionnaires pour retirer Dell de la bourse). Et qui dit pessimisme dit que c’est surement le moment de s’y intéresser. Je précise que je suis actionnaire (méthode bifidus)

Edit: le message d’aelthen plus haut exprime bien ce que je voulais dire


"After all, you only find out who is swimming naked when the tide goes out." W. Buffett

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1    #314 18/09/2014 17h37

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En même temps chez First Boston ils soulèvent des points intéressants :

Sears (SHLD): Credit Suisse Warns Story Not Likely to Have Happy Ending

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#315 18/09/2014 17h58

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Roudoudou a écrit :

Une question : Eddie étant le premier actionnaire, s’il récupère les assets de Sears par un autre moyen, s’en moquerait que sa part ne vaille plus que 0 dans la Holding. Pourquoi n’est ce pas une possibilité ?

Je suis désolé mais je n’ai pas compris la question.

Si Lampert avait voulu "couvrir ses arrières" dans le sens où vous l’entendez (tout part en vrille et il s’échappe du massacre avec un lot de consolation), il aurait prêté plus, plus tôt, et avec plus en collatéral. Il aurait privatisé Sears. Il se serait attribué des actions préférentielles. Que sais-je encore? Il aurait procédé d’une manière mille fois plus simple (et mille fois moins grossière, si d’aventure c’était là son intention) qu’en ayant recours à ce montage alambiqué.

Il y a un board à SHLD: Fairhome y siège, par l’intérmédiaire du bras droit de Berkowitz, Cesar Alvarez, ainsi que Thomas Tisch et d’autres. Pendez-vous qu’ils auraient laissé le chairman s’accaparer ainsi les joyaux de la couronne?

Mais nous sommes semble-t-il dans le complet hors-sujet.

Les différentes entités de la holding sont bankrupcy remote (sauf la SRAC je crois). Si la holding fait défaut, en sa qualité d’actionnaire Lampert récupère déjà le foncier.

Nul besoin d’un montage aussi grossier!

Accessoirement: si 25 propriétés suffisent à sécuriser $400M de crédit, et sachant que la holding détient +700 propriétés, mon petit doigt me dit que…

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#316 18/09/2014 18h00

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Par contre, gros point négatif, Kmart va offrir l’album de Maroon 5 V pour tout achat de plus de 30$. Lampert fait vraiment n’importe quoi, c’est la fin…

Je ne sais pas si c’etait de l’humour ou non, mais j’ai bien ri smile

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#317 18/09/2014 18h26

Membre (2014)
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thomz a écrit :

Accessoirement: si 25 propriétés suffisent à sécuriser $400M de crédit, et sachant que la holding détient +700 propriétés, mon petit doigt me dit que…

Allons au bout du raisonnement:

25/400*3200=200

Avec 3.2 milliards de capitalisation et avec le postulat que les propriétés sont de valeurs équivalentes (ce qui est complétement faux) on arrive à 200 propiétés pour avoir les actions SHLD au cours actuel. Les 500 autres vous sont offertes par la maison !

Maintenant, ce genre de raisonnement est très limité et j’en conviens.

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#318 18/09/2014 18h27

Membre (2014)
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thomz a écrit :

Les différentes entités de la holding sont bankrupcy remote (sauf la SRAC je crois). Si la holding fait défaut, en sa qualité d’actionnaire Lampert récupère déjà le foncier.

Bonjour Thomz,

D’après moi, le foncier n’est pas contenu dans des entités bankruptcy remote (REMIC mis à part) et ne peut pas être récupéré en cas de défaut sans avoir payé les dettes au préalable.

Pouvez-vous me prouver le contraire avec des éléments tangibles ?

Merci bien

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#319 18/09/2014 18h46

sergio8000
Invité

Pour faire simple et arrêter de tergiverser :

- les dettes bancaires sont collatéralisees par des inventaires et c’est tout. Il y a une possibilité de tirer sur une ligne "second lien" sécurisée par de l’immobilier mais celle-ci n’est pas utilisée car son taux est prohibitif.

- la dette obligataire de moins de 2 milliards est adossée à la SRAC, qui n’est qu’une entité parmi d’autres. En cas de défaut, ce serait grosso modo un milliard de la SRAC en immobilier qui nous échapperaient au pire, en plus d’inventaires. Les obligations ont une échéance 2018, il peut se passer plein de choses d’ici là.

 

#320 18/09/2014 22h20

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Lazard a écrit :

thomz a écrit :

Les différentes entités de la holding sont bankrupcy remote (sauf la SRAC je crois). Si la holding fait défaut, en sa qualité d’actionnaire Lampert récupère déjà le foncier.

Bonjour Thomz,

D’après moi, le foncier n’est pas contenu dans des entités bankruptcy remote (REMIC mis à part) et ne peut pas être récupéré en cas de défaut sans avoir payé les dettes au préalable.

Pouvez-vous me prouver le contraire avec des éléments tangibles ?

Merci bien

Sauf si on le met dans une REIT avant une éventuelle faillite et qu’on le sépare (spin off)? Bon je ne pense pas à une faillite mais peut être à une accélération des fermetures de magasins ou réduction de taille. Le pourcentage provenant des ventes en ligne est encore trop faible pour tout fermer je pense. Au final je verrais bien un business model à la Argos avec soit du click et collect soit du commande et collect et une réduction de la taille des magasins.

Discussion très intéressante, la saison des fêtes va être passionnante!

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#321 18/09/2014 22h30

sergio8000
Invité

Il n’est même pas exclu en soi que SRAC puisse être en faillite un jour, mais je maintiens que SHLD n’est pas SRAC seule mais une holding plus diversifiée. C’est l’essentiel de notre thèse d’ailleurs.

 

#322 18/09/2014 23h35

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Je comprends bien ce qui est écrit pour ma part et la thèse.

Cependant je m’interroge seulement sur la chose suivante : Vous avez estimé qu’il y a une marge de manœuvre car si sears perd 500 mE à 800mE d’euros par an pendant X années alors il reste toujours une marge de sécurité quant à la valo.

Cependant que se passe t il si (comme actuellement) le résultat se détériore encore plus, on estime que Sears va perdre 1 milliard cette année ? Ne risque t on pas de bouffer toute la marge ?

Le marché peut bien sur avoir tort mais aujourd’hui on a encore perdu 5% à 28$.

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#323 18/09/2014 23h35

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crosby a écrit :

En même temps chez First Boston ils soulèvent des points intéressants :

Sears (SHLD): Credit Suisse Warns Story Not Likely to Have Happy Ending

Article très intéressant : pourquoi mettre les bons actifs immobiliers en collatéral d’une dette qui sert a financer un business qui brûle du cash pour l’actionnaire ?

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2    #324 18/09/2014 23h52

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Berkowitz continue d’acheter des actions au plus bas, et participe à hauteur de $100M à la dette court-terme contractée par SHLD il y a quelques jours.

Form 13D a écrit :

The St. Joe Company, an affiliate of the Fund and Fairholme, is in discussions with the Issuer regarding the $400 million secured short-term loan disclosed on the 8-K filed by the Issuer on September 15, 2014 (the "Short-Term Loan").  The St. Joe Company may invest up to $100 million in participations relating to the Short Term Loan.



Si ça c’est pas de la conviction…

source

Geronimo a écrit :

pourquoi mettre les bons actifs immobiliers en collatéral d’une dette qui sert a financer un business qui brûle du cash pour l’actionnaire ?

Parce que ESL ne peut pas prêter du unsecured?

Dernière modification par thomz (19/09/2014 01h13)

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#325 19/09/2014 02h48

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Geronimo a écrit :

pourquoi mettre les bons actifs immobiliers en collatéral d’une dette qui sert a financer un business qui brûle du cash pour l’actionnaire ?

thomz a écrit :

Parce que ESL ne peut pas prêter du unsecured?

Cela repond a la question comment le faire, pas pourquoi le faire

Le pourquoi, c’est probablement parce que EL pense qu’il y a plus a gagner a long terme grace a un turnaround de Sears que par une liquidation du business. En tout cas, c’est la these de nos Bulls ici.

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