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#2851 30/01/2017 19h11
- Zera
- Membre (2014)
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Je crois que ça correspond à la sortie de Tisch du fond de Lampert.
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#2852 30/01/2017 19h35
- InvestisseurHeureux
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JeromeLeivrek a écrit :
Raskass a écrit :
Si le cours de SHLD atteind rapidement un cours de 0USD, je pense que ce ne serais peut-être pas la pire des choses pour les actionnaires.
Avec la somme des parties, je me dis qu’il doit bien rester au moins une fois la valeur de Seritage dans SHLD.
Au moins fini le cash burn et restitution de la valeur aux actionnaires.Je ne vois pas le rapport entre un cours qui atteint 0,xxx et le fait que la société soit liquidée.
Non seulement cela, mais encore une fois, que la restitution de la valeur aille aux actionnaires est possiblement présomptueux. Il y a déjà les créanciers seniors (environ $3 Md d’endettement) et le fonds de pension des employés.
Comme déjà dit sur la file, le fonds de pension a des droits sur une partie des actifs de Sears :
PBGC a écrit :
March 18, 2016
WASHINGTON - The Pension Benefit Guaranty Corporation and Sears Holdings Corp. have reached a final agreement that provides substantial protections for the Sears pension plan, which covers nearly 200,000 people. A tentative arrangement was first announced in September 2015. After extensive talks, the agreement is now final.
"This represents what sponsors and PBGC can achieve when we work together for the benefit of current and future retirees," said PBGC Director Tom Reeder. "We applaud Sears for working with us so closely on this issue."
According to the agreement, Sears will continue to protect the assets of certain special purpose subsidiaries, which hold real estate and/or intellectual property assets.
Additionally, the subsidiaries will grant springing liens on the protected assets in favor of PBGC. The liens will be triggered only by failure to make required contributions to the plan, prohibited transfers of ownership interests in the subsidiaries, termination of the plan, or bankruptcy of the company or certain of its subsidiaries. While Sears is currently making required minimum contributions to its pension plan, the plan’s assets would not be sufficient to satisfy all benefits if it were to terminate.
PBGC works collaboratively with sponsors to help ensure the continuation of their plans. One of the ways the agency achieves this is to monitor transactions or events that may pose an increased risk to plans and the pension insurance system. If a transaction or other event could increase the risk of plan failure, PBGC works with the sponsor to structure meaningful financial protections for plan participants and the pension insurance program.
Source : PBGC, Sears Reach Agreement on Financial Protection for Pension Plan
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#2853 30/01/2017 19h57
- Raskass
- Membre (2016)
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Pardon pour ma bêtise, je croyais qu’une société était mise en liquidation si elle en arrivait à coter 0.
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#2854 30/01/2017 20h13
- francoisolivier
- Exclu définitivement
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Raskass, le reste de ton message ne vaut pas mieux car cela x pages qu’on debat sur la somme des parties justement et que la fameuse phrase (il reste un ou deux seritage) est mise à mal par la qualité et le prix des 5 malls vendus.
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#2855 30/01/2017 20h19
- NicoZ
- Membre (2012)
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et que la fameuse phrase (il reste un ou deux seritage) est mise à mal par la qualité et le prix des 5 malls vendus.
je vois pas pourquoi ces 5 malls disent quoi que ce soit sur Seritage?
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1 #2856 30/01/2017 20h22
- Mevo
- Membre (2013)
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Raskass, le cours de bourse en soi n’a pas d’impact réel sur la vie d’une société (hormis le risque de se faire racheter, et tout ce qui est liée à l’emission d’actions nouvelles ou le payement en actions). Le cours de bourse, c’est le prix auquel les actionnaires s’échangent leurs titres. Pour que le prix atteigne le zero absolu, il faudrait que des gens soient prêt à donner totalement gratuitement leurs titres, ce qui n’a pas beaucoup de sens, autant les garder "au cas où", alors. Une action peut coter très peu par titre (mais alors vraiment très peu), mais en général, ça n’est jamais zéro. De là à ce que ça ait un impact sur la vie de la société elle-même, encore une fois, ça n’en a fondamentalement pas.
Il y a personnement deux choses qui m’interpellent: Ces sale-leaseback, qui ont déjà eu lieu par le passé (Seritage était d’ailleurs exactement ça), ça fait entrer du cash immédiatement, mais ça augmente les charges pour le futur, en générant des loyers qu’il va falloir payer. C’est pas très bon dans la durée, et plus le temps passe, plus Sears a déjà du mal, et en plus ils se rajoutent des frais …
Je sais que ça a déjà été mentionné, mais là justement le prix change potentiellement la donne: Ne faut-il pas s’inquiéter d’une OPA ou OPR ? Parce qu’avec le nombre de titres que détiennent Lampert et Berkowitz et le cours actuel, le montant pour faire une offre pour le reste, même avec une prime devient tout doucement dérisoire à leur niveau …
EDIT:
InvestisseurHeureux a écrit :
Il y a déjà les créanciers seniors (environ $3 Md d’endettement)]
La majorité (mais pas tout) de cet endettement est supporté par SRAC, pas par SHLD. Si SRAC passe en chapter 11 demain, d’après ce que j’ai regardé, la thèse que les actifs détenus par la holding directement ou par des filiales "non guarantor" ne seraient pas impactés, tient selon moi (ça n’engage que moi). Par exemple, le deal de licencing avec Black et Decker qui doit rapporter sur une certaine durée, ne serait à priori pas touché.
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#2857 30/01/2017 20h33
- FranckInvestor
- Exclu définitivement
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Plus ce titre baisse, et plus il y a de messages… -13% ce jour à 6,45 USD. J’en tombe de ma chaise !
Je pense donc que cette file va aller croissante dans les prochaines semaines.
Les Daubasses - Investir sur les petites valeurs avec succès / Graines Voltz : défendre une offre > 40 EUR
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#2858 30/01/2017 20h43
- Olivier66
- Membre (2015)
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C’est une nouvelle une externalisation d’actif de Sears contre des charges supplémentaires.
Pour ce qui est des conditions proposés , ce sera CBL qui aura la main sur la fermeture des espaces de Sears apres une periode de 2 ans et 4 ans pour un des malls en question.
Dans l’etat actuel, le cash va vite etre englouti par Sears
L’exposition de CBL a Sears augmente, la question sera donc le devenir de ces malls (interessant si une autre enseigne Anchor prend le relais ou si un reamenagement de ces malls peut se realiser)
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2 #2859 30/01/2017 20h58
- francoisolivier
- Exclu définitivement
- Réputation : 115
Olivier66 a écrit :
L’exposition de CBL a Sears augmente, la question sera donc le devenir de ces malls (interessant si une autre enseigne Anchor prend le relais ou si un reamenagement de ces malls peut se realiser)
Cbl c’est 140 malls. Dont 25-30 malls avec sears comme anchors.
Et dans le cas des 5 malls, il y a 3/4 anchors.
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[+1 / -1] #2860 30/01/2017 22h59
- babysnoopy
- Membre (2014)
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Bonsoir,
J’ai passé un temps important à chercher à comprendre l’obstination de Lampert. Je considère improbable que cet homme brillant continue à financer SHLD s’il n’avait pas de retour sur investissement significatif à en tirer.
Plutôt que le business, mon attention s’est focalisée sur la structure de la holding. L’exploration de la structure m’a imposé de faire de la bibliographie pour comprendre les special purpose entities, les bankruptcies, etc. Ce sont des domaines très complexes qui ont déjà surpris en bien ou en mal plusieurs investisseurs (Enron, GGP).
La thèse que je vous présente demande a être vérifié par un expert (je ne suis pas financier de profession).
Je vous propose de valoriser les non-guarantor subsidiaries de la façon suivante :
(sur la base du rapport annuel 2015)
Equity : 28,5 B$
Asset : 32 B$ dont
- KCD (2 B$)
- 125 malls (1B$)
- Intercompany receivables (27 B$)
En face de ces 27B$ d’intercompany receivables, on retrouve un montant équivalent en intercompany payables dans la structure mère et les guarantor subsidiaries (retail).
Au niveau consolidé, ce jeu comptable n’apparait pas, les receivables de l’un annule les payables de l’autre, il faut aller en bas des rapports post-2010 pour pouvoir consulter ces données.
Je ne vous fais pas un dessin de la situation actuelle du retail, nul doute que les guarantor subsidiaries ne seront pas en mesure de payer 27 B$ de factures aux non-guarantor subsidiaries. À première vue, on aurait donc envie de valoriser ces intercompany payables à zéro.
Je vous rappelle que l’on parle d’entités bankruptcy-remote, elles n’ont pas vocations à consolider le bilan de la holding en cas de faillite. Les intercompany payables ne disparaitront pas des assets des non-guarantor.
Puisque l’on parle de faillite, entrons dans le vif du sujet.
À partir du moment où le retail sera bankruptcy, les intercompany payables des non-guarantor subsidiaries devraient donc constituer un asset impairment et être convertis en deferred-tax asset.
Un deferred-tax asset de 27 B$ pour des entités qui ne génèrent que 580M$ de bénéfice et 2,9B$ de chiffre d’affaire quasi exclusivement tiré des entités sœurs bankruptcy, quel intérêt ?!
J’en perçois un énorme : une grosse entreprise tiers (un REIT bénéficiaire par exemple) pourrait avoir envie de mettre la main sur les entités bankruptcy-remote, leurs 125 malls et 27 B$ de deferred-tax.
Combien seriez-vous prêt à payer 125 malls et une réduction d’impôt de 27 B$ ?
AMF : long Sears Holdings
Dernière modification par babysnoopy (31/01/2017 14h54)
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#2861 30/01/2017 23h33
- Mevo
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Babysnoopy: Un REIT ayant déjà un status fiscal spécifique, récupérer une perte fiscale n’aura que très peu d’intérêt pour lui. Une autre société, peut-être. Mais ça commence à devenir osé quand on compte sur les pertes accumulées pour valoir quelque chose.
A noter que la holding a une dette de 718 millions à son niveau + possiblement des engagements au niveau du plan de retraite des salariés (citation d’IH plus haut). A noter également qu’il y aurait d’autres actifs comme Sears Re par exemple (quant à savoir combien ça vaut, ça parait impossible. Peut-être beaucoup, peut-être pas).
A titre perso, je considère que c’est assez invalorisable, parce qu’il n’y a pas suffisement d’infos dans les publications (et je me les suis toutes tapées depuis 2006, suite à un commentaire de Sergio au début de la file, au cas où il y aurait des infos dans les anciennes publications, mais je n’ai rien trouvé de tangible - Oui, je me suis aussi tapé toute la file depuis le début, les 115 pages pour savoir tout ce qui a déjà été dit, vu que j’avais pris le train en cours de route). Mais au prix actuel, c’est doute pas mal (sous réserve que des actifs des filiales non-guarantor ou de la holding ne soient pas utilisées pour financer les pertes de SRAC. Et là, pareil, difficile d’être sûr, sans savoir ce que Lampert a exactement en tête)
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#2862 31/01/2017 01h07
- BulleBier
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Que l’on me corrige si je me trompe sur certains points. Sears re est mal comprise.
La propriété de kcd et 125 magasins ont été transféré à Sears Re en 2003.
Depuis chaque fois que kcd touche une commission, qu’un travailleur se voit payer l’assurance par sears, que le loyer est payé sur les 125 magasins, l’argent coule dans Sears re. Sears re le place, et couvre un cout quand il y a un "claim" à payer (dslé je ne connais pas le mot en français).
Le fonds de pension a une option sur kcd et les 125 propriétés mais pas sur les paiements passés ou les actifs de la reassurance causés par placement de ces droits et au profit d’assurance.
Sears re était trop capitalisée en 2013 donc Sears a du créer Sre holdings et y déverser des actifs.
Donc kcd et les propriétés valent peut être 2-3 milliards sur leur cash flows futurs, mais les actifs des réassurances en dehors de cela, le fameux float, vaut surement des milliards. (13 ans de profits et de paiements de loyers et de droits placés de manière conservative peut être 6% l’an).
Sears re n’est pas consolidée dans les comptes si je comprends bien. En gros, il serait possible que Sears re charge des droits, qui font tomber en perte (ou augmente les pertes) Sears holdings, tout en s’enrichissant de son coté. Sears Re facture Sears Holdings. C’est une manipulation incroyable.
De plus avec shop your way, il peut donner des promotions et vendre presque à perte avec les fameux points. Et pour financer les pertes, on se vend Seritage à soi même. De la à dire que toutes les pertes sont volontaires il y a de la spéculation, mais on a une entreprise qui se facture elle même, et qui donne des dollars gratuits en ligne (les points n’étant pas liés à un article ils ne peuvent pas être accusés de vendre en perte). C’est quand même unique.
Pour faire simple si Eddy nous faisait un spin off de Sears re, on serait très très joyeux. Tant que Sears est une holding il y a un risque que cela soit utilisé pour payer les pertes de la distribution.
Voila pourquoi Sears holding a une valeur énorme mais on ne sais pas trop ce qui va rester avec cette transformation.
Sur les non guarantors et les 32 milliards d’actifs je ne crois pas que c’est tangible et qu’il faut mieux calculer une somme des parties.
On peut mettre l’immobilier à zéro si il sert à couvrir les pertes, il reste innovel solution 1 milliard, les 125 propriétés de Sears re 2 milliard, kd (kcd-c) quelques millions, la réassurance au moins 2 milliards mais peut être beaucoup plus, home services 1 milliards, un syw et Sears en ligne (guarantor car faisant partie de la distribution) 1 milliard minimum.
Tout cela est conservateur a 8 milliards.
Les risques sont bien sur que la structure guarantor non guarantor ne tient pas, que les besoins de liquidité de la distribution soient trop grands et épuisent tous les actifs.
Au final Lampert est une quiche en retail. Mais je rejoint la thèse qui dit qu’il s’en moque. Il a peut être essayé de sauver le retail au début, mais il a vite compris qu’il n’avait aucune chance. Il veut se faire un Berkshire Hathaway. C’est un grand fan de buffet et de Berkshire et tout le monde sait que Berkshire a essayé de garder les emplois des tisseries avant de tout fermer car ils ne faisaient que perdre de l’argent. Lampert est pas assez bète pour ignorer cela.
Est ce que légalement sa structure va passer intacte en cas de grosse restructuration, je ne sais pas. En tout cas il y a du génie total sur la structure actuelle de Sears. Est ce que syw va gagner beaucoup d’argent? On peut rester sceptique mais à la lecture de mon post vous comprendrez que la n’est pas le génie de Lampert.
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#2863 31/01/2017 06h59
- Lazard
- Membre (2014)
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Bonjour BulleBier,
BulleBier a écrit :
Sears re n’est pas consolidée dans les comptes si je comprends bien.
Avez-vous une source de cela ?
Cordialement
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3 #2864 31/01/2017 07h56
- Geronimo
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BulleBier a écrit :
Sears re n’est pas consolidée dans les comptes si je comprends bien.
https://searsholdings.com/docs/investor … 2014v2.pdf
en bas de la page 5 :
Since Sears Re, the issuers of the mortgage-backed and asset-backed securities, and the owners of the underlying securitized assets are wholly owned subsidiaries of Sears Holdings Corporation, all of their balances are consolidated and reported on SHC financial statements. Nothing is off-book.
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1 #2865 31/01/2017 11h43
- gilgamesh
- Membre (2011)
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babysnoopy a écrit :
Combien seriez-vous prêt à payer 125 malls et une réduction d’impôt de 27 B$ ?
Personnellement je ne crois pas tellement à ce scénario, bien que la réduction d’impôt puisse avoir un intérêt si jamais la holding devient un jour profitable ou vends le reste de l’immobilier avec une plus-value.
Dans le scénario que vous évoquez il faut garder à l’esprit que ces réductions d’impôt n’ont pas une durée infinie, il me semble que c’est utilisable pendant 10 ans.Donc pour utiliser en totalité les 27B$, cela n’intéresserait qu’une société qui est sûr de payer 2,7B$ d’impôts par an pendant les 10 prochaines années.De plus le taux d’impôt sur les société US a des chances de baisser dans les années qui arrivent.
Cela limite donc le nombre de candidats et implique un discount.
Pour le moment Lampert semble plutôt dépenser le cash dans SYW et communiquer sur la transformation.Je ne vois pas l’intérêt de faire des pertes pendant des années pour ensuite les transformer en crédit d’impôts et les revendre plus tard avec un discount.
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#2866 01/02/2017 18h25
- BulleBier
- Membre (2013)
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Geronimo a écrit :
BulleBier a écrit :
Sears re n’est pas consolidée dans les comptes si je comprends bien.
https://searsholdings.com/docs/investor … 2014v2.pdf
en bas de la page 5 :
Since Sears Re, the issuers of the mortgage-backed and asset-backed securities, and the owners of the underlying securitized assets are wholly owned subsidiaries of Sears Holdings Corporation, all of their balances are consolidated and reported on SHC financial statements. Nothing is off-book.
Merci. Je suis confus. Sears indique que sears re detienait du capital en excès, n’a jamais eu à vendre des actifs pour couvrir les claims.
Or dans les comptes consolidés, a part 500 millions d’other assets, on ne voit rien du tout. Pas d’investissements.
J’avais lu quelque part que le float n’est pas consolidé mais cela était une erreur.
Sears est vraiment complexe et opaque.
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#2867 01/02/2017 19h33
- InvestisseurHeureux
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InvestisseurHeureux a écrit :
Petite transaction immobilière entre Sears et CBL & Associates :
CBL & Associates a écrit :
CBL & Associates Properties, Inc. Acquires Five Sears Stores for Future Redevelopment Through Sale-Leaseback
CHATTANOOGA, Tenn.--(BUSINESS WIRE)-- CBL & Associates Properties, Inc. (NYSE:CBL) today announced that it has closed on a sale-leaseback transaction for five Sears department stores and two Sears Auto Centers located at CBL malls, providing CBL with control of these locations for future redevelopment.
CBL has acquired the locations for a total consideration of $72.5 million. Sears will continue to operate the department stores under new 10-year leases. Under the terms of the leases, CBL will receive aggregate initial base rent of approximately $5.075 million, with Sears also responsible for paying common area maintenance charges, taxes, insurance and utilities.
CBL will have the right to terminate each Sears lease at any time (except November through January), with six months’ advance notice. In addition to CBL’s termination right, after a lock-out period of four years for the Sears store at Jefferson Mall, two years for the other four Sears stores and one-year for the two Sears Auto Centers, Sears may terminate each store lease upon six months’ notice. Upon termination by either party, Sears has the option to relocate its operations at each mall to a location of up to 15,000 square feet.
“We are pro-actively transforming our market-dominant shopping centers to meet the changing preferences of consumers. This transaction provides CBL with the opportunity to redevelop prime real estate and attract exciting new uses at some of our best shopping centers,” said Stephen Lebovitz, president & chief executive officer. “The leaseback of the real estate by Sears will generate income to CBL and gives us control over the timing of closures while we finalize our redevelopment plans at each location.”
The five locations acquired include the Sears’ parcels at Cross Creek Mall in Fayetteville, North Carolina; Brookfield Square in Brookfield, Wisconsin; Hamilton Place Mall in Chattanooga, Tennessee; Eastgate Mall in Cincinnati, Ohio; and Jefferson Mall in Louisville, Kentucky. The two acquired Sears Auto Centers are located at Northgate Mall in Chattanooga, Tennessee, and Volusia Mall in Daytona, Florida.Source : CBL & Associates Properties, Inc. Acquires Five Sears Stores for Future Redevelopment Through Sale-Leaseback
Donc l’opération se fait avec un taux de capitalisation de 7% en loyers triple net. Sur les 5 centres commerciaux, 3 sont de classes B et 2 sont des classes C+ (source : Earnings Release and Supplemental Financial and Operating Information CBL & Associates).
Je manque de données pour avoir une connaissance fine des taux de capitalisation pratiqués actuellement, mais a priori, je ne vois pas "d’anomalie" dans un sens ou dans un autre.
Cet article de SeekingAlpha est plus étayé que mon message et corrige certaines erreurs sur les centres commerciaux, qui seraient de meilleur qualité que ce que j’écrivais : [url=Sears Holdings Sells Some Of Its Top Remaining Stores At CBL Malls - Sears Holdings Corporation (NASDAQ:SHLD) | Seeking Alpha]Sears Holdings Sells Some Of Its Top Remaining Stores At CBL Malls[/url].
Ceci explique peut-être la réaction de monsieur le marché.
La conclusion de l’article est à vérifier pour ceux qui sont investis dans Sears :
Elephant Analytics a écrit :
While I believe that Sears has likely done enough to scrape through to 2018, Sears is starting to run out of things to effectively monetize. It has sold most of its top owned and unencumbered locations for major mall REITs such as Macerich, Simon Property Group and CBL, and is generally left with a hodgepodge of assets of lesser worth.
Source : Sears Holdings Sells Some Of Its Top Remaining Stores At CBL Malls - Sears Holdings Corporation (NASDAQ:SHLD) | Seeking Alpha
-
Et pour les fans de Bruce R. Berkowitz :
Bruce R. Berkowitz a écrit :
Sears Holdings Corporation
Focusing on tangible assets has served us over many years, but most believe Sears to be the exception to the rule. Disruptive technologies; near-zero cost of capital; and few, if any, legacy obligations provide young competitors with great advantages over old-line operators. Today, Airbnb is the largest lodging company in the world without owning a single hotel room. Uber is the world’s largest taxi company without owning a car (and perhaps soon without utilizing a single driver). Intuit’s Rocket Mortgage lends only via the net. Amazon crushes competition without a physical retail footprint. Mega-tech companies are now trusted in all aspects of personal and corporate life. I’m reminded of this every day by my Fairholme team, our clients, fellow directors at Sears, and friends.
Bottom line: Sears has degraded net asset values, but there is still much left and the company is fixing its cash drain. Recent corporate announcements – including (i) the proposed sale of Craftsman to Stanley Black and Decker for a cumulative $775 million plus a 15-year royalty stream on all third-party Craftsman sales to new customers and the use of a perpetual license for the Craftsman brand by Sears (royalty free) for 15 years; (ii) shuttering 150 unprofitable stores in 2017 on top of the roughly 235 stores that were closed in 2016; and (iii) marketing certain properties within the company’s real estate portfolio to further unlock value – reflect an acceleration in the company’s transformation efforts consistent with Chairman Eddie Lampert’s recent public comments:
[In late September 2016], we announced a partnership between Shop Your Way, Sears Auto Centers and Uber. This is another example of how we are transforming Sears Holdings to focus on serving our Shop Your Way members … Expect additional partnerships over time emphasizing our Shop Your Way business … Kmart continues to operate over 700 stores … a significant number of these stores are profitable … we are intent on improving the performance of our unprofitable stores and, if we cannot, we will close them … We are acting more aggressively and continuing to evaluate stores as leases expire and as other opportunities present themselves that improve the economics of Sears Holdings. Our significant asset base gives us the wherewithal to fund our business, but we don’t intend to use our asset value to support losses.
Source : Fairholme Funds Letter For the Year Ended December 31, 2016
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6 #2868 01/02/2017 22h01
- Lazard
- Membre (2014)
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Merci IH pour vos liens. Intéressant !
Pour ceux qui peuvent être intéressés, je vais vous parler un peu de ce qui m’a poussé à investir dans Sears Holdings, quelle était ma thèse, mes arguments et pourquoi la thèse a été mise à mal. En espérant que cela puisse aider certains à ne pas reproduire l’erreur et/ou à mieux comprendre Sears Holdings.
Il y a 2/3 ans, je voyais Sears Holdings comme un investissement extrêmement peu risqué. Même si j’avais fait mes devoirs et construit une thèse tangible, j’ai ignoré certains éléments qui auraient dû me taper dans l’œil quant à l’importance du risque de cet investissement.
J’ai découvert l’entreprise grâce à l’Investisseur Français même si ma thèse était très différente de la leur (bien plus axée sur l’activisme et l’aspect totalement indispensable d’ E.Lampert et bien moins à l’aise avec la structure de la holding). Je les remercie beaucoup de m’avoir fait découvrir cette entreprise, l’histoire m’aura fait énormément progresser en investissement :
Ce qui était attractif à l’époque :
1) Eddie Lampert
C’est un investisseur extrêmement brillant, surement l’un des meilleurs investisseurs de sa génération. Sur son coté businessman, on ne commentera pas…
Eddie Lampert était totalement aligné avec l’actionnaire long-terme. Une énorme partie de sa fortune (et de son fond d’investissement) était placée dans Sears Holdings. Cela pouvait laisser à penser qu’il n’allait pas prendre trop de risques et assurer un rendement correct en protégeant les bons business et les actifs de la holding (Brands, Real Estate…).
L’homme semblait honnête, son salaire fixe étant de seulement de 1$. Cela dit, il est vrai qu’on pouvait largement contester cet argument en observant qu’il se payait en actions alors qu’il en possédait déjà des millions (d’actions). La plus-value au niveau de la gouvernance était donc très contestable.
2) Les multiples possibilités de débloquer de la valeur
Lampert avait largement de quoi s’enrichir considérablement à moindre risques (et de nous enrichir avec), cela rendait l’investissement d’autant plus attractif.
Il pouvait (entre autres):
-spiner des entités non-guarantors
-spiner des entités guarantors (il l’a fait notamment avec Lands’ End qui était guarantor ! Sur ce coup, la flexibilité de la holding a été vraiment impressionnante)
-spiner de l’immobilier
-spiner les brands
-spiner les autres business (Auto Center, Home services…)
-vendre des actifs pour payer des dividendes ou des rachats d’actions
En gros, avec le combo suivant, il me semblait (à tort) que le risque était faible. :
Manager brillant + Manager incentivé (énorme participation dans l’entreprise) + Présence de multiples possibilités de débloquer la valeur des actifs + Décote importante sur NAV
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Par contre, j’ai toujours été opposé à certaines thèses bull
-Les entités bankruptcy-remote permettent de structurer le deal pour le préteur (ici SRe) pas d’empêcher que les actionnaires historiques soient dépossédés de l’entité (et des actifs associés) en cas de faillite de la société-mère qui possède l’entité bankruptcy-remote. Cela empêche la mise sous chapitre 11 de l’entité pendant la restructuration de la société mère, mais pas que les actionnaires soient changés à la fin du processus de restructuration.
-Il y a pas mal de dette au niveau de la holding, (ce qui limite grandement la valeur nette de SRe au sein de la holding, raison pour laquelle ma thèse misait plutôt sur un spin-off).
-Beaucoup d’entités non-guarantors (comme REMIC et KCD) sont des filiales des entités opérationnelles (autrement dit, la faillite des entités opérationnelles entraînerait la faillite des filiales non-guarantors concernées).
-Beaucoup d’actifs (immobilier hors-REMIC, stock, below-market leases…) sont situés dans filiales des entités opérationnelles (autrement dit, la faillite des entités opérationnelles entraînerait les actifs concernés avec).
-la Holding est garante de pas mal de dettes des Opco. Une faillite des Opco entraînerait donc la holding entière avec.
-Pour ce qui est du bilan des non-guarantors (et des 27 B$ de BV) qu’on peut voir dans les 10-Ks, je n’y reviens pas, pour moi c’est du bullshit.
-Enfin, si la holding tombe en faillite il me paraît quasi-impossible que l’actionnaire en sorte gagnant car : 1) le processus est long et très coûteux 2) c’est souvent très aléatoire et fonction du juge 3) les actifs sont souvent mal valorisés 4) Lampert et Berkowitz possède beaucoup de dettes et en profiteront avec quasi-certitude pour mettre la main sur d’éventuelles futures nouvelles actions (en squeezant les actionnaires historiques)
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Ce qui s’est mal passé dans la thèse :
1) Seritage Growth Properties
Alors qu’il aurait pu débloquer facilement énormément de valeur pour les actionnaires en spinant "gratuitement" Seritage Growth Properties , Eddie Lampert a décidé de faire en parallèle une augmentation de capital. En gros, il a fait payé les actionnaires pour Seritage alors qu’il avait bien d’autres possibilités que de faire une AK pour lever du cash.
Certains peuvent penser que c’était pour limiter le risque de fraudulent conveyance, mais je n’y crois pas car dans tous les cas, le deal s’est fait à prix avantageux pour Sears Holdings (et les lois de fraudulent conveyance se seraient appliquées en cas de faillite).
On notera qu’il aurait suffit que le deal Seritage Growth se fasse sans AK pour valider la thèse…
2) Le deal PBGC
Dès le début de ce deal, j’ai toujours pensé que c’était problématique pour ma thèse car ce deal empêche de spiner REMIC ou KCD et baisse ainsi la flexibilité qu’a Lampert pour éventuellement débloquer de la valeur.
Sears Holdings a écrit :
" (b) prohibited transfers of ownership interests in the Relevant Subsidiaries "
Source : ici
(Cependant le deal ne semble pas empêcher de spiné SRe)
3) La lenteur de E.Lampert
La volonté de E.Lampert (jusqu’à récemment) de vouloir redresser de nombreux magasins en pertes plutôt que de simplement les fermer a enfoncé un peu plus les pertes et la NAV même si c’est surement plus facile à dire après coup.
Mais l’erreur fondamentale que j’ai faîte est ailleurs :
Où est cette erreur fondamentale ?
J’ai ignoré, le fait que Lampert spinait systématiquement avec augmentation de capital (SHOS, Seritage) ou endettement (Orchard Supply, Lands End) pour financer son projet de transformation. Ce qui était un signal fort en faveur du fait qu’il comptait profiter des actifs pour financer la transformation plutôt que d’en faire profiter directement les actionnaires. D’ailleurs je n’ai surement pas pris suffisamment au premier degré la stratégie "funding our transformation ". Tout ceci aurait du me faire prendre conscience du risque que Lampert puisse "throw good money after bad ". (Attitude qui me semblait à tort totalement improbable ). Au regard du contexte du retail (compétition d’Amazon…), la transformation était une bonne idée, mon avis est que l’erreur réside plus dans le fait d’avoir fait un quasi all-in en mettant autant d’actifs en jeu.J’ai aussi ignoré le fait que Lampert a par le passé expliqué que son but dans la vie est d’être reconnu comme un excellent businessman (et non comme un excellent investisseur, la nuance est importante)
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Sears Holdings un investissement qui tend aujourd’hui vers la perte totale de capital ?
Peut être, mais ce n’est pas sûr, il reste des actifs à monétiser, Sears Holding peut échapper facilement à la banqueroute à court terme. Il y a encore du temps, mais il faut faire vite. L’accélération des fermetures de magasins semble énorme depuis quelques semaines. Si cela continue, les pertes peuvent être nettement réduites. Mais le temps presse…
On notera que Sears Holdings peut toujours spiné SRe qui possède pour près de 3 milliards de REMIC Notes et KCD Notes et qui est ainsi hautement profitable (les intérêts tombent chaque année sans dépenses associées). Le seul bémol c’est que Lampert veut rendre la holding profitable rapidement, et ce type d’action n’est surement pas quelque chose qui irait dans ce sens puisque cela rajouterait des centaines de millions en dépenses annuelles (les taux des REMIC Notes et KCD Notes n’ont jamais été dévoilés, sauf erreur de ma part mais on peut supposer un taux entre 5 et 10%). Et, il faudrait éviter la faillite pendant 2 ans supplémentaires pour éviter de tomber sous les lois de fraudulent conveyance.
(en espérant que ce pavé a pu intéresser certains)
A suivre…
Dernière modification par Lazard (03/02/2017 21h19)
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#2869 01/02/2017 23h43
- Lionel
- Exclu définitivement
- Réputation : 6
Bonjour
Une question simple: à part le non respect des covenants bancaires et le manque de liquidités pour payer les tranches de dettes arrivant à maturité, qu’est-ce qui peut provoquer la faillite de SEARS Holding?
Quels sont les covenants pour SEARS le cas échéant svp? Je n’ai pas trouvé dans le rapport
Merci
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2 #2870 02/02/2017 10h14
- Pryx
- Membre (2013)
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La faillite d’une entreprise arrive lorsque celle-ci ne peut pas faire face à ses engagements.
- Rembourser les échéances de dettes (en principal ou même juste les intérets)
- Financer son BFR (en général ne pas pouvoir payer ses fournisseurs)
Si Sears n’a pas le cash nécessaire à échéance, et n’arrive pas a en trouver (lever une nouvelle dette, vendre des actifs) et n’arrive pas à négocier (allongement de la durée des dettes financière, délai de paiement fournisseurs), Sears sera ne faillite. 2 Solutions - Chap 11 ou Chap 7 -
En France, une entreprise peut se placer en Sauvegarde AVANT son défaut et obtenir un moratoire sur ces échéances pour se laisser le temps de trouver une issue. C’est un peu pareil que le Chapter 11, alors que le Chapter 7 c’est carrèment la faillite et l’équivalent chez nous de la liquidation judiciaire. C’est la vente de tous les actifs avec suppression de l’activité.
Wikipedia - Chap 11
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#2871 03/02/2017 17h08
- corsaire00
- Membre (2013)
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Bonsoir,
une information sectorielle
Macy’s s’envole de plus de 10% à Wall Street sur des rumeurs de rachat d’Hudson’s Bay. A en croire, le ’Wall Street Journal’, qui cite des sources proches du dossier, le groupe canadien aurait approché la plus grande chaîne de magasins américaine. Les discussions entre les deux entreprises ne seraient qu’à un stade préliminaire et il n’existe aucune certitude sur le fait qu’elles débouchent sur un accord. Les deux groupes étudieraient également diverses façons de coopérer, dont un éventuel rachat du parc immobilier de Macy’s.
Et si SEARS était racheté par un concurrent ou Amazon après avoir été allégé -)
Cette hypothèse n’a pas été beaucoup discuté ici il me semble.
A lire cette file, Lampert serait un financier débordé par l’ampleur de la tache. Et si il déroulait un plan permettant de vendre un SEARS allégé et rentable ?
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1 #2872 03/02/2017 17h47
- InvestisseurHeureux
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corsaire00 a écrit :
Et si SEARS était racheté par un concurrent ou Amazon après avoir été allégé -)
Cette hypothèse n’a pas été beaucoup discuté ici il me semble.
Et pour cause, elle semble encore plus farfelue que les autres… :-)
Si Macy subit quelques déconvenues récentes, cela reste un des meilleurs détaillants US :
Vraiment rien à voir avec Sears qui perd de l’argent et dont l’image de marque a été complètement détruite par EL en négligeant complètement d’investir dans ses magasins, au profit de SYW ou je ne sais quoi.
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#2873 03/02/2017 17h53
- francoisolivier
- Exclu définitivement
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Et puis Macys a plus un positionnement galerie lafayette/printemps avec 1 vaisseau amiral digne du bon marché (blomingdales sur la 5eme avenue, san francisco et palo alto) qui se chiffre en milliards.
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#2874 03/02/2017 19h01
- Mevo
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InvestisseurHeureux a écrit :
corsaire00 a écrit :
Et si SEARS était racheté par un concurrent ou Amazon après avoir été allégé -)
Cette hypothèse n’a pas été beaucoup discuté ici il me semble.Et pour cause, elle semble encore plus farfelue que les autres… :-)
J’avais écrit message #2719:
Mevo a écrit :
En essayant de réfléchir un peu, j’en suis arrivé à la conclusion qu’Amazon parle de plus en plus d’ouvrir des points de vente. Ca permet aux clients de venir chercher leurs articles immédiatement, et ça permet aussi à Amazon d’expédier les produits à partir d’un point au plus proche du client, et donc d’économiser sur les frais et délais de transport (les US, c’est très grand). Surtout avec leur idée de livraison par drone, l’entrepot ne peut pas être trop loin du lieu de livraison. Et au final, tant qu’à avoir un maillage d’entrepôts, autant en faire directement des magasins, avec là leur idée de faire du commerce sans passage en caisse: Autant que les clients viennent se servir dans les "entrepôts", si déjà ils sont là.
En réfléchissant un peu plus loin, il y aurait presque une logique pour Amazon qui vaut $350 milliards de se payer Sears qui en vaut $1 de milliard, pour son réseau de magasins, plutôt que de développer tout "from scratch".
Chacun se fera une opinion quant au "farfelu" d’une telle possibilité Je ne dis pas que ça va arriver, mais je ne parierais pas une main que ce soit impossible non plus.
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1 #2875 03/02/2017 20h15
- Youplaboum
- Membre (2012)
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@Lazard (Hello cher ami, en passant) : Sears Holdings.
Me.rci ;-)
The only real failure is the failure to try.
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