Unilever : analyse d'investissement et débat sur sa valorisation
Cette discussion, s'étalant sur plusieurs années, porte sur l'analyse d'investissement de l'action Unilever, un géant des biens de consommation courante. Les membres partagent leurs opinions sur le potentiel de l'entreprise, débattent de son prix d'achat optimal et examinent divers aspects de sa valorisation, utilisant des outils comme xlsValorisation pour estimer sa valeur intrinsèque.
Les participants discutent des concepts clés de l'investissement tels que la diversification géographique (forte exposition aux marchés émergents), la gestion du risque (secteur défensif, mais sensibilité aux fluctuations des devises et à l'évolution des marchés émergents), et le rendement (dividende régulier et croissant). Des arguments principaux portent sur le potentiel de croissance à long terme, la solidité du bilan financier d'Unilever, et la résilience de son modèle économique face aux crises économiques.
Une tendance notable est la recherche du meilleur moment pour investir en fonction du cours de l'action. Plusieurs membres recherchent le point d'entrée optimal, utilisant des indicateurs comme le plus bas sur 52 semaines ou une valorisation intrinsèque calculée, pour optimiser leur rendement. La discussion analyse également les différences entre les actions cotées à Amsterdam (Unilever NV) et à Londres (Unilever PLC), notamment concernant les implications fiscales et les frais de courtage.
La discussion aborde également les implications de la structure bicéphale de l'entreprise (Unilever NV et Unilever PLC), notamment son impact sur la valorisation et la fiscalité. L'éligibilité au PEA est un point important de la discussion, complexifiée par le changement de siège social de l'entreprise, passant des Pays-Bas au Royaume-Uni, et les conséquences du Brexit sur la fiscalité.
Enfin, la tentative d'OPA de Kraft Heinz sur Unilever est analysée, soulignant l'influence des actionnaires activistes et l'impact de cette offre sur le cours de l'action. Les membres discutent des stratégies de gestion des dividendes, notamment le réinvestissement en actions et les implications fiscales associées.