Trade Republic : vos avis sur ce courtier bourse en ligne allemand

Par contre, on ne détient pas les titres mais une sorte d’unité de compte si je comprends.

Sans vouloir paraître agressif, quel intérêt d’utiliser TradeRepublic alors qu’IB existe et propose depuis quelques temps des petits frais adaptés aux petits portefeuilles ?

Certes, il y a des actions fractionnées, mais à part dans des cas très particuliers d’actions très chères, si on ne peut pas acheter une action unique, autant d’abord remplir un livret A non ?
(D’autant plus que ce seront donc des produits dérivés et non pas des vraies actions).

J’ai lu quelques points positifs sur cette file, mais franchement rien qui pourrait me convaincre de changer.

IB est un mastodonte qui sait ce que service client veut dire, le tout à des tarifs très compétitifs.
Pourquoi chercher la "nouveauté" ?
Quel est l’avantage compétitif de TR ?

De mon côté l’avantage que je trouve a TR c’est l’investissement programmé et la simplicité.
=> J’ai mis en place un "plan d’investissement" il y a quelques années avec versement auto sur 2 ETF + crypto en quelques clics

Trade republic n’est pas présent en France depuis longtemps, mais à quand même été créé en 2015, ce n’est donc pas un acteur si nouveau que ça.

iB est peut être très bien, pourtant beaucoup préféraient aller chez Binck, saxo, bourse direct…
Les avantages de TR ont déjà été énoncés ici , et les inconvénients.
Les liquidités rémunérées et le fait que ce soit le seul courtier étranger à fournir un document récapitulatif  de plus value et dividendes qui serve pour les impôts en font parti.

Au niveau des frais de l’investissement récurrent, vous annoncez 1% du montant chez IB, il est de zéro chez TR, ce qui même avec du spread peu faire une grosse différence sur la durée.

Bref, IB est bien mais à des inconvénients, TR a des inconvénients, Fortuneo aussi.. etc.

Je n’ai pas encore vu l’option pour les obligations sur mon application, ni l’apparition du taux de 4% sur les liquidités mais je m’en réjouis d’avance.

tikitoi a écrit :

Les liquidités rémunérées et le fait que ce soit le seul courtier étranger à fournir un document récapitulatif  de plus value et dividendes qui serve pour les impôts en font parti.

Pour information leur "IFU" comporte pas mal d’erreurs sur les crédits d’impôts, les cases à utiliser …

https://www.investisseurs-heureux.fr/po … qid=525228

Pour info, le cash sera rémunéré à 4% à partir du 1er octobre 2023 chez Trade Republic (jusqu’ici c’était 2%).

C’était déjà le cas avant, limite à 50k.

Pour les obligations, 381 obligations sont actuellement recensées.

C’est un versement mensuel.

D’ailleurs, je suis tombé sur l’émission de BFM Business ce matin, et l’intervenant a parlé plusieurs fois de traderepublic en bien et concernant cette nouvelle rémunération. (il a aussi évoqué revolut sur le même principe, à 5%, mais avec risque de change)

Pas de retenue à la source.
La rémunération est en place depuis début 2023, donc je n’ai pas encore vu comment ça apparait dans leur rapport fiscal annuel.

J’ai vu la même chose entre Boursorama et Trade Republic semaine dernière

Petit aperçu sur les obligations disponibles chez TR :

Trade Republic

J’ai relevé un encart sur "Investir" il ya quelques semaines concernant les dividendes d’actions européennes détenues chez un courtier non français et donc Trade Republic mais ce n’est pas encore pour demain :

Investir : Dividendes : Réforme européenne

Le projet de directive relatif à la fiscalité des dividendes de source
étrangère entrera-t-il bien en vigueur le 1er janvier 2027 ? Selon la Commis-
sion européenne, pour éviter une double imposition, « les investisseurs
doivent jongler avec plus de 450 formulaires différents », et ces procédu-
res, « souvent longues, coûteuses et fastidieuses », sont un obstacle à la
création d’un marché unique des capitaux. Selon Paolo Gentiloni,
commissaire à l’Economie, le texte « permettra de garantir que les
investisseurs transfrontaliers ne sont pas imposés de manière excessive
sur les dividendes ».
Actuellement, les coupons de sociétés ayant leur siège hors de France
font l’objet d’un prélèvement à la source. Il est compensé en France par
un crédit d’impôt imposable, toutefois plafonné à 15 % du dividende
brut, selon un mécanisme compliqué (Investir du 4 juin 2022). Or, si la
ponction est bien de 15 % pour des sociétés basées aux Pays-Bas ou au
Luxembourg, elle est de 25 % en Allemagne et de 30 % en Belgique.
D’où les lourdes démarches évoquées par Bruxelles pour récupérer
la différence, de toute façon imposée en France. Souvent, les actionnaires y
renoncent. La nouvelle procédure proposée, basée sur un « certificat de
résidence fiscale numérique », permettra un dégrèvement à la source
ou un remboursement dans les cinquante jours. - j.-l. c.