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#276 03/12/2023 21h27

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patrick a écrit :

J’ai 60 ans,rentier, et j’ai arrêté le bridge en journée car j’avais l’impression de me rendre dans des EPHAD.moyenne d’âge 80 ans, au top intellectuellement, mais déprime assurée pour un «  jeune «  comme moi..
C’est un élément à prendre en compte pour les activités de journée..

A mes yeux à 60 ans on est pas rentier on est jeune retraité…ce qui ne change rien à votre remarque sur le club de bridge et le coté EPHAD.

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Favoris 1    #277 04/12/2023 00h36

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Rick, le 03/12/2023 a écrit :

Une personne qui vient d’une famille pauvre, si elle arrive à créer un patrimoine net de plusieurs dizaines voir centaines de milllions d’euros ne se dira pas qu’elle a un besoin de retourner au travail car c’est dans son adn….

Je pense que globalement il y a beaucoup de contre exemples, dont pas mal ici.

Une fois rentier, énormément de choses changent, on en a déjà pas mal parlé ici.

Gérer sa vie, son patrimoine, sa famille et ses angoisses n’est pas idem lorsque vous êtes "super actif" ou "complètement" passif.

Pareil au niveau des gens que vous rencontrez, la façon dont vous êtes avec votre famille, la façon dont votre compagne/compagnon vous perçoit.

Le système de récompense ne fonctionne plus pareil (challenge, gout de l’effort, satisfaction du travail accompli)

L’inflation, les normes, la fiscalité, le droit de circuler, le prix de l’énergie, les guerres, les crises sanitaires, l’instabilité (relative) sociale et politique font que c’est parfois pas évident d’être réellement "profiter"

On peut aussi ajouter les changement géographique (province, étranger etc)

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#278 04/12/2023 07h50

Membre (2021)
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INTJ

Ma petit opinion sur ce fil qui en a déjà pas mal.

Pas encore rentier ici, mais pour la première fois de ma vie j’envisage sérieusement de lever le pied sur mon temps de travail (de 6j/7 depuis des années).
Ma RP est bientôt payée, ma femme reprend le boulot après avoir arrêté pour nos 3 enfants le temps qu’ils soient tous en âge d’aller à l’école (elle bosse à mi temps), on gagne en ce moment environ 4k€ / mois via nos activité professionnelles et environ 900€ / mois de revenus du capital (loyers et dividendes).

nos dépenses contraintes sont de l’ordre de 2500€ / mois

Mes projets qui nécessitent du temps libre :
- terminer de rénover ma RP pour qu’elle soit nickel au moment où on aura terminé de payer la banque pour elle (on sait jamais, peut être que je la vendrais ou la louerais à ce moment là…)
- planter un verger sur une belle parcelle abandonnée sur laquelle a poussé une forêt à quelques centaines de mètres
- passer plus de temps au potager
- pourquoi pas démarrer un petit élevage mais je ne pense pas vraiment me débloquer assez de temps pour cela… j’adorerais élever des ânes (je ne parle pas de mes enfants bien entendu :-) )
- continuer de m’impliquer dans la politique locale, pourquoi pas adjoint au maire en 2026 ? ça donne à la fois des leviers d’actions pour porter des projets sans toutes les obligations qui vont avec le statut de maire (ceci dit je porte déjà quelques projets que je trouve fondamentaux en tant que conseiller municipal)
- appuyer sur mon engagement associatif, notamment dans l’aide à l’entreprenariat (réseau initiative, mentorat…)
- passer du temps à investir dans des petites boites et les aider dans leur gestion

voilà la vie de rentier telle que je la vois, j’ai coutume de dire que ce qui me dérange n’est pas LE TRAVAIL, car 90% de ces activités seraient considérées comme du travail par les autres, c’est de SUBIR un travail qui nous est imposé par d’autres, et qui pompe mon énergie en me détournant des choses qui me tiennent à cœur

edit : ha oui, il y a aussi ce projet que j’ai depuis longtemps de m’aménager un petit étang de pêche avec une cabane, mais ce n’est pas si évident à réaliser, il faut un terrain plat adapté. Pas évident dans le massif central, ou trouver un étang pas loin mais ils sont difficile à décrocher. Et ensuite gérer toutes les contraintes administratives…

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#279 04/12/2023 08h42

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Bonjour,

Vous redéfinissez un peu le principe marxiste de l’aliénation du travail : hélas rien de nouveau dans nos sociétés modernes. Et pour en rajouter une couche, quelqu’un m’imposerait au boulot d’aider à la réalisation d’un étang particuliers immédiatement je soupirerais en pensant au code de l’environnement à la loi sur l’eau et consort (techniquement aucun soucis on sait faire depuis des décennies), alors que vous posteriez une demande ici, ma foi gracieusement ce serait un plaisir de suivre et aider si possible…
Ma seule conclusion est que l’être humain à (effectivement) un défaut de fabrication, seule une minorité peut franchir le pas avec succès. On a des capacités réflexives mais on ne sait pas vraiment quoi en faire de bien etc etc


Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*

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#280 04/12/2023 12h52

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Oui tout à fait.

D’ailleurs ça me fait penser à quelque chose que j’ai lu plus haut. Si j’étais rentier "de naissance", j’aurais fait des choix de carrière totalement différents. Pas un consultant mercenaire mais surement dans la recherche, en l’occurrence en biologie, ou bien dans l’armée (par tradition familiale), deux vocations que j’ai volontairement abandonné dans le but d’assurer ma stabilité financière sur le long terme, ne pouvant compter sur aucune transmission de patrimoine (du moins c’est ce que je croyais à l’époque, mon paternel étant monté en grade en fin de carrière il peut compter sur une retraite plus confortable que ce qu’il gagnait en activité).

Un de mes principaux objectifs n’est donc pas de "devenir rentier", mais bel et bien d’être un investisseur heureux, heureux de travailler là où j’ai décidé de le faire.
Mon second objectif est de permettre à mes enfants de faire n’importe quel choix de carrière, soit devenir officier (ce qui est LA réussite habituellement dans la famille, je suis le seul à n’être qu’un ingénieur :-) ), ou musicien, chercheur, sportif …

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#281 04/12/2023 13h05

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patrick, le 03/12/2023 a écrit :

Juste une remarque personnelle : quand on est rentier, on ne travaille pas, et dans la journée, on rencontre généralement des gens qui eux non plus ne travaillent pas. Comme, la population n’est pas principalement constituée de rentiers, il s’agit soit d’étudiants, de chômeurs , de personnes qui travaillent la nuit ou à temps partiel, et surtout beaucoup, beaucoup, de personnes âgées voir très âgées.
J’ai 60 ans,rentier, et j’ai arrêté le bridge en journée car j’avais l’impression de me rendre dans des EPHAD.moyenne d’âge 80 ans, au top intellectuellement, mais déprime assurée pour un «  jeune «  comme moi..
C’est un élément à prendre en compte pour les activités de journée..

C’est clair. Je pense que c’est particulièrement vrai si vous n’habitez pas une grande ville.

Je suis dans un club de VTT local.

La sortie du dimanche, il y a tous les âges même si la médiane est plutôt autour de 40-50.

La sortie du vendredi après-midi, il n’y a que des retraités (et moi !).

Et cette proportion massive de retraités, vous l’avez aussi pour certaines activités, quel que soit le jour de la semaine.

La vérité, c’est que les "jeunes" ne vont pas au théâtre, ne font pas de marche nordique, ne jouent pas au bridge… Même la natation est devenue une activité de "vieux" !

Comme vous dites, tous ces gens sont très sympathiques et dynamiques, mais la différence d’âge est parfois pesante.

Même si on est tjs le vieux d’un autre : si je suis entouré de gens de 60 ans (donc de votre âge), j’ai l’impression d’être entouré de "vieux" !

Mais c’est un vrai sujet que vous soulevez. Et cela va "empirer" avec la réforme de la retraite.

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#282 04/12/2023 13h58

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Allez… je vous rassure … je suis entourée de gens de mon âge - avec qui je n’ai rien en commun sauf 2 exceptions de couples un peu plus jeunes et encore "actifs" Dieu merci!
Ils ne lisent pas, n’aiment pas les films ou series Asiatiques …et évidemment pas l’économie ou la politique internationale et surtout pas parler d’investissement ou de perpectives bourse etc… Tres déprimant de ne faire que du small talk !

Donc je me contente de bonjour, salut … parler de nos bestioles ou du jardin commun tres brièvement…. et je ne fréquente que les 2 couples d’expats plus jeunes et passionnés meme si nos passions diffèrent. Les conversations sont "exponentielles" et on rit beaucoup !

Puisque je n’arrive pas a parler de bobos ou de petits enfants ou du frère/cousin/soeur/cousine qui découche …et que je refuse de critiquer notre gentil voisin Portugais pour sa dernière voiture de luxe … je me sens franchement "out" mais so what ?  Nothing new …
But who cares ?

Soyez contents de pouvoir pratiquer du sport et faites au maximum … car ca je ne peux plus - eh oui l’âge et trop de travail physique lourd dans mes immeubles m’a rattrapé en quelque part …
Faites ce qui vous passionne car le pire c’est qu’en vieillissant on peut les perdre

Juste my 5 cents qu’on peux trouver les gens du meme age "vieux" aussi…surtout  si on n’a pas d’atomes crochus…

Carpe Diem !

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#283 05/12/2023 00h07

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Serrure, le 03/12/2023 a écrit :

Jeff33 a écrit :

-     Je connais plusieurs personnes rentiers sur Bordeaux grâce à l’investissement locatifs :  … fait du business Angel …

J’ai entendu plusieurs fois que celui qui a trop de sous, s’il fait du business Angel, et bien c’est une bonne manière de ne plus pouvoir devenir ou de rester rentier très longtemps ( surtout avec une bonne inflation ) !

Que la personne a pratiquement la garantie totale de perdre tous ses investissements de business Angel.

Qu’en penseriez vous de cela / risque, des infos ?

J’espère pas !  C’est lui qui me finance l’apport que me demande la banque …..   S’il est perdant dans l’affaire, cela veut dire que je serais encore plus perdant.

Sinon, de manière plus générale, je ne sais pas. Il faudrait avoir l’avis de personnes qui font du business Angel.

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3    #284 05/12/2023 00h54

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Un business angel n’est rien d’autre qu’un investisseur qui investit en direct dans une entreprise tout en faisant profiter de ses compétences ou de son réseau.
Techniquement j’en suis un donc. Et mieux : je fais partie d’un club d’investisseur.

Pour l’instant aucune des quelques opérations auxquelles j’ai participé n’a été déficitaire, et les discussions dans mon club sur l’analyse des projets sont souvent passionnantes, bien plus que ce que je pourrais faire tout seul. La plus petite opération m’a rapporté 9% par an. Vu les projets qu’on laisse tomber et ceux qu’on accepte, aucune chance non plus de faire des croissances délirantes (je crois que le plus gros que j’ai vu était de faire x3 en 5 ans)

Mais c’est le profil de mon club, composé de gens prudents et de patrons de TPE/PME qui veut ça.

A coté il y a des gens qui vont placer une toute petite portion de leur capital sur des opérations biens plus risquées. Le raisonnement est de dire que si on investit dans 10 boites, que 9 coulent et que la dixième fait x 10, c’est une opération neutre. De plus ces gens qui ont des gros moyen peuvent être des accélérateurs de business en apportant leur réseau par exemple.

Évidement, celui qui veut "faire le business angel" en investissant dans les mêmes sociétés que ces gens là sans avoir le réseau / les moyens appropriés et sans appliquer la même stratégie d’investissement tous azimuts a de fortes chances de tout perdre.

Il ne faut pas oublier aussi l’aspect fiscal. La perte occasionnée peut être négligeable pour certains, car ils y voient un moyen de déduire cela des impôts en cas de perte, et de faire une très belle plus value en cas de gain.

Bref, le business angels très riche ne sera pas du tout le même profil que celui qui investit 10.000 balles dans une PME pour l’aider, avec d’autres, à reconstituer ses fonds propres et avoir un effet de levier bancaire

Pour info la participation la plus importante que j’ai prise à l’heure actuelle est d’environ 40.000 €

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#285 06/12/2023 13h49

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On se considère comme rentier car on vit de nos rentes immobilières.
Mais pour le moment, on est en pleine réno de notre dernier projet locatif alors pour les 4 prochains mois, on peut dire qu’on travaille encore pour augmenter nos revenus.
D’ici le printemps, et pour une bonne année je pense, on sera en travaux pour notre RP (un bâtiment qui est une grange actuellement)!
Puis le temps sera occupé entre travaux à la maison (il y a beaucoup de bâtiments donc pas mal de projets à long terme) et voyages avec les enfants.
Et puis d’autres projets, se former aux placements financiers et autres pour atteindre notre objectif de revenus à 10k par mois.


"… ce n'est pas l'intelligent qui est devant mais plutôt l'audacieux." Robert Kiyosaki

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#286 06/12/2023 13h57

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Bravo Lamazo pour le parcours et la prévision.
L’éternelle question est: Quand lâcher son Job ?

A ce jour :
- Mes revenus de placements (immo, financier et boursier) sont supérieur à mon revenu d’activité.
- J’épargne et je place 100% de mes revenus de placement et environ 50% de mon revenu d’activité.

De ce fait, je pourrai me passer de travailler d’un point de vue mathématique MAIS:

Les revenus des placements seront ils identique ou supérieur demain ?
Difficile d’anticiper des crises futures alors…
Bien que pouvant être rentier, je continue à travailler pour épargner encore plus afin de palier à une éventuelle baisse de nos rentes.

La question est: Jusqu’ou continuer à épargner et placer ?
Je me suis fixé Fin 2030 car, selon mes prévisions de placements … La revenu de ’rentier" sera presque le double de mon revenu d’activité actuel.
Un arbitrage plutôt … sans fondement

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#287 06/12/2023 14h16

Membre (2020)
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Difficile de répondre à la question "Quand lâcher son job?".
Je dirais que cela dépend vraiment des envies de chacun, du niveau d’appréciation dudit job, des risques qu’on souhaite prendre etc.

A titre personnel :
J’ai lâché mon job à l’arrivée de mon premier enfant. Les revenus de mon mari et nos rentes à l’époque nous permettaient de vivre.
Mon mari a quitté le sien lorsque j’étais enceinte de notre deuxième enfant. Il a fait de la location de mini-pelle en AE quelques mois plus tard.
Sur l’année 2022, on se sortait l’équivalent d’un SMIC chacun de cashflow net net net.
Ce n’est pas énorme mais : pas de crédit ni loyer sur la RP, nous sommes peu dépensiers et surtout, nous savions que ce serait temporaire.
Le revenu pour l’année 2023 sera connu début janvier, après avoir fini le bilan de l’année.
Notre choix s’est aussi orienté ainsi : nous avons pu nous occuper nous-mêmes de nos enfants la majorité du temps (ils sont allés deux jours par semaine à la crèche à 2 ans pour ma fille et à 1 an pour mon fils).
Egalement, dès son emploi quitté, mon mari s’est consacré à 100% à la dernière autoconstruction (l’immeuble de 4 logements).
Le fait que nous ayons des jobs "alimentaires" nous a peut-être aidé à "sauter le pas".

Pour vos placements immobiliers (les locaux commerciaux si j’ai bien compris), c’est quelque chose d’assez stable (selon moi, plus que les placements financiers mais je n’y connais rien alors ce n’est peut-être qu’une idée reçue). Pourriez-vous vivre avec vos seuls revenus immo? Vous avez l’air de savoir faire les travaux vous-mêmes donc vous diminuez les risques niveau financier (êtes-vous en copro? là il peut y avoir des charges peu maîtrisables).


"… ce n'est pas l'intelligent qui est devant mais plutôt l'audacieux." Robert Kiyosaki

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#288 07/12/2023 16h11

Membre (2019)
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Bonjour et merci Lamazo  pour le retour.

Concernant nos investissement immobiliers ils sont effectivement en totalité dans des petits locaux commerciaux en centre ville (petite surface + bon emplacement = facile à louer).
J’ai fais ce choix de bien immobilier pour m’affranchir de beaucoup de normes a la C… et de beaucoup de travaux.
A part le gros œuvre, le reste les locataires ont tout l’entretien.

Question stabilité attention: petite surface commercial = création d’activité donc ou ca marche et au bout de 5 - 6 ans ils veulent plus grand ou ca marche pas et en 1 - 2 ans ils ferment.
C’est la que la caution solidaire des gérants permets souvent de faire une rupture amiable avant que leur société s’endettent et qu’on se retourne sur leurs bien personnels.

A ce jour oui je pourrai vivre des revenus foncier mais dans la mesure ou j’ai encore des crédits sur la SC, en cas de grosse crise qui mettrai en péril les loyers… je me verrai coincé.

Enfin concernant les travaux, travaillant dans le bâtiment aucun soucis.
Cependant vu ma TMI, actuellement je les fait faire …

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#289 12/12/2023 19h06

Membre (2023)
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InvestisseurHeureux, le 04/12/2023 a écrit :

patrick, le 03/12/2023 a écrit :

J’ai 60 ans,rentier, et j’ai arrêté le bridge en journée car j’avais l’impression de me rendre dans des EPHAD.moyenne d’âge 80 ans, au top intellectuellement, mais déprime assurée pour un «  jeune «  comme moi..
C’est un élément à prendre en compte pour les activités de journée..

C’est clair. Je pense que c’est particulièrement vrai si vous n’habitez pas une grande ville.

Je suis dans un club de VTT local.

La sortie du dimanche, il y a tous les âges même si la médiane est plutôt autour de 40-50.

La sortie du vendredi après-midi, il n’y a que des retraités (et moi !).

Et cette proportion massive de retraités, vous l’avez aussi pour certaines activités, quel que soit le jour de la semaine.

La vérité, c’est que les "jeunes" ne vont pas au théâtre, ne font pas de marche nordique, ne jouent pas au bridge… Même la natation est devenue une activité de "vieux" !

Comme vous dites, tous ces gens sont très sympathiques et dynamiques, mais la différence d’âge est parfois pesante.

Même si on est tjs le vieux d’un autre : si je suis entouré de gens de 60 ans (donc de votre âge), j’ai l’impression d’être entouré de "vieux" !

Mais c’est un vrai sujet que vous soulevez. Et cela va "empirer" avec la réforme de la retraite.

IH et Patrick,

Vous me scotchez, évidement il y a un vieillissement de la population, et en France, nous partons plus tot que nos voisins et sur la carrière, nous travaillons moins. Il y a donc un grand nombre d’inactifs relativement âgés.
Moi je suis retraité également, mais je ne partage pas votre point de vue sur l’age, je vois régulièrement des personnes plus âgées que moi et c’est un vrai bonheur de pouvoir échanger avec eux. J’ai également l’occasion de rencontrer des personnes plus jeunes, en particulier, des personnes engagées dans des projets professionnels. La différence d’age est une chance, l’expérience, la transmission, l’écoute,…
Mais au final,c’est la qualité des échanges qui est enrichissante. Il y a un age mental ,on dit cela pour les enfants, mais certains atteignent vite une mentalité de ’vieux’, pour des gens qui font peu d’effort pour aller vers les autres ou sortir de chez eux.
Sortir des idées convenues, aller vers les nouveautés, s’intéresser à l’actualité, etc…
Ceci est possible à tous les ages!
Arrêtez de me traiter de vieux!(c’est pour rire)


Pierre (alias Fegobe)

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1    #290 12/12/2023 20h57

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Nul besoin d’être rentier pour sentir un décalage.
Il suffit de ne pas être sur le modèle de 9h-17h au boulot du lundi au vendredi.

Fraîchement diplômée j’ai commencé mon premier boulot sur des gardes de nuit. Je finissais à 8h à la relève de l’équipe de jour.
En semaine du vendredi au vendredi.
Sur le planning des cours sportifs de la commune, un cours le vendredi à 9h. Bingo ! Je m’inscris. " gym maintien". OK, allons y..maintien ? Gainage? Peut être posture ?
La tête de l’équipe quand j’ai donné mon inscription. En fait c’était " maintien à domicile et autonomie chez soi, tout pour rester chez soi le.plus longtemps possible: comment se relever de sa chaise/ de son lit/ dans la douche"….

Même problème quand on finit à 19h en théorie, et bienn plus en pratique.
Des conférences intéressantes en université publique, à 17h30…

Pareil pour la garde des enfants. La garderie de l’école ferme à 18h. Ensuite

Difficile d’être 2 parents à temps plein sans aide de la famille, ou dépendant d’une nounou.

Sinon je confirme l’intérêt pour les petits surfaces commerciales.
Avec un bon emplacement, la demande locative est forte. La rentabilité est bonne.
En points positifs je citerai le bail pro qui est très libre donc bien moins contraignant que de l’habitation, des locataires plus investis dans leurs locations que pour l’habitation, moins de contrainte réglementaire (dpe, permis de louer…)

En négatif il faut maîtriser un bail pro. C’est complexe et ça ne s’improvise pas.
Bien vérifier aussi la demande locative, l’accès, les parkings autour…
Je vois des locaux restés vides pendant des années, avec leur panneau " à louer/ à vendre ".

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2    #291 06/02/2024 10h33

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De mon côté, à mon age de 37 ans et après 2 ans de retraite, je subis pas mal d’addiction aux applications (youtube notamment) j’ai pas mal de temps et je rechigne a avancer dans mes projets plus énergivore. Sport, Apprendre un instrument, projet perso. Je trouve géniale de me lever à l’heure que je veux, de m’occuper de ma famille, mais je me culpabilise pas mal d’être aussi improductif. Je passe mon temps à être spectateur et pas vraiment acteur. Cependant je suis beaucoup plus heureux.

Dernière modification par jobbi (06/02/2024 13h07)

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#292 06/02/2024 18h41

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INFJ

Je me retrouve complètement dans le témoignage de jobbi.

J’ai bientôt 35 ans et je suis rentier depuis la sortie d’étude donc je n’ai jamais connu le monde du travail hors mis quelques stages.

J’ai également une grosse consommation de YouTube mais étant d’un naturel curieux, il s’agit surtout d’apprendre sur différents sujets (bourse, crypto, technologie, science, économie, politique, permaculture etc…) plus que du contenu de loisirs. Par contre, je joue aux jeux vidéos bien que de moins en moins.

Pendant des années, j’étais satisfait d’avoir du temps pour ma famille et mes amis mais j’étais très gêné quand on me demandait ce que je faisais dans la vie ou quel était mon travail. Je le suis toujours un peu. Le côté improductif peut être lourd et la culpabilité qui va avec n’est pas des plus agréables. Je ressens aussi ce sentiment d’être spectateur et non acteur.

Parfois je me console en me disant que je suis un peu comme un ermite ou un "érudit" moderne. Dés qu’un sujet me passionne je le creuse mais j’apprécie tellement mon rythme de vie que j’ai du mal à passer à l’action et à réaliser certains projets. Mais bon il faut de tout pour faire un monde, chacun à ces facilités et ses besoins, je dois être plus intellectuel que manuel…
D’une certaine façon, on peut aussi dire que je fuis la contrainte, j’apprécie d’avoir une liberté très grande même si je ne l’utilise peut-être pas de la meilleure des façons.

Pour revenir sur le sujet du topic, de mon côté je lis, je me renseigne, j’apprends, je regarde des films, je donne des coups de mains à des amis, je fais du sport, je cuisine, je jardine, etc… mais l’essentiel c’est surtout de se dire que je fais ce dont j’ai envie. Je précise aussi que je suis papa et qu’être parent c’est un travail bien que ça ne soit pas reconnu comme tel wink J’ai une profonde admiration pour les parents en activités…

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#293 06/02/2024 19h51

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@Jobbi / @BriochePainPerdu

Vous dites être passif mais faites vous quelque chose pour y remédier ? Ou en vrai c’est pas un problème pour vous ?

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1    #294 06/02/2024 19h59

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INTP

Bonsoir,

Je ne comprends pas ce besoin de "faire" quand on est rentier.

- Faire ostensiblement du bénévolat ?
- Gesticuler dans sa gestion d’actifs pour (se) donner l’illusion d’une quelconque activité ?

Si on est rentier, c’est justement pour ne rien faire, non ?


Asinus ad lapidem non bis offendit eundem

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#295 06/02/2024 21h21

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INTJ

Même problème pour moi… Tellement d’effort et de sacrifice pour gagner une certaine liberté.
Une fois que je l’ai, je ne l’utilise pas très efficacement et j’ai un sentiment de gâchis.
C’est assez perturbant.
Comme vous j’ai également pas mal d’addictions (internet, etc) qui "avalent" mon temps libre. C’est une sorte de lutte permanente contre moi-même

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#296 06/02/2024 21h30

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ENTP

Pour l’avoir vécu, certes dans un contexte un peu spécifique, mais tout lâcher et vivre de ses investissements n’est pas forcement simple, même si j’avais plus  de patrimoine en théorie que j’aurais demandé à 25 ans pour tout stopper.

Je n’ai pas réussi à vendre mon parc immobilier avant la remonté des taux (j’ai pourtant commencé les mise en vente tout début 2022).

J’étais dans une situation de rente, mais surtout une situation passive ou j’étais toujours fortement investi en France, avec un boulet au pied immobilier. C’était une situation de dépendance ou je ne pouvais en fait qu’attendre.

J’ai eu l’impression de "subir" fortement énormément de facteur extérieurs :

Guerre en Ukraine, (possible fin de notre parenthèse dorée en Europe ? changement de paradygme ?) inflation (à +30% en 18 mois sur mon panier de course, alors que mon immo rapporte de moins en moins à cause de la pression fiscale), (+60% de TF à Paris et parfois des TF à plus de 3 mois de loyers en province), DPE et bientôt plus le droit de louer mon immo sauf gros travaux (dans un contexte de fin des crédits abondant et pas cher…)  Instabilité relative du pays (émeute, réforme des retraites), déconnexion des élites, sensation de déclin relatif du pays etc, etc.
Si vous extrapoler un peu, à ce rythme en pas longtemps ma rente aurait été rincée.
Hasard de mes lectures : la bio de Schopenhauer, rentier, rincé. Puis  une thèse sur l’inflation que l’on laisse un peu filer : but euthanasie des rentiers non productif ?. Bon. la lecture c’est bien mais ca aide pas à dormir smile

Tout ça, c’est parfois très difficile à vivre lors que vous n’êtes plus productif, comme si on ne fait que vous marcher dessus et vous n’avez qu’à payer vos factures.

Et vous l’aurez compris, je n’ai pas beaucoup profité de mes mois d’inactivité. J’avais pourtant plein de projets.

J’ai depuis repris une activité pro assez intensive (que j’aime plutôt bien, mais bon, j’attends que de revendre la boite). Du coup, je travaille et je ne suis plus du tout au courant de l’actualité et j’ai l’impression que ce "retour" de la course en avant me permet de mieux vivre les choses. D’avoir des liquidités pour payer les factures le temps que mon patrimoine s’apprécie ou se vende, sans pression.

Au total, j’envisage à nouveau à relativement court terme une seconde tentative de sortie de la Rat Race, mais en essayant de ne pas rater ma sortie cette fois ci !

Des fois je me disais, mais faut vraiment être couillon pour être malheureux avec un patrimoine à 7 chiffres, mais c’était le cas.

PS : Pareil pour "l’addiction" au téléphone.
Pareil pour le côté improductif alors que j’aurais pu avoir "encore" un "poste à très haute responsabilité". Du bla bla pour moi, mais ma passivité était vue un peu comme une forfaiture.

Dernière modification par AleaJactaEst (06/02/2024 22h07)

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#297 07/02/2024 02h53

Membre (2016)
Réputation :   14  

Kabal, le 06/02/2024 a écrit :

@Jobbi / @BriochePainPerdu

Vous dites être passif mais faites vous quelque chose pour y remédier ? Ou en vrai c’est pas un problème pour vous ?

J’essaie, je regarde souvent la fin de la semaine le temps que j’ai pu passer à regarder des vidéos youtube qui ne sont pas des contenus stupides mais avec une certaine vertu éducative pour moi. Mais quand je regarde le temps que j’y passe et ce que cela apporte vraiment à ma vie je pense que c’est une addiction et que j’ai mieux à faire.
J’ai essayé plusieurs fois d’arrêter mais comme toute addiction c’est pernicieux. Et toutes ces applis sont très bien conçu.
Twitter/X est aussi très addictif mais j’ai quasiment arrêté grâce aussi à la perte en qualité du site. Et pour les informations j’ai pris un abonnement au Wall street journal.
Je regarde aussi trop souvent mes comptes de bourses, fait des calculs sur l’avenir, regarde les ratios des entreprises, les news… ça me prend beaucoup de temps mais la plus value est probablement assez faible.
Je prend date sur ce forum, et j’arrête de regarder des vidéos youtube en immédiat. Si une vidéo m’intéresse je la met dans "à regarder plus tard" et je reviens dessus 3 jours plus tard si j’ai toujours envie de la regarder. Et pour mes comptes même chose je regardais uniquement une fois par jour à 16h après l’ouverture US.
Je suis persuadé que je trouverai de meilleures activités.

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#298 08/02/2024 05h25

Membre (2016)
Réputation :   14  

Est-ce que quelqu’un a penser à faire des expériences de ce type:
- Méditer 30 min tous les jours pendant 1 mois
- Courir 3 km par jour pendant 1 mois
- Passer 3 heures par jour à apprendre le piano pendant 1 mois

Ou toutes expériences qui pourraient nous en apprendre un peu plus sur nous même, surtout lorsque que l’on a le pouvoir de changer nos habitudes en tant que rentier.

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Favoris 1    1    #299 08/02/2024 09h11

Membre (2023)
Réputation :   35  

En lisant ces messages, je me pose la question suivante, sans aucun jugement :

Pourquoi voulez-vous être rentier ?
Quelle est votre définition de rentier ?

Pour certains, être rentier signifie atteindre une oisiveté totale.
Pour d’autres, cela signifie ne plus subir le marché du travail et se suffire financièrement.

Dans le premier cas, il y a un refus total du travail.
Dans le second, c’est l’approche du travail et sa dépendance qui changent.
Il est donc inenvisageable de travailler dans le premier cas, mais pas dans le second.

Pour les personnes dans le second cas, désirant une indépendance financière, la transition peut se faire progressivement ou par alternance de périodes de travail et de loisirs.

Pour les oisifs, il n’est plus envisageable de travailler. Certes, mais dans ce cas, pour quoi faire ?
Ces personnes se retrouvent exactement dans la même situation que les fous du travail qui n’ont rien d’autre dans la vie, bossent 90 heures par semaine et, pour qui, la transition à la retraite s’accompagne d’une dépression totale. Ils ne s’étaient pas préparés.

Devenir rentier n’est pas un but en soi.
Cela doit faire partie d’une idée plus globale qui donne un sens à sa vie. De ce fait le statut de rentier sera plus épanouissant que le statut de salarié (par exemple).
Cette non-nécessité de travailler va permettre de consacrer 6-8-12 heures par jour à s’adonner à ses passions.

Il semble toutefois peu probable de se découvrir des passions inexistantes avant ses 30-40 ou 50 ans dans les deux mois suivant l’abandon de son travail.

Je prends mon exemple : je suis relativement sportif. Bien que travaillant, j’enchaînais parfois des semaines avec 20 heures de sport (préparation d’Ironman), et je fais en moyenne 4 heures de sport par semaine. Je suis inscrit dans des groupes de coureurs, de cyclistes et de nageurs. Cela me permet de rencontrer régulièrement de nouvelles personnes (je travaille mais je suis à l’étranger et il est important de se faire un réseau en arrivant). Je suis actif dans la vie associative de l’école de mes enfants et de l’association de parents d’élèves. J’ai fait 3 ans de piano recement, et je fais maintenant de la guitare depuis 5 ans, instruments que j’avais approchés étant jeune et que je retrouve avec plaisir maintenant.
(Dans votre cas, évitez les tutos YouTube, rien ne vaut un prof ou d’aller s’inscrire au conservatoire de sa ville.)
Également, j’aime lire, pas énormément mais par exemple, le soir, nous avons une routine à la maison. Nous n’allumons pas les ordinateurs, tablettes, téléphones, télévision après le dîner à moins d’avoir au moins lu 20 minutes. (Qui débouchent souvent sur une heure de lecture et pas d’écran le soir.)

Tout cela pour dire que si j’arrêtais de travailler 10 heures par jour, je sais parfaitement comment meubler mes journées. Et j’ai envie de reprendre les échecs, le tarot et m’attaquer au bridge. J’ai également envie de refaire des mathématiques…
Donc je pense que l’arrêt de la dépendance au travail ne peut être positif qu’à condition de savoir pourquoi on le fait et d’être épanoui dans cette seconde façon de vivre.

Pour reprendre votre question sur les activités telles que méditer, courir et la musique : OUI, OUI et encore OUI ! Vous devez certainement connaître l’ouvrage suivant :
Psycho-Cybernétique de Maxwell Maltz, dont la théorie principale est qu’une habitude met 21 jours de pratique quotidienne à se mettre en place.
Donc :
21 jours sans écran avant 13h
21 jours à sortir, avoir une activité sportive ou musicale ou reposante entre 15h et 17h
21 jours a …
et tout cela deviendra une routine.

L‘ouvrage si cela interesse quelqu’un:
https://www.fnac.com/a18800137/Maxwell- … earchpos=1


Parrainage :  BitPanda

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#300 08/02/2024 09h28

Membre (2019)
Réputation :   61  

Bonjour, pour ma part ma vision et mon souhait de devenir rentier d’ici fin 2030 n’est en aucun cas de cesser toute activité.

Mon métier actuel d’artisan me bouffe du temps… ma vie de famille et mes nerfs…
Bien que depuis un an j’ai un peu levé le pied a titre professionnel, ma gestion immobilière et boursière commence a me prendre pas mal de temps (Quelques heures par semaines).

J’aspire et suis en bonne voie pour devenir je ne dirai pas rentier (plutôt vu comme quelqu’un qui ne fais rien) mais je dirai gestionnaire de mon patrimoine.
Continuer de faire et de m’instruire dans ce qui me fais gagner de l’argent (Immobilier et bourse) et pouvoir clôturer ma société qui m’aura apporté, et c’est paradoxal, les clés de la Liberte financière et également tout le dégout de l’activité d’artisan et des relations clients qui se sont terriblement dégradés depuis le covid.

J’ai quelques activités que je fais déjà en temps libre que j’aimerai faire plus souvent et plus longtemps qu’aujourd hui lorsque je serai libre financièrement de mes investissements:
- La détection de métaux (à la recherche de vieilles pièces du patrimoine français)
- La nage libre (pas dans un club mais 2 fois par semaine contre une seule actuellement)
- Un peu de sport en salle de muscu (une fois par semaine actuellement et j’aimerai pouvoir y aller deux fois à l’avenir)

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