Cornelius, le 28/02/2024 a écrit :
J’ignore s’il y a d’autres clients du CIC; comme je ne vois pas d’autres files ouvertes sur le sujet, je déterre ce vieux fil. Je suis client depuis toujours (au moins depuis mon ouverture de compte, donc à peu près 30 ans) de cette banque, j’ai environ 110.000 euros de dépôt (PEL-livret A-LDD), mes comptes boursiers sont répartis entre Boursorama et Bforbank, et depuis l’évolution de cette dernière banque (par exemple depuis hier je n’arrive même plus à effectuer un virement entre mes comptes BforBank), j’envisage de rapatrier mes comptes boursiers de Bforbank (environ 130.000 euros) vers le CIC, ou au moins d’y ouvrir un second CTO (en plus de celui de Bforbank), malgré le coût évidemment plus important.
Le problème est que le service du CIC est lui-même devenu assez mauvais me concernant:
- agence sans guichet (il faut entrer, frapper à droite à gauche au bureau d’un conseiller);
- difficulté à joindre ma conseillère (ne répond pas toujours au courriel, par téléphone je tombe sur une plate-forme qui lui laisse un message, là encore les réactions sont faibles. Je précise qu’au maximum j’ai besoin d’elle deux fois par an pour des demandes de type augmentation du plafond de virement, je ne pense pas être un client casse-pied…).
J’ai besoin de garder une banque physique au moins pour mon compte courant afin de garder un coffre et parce que je trouve que c’est quand même plus rassurant pour les dépôts de chèques.
Mes question sont donc:
- d’autres clients du CIC ont-ils constaté une évolution similaire?
- serai-je mieux traité avec un profil un peu plus intéressant (commissions de bourse)? Dans mon cas la même agence a en fait deux sites, l’autre me paraît un peu plus "VIP" (guichet, situé à une adresse un peu plus prestigieuse);
- certains utilisent-ils la plate-forme boursière du CIC (c’est là que j’avais ouvert mon premier compte-titres, mais cela remonte maintenant à la fin des années 90 ou au début des années 2000)?
M.erci de vos conseils; je crois que les différences entre les différents groupes régionaux du CIC tendent à s’estomper depuis l’absorption par le crédit mutuel qui chapeaute tout, mais je précise que je suis au CIC-Sud Ouest.
Client du CIC avec CAT conséquent et livrets d’épargne divers et blindés, j’ai fini par transférer mon PEA chez Boursorama devenu Boursobank non sans TRES grandes difficultés dont la responsabilité est impossible à imputer à l’un ou l’autre de ces établissements. L’interface CIC Bourse était vraiment trop déprimante et inepte comparée à celle de Boursorama qui dispose d’un contenu éditorial et informatif sans commune mesure. Cela revient à comparer un jeu vidéo SUPERMARIO avec le dernier game en 3D d’un geek déjanté.
A noter que vivant en partie à l’étranger j’ai du faire face avec le CIC - et cela dure-à d’innombrables problèmes pour effectuer un virement en ligne, invariablement "soumis à approbation du conseiller", quel que soit le montant, donc retard, agence fermée pendant 3 jours, fin de semaine, reprise difficile le mardi, etc. Chez Boursorama, guère mieux à dire vrai, car avec une communication en phoning DATA donc roaming à l’étranger depuis mon téléphone cellulaire français, leurs serveurs ne reconnaissent pas l’ID appelant, et donc rien ne fonctionne. Réponse du Service Client: " adressez nous un courriel pour nous informer de votre départ à l’étranger! Welcome in USSR! Nouveau renseignement pris, il semblerait que passer des ordres en ligne fût possible mais je n’ai pas encore essayé…
Concernant l’agence du CIC, certes elle existe dans ma ville de bonne Normandie où j’ai plaisir à retrouver mes lointaines racines. Mais j’ai beaucoup de difficultés à mémoriser le nom des collaboratrices ( la gent masculine semblant y avoir été définitivement éradiquée…) tant le jeu de chaise musicale y a pris un tour échevelé. Enfin quand il m’arrive de rencontrer "la conseillère en gestion de patrimoine", moyenne d’âge 25 ans, peut-être 18 ( je pense qu’elles sont majeures), j’essaie de prendre un euphytose pour dormir la veille car je sais que je vais devoir subir, en vilain garnement de client forcement stupide et inconséquent, le ton revêche et autoritaire d’une vraie influenceuse comme on n’en trouve que sur Tik Toc…