Communauté des investisseurs heureux (depuis 2010)
Echanges courtois, réfléchis, sans jugement moral, sur l’investissement patrimonial pour devenir rentier, s'enrichir et l’optimisation de patrimoine
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1 #1 23/06/2012 09h34
- Bear33
- Membre (2012)
- Réputation : 8
J’avais lancé il y a quelques temps une discussion pour répertorier les métiers à forte marge pour devenir rentier dés 40ans.
En imaginant, qu’on a réussi à capitaliser disons 1 million d’euro (hors RP) de capital qui travaille pour nous à 40ans, quel métier de rêve feriez vous alors plus pour marger mais pour vous occuper, vous épanouir, être heureux tout simplement ?
Perso je pense que l’encadrement de petits groupes (10 personnes max) sur des destinations vacances m’attire mais j’hésite encore. Le problème c’est qu’avec une famille çà fait bcp de déplacements…
Dans l’attente de vos réponses/idées…
Merci
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1 1 #2 23/06/2012 09h37
Bonjour,
Un peu de terres agricoles et de forêt. Des ruches, un verger et pourquoi pas un étang.
Bref, un retours à la nature et aux choses fondamentales de la vie.
A+
Zeb
Tout ce qui peut merder, va inévitablement merder.
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#3 23/06/2012 10h06
- Bear33
- Membre (2012)
- Réputation : 8
Pas mal Zeb, je vois qu’on a des goûts similaires, (vous devriez lire "nomade du grand nord" de Kim Hafez excellent retour aux choses essentiels de la vie! le gars est excellent)
j’y avais pensé notamment forêt pour faire du bois de chauffage couper en petites bûches à livrer en ville (renta max).
Mais çà oblige à rogner dans le million pour s’acheter la forêt, faut vraiment de la surface si on veut en tirer un salaire même si c’est le smic.
@ +
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#4 23/06/2012 11h09
Intéressant
En ce qui me concerne, c’est plutôt un métier en rapport avec la mer : moniteur de voile, plongée, skipper, ou bien tous métiers en rapport avec la voile (construction de voilier, aménagement, etc). Bref, je vais devoir prévoir une période de formation (~2 ans) pour avoir les bons diplômes !
Et je ne compte pas attendre d’être rentier. Plutôt "semi-rentier" (1500€/mois) propriétaire de ma RP.
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#5 23/06/2012 12h23
- louanda
- Membre (2012)
- Réputation : 1
Pour ma part, se serait de faire ma passion de quelques heures par moi mon métier à savoir la musique et surtout Dee-Jay. La joie de faire danser des gens et aussi de se faire plaisir en écoutant et passant des morceaux que l’on aime. Faire des soirées…etc…
Quand on est rentier à 40 ans avec un capital de 1M€ (par exemple) on voit la vie différement et l’on peut véritablement faire ce qu’on aime ou rêve de faire.
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#7 05/07/2012 01h18
- placementapapa31
- Membre (2011)
- Réputation : 48
Mon métier de rêve "de rêve" : un métier qui attire les jolies filles (guitar hero, photographe d’art, peintre doué de nus…)
Ben sinon : m’occuper d’une écurie de voiture anciennes de compétition, les restaurer, entretenir et faire courir en courses d’époque.
Et m’occuper de mes enfants.
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#8 05/07/2012 08h48
- gamdy
- Membre (2012)
- Réputation : 6
Personnellement au risque de paraitre un peu auto-satisfait
Mon métier me convient,
On peut dire que je l’aime, donc je pense que même si je devenais rentier (j’ai expliqué dans ma présentation mes buts, qui sont plus de créer un patrimoine pour mes enfants que de devenir rentier moi-même),je ne changerais rien à ma vie actuelle.
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#9 05/07/2012 09h26
Si j’étais vraiment blindé au point d’avoir de l’argent à dépenser en pur risque pour le plaisir, acheter un bar juste pour le fun (sans le gérer au quotidien bien sûr…) .Dans la série How I met your mother, il y une épisode où ils disent que tout homme a , à un moment (peut-être pas de lucidité), envisager d’acheter un bar…
Plus sérieusement, je pense que je garderais mon esprit d’investisseur rigoureux, si je veux que le patrimoine atteint serve la priorité, cad l’objectif d’indépendance financière. Pour ma part, ce serait donc plutôt :
- Pour la partie amenant une rémunération complémentaire, essayer de faire qqs heures d’enseignements dans des établissement aimant faire appel à des intervenants ayant une expérience professionnelle en complément de leurs profs "jamais sortis du système scolaire" (Ecole d’ingé, de commerce, IAE…)
- Pour la partie pure occupation, faire du bénévolat dans des associations sportives, avec des gamins… Par exemple,entrainer une équipe de foot de marmots du village, leur organiser des ateliers sportifs pendant les vacances scolaires, ce genre de trucs…
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1 #10 05/07/2012 11h25
J’ai 40 ans, je suis rentier et je pratique mon métier de rêve : trader quantitatif sur actions (voir ma présentation). Cela me rend heureux et épanoui. Evidemment, je ne touche pas de salaire fixe et je n’ai pas d’avantages sociaux de quelque nature que ce soit.
En fait, je prends mon pied en APPRENANT par la lecture de livres, d’articles de recherche académique, de blogs ou tout autre support. Je réfléchis pas mal et j’agis un peu.
Comme julien, je souhaite également enseigner, de préférence dans une grande école : je suis en discussion depuis un an et cela pourrait aboutir pour la rentrée 2012.
J’ai plein de projets mais chaque journée passe si vite ! J’ai un agenda qui est toujours rempli et une to-do list qui ne fait que grossir : préparer le prochain week-end avec ma femme, bénévolat, café philo, humanitaire, voyages, écrire un livre, créer des sites internet, chercher une maison, organiser une grande fête, etc.
Je bosse plus maintenant que lorsque je travaillais comme salarié et même comme chef d’entreprise. Sauf que maintenant, ce n’est que du plaisir.
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1 #11 27/07/2012 20h37
- flobble
- Membre (2012)
- Réputation : 2
Rentier à 40 ans…
… je monterais un surfcamp quelque part sur ce globe, ou un jazz club à la Havane. Ou je favoriserai la transmission du savoir, de l’éducation, pour aider les gens à s’affranchir. A être libres.
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#13 27/07/2012 21h16
- espenlind13
- Membre (2011)
Top 50 Banque/Fiscalité - Réputation : 116
Je crois que j’ai trouvé mon truc si j’arrive à atteindre cet objectif (mais je ne me fais guère d’illusion) : monter une salle de sport ambiance familiale, avec peu d’adhérents !
Parrain pour : American Express, Fortuneo, Binck.
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#14 01/08/2012 22h55
- chroom
- Membre (2010)
- Réputation : 14
ce n’est pas un métier, mais plage, soleil, sable fin, eau cristalline, cocktails, bikinis… je ne m’en lasserai jamais ;-)
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1 #15 02/08/2012 10h04
- Martine
- Membre (2011)
- Réputation : 7
En gros idem que Candide pour arriver à mon indépendance financière, voir sa présentation. Moins pointue que lui en tant que gestionnaire.
Je reprends à mon compte sa description :
En fait, je prends mon pied en APPRENANT par la lecture de livres, d’articles de recherche académique, de blogs ou tout autre support. Je réfléchis pas mal et j’agis un peu.
Ceci s’appliquant, pour moi, en général et pas seulement aux domaines financiers. L’important est de garder de la curiosité, de l’envie, profiter de toutes les opportunités de découvertes qu’offre la liberté de son temps.
J’aime la nature ce qui équilibre beaucoup et souvent fait relativiser. Dans le proche avenir une petite maison neuve avec mini jardin à un prix optimum grâce au fait de ne pas avoir d’obligation de localisation professionnelle. Là je pourrai me faire plaisir avec quelques plantations de mon choix, lire dans mon fauteuil à bascule sur la terrasse, en contemplant l’horizon, les saisons.
@ chroom j’avais été très étonnée de constater, lors de vacances aux canaries, dans un endroit superbe de végétation luxuriante, éternel printemps, que les moniteurs qui travaillaient là en avaient assez. Ils regrettaient de ne pas voir tomber les feuilles et la neige. J’ai pu constater par la suite qu’ils étaient tous plus ou moins dépendants de divers produits, dont un gravement. Pas signe d’un total épanouissement !
Face à l’océan, piscine, buffets à profusion, tous les loisirs etc., il était évident qu’ils n’étaient pas heureux.
L’être humain est plus complexe, ses fondamentaux ne sont pas forcément, dans le temps, dans ce que la carte postale vend.
Pas de métier complémentaire pour moi, des activités choisies.
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#16 02/08/2012 10h15
- sergio8000
- Invité
Pour moi, le métier de rêve c’est gérant de fonds. J’ai la chance de le pratiquer en partie déjà, et rêve de pouvoir en faire ma seule activité.
J’essaierai aussi sans doute de communiquer ma passion et prêcher pour le value investing en France, car cette manière d’investir me semble malheureusement trop peu connue ou trop souvent ignorée. Pourtant, presque tous les milliardaires en bourse appliquent cette méthode.
#17 02/08/2012 11h36
- Swx
- Membre (2011)
- Réputation : 18
OUI MAIS,
En toute amitié , je ferais les remarques suivantes , qui ne sont que des paragraphes d humour noir à l encontre de certains projets d Intervenants qui j espère le prendront comme tel de la part d un vieux Loulou retraité de 67 ans
- Un certain nombre de vos amis de longue date se détourneront de vous, agacés par votre prospérité qu ils n avaient pas soupçonnée auparavant , alors qu eux doivent contribuer à trimer
Tres intéressantes vos suggestions , toutefois , si disposer d un million pour être un jeune rentier peut paraître énorme , mais…
Louanda a écrit :
Quand on est rentier à 40 ans avec un capital de 1M€ (par exemple) on voit la vie différemment et l’on peut véritablement faire ce qu’on aime ou rêve de faire.
- Il vous faudra préserver votre capital , par les temps qui courent , vous n êtes pas à l abri de la voracité du fisc
- Vos placements financiers peuvent prendre l eau :
- Votre juteuse opération immobilière : devenue un vrai cauchemar en raison d un voisinage imprévu : votre Maison de rêve auprès de laquelle on va installer un récupérateur
d égoût , ou une bretelle d autoroute
Chroom a écrit :
ce n’est pas un métier, mais plage, soleil, sable fin, eau cristalline, cocktails, bikinis… je ne m’en lasserai jamais
Avec le temps vous constaterez que de plus en plus de ces plages vous permettront de nager dans des bains d huile -
Placementpapa31 a écrit :
Mon métier de rêve "de rêve" : un métier qui attire les jolies filles , photographe d’art, peintre doué de nus.
Yannou77 a écrit :
Mon métier de rêve => Chauffeur de tétons au Lido.
Avec l âge vous perdrez en charme pour être classé par ces dames dans la catégorie des Vieux Cochons
Hélas la santé se dégrade rapidement et les rêves les plus fous s évanouissent - Vous risquez beaucoup plus tôt que vous ne pensez devoir vous occuper de relations atteintes de maladies sournoises qui peut s attaquer à vos proches dès 51 ans - L alzheimer qui se répand à une vitesse foudroyante et nécessite des soins très couteux
Zeb a écrit :
Un peu de terres agricoles et de forêt. Des ruches, un verger et pourquoi pas un étang.
Alors Là, c est X fois plus de boulot exténuant que dans votre vie professionnelle et vous plumera assez rapidement :
Toutes ces plantes pour survivre se dégradent face à des prédateurs coriaces inconnus auparavant , et la pollution des étangs par des algues un vrai problème -
Julien a écrit :
Si j’étais vraiment blindé au point d’avoir de l’argent à dépenser en pur risque pour le plaisir, acheter un bar juste pour le fun
- Pas une semaine ne se passe sans que vous ne soyez harcelés par de nouvelles législations anti-alcooliques , contre le tabac et l enfer du Jeu
Candide a écrit :
J’ai 40 ans, je suis rentier et je pratique mon métier de rêve :
Candide à l expérience du sujet : Je pense réellement qu il a raison : et je vois que c est aussi l avis de Martine
- Continuer une activité professionnelle , apprendre toujours , et consacrer du temps au bénévolat ,
Dernière modification par Swx (02/08/2012 14h51)
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#18 03/08/2012 15h27
- YP
- Membre (2012)
- Réputation : 10
Bien vu Swx.
Je pense que ce n’est pas tant de métier qu’il faut parler, mais d’activité.
Le fait d’être rentier consiste, techniquement, à pouvoir couvrir par des investissements ses besoins financiers pour la vie de tous les jours.
Je n’en suis pas encore à ce stade -loin de moi l’idée de vouloir donner des leçons.
Mais la question difficile vient après : je fais quoi, maintenant que je peux me passer de travailler pour vivre ?
Plus j’y pense et moins j’ai de réponse intangible… sauf peut être le mix de Flobble : surf camp et club de jazz
Par contre dans chacune de mes réponses je retrouve les notions d’engagement intellectuel, de dépassement physique, de relations personnelles profondes (et donc probablement assez rares) et de séjours en solo dans la Grande Nature.
Du même coup je comprends bien ceux/celles qui ne changeraient pas d’activité après être devenus financièrement autonomes, s’ils y trouvent déjà leur pleine satisfaction.
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#19 29/05/2018 08h53
- swantonbomb
- Membre (2010)
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Je remonte le sujet, car 6 ans après peut être aurons nous des retours d’expérience ou de nouvelles idées d’activité.
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#20 29/05/2018 09h18
- lachignolecorse
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Rénover un bien atypique dans une region ensoleillée, un moulin serait l’idéal…
Faire et laisser dire
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#21 29/05/2018 10h36
- dangarcia
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swantonbomb a écrit :
Je remonte le sujet, car 6 ans après peut être aurons nous des retours d’expérience ou de nouvelles idées d’activité.
Je suis exactement dans cette situation depuis quelques mois.
Plutôt que de chercher un "métier" qui "rapporte" (pas forcément primordial à partir du moment où on peut vivre de son capital), je cherche d’abord des activités qui me plaisent,
Exemples : coach en finances personnelles (ma petite contribution à l’éducation financière du grand public, il y a de quoi faire) ; photographe amateur ; organisation d’événements/rencontres autour d’activités loisirs (la musique notamment) etc.
et seulement ensuite à en tirer si possible un revenu (en espèces sonnantes et trébuchantes ou pas : l’échange de bons procédés est aussi une piste, récemment j’ai conseillé gracieusement une architecte, amie d’ami, sur ses placements ; je sais maintenant à qui m’adresser pour de futurs travaux, et ça, ça n’a pas de prix !).
Pour mes autres activités je n’ai pas encore trouvé le "modèle économique" toute suggestion est bienvenue, même si ce n’est pas ma préoccupation principale !
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#22 29/05/2018 10h50
lachignolecorse a écrit :
Rénover un bien atypique dans une region ensoleillée, un moulin serait l’idéal…
Fan d’architecture et urbanisme, je plussoie, les moulins sont un formidable patrimoine méconnu et plein de charme, caractère etc Je suis ravi de vous lire.
Et en prime on a souvent des droits fondés en titre à la clé
Par contre, la région est souvent pluvieuse. Ce qui s’oppose à mon rêve, reprendre l’exploitation familiale oleicole (Sud Est) et ne faire que de la qualité sans traitements, comme actuellement, mais être sur place pour aller au bout du raisonnement sur l’oliveraie et accessoirement le raisin, les fruitiers…
Et les WE et congés, randos trails VTT avec notre camion 4x4 en camp de base mais c’est un autre sujet.
Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*
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#23 29/05/2018 11h07
- Scipion8
- Membre (2017)
- Réputation : 2535
Je pense que pour certains métiers d’expertise, une bonne option quand on approche de la phase rentier (ou quasi-rentier) est le free-lance. Une fois qu’on a accumulé une bonne expérience et qu’on est reconnu comme un bon professionnel, passer en free-lance permet de choisir ses missions, ses clients, et son rythme d’activité.
Après 12 ans en banques centrales, je suis devenu consultant free-lance (en politique monétaire) depuis presque 2 ans - ce n’était pas prévu, et ça arrive beaucoup plus tôt que je ne l’aurais voulu (37 ans au lieu de 55 ans, peut-être ?).
Etant encore en phase de capitalisation, je prends beaucoup de missions, et je ne choisis pas mes destinations (aussi car je suis "nouveau" dans ce métier, donc plutôt flexible vis-à-vis de mon employeur / commanditaire). L’an dernier j’ai fait 16 missions (2 semaines chacune + temps nécessaire de préparation et de rédaction de rapports avant et après chaque mission), dans des pays plus ou moins sympas : j’ai accepté des missions dans des pays africains "à risque", mais j’ai aussi pu emmener ma copine lors de missions aux Seychelles et aux Maldives. [Là je suis sur le point de commencer une mission beaucoup plus longue (1 an) en Afrique.]
Une fois atteint le stade de quasi-rentier, je peux m’imaginer devenir beaucoup plus sélectif sur les missions à court-terme qu’on me propose, en faire 4-6 par an (ce qui fournit un revenu largement suffisant pour faire vivre une famille), uniquement dans des destinations sympa.
Envisageant à l’origine une carrière dans la fonction publique, je n’aurais jamais pensé devenir consultant free-lance, et c’est un peu le résultat du hasard. Cela arrive un peu trop tôt et il y a des côtés stressants (beaucoup de voyages, vie personnelle compliquée, périodes sans missions…), mais pour un quasi-rentier ça me semble parfait, à partir du moment où on a construit une réputation professionnelle suffisamment solide pour pouvoir être très sélectif sur les missions.
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#24 29/05/2018 12h13
- AleaJactaEst
- Membre (2011)
Top 50 Dvpt perso.
Top 20 SIIC/REIT - Réputation : 245
“ENTP”
C’est juste un petit retour d’expérience personnelle, mais le mode vie en freelance n’est sans doute pas adapté à tout le monde.
Le fait de ne pas avoir de contrainte de temps et d’espace, peu parfois être déstabilisant pour son mode de vie.
Je pense que certains d’entre nous on besoin d’une petite contrainte et d’un petit challenge pour se lever le matin et rentrer satisfait le soir.
Je ne dis pas que c’est impossible avec le mode freelance, mais j’avais tendance à être dans l’excès (soit être trop à fond, soit être trop au fond de mon lit pendant certaines périodes !)
Dernière modification par AleaJactaEst (29/05/2018 17h51)
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#25 29/05/2018 12h17
- dangarcia
- Membre (2015)
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Top 50 Immobilier locatif - Réputation : 599
Scipion8 a écrit :
Une fois atteint le stade de quasi-rentier, je peux m’imaginer devenir beaucoup plus sélectif sur les missions à court-terme qu’on me propose, en faire 4-6 par an (ce qui fournit un revenu largement suffisant pour faire vivre une famille), uniquement dans des destinations sympa.
C’est ce que j’ai fait ces dernières années (sur l’aspect sélection des missions ; en revanche je n’ai pas eu la chance de pouvoir choisir des destinations sympas comme celles que vous citez !)
La clé à ce stade est de rester "visible" pour continuer à être sollicité assez régulièrement et se permettre d’être sélectif.
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