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1 #1 07/11/2020 14h30
- stef
- Membre (2011)
Top 50 Vivre rentier
Top 50 Monétaire - Réputation : 87
Bonjour,
Je suis salarié dans la même entreprise depuis 31,5 ans .
Actuellement ont lieu des négociations pour la mise en place d’un plan de départ .
Je suis trop jeune encore pour bénéficier des conditions réservées aux plus anciens.
N’étant pas du tout familier avec les règles liées aux indemnités chômage, je me suis plongé dans les textes pour comprendre et essayer d’en tirer l’optimum en terme de "temps libre subventionné".
Etant visuel, j’ai résumé ce que j’ai compris dans le schéma ci-dessous et souhaite avoir les avis éclairés pour :
1/ m’assurer que j’ai bien compris
2/ voir si il y a d’autres optimisations
j’ai intégré les règles validées par les dernières lois même si certaines applications ont été repoussées en 2021 avec la crise Covid.
Bien entendu chacun aura compris que je me place sous l’aspect technique et pas moral. On évitera de discourir sur "c’est bien, ce n’est pas bien"
Je suis aussi conscient qu’il s’agit des règles actuelles et qu’à tout moment, notamment avec la crise actuelle, elles pourraient se sévériser.
Vu le contexte actuel, cet échange doit pouvoir profiter à d’autres membres du forum.
Mots-clés : carrière, professionnelle, retraite
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#2 07/11/2020 14h55
- FastHand
- Membre (2013)
- Réputation : 70
Bonjour,
Dans l’ensemble, je comprends la même chose que vous hormis concernant l’assiette de chômage
B C et D, car il me semblait que la prenait en compte la rémunération des 12 derniers mois, et on pas travail 1.
Par ailleurs, les pistes d’optimisation dépendent sans doute de votre nombre de trimestres cotisés, qui n’est pas précisé dans votre message.
Enfin, ces pistes d’optimisation ne prennent pas en compte votre employabilité en fin de carrière, qui ne vous permettrait pas de trouver facilement travail 2 et travail 3,
Et il y a peut être un intérêt à arrêter avant l’âge du taux plein, en fonction de votre patrimoine, de vos trimestres cotisés, et de vos envies.
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#3 07/11/2020 15h38
Difficile de viser juste sans votre année de naissance ni le nombre de trimestres acquis à fin 2020.
Il faut avant toute chose de mon point de vue, savoir si et quand vous pouvez viser une retraite à taux plein ?
Autrefois élu du personnel en multinationale, j’ai accompagné (avec des règles qui ont du changer sans doute) des collègues dans la même typo de fin de carrière. A la bonne époque, un « bon soldat » fidèle avait un plan optimisé par la RH pour filer depuis ses 57 ans sans perte de salaire jusque l’âge légal via un package bonus sur mesure. Il fallait juste bien vérifier les trimestres au compteur pour éviter une déconvenue au moment de solder.
Nul doute qu’avec les 62 ans, cela change les paramètres. Vous avez initié une file fort intéressante !
Profiter de ne rien foutre….
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#4 07/11/2020 18h36
- stef
- Membre (2011)
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FastHand a écrit :
Bonjour,
Dans l’ensemble, je comprends la même chose que vous hormis concernant l’assiette de chômage
B C et D, car il me semblait que la prenait en compte la rémunération des 12 derniers mois, et on pas travail 1.
merci Fasthand et Serenetis de vos retours.
Je comprends des textes ci-dessous qu’il y a une reprise des droits antérieurs et donc d’origine .
Il y a possibilité
Ai-je toujours droit à des allocations chômage si j?accepte un CDD ou une mission d?intérim ? | Unedic.fr
Reprise de droits
Pour bénéficier d’une reprise de droits, il faut :
qu’il reste au moins une allocation à verser, au titre des droits ouverts ;
que les droits ne soit pas déchus, c’est à dire que le délai de déchéance n’ait pas expiré. Ce délai est égal à la durée d’indemnisation + 3 ans ;
que la perte du dernier emploi soit involontaire ou que le dernier emploi (ou les derniers emplois) quitté volontairement ait duré moins de 65 jours ou 455 heures travaillés ou que la démission soit considérée comme légitime ;
que les autres conditions d’attribution de l’allocation soient réunies.
L’allocation reprend alors, après les différés d’indemnisation et un délai d’attente de 7 jours.
par ailleurs :
https://www.pole-emploi.fr/files/live/s … 815609.pdf
EXCEPTION – DROIT D’OPTION
Les droits à l’assurance chômage sont par principe perçus
jusqu’au bout, avant de calculer et recevoir un nouveau droit.
Toutefois, il existe dans certaines situations un droit d’option
possible qui vous permet de choisir entre le reste de votre ancien
droit à l’assurance chômage et le nouveau droit créé par votre ou
vos dernières activités, si celles-ci étaient mieux rémunérées.
Sinon, j’ai 56 ans début décembre,135 semestres fin 2020 et donc 169 trimestres en juillet 2029
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#5 08/11/2020 09h49
Tous les cas que j’ai connus n’envisageaient au maximum qu’une seule interruption de la période d’indemnisation par une reprise, et encore, la plupart n’en n’avaient pas : un calcul était donc fait pour compenser la perte de salaire net jusque la retraite en déduisant ou pas (selon les négociations) la prime de départ conventionnelle.
Comme dit, la période max que j’ai vu de chômage était de 3 ans. Avec ce projet, vous repoussez sacrément les limites !
Je n’ai pas le recul pour mesurer si PE peut modifier ou non votre mode d’indemnisation suite à des changements législatifs (par exemple sur chômage D je ne serai pas à l’aise vu l’éloignement temporel..) après l’ouverture de vos droits initiaux.
Je suppose que vous avez déjà une idée derrière la tête pour valider à coup sûr les périodes de reprise d’activité, car comme le soulignait Fasthand, pas toujours simple, surtout avec un calendrier contraint !
Avez vous envisagé sur cet item par exemple de placer votre matelas financier dans une société créée pour l’occasion et gérée par exemple par un de vos enfants majeurs qui vous ferait du CDD au minimum de validation des 4 trimestres sur les périodes que vous envisagez ? En y réfléchissant, cette solution me paraît la plus sécurisante pour vous.
Profiter de ne rien foutre….
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1 #7 08/11/2020 10h43
- fran606
- Membre (2017)
- Réputation : 2
stef, le 07/11/2020 a écrit :
Bonjour,
Je suis salarié dans la même entreprise depuis 31,5 ans .
Actuellement ont lieu des négociations pour la mise en place d’un plan de départ .
Je suis trop jeune encore pour bénéficier des conditions réservées aux plus anciens.
C’est très compliqué pour voir l’exhaustivité des conséquences, pour mon cas (Assedic avant la retraite que je prends au 1/1/21), j’ai résumé plusieurs pages de règles/lois et de calcul.
Les grandes lignes :
- si on est indemnisé par Pole Emploi au moment de ses 62 ans (générations 1958-60), Pole emploi nous indemnise jusqu’à ce qu’on ait tous les trimestres Sécu sans décote, et ce jusqu’à 67 ans si le taux plein n’est pas acquis avant.
- Si on n’est plus indemnisé par Pole emploi, on peut encore valider des trimestres en fin de droit, mais il faudra prendre sa retraite avec décote plutôt que ne n’être pas indemnisé.
- Pour les cadres, Pole emploi cotise toujours pour la complémentaire (points proches de ceux de l’activité), sauf pour la période de carence.
- Les trimestres sont toujours validés pendant les Assedics, mais attention, comme les 25 meilleures années seront plus vieilles que si on travaillait, les coefficients de revalorisation feront baisser la retraite CNAV de quelques % par rapport à une carrière complète.
- La CSG dépend des feuilles d’impôts des deux dernières années, on peut éventuellement avoir une CSG réduite selon son RFR.
- Il faut calculer les indemnités de rupture versus la prime de départ en retraite et le delta Assedic versus salaire et carence.
-etc…
Bref, on perd toujours un peu financièrement, mais ça vaut le coup pour la qualité de vie, enfin c’est mon avis personnel.
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#8 08/11/2020 16h19
- stef
- Membre (2011)
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serenitis a écrit :
Tous les cas que j’ai connus n’envisageaient au maximum qu’une seule interruption de la période d’indemnisation par une reprise, et encore, la plupart n’en n’avaient pas : un calcul était donc fait pour compenser la perte de salaire net jusque la retraite en déduisant ou pas (selon les négociations) la prime de départ conventionnelle.
Comme dit, la période max que j’ai vu de chômage était de 3 ans. Avec ce projet, vous repoussez sacrément les limites !
.
Oui j’ai sur mon schéma mis 2 périodes de reprise car j’imaginai privilégier l’hiver mais cela ne peut être qu’une période. La période chômage totale avant 62 ans ne doit pas dépasser 3 ans si on ne veut pas perdre le bénéfice des droits initiaux. Ces périodes ont pour but uniquement de reporter mes droits existants et pas de recharger de nouveaux droits . Je comprends qu’un travail léger (ex temps partiel 2 jours) suffit tant qu’on ne demande pas d’allocations simultanément.
Mon objectif n’est pas non plus d’avoir des nouveaux trimestres de retraite car le chômage D me couvre jusqu’au départ en retraite, même si celui ci est reculé.
UNEDIC a écrit :
Reporter ses droits existants. Si un allocataire reprend un emploi alors qu’il lui reste des allocations, le reliquat lui sera versé quand il se retrouvera à nouveau au chômage, sous certaines conditions. Ainsi, les droits ouverts sont versés jusqu’à ce qu’ils soient épuisés.
serenitis a écrit :
Je n’ai pas le recul pour mesurer si PE peut modifier ou non votre mode d’indemnisation suite à des changements législatifs (par exemple sur chômage D je ne serai pas à l’aise vu l’éloignement temporel..) après l’ouverture de vos droits initiaux.
Le chômage D correspond à la période postérieure à 62 ans où il est prévu de continuer à percevoir les allocations chômage si vous remplissez certaines conditions en attendant votre départ en retraite à taux plein. Financièrement il est donc clé d’arriver avec encore des droits à 62 ans.
serenitis a écrit :
Avez vous envisagé sur cet item par exemple de placer votre matelas financier dans une société créée pour l’occasion et gérée par exemple par un de vos enfants majeurs qui vous ferait du CDD au minimum de validation des 4 trimestres sur les périodes que vous envisagez ? En y réfléchissant, cette solution me paraît la plus sécurisante pour vous
Comme expliqué ci-dessus, je ne cherche pas des trimestres sur cette période.
Par ailleurs la période de chômage finance la retraite, peut être même un peu plus que la période de chômage si on est au plafond en terme d’indemnité. L’allongement de la période D compensera les trimestres éventuellement perdu.
Fran606, vous semblez avoir de l’expérience sur la question.
Je comprends que l’IDR (Indemnité Départ en Retraite) est fiscalisé et pas une IRC (Indemnité de Rupture de Contrat) tant que < 2 salaires annuels et < 245 k€. Avez vous la même compréhension ?
Ci-dessous mon Vade-Mecum complété
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#9 08/11/2020 16h54
- fran606
- Membre (2017)
- Réputation : 2
stef, le 07/11/2020 a écrit :
Fran606, vous semblez avoir de l’expérience sur la question.
Je comprends que l’IDR (Indemnité Départ en Retraite) est fiscalisé et pas une IRC (Indemnité de Rupture de Contrat) tant que < 2 salaires annuels et < 245 k€. Avez vous la même compréhension ?
C’est plus compliqué que ça. Les indemnités dont le montant est égal à l’indemnité conventionnelle ou légale de licenciement sont :
- exonérées d’impôt sur le revenu quel que soit leur montant;
- exonérées de cotisations, de CSG et CRDS dans la limite de 2 fois le plafond annuel de sécurité sociale
Pour les indemnités supérieures, il y aura des cotisations, et parfois une fiscalisation (regarder sur internet, le seuil de 2 salaires annuels n’est pas le seul cas).
L’indemnité de départ à la retraite est fiscalisée, sauf si la retraite est à la demande de l’employeur, ce qui est rarement le cas.
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#10 08/11/2020 18h16
- stef
- Membre (2011)
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FastHand, le 07/11/2020 a écrit :
Bonjour,
Dans l’ensemble, je comprends la même chose que vous hormis concernant l’assiette de chômage
B C et D, car il me semblait que la prenait en compte la rémunération des 12 derniers mois, et on pas travail 1.
FastHand, en fait je me suis placé dans la cadre de la nouvelle loi :
Réforme de l’assurance chômage: les nouvelles règles à compter du 1er novembre 2019
Par ailleurs, le mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR) est modifié pour les allocataires dont la fin de contrat intervient à compter du 1er avril 2020 afin de retenir une base de calcul calendaire incluant les jours non travaillés. En pratique, les variations du mode de calcul seront mineures.
Jusqu’ici le SJR était obtenu en divisant le total des rémunérations afférentes aux 12 mois précédant le dernier jour travaillé et payé par le nombre de jours travaillés (dans la limite de 261) multiplié par 1,4 pour convertir ce nombre sur une base calendaire.
A compter du 1er avril 2020, le SJR sera obtenu en divisant le total des rémunérations afférentes aux 24 mois (ou 36 mois si le salarié a au moins 53 ans) précédant le dernier jour travaillé et payé par le nombre de jours calendaires déterminé à compter du premier jour de la première période d’emploi incluse dans la période de référence jusqu’au terme de cette période de référence (Règlement art. 13 modifié).
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#11 11/11/2020 01h38
- stef
- Membre (2011)
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Bonjour, j’ai complété mon vade-mecum avec 2 points :
- la période D’ allongement du chômage juste avant la retraite du fait de la période "SANS" qui ne porterait pas de trimestre n’a plus lieu d’être car la période "SANS" peut porter jusqu’à 6 trimestres dans la mesure où il s’agit de la 1ère période chômée sans indemnité (1ère agréable découverte)
Par ailleurs pendant cette période , la couverture sociale est maintenue tant que les 12 mois ne sont pas dépassés --> évite les cotisations PUMA (2nde agréable nouvelle)
- j’ai complété la partie fiscale et cotisations qui comme l’explique fran606 n’est pas simple.
Je ne suis d’ailleurs pas sûr d’avoir tout compris (digne d’un message du Chat de Geluck )
et laisse fran606 relire mon tableau pour corriger si nécessaire.
fran606, le 08/11/2020 a écrit :
C’est plus compliqué que ça. Les indemnités dont le montant est égal à l’indemnité conventionnelle ou légale de licenciement sont :
- exonérées d’impôt sur le revenu quel que soit leur montant;
- exonérées de cotisations, de CSG et CRDS dans la limite de 2 fois le plafond annuel de sécurité sociale
Pour les indemnités supérieures, il y aura des cotisations, et parfois une fiscalisation (regarder sur internet, le seuil de 2 salaires annuels n’est pas le seul cas).
L’indemnité de départ à la retraite est fiscalisée, sauf si la retraite est à la demande de l’employeur, ce qui est rarement le cas.
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#12 11/11/2020 08h20
- fran606
- Membre (2017)
- Réputation : 2
J’avoue que j’ai du mal à comprendre le schéma avec plein de périodes !
Il faut être réaliste, à moins d’être dans un métier à forte demande (e.g. infirmier, plombier…), si on est cadre dans une grande entreprise, le fait de quitter son emploi après 50 ans est presque toujours définitif.
On peut au mieux trouver des petits emplois d’intérim pour des remplacements type maladie/maternité dans une entreprise où on serait immédiatement opérationnel, donc un fournisseur, concurrent ou client du même segment de marché précis. Et encore, le salaire proposé sera souvent inférieur à ce qu’on touche en Assedic !
Il faut donc faire ses calculs avec un départ DEFINITIF du marché du travail, et ce jusqu’à la retraite (environ 63 ans, selon votre classe d’âge). Vous n’avez pas donné votre âge, je prend l’exemple de 55 ans :
-Vous touchez l’indemnité conventionnelle de licenciement (12 à 24 mois selon votre convention collective)
- vous touchez les congés payés non pris (mais décalent d’autant votre carence Assedic au delà des 6 mois)
- vous avez un an couvert par votre ancienne mutuelle, ensuite soit vous en prenez une au prix fort (il n’y a plus de subvention employeur), soit vous avez la mutuelle de votre épouse, soit vous faites comme moi, sans mutuelle car pour ma femme et moi ça coûterait plus de 3000€ par an, et on a moins que ça en tickets modérateurs et les gros actes chirurgicaux sont couverts à 100% sécu.
- au delà des 3 ans d’assédic + 6 à 9 mois de carence, on peut valider des trimestres SS même sans indemnisation à condition de rester inscrit à Pole Emploi qui essaiera de vous convaincre de vous désinscrire, erreur à ne pas commettre.
- vous partez en retraite à l’âge légal avec une décote pour les trimestres manquants.
Ce sont des calculs complexes et qui dépendent de la situation de chacun, célibataire ou épouse travaillant encore.
On gagne en ne payant plus de jardinier, employé de ménage, plombier ou maçon, bref ce qu’on peut faire soit même.
On compense un petit peu les faibles revenus par diverses exemptions (livret d’épargne populaire, médiathèque gratuite, pas de taxe d’habitation, …)
On peut utiliser son reliquat de CPF pour la formation de son choix (j’ai pris des cours de russe, en disant à Pole emploi que ça améliorerait mon employabilité, car dans mon métier tout le monde parle anglais). Le crédit CPF est définitivement perdu quand on prend sa retraite.
Bref, à vous le tableur Excel, et n’oubliez pas que le but n’est pas d’être le plus riche du cimetière, mais d’avoir assez pour vivre à sa guise pendant les années où on est suffisamment valide pour en profiter. C’était l’épitaphe philosophique :-) .
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1 #13 11/11/2020 11h41
- stef
- Membre (2011)
Top 50 Vivre rentier
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Bonjour,
Francis, les périodes retravaillées n’ont qu’un but : arriver à 62 ans avec mes droits initiaux non éteints
tout en ne dépassant pas le délai de déchéance .
Il faut donc que le cumul période indemnité chômage n’excède pas 3 ans entre mon départ de l’entreprise et mes 62 ans.
Ce qui permet de prolonger ensuite les indemnités chômage jusqu’à la retraite dans la législation actuelle.
Ces périodes de travail n’ont que ce but et peuvent être très légères du type temps partiel tant que l’on ne demande pas d’indemnité en parallèle.
Sinon, mon âge est de 56 ans en décembre (message du 7/11) et j’ai bien un petit tableau excel de simulation . Mon objectif n’est bien évidemment d’être le plus le riche du cimetière sinon je reste dans mon entreprise mais de gérer néanmoins au mieux en fonction des droits existants.
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