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#26 08/08/2012 14h28
- Magic
- Membre (2011)
- Réputation : 38
Au prix actuel, les producteurs de gaz perdent de l’argent. Il va y avoir des faillites/fusion, le nombre d’acteur et du coup l’offre vont diminuer, et les prix augmenter. Après, c’est sur qu’avec la révolution du gaz de schiste, on retrouvera difficilement le Henry Hub autour des 8$.
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#27 14/12/2012 10h14
- pvbe
- Membre (2010)
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Le gouvernement britannique a donné jeudi 13 décembre son autorisation à la reprise de forages exploratoires de gaz de schiste par la méthode de la fracturation hydraulique.
Connaissant assez mal la bourse anglaise je m’interroge, quelles sont les entreprises Britannique qui sont les mieux placée, outre BG, Shell ou BP?
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#28 14/12/2012 11h16
- gorn
- Membre (2012)
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aux US, cela a fait baisser les cours donc pas sur que l’exploration produtcion soit si rentable par contre investir dans les entreprises qui font les etudes, la recherche ou fournissent le materiel d’exploration peut etre interessant.
un peu comme pendant la ruee vers l’or ou les vendeurs de materiel ont fait fortune
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#29 14/12/2012 14h15
- pvbe
- Membre (2010)
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Voici 2 sociétés bien placées pour ptofiter du gaz de schiste en Angleterre, la 1 ère dispose déjà d’une concession et la 2è est le Schlumberger britannique.
- IGAS Energy plc (IGAS), dans le Nord-Ouest et le Staffordshire a plus de 500.000 acres sous licence, pour le développement du gaz non conventionnel.
- Hunting PLC (HTG) est un holding, une société de services internationale du secteur de l’énergie, qui fabrique et fournit des produits et services à l’industrie énergétique mondiale. Elle opère dans six segments. Le segment de la construction de puits fournit des produits et services utilisés pour le forage de puits de pétrole et de gaz. Le segment Achèvement fournit des produits et services pour la phase d’achèvement de puits de pétrole et de gaz. Le segment Well Intervention fournit des produits et services pour la production, l’entretien et la restauration de puits pétrolier et de gaz existant. Le secteur Exploration et production comprend l’exploration pétrolière et gazière et des activités de production dans le sud des États-Unis et le Golfe du Mexique. Gibson Shipbrokers est un courtier en énergie au niveau mondial.
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#30 03/01/2013 14h23
- pvbe
- Membre (2010)
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Mosaic vient de passé commande à Technip pour une nouvelle unité d’ammoniac, pour alimenté son unité de production d’engrais située à St James Parish, en Louisiane.
Le gaz traditionnellement représente 60% du prix de l’ammoniac grâce au gaz de schiste le coût du gaz aux Etats-Unis égal 1/3 du prix européen , ce qui est un avantage concurrentiel indéniable pour les producteurs d’engrais azoté Américain et cela explique aussi plus globalement la ré-industrialisation des Etats-Unis.
Ce sont 2 belles valeurs qui profite du gaz de schiste à bon marché.
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#31 16/04/2013 11h38
- sergio8000
- Invité
Un point de vue contrarien sur la "révolution" du gaz de schiste : Le gaz de schiste, vu de la Russie
Si j’ignore si ce point de vue représente la vérité ou non, pour ma part, j’ai toujours pensé que le gaz naturel a été enterré vif un peu trop vite et que les US ont simplement produit un peu trop avant 2008-2009 mais qu’ils ne produisent pas suffisamment aujourd’hui… L’avenir nous dira ce qu’il en est : en tout cas, nous sommes prêts à étudier une ou plusieurs entreprises du secteur aux prix proposés par le marché (qui ne price rien d’autre que la faillite à mon sens).
#32 16/04/2013 12h43
- kmo
- Membre (2011)
Top 10 Expatriation - Réputation : 97
C’est le point de vue contrarian caricatural, ça
Il en existe un plus mesuré, qui consiste à se rappeler que beaucoup de leases aux US expiraient si les compagnies ne foraient pas, ce qui a conduit à des ventes de gaz naturel non seulement en-dessous du coût complet, mais même en dessous du coût marginal. De mémoire j’ai vu des chiffres de coût complet de shale gas à 6-8$. D’autre part les US ne sont pas tout le marché du gaz naturel, et suite à Fukushima ça se passe beaucoup mieux pour ceux qui arrivent à vendre en Asie.
AMHA il ne faut pas prendre les prix Henry Hub résultant d’une situation temporaire de surproduction comme un signal long terme, et les capacités chimiques etc. en cours de construction aux US risquent fort de ne pas être rentables à long terme. La situation a des chances de changer progressivement : renégociations des leases, exploitation préférentielle de puits avec des liquides associés (déjà constaté), et surtout fin probable du business model qui consiste à forer à perte pour revendre des réserves aux major (on trouve assez facilement des articles là-dessus concernant Cheasapeake Energy, par exemple Chesapeake Delays Asset Sales After Reporting Loss - Bloomberg Business).
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#33 16/04/2013 14h15
- Swx
- Membre (2011)
- Réputation : 18
HuffingtonPost a écrit :
le 11/03/2003
QATAR - Le Qatar, qui détient les troisièmes réserves mondiales de gaz naturel, a découvert un gisement en mer
contenant 2,5 trillions de pieds cubes dans le nord du pays, a rapporté lundi la presse. La découverte a été faite au niveau du Bloc 4-Nord, au large des côtes du petit émirat, à une profondeur d’environ 70 mètres, ont précisé les journaux, citant le ministre de l’Energie Mohammed Al-Sada.
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#34 16/04/2013 15h31
- pvbe
- Membre (2010)
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L’auteur de l’article "Le gaz de schiste, vu de la Russie", nous dis que le prix à la production en Russie est bien inférieur au prix des USA et qu’actuellement Gazprom fait d’énorme bénéfice et qu’il pourrait très bien diviser les prix par 2, en cas d’exportation de gaz en provenance des USA vers l’Europe en faisant toujours des bénéfices.
N’oublions pas que le Gazprom sert avant tout à engraisser l’Oligarchie de Poutine, s’il reste de l’argent quelques miettes iront au peuple.
Si les Russes doivent baisser les prix de vente aux Européens, l’oligarchie perdra beaucoup et le peuple qui n’aura plus rien se révoltera.
Les Russes ont tout intérêt d’agiter le drapeau écologique et de faire pression sur les ex-pays de l’Est comme la Pologne ou la Roumanie qui pourrait produire du Gaz mettant ainsi en péril sa rente gazière.
Cet article ne m’incite pas à acheter Gazprom même si elle a d’un point de vue comptable des aspects « Value »
Plutôt que d’acheter des producteurs de gaz, je préfère de loin l’amont ou l’aval.
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#35 16/04/2013 16h07
- sergio8000
- Invité
L’intérêt principal de l’article pour moi est de donner un point de vue autre que "le gaz de schiste va changer le monde, c’est un novueau paradigme". En bien des points, cet article est caricatural. Notons que c’est un russe qui vit aux US qui écrit l’article.
Pour ce qui est de la Russie et de son peuple maltraité, je pense qu’il peut être bon de nuancer un peu la situation et aller voir sur place : il y a souvent pas mal de propagande à l’Ouest tout comme il y en a d’ailleurs à l’Est (mais apparemment, seule celle là est considérée comme de la vrai propagande :-)). On voit souvent les choses différemment selon l’endroit où l’on se trouve et les informations que nos media nous laissent entendre.
Pour en revenir au sujet, je ne suis pas plus motivé que vous à acheter Gazprom.
Je suis loin d’être pessimiste sur le gaz naturel et de croire au nouveau paradigme de la révolution du gaz de schiste.
#36 22/05/2013 14h10
- pvbe
- Membre (2010)
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L’ambassadeur des Etats-Unis en Belgique entrera à la fin de son mandat (en juillet) au conseil d’administration d’Exmar.
Ce sera un formidable ambassadeur pour favoriser Exmar dans le cadre des autorisations d’exportation de gaz de schiste.
Cette annonce à fait bondir le cours de plus de 5%.
Je rappel qu’Exmar est acteur du transport maritime de gaz liquéfié et construit également des stations de liquéfaction/réfrigération et ce également hors infrastructure portuaire (Opti-Ex)
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#37 30/08/2014 18h59
- rocambole
- Membre (2012)
- Réputation : 228
Hello,
Je propose un petit up sur le sujet, sachant que les actions de CNQ, WPX et Encana ont commencé à remonter depuis le début de l’année.
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#38 31/08/2014 01h08
- namo
- Membre (2014)
- Réputation : 119
Je n’ai aucun lien avec, mais je permets de poster un lien vers un article du blog de pvbe listant des entreprises liées à ce secteur.
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#39 01/09/2014 11h04
- thomz
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roudoudou a écrit :
Je propose un petit up sur le sujet, sachant que les actions de CNQ, WPX et Encana ont commencé à remonter depuis le début de l’année.
WPX a un moat local (dans le Colorado) où ils exploitent les meilleurs gisements et sont le low-cost producer.
Un nouveau CEO (Rick Muncrief) avec un excellent curriculum dans l’opérationnel (chez Continental) est arrivé aux commandes.
La société est en première ligne pour profiter de l’inévitable redressement du prix du gaz naturel. A $4 le mfc il y a une substantielle décote sur les réserves prouvées… A $5, $6 ou plus le mfc, l’upside est excellent.
Le bilan est blindé, avec des facilités de crédit encore non utilisées et une dette très gérable (nombre de concurrents ne peuvent en dire autant): en bref, il y a de quoi tenir encore cinq ans avant un éventuel refinancement dans un (improbable) contexte de prix du gaz déprimé.
A CNQ, il y a un très bon management et des actifs d’exceptionnelle qualité. Attention, c’est ici un pari sur le maintien du prix du pétrole au-dessus de $80 - ce qui, malgré l’opinion communément admise, est tout sauf une certitude.
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1 #40 06/09/2014 19h02
- langoisse
- Membre (2013)
- Réputation : 101
Source :www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/gaz-de-schiste-un-non-sens-economique
Depuis cet été, des experts mettent sérieusement en doute le bien-fondé économique de la fracturation hydraulique. «La production des puits décline si rapidement aux Etats-Unis qu’ils ne seront jamais rentables», dit l’expert Tim Morgan dans un article intitulé «Gaz de schiste, la bulle internet de notre temps», paru le 4 août dans le Telegraph. Responsable global de la recherche chez le courtier en énergie Tullett Prebon jusqu’en 2013, il estime que la fracturation, ou fracking, est une absurdité économique.
«Quand les investisseurs le réaliseront, conclut-il, cette industrie s’effondrera.» Malgré la frénésie spéculative qui l’entoure, ce secteur n’a jamais été rentable en sept ans d’activité. Comme la bulle «dotcom», la «story» du gaz de schiste américaine a été montée en épingle par les banques, sous de beaux slogans comme «Saudi America», qui à présent séduisent moins d’investisseurs.
Banques et opérateurs se paient en amont sur une story surfaite
Comme lors de la bulle internet ou subprime, on investit dans un feu de paille: les producteurs de gaz de schiste touchent une commission initiale très élevée, lèvent d’importants capitaux pour construire les puits, grâce à Wall Street qui vend avec fracas et promesses chiffrées les titres cotés de ces entreprises, telles Devon, Exxon, Chevron, Linn, EOG, ou Boardwalk Pipeline Partners (qui au passage ont toutes très nettement sous-performé l’indice S&P 500 sur deux ans comme sur cinq ans).
Pendant ce temps, les puits sont exploités à perte, d’autres, tout aussi éphémères, sont construits. De nombreux sites sont abandonnés, sans même avoir été nettoyés, les opérateurs gardant leurs profits et externalisant ces coûts au contribuable. Entre-temps, les banquiers ont touché leurs bonus sur les ventes des titres.
La faiblesse du modèle vient de ce que ces puits coûtent le double des puits classiques, tandis que leur production décline six fois plus vite: elle peut chuter de 60% ou plus après douze mois, comparé à 7-10% pour un puits classique. De sorte que la production américaine n’est pas compétitive face à celle du Golfe, de la Norvège ou de la Russie. Trop coûteuse, elle peine à être rentable à 100 dollars le baril, un prix pourtant très élevé, et n’a vraiment d’intérêt qu’à partir de 120 dollars.
Ne parlons pas d’un baril à 90 dollars - chose qui peut arriver au moindre ralentissement chinois - et qui mettrait la plupart des producteurs américains en péril, estime Jonathan Stern, de l’Oxford Institute of Energy Studies, qui note que «déjà à 100 dollars certains sont en difficultés financières». Les investisseurs commencent à réaliser que le cash-flow net du fracking américain a été négatif année après année, que nombre d’acteurs sont surendettés, non viables, et que de grands noms ont déjà quitté le secteur.
Tim Morgan prévoit que le shale américain va culminer en 2017-2018, puis s’effondrer. L’IEA, plus optimiste, situe le pic en 2019, et voit les Etats-Unis rester numéro un mondial du secteur jusqu’à 2030.
Arthur Berman, géologue texan et consultant en énergie, et David Hughes, géologue canadien, ne croient pas aux estimations de l’IEA, et qualifient eux aussi cette révolution de bulle, au moment où une bonne partie de la «story» s’est déjà dégonflée: les estimations de 2011 des réserves économiquement récupérables du gaz de Monterey en Californie ont été récemment révisées à la baisse de 96% (!) par le Département américain de l’énergie; en Pologne, le forage de 30 à 40 puits n’a débouché sur aucune production significative; et contrairement à ce qu’annonçait en grande pompe David Cameron à Davos en janvier 2014, le British Geological Survey révèle qu’il n’y a pas de réserves significatives de gaz au sud de l’Angleterre, mais des réserves limitées d’huile de schiste, difficiles à exploiter.
Alors que la «story» enflera peut-être encore 18 à 24 mois, des investisseurs crédules vont encore y placer leur argent. Or c’est à présent qu’il faut sortir, et non quand le «boom» sera 100% requalifié de «bulle».
Publié le 3 Septembre 2014 à 0:00
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#41 06/09/2014 20h44
- Stibbons
- Membre (2014)
Top 50 Obligs/Fonds EUR - Réputation : 59
J’ai vraiment des doutes sur cet article sachant que de nombreux économiques soulignent que la reprise aux états unis est essentiellement dûe à deux éléments: la politique accomodante de la FED et l’exploitation des gaz de schistes, qui permettent aux USA de viser l’indépendance énergétique d’ici à quelques années. Feu de paille?
Hors sujet, je vous conseille le film Promised Land avec Mat Damon, qui traite néanmoins du thème de pratiques intimidatoires des industries du pétrole et gaz de schistes dans les petites bourgades américaines, et la désilution des petits propriétaires qui se font spoiler in fine par les grands groupes.
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#42 08/11/2014 10h34
- foxbat
- Exclu définitivement
- Réputation : 1
D’apres ce que j’ai lu il semble que depuis environ 7 ans que l’on s’est lancé dans le gaz de schiste il n’y a toujours pas de free cash flow, c’est a dire que la production n’est maintenue que si on injecte plus de cash dans de nouveau forage que les anciens n’en produisent.Sachant que les concessions forcent le producteur a produire ou a abandonner la concessions, ils sont pieges dedans.Ca va finir par un krach.Le systeme presente des bialn convenable que parce que les procedures d’amortissement font paraitre un benefice , mais c’est un benefice sur le papier qu’on ne retrouve pas en tiroir caisse.
C’est une mega arnaque.
Zero Hedge | On a long enough timeline the survival rate for everyone drops to zero
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#43 08/11/2014 11h25
- tourix
- Membre (2013)
- Réputation : 45
foxbat, attention à votre raisonnement.
Je n’ai pas de compétences particulières sur le sujet du gaz de schiste et je vais vous croire sur parole lorsque vous annoncez que les entreprises ne génèrent pas de Free Cash Flow.
Quel type de krach anticipez-vous ?
Baisse du prix du gaz de schiste ? Probablement pas puisqu’il n’y aurait plus personne pour le produire, l’offre baisserait.
Baisse de la capitalisation boursière des sociétés du secteur ? Peut-être, s’il n’y a plus d’argent dans le caisses il faudra soit les refinancer, soit qu’elles ferments.
foxbat a écrit :
Le systeme presente des bialn convenable que parce que les procedures d’amortissement font paraitre un benefice
Là encore je doute de votre raisonnement : un amortissement est une charge, donc fait baisser le bénéfice. Une politique d’amortissement ne peut pas créer de bénéfice. Si un bénéfice comptable est affiché, c’est que quelque part Produits - Charges > 0. Il est par contre tout à fait possible que le Free Cash Flow soit négatif pour cause d’intensité capitalistique trop forte (exemple récent chez Total)
"La meilleure façon de prévoir l’avenir, c’est de l’inventer", Peter Drucker | Mon portefeuille
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#44 08/11/2014 19h53
- francoisolivier
- Exclu définitivement
- Réputation : 115
Le spot nymex qui au cours de la crise d’octobre est passé de $4 à $3,75 a repris des couleurs montant à $4,4 vendredi.
Ce qui n’ a pas empeché certaines boites de chuter de 30 à 50%.
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#45 12/11/2014 23h43
- rocambole
- Membre (2012)
- Réputation : 228
petit up : en effet WPX qui était déjà décotée a chuté de 30% elle cote actuellement 16.7$
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#46 01/12/2014 18h32
- foxbat
- Exclu définitivement
- Réputation : 1
The Shale Bust Arrives: November Permits For New Shale Wells Tumble 15% | Zero Hedge
Je poursuivi mon suivi des information sur les phenomene de gaz de schiste.
Je rappelle que le secteur existe en gros depuis 7 ans et ne degage toujours pas de free cash flow.
Le systeme s’auto entretien en expliquant que plus on fait de trous plus ca a de la valeur, ce qui entraine des capitaux pour faire des trous et augmente la valorisation du gruyere.
Explication tres schematique, mais qui illustre pas mal la realité.
Attention au krach, et surtout a ses consequences sur l’economie us, l’economie mondiale , et le prix du petrole.
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#47 01/12/2014 19h10
- rocambole
- Membre (2012)
- Réputation : 228
foxbat a écrit :
Je poursuivi mon suivi des information sur les phenomene de gaz de schiste.
Je rappelle que le secteur existe en gros depuis 7 ans et ne degage toujours pas de free cash flow.
Vous êtes sur qu’aucune boite du secteur de génère du FCF, c’est quoi votre source ?
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#48 01/12/2014 19h31
- foxbat
- Exclu définitivement
- Réputation : 1
Kemp: Free Cash Flow Says Little About The Future Of Shale | Rigzone
C’est un article d’avant la baisse des cours du pétrole. Assez neutre.Mais qui reconnaît que les bénéfices ne sont toujours pas là.
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#49 02/12/2014 21h31
- rocambole
- Membre (2012)
- Réputation : 228
Triangle Petroleum se prend un -50% sur le mois, le secteur continue à corriger fortement.
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#50 03/12/2014 23h46
- Thomas
- Membre (2010)
- Réputation : 154
Question a la marge : quelqu’un a-t-il un avis éclairé sur le vaste débat des impacts environnementaux potentiels liés à la fracturation hydraulique ?
De ce que j’ai compris du procédé, il est très gourmand en eau mais surtout les nappes phréatiques peuvent potentiellement être souillées par les additifs chimiques mêlés à l’eau lors du processus d’extraction.
En théorie cela ne doit pas arriver si les puits sont étanches mais en pratique il y a des « accidents » pouvant entre autre intoxiquer l’eau potable des populations à proximité des puits.
L’agence américaine EPA a été mandatée par le congrès pour conduire une large étude sur les impacts potentiels sur les eaux potables EPA’s Study of Hydraulic Fracturing for Oil and Gas and Its Potential Impact on Drinking Water Resources | US EPA dont les conclusions devraient sortir d’ici peu.
Sur ce sujet comme sur beaucoup d’autres il n’y a probablement pas de réponse claire et tranchée. Et il est admis que sans prise de risques on ne ferait pas beaucoup de progrès.
De plus l’énergie 100% propre à grande échelle est encore du domaine du rêve plutôt que de la réalité et pour la production à grande échelle il semble que toutes les options présentent leur lot de défauts (charbon, nucléaire…).
S’il y a des spécialistes de la question je suis néanmoins curieux d’entendre leur avis.
investment in knowledge pays the best interest
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