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2 2 #1 07/01/2018 01h47
- rocambole
- Membre (2012)
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hello,
En l’absence de retours pour l’instant j’alimente la file avec une petite étude que j’ai faite sur les TRI sur plusieurs échéances sur quelques SCPI. Attention, les hypothèses sont les suivantes :
- dernière DVM nette connue projetée sur la durée, achat fait dans une SCI IS, amortissement au taux d’IS de 15%, on tient compte dans les flux du délai de jouissance, suppression de l’IS sur la fraction des revenus étrangers, et les revenus FR taxés à l’IS à 15%
Cela permet de se faire une idée sur la marge de sécurité. Comme j’ai construit la feuille, si vous me donnez une scpi avec sa DVM, une durée, un délai de jouissance et une clé d’usufruit je peux la saisir dans mon tableau, vous faire le calcul et l’étoffer.
edit : du coup c’est le TRI net et pas brut comme indiqué dans le tableau !
Mots-clés : is (impôt sur les sociétés), scpi (société civile de placement immobilier), usufruit
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1 #2 12/03/2018 22h59
- rocambole
- Membre (2012)
- Réputation : 228
Je n’ai pas les mêmes flux que vous, 3,82% en comptant les gains d’amortissement me paraissent assez faibles.
Rien qu’en revenus sur les 5 ans (certes décalés de 6 mois) la pv totale est de +1963 euros
2393 euros par an (42,88*57,4 - 0,15*0,18*2461 d’IS)
Donc je ne sais pas d’ou vient votre 1253 euros, vous avez surement oublié au moins 1 an de revenus + les gains d’amortissement sur les 5 ans
L’économie annuelle d’IS liée à l’amortissement est de 2000*0,15 = 300 euros soit un gain "additionnel" de 300*5 = 1500 euros
L’opération rapporte au bout des 5 ans 1953 + 1500 = 3453 euros
On jouit des revenus sur 5 ans même si le délai de carence fait glisser les dates
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11 5 #3 13/03/2018 00h55
- GoodbyLenine
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GoodbyLenine a écrit :
roudoudou a écrit :
https://www.investisseurs-heureux.fr/up … sdqsd1.jpg
edit : du coup c’est le TRI net et pas brut comme indiqué dans le tableau !Quelle est la formule qui calcule le TRI ? (Je suis un peu surpris de certains resultats)
Il me semble que votre formule ne tient pas compte de ce qui a été discuté sur Calcul de rentabilité d’un usufruit temporaire de parts de SCPI.
Sur la base de mon raisonnement dans cette discussion, j’obtiens les formules suivantes pour calculer le TRI brut, et le TRI net d’impact d’IS, si le montant des dividendes reste constant (ça ne sera pas le cas dans la vraie vie !) :
TRI brut = (DVM * durée US) / prix US) ^ (1 / duration) -1
TRI net d’IS = (DVM * durée US - IS) / prix US) ^ (1 / duration) -1
avec :
IS = DVM * durée US * ((1 - % revenus de source étranger) - prix US) * 15%
(IS = montant d’IS en France à payer (ou économiser si <0) en raison de cet investissement)
duration = durée en années/2 + (délai de jouissance en mois + 1.5 si div trimestriel + 0.5 si div mensuel) /12
(duration = délai moyen entre investissement et revenus, pondéré des sommes concernées)
Avec ces formules, et les clés et DVM indiqués par roudoudou, je trouve :
Note1: Le DVM de Corum XL ne sera pas de 5%, mais un peu plus de 4% … car les 5% prévus sont "avant paiement des impôts à la source à l’étranger" (qui avoisineront 20% en régime stable, et seront bien moins en phase de grosse croissance, sur Corum en 2017 c’était 16%).
Note2: Les TRI calculés ainsi sont très sensibles à toute variation de DVM (et une fois qu’on a investi, des montants distribués, le prix de la part acheté étant figé). Par exemple sur la 1ère ligne, si le DVM passe de 5.00% à 4.50%, alors le TRI net d’IS passe de 13.40% à 9.94%.
Note3: Pour trouver un TRI net de tout, il faut encore diminuer ces taux pour tenir compte des frais de structure de la SCI IS (l’impact est d’autant plus faible que les montants investis sont gros), et de l’imposition lors de la sortie des bénéfices de la SCI IS (par ex. PFU 30% si sortie sous forme de dividendes).
Note4: Les clés/prix de l’US, comme les DVM (et autres hypothèses), indiqués dans le tableau ci-haut, qui sont celles pratiquées au moment de la rédaction de ce message, ne seront sans doute pas celles pratiquées dans quelques mois ou années. Donc les TRI calculés ne seront plus les mêmes !
J'écris comme "membre" du forum, sauf mention contraire. (parrain Fortuneo: 12356125)
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1 #4 04/11/2018 11h22
- cat
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roudoudou, avec la prise en compte de l’amortissement, vous allez trouver un IS nul bien avant d’avoir 100% de revenus étrangers.
La formule de GBL me semble donc correcte… quoique il y a peut être une parenthèse à déplacer :
IS = (DVM * durée US * (1 - % revenus de source étranger) - prix US) * 15%
Bien à vous
cat
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1 #5 29/03/2019 16h20
- GoodbyLenine
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Vous "gardez le régime successoral avantageux de l’assurance vie" en reversant les 60k€ à la fin, que vous ayez fait une avance ou un retrait suivi d’un versement. Si vous décédez avec une avance en cours, cette avance sera transformée en retrait (au jour du décès).
Vous "espèrez réduire le coût de l’avance en ne laissant pas la somme sur le fonds euro mais sur des unités de compte dans l’assurance vie"… mais ce gain (éventuel) sera exactement le même si vous arbitrez vers des UC, que vous ayez fait une avance ou un retrait de 60 k€ au départ.
De fait, procéder à une avance de 60k€ plutôt qu’à un retrait semble diminuer le TRI sur les 100 000€ concernés de 0.7% durant ces 5 années. C’est un peu dommage de "donner" ces 0.7% à l’assureur quand vous prenez pas mal de risques (l’investissement en US en comporte : voir Note 1) pour obtenir un TRI [voir Note2] supérieur aux 2.0% attendus de l’AV sans se casser la tête.
Donc j’ai l’impression que votre raisonnement comporte quelques biais.
Sinon, la discussion Avance sur un contrat d’assurance vie : rachat ou avance sur une AV ? pourrait aussi vous intéresser.
Note 1: Imaginez que le dividende soit finalement plus bas que 5.79%. A 4%, vous seriez perdant avec un TRI de -0.3% sur vos 100 000€. C’est vers 4.71% que le TRI avoisinerait 2.00%. Tout ceci sans tenir compte des frais de la SCI (qui impacteront beaucoup de TRI pour un investissement de seulement 60 000€ en US).
Note 2: ces TRI de 4.7% ou 5.4% sont un peu artificiel, car vous ne pourrez pas forcément placer votre trésorerie des années 1, 2, 3, etc à ce taux…
J'écris comme "membre" du forum, sauf mention contraire. (parrain Fortuneo: 12356125)
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6 1 #6 27/11/2021 17h20
- maxicool
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Documents de fin mai 2021 avec les clés de démembrement.
Je n’ai rien trouvé de plus récent. J’ai vérifié auprès de quelques SDG, les chiffres me semblent OK.
--
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1 #7 25/01/2022 13h49
- maxicool
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“ISTJ”
Nouvelle réponse (rapide) de l’EC.
Bonjour,
En réponse à votre demande,
Effectivement, la déduction de ces charges (intérêt + assurances), est conditionnée au fait que ce soit la SCI qui emprunte, et non ses associés à titre personnel.
Désolé de la confusion.
En tant qu’associé, la déduction des intérêts est limitée aux règles en vigueur, à savoir :
- Libération intégrale du capital social
- Limitation à un taux maximum (aux alentours de 1,1%)
- Limitation à 1.5 fois les fonds propres.
>> Maxicool : OK, c’est ce que j’ai pu lire partout.
En revanche, la déduction des assurances s’opère bien sans limite particulière, puisqu’elle assure une écriture du passif de la SCI.
>> Maxicool : un élément que je ne connaissais pas.
Toutefois, si la SCI rembourse directement la banque, les intérêts sont intégralement déductibles (CE 28/02/2008 et CE 27/02/1989).
>> Maxicool : ce point peut être intéressant !
J’espère avoir répondu à vos interrogations,
N’hésitez pas à m’appeler sur mon portable en cas de doute,
Je reste à votre disposition pour toute précision complémentaire,
Cordialement,
Donc, si j’ai bien compris :
- si les associés empruntent en crédit à la consommation
- si la SC rembourse les échéances
- déduction possible des intérêts et des assurances
A voir si une banque peut accepter un "truc" pareil…
--
J’ai cherché à retrouver la décision du Conseil d’Etat évoquée dans le mail.
Je suis tombé sur cette décision, en date du 28.03.2008.
Résumé
19-04-02-01-04-081 Lorsque le dirigeant d’une société contracte personnellement un emprunt bancaire dont il met les fonds intégralement à la disposition de celle-ci, la société devient, du fait des remboursements correspondant à cet emprunt, directement la débitrice de la banque. Les intérêts versés par la société doivent ainsi être regardés comme rémunérant le prêt consenti par la banque, nonobstant la circonstance que les fonds ont été mis à la disposition de la société par son dirigeant. Les dispositions du 3° du 1 de l’article 39 et du 1° de l’article 212 du code général des impôts qui limitent la déduction des intérêts versés aux associés à raison de sommes qu’ils laissent ou mettent à la disposition de la société ne trouvent pas alors à s’appliquer.
--
Les dispositions du 3° du 1 de l’article 39 du code général des impôts :
3° Les intérêts servis aux associés à raison des sommes qu’ils laissent ou mettent à la disposition de la société, en sus de leur part du capital, quelle que soit la forme de la société, dans la limite de ceux calculés à un taux égal à la moyenne annuelle des taux effectifs moyens pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement pour des prêts à taux variable aux entreprises, d’une durée initiale supérieure à deux ans.
Cette déduction est subordonnée à la condition que le capital ait été entièrement libéré.
A compter du 1er janvier 1983, les produits des clauses d’indexation afférentes aux sommes mises ou laissées à la disposition d’une société par ses associés ou ses actionnaires sont assimilés à des intérêts.
La rémunération mentionnée au 1° ter est retenue pour l’appréciation de la limitation prévue au premier alinéa.
La limite prévue au premier alinéa n’est pas applicable aux intérêts afférents aux avances consenties par une société à une autre société lorsque la première possède, au regard de la seconde, la qualité de société-mère au sens de l’article 145 et que ces avances proviennent de sommes empruntées par offre au public sur le marché obligataire, à l’exception des offres mentionnées au 1° ou au 2° de l’article L. 411-2 du code monétaire et financier ou à l’article L. 411-2-1 du même code, ou par émission de titres de créances mentionnés au premier alinéa de l’article 124 B ; dans ce cas, les intérêts sont déductibles dans la limite des intérêts des ressources ainsi collectées par la société-mère pour le compte de sa ou de ses filiales. Ces dispositions sont applicables aux intérêts afférents aux ressources empruntées à compter du 1er janvier 1986. Elles cessent de s’appliquer pour la détermination des résultats imposables des exercices ouverts à compter du 1er janvier 1988.
Les conditions d’application de l’alinéa précédent, notamment les obligations déclaratives des sociétés mentionnées, sont fixées par décret ;
Cet article reprend ces éléments du mail de l’EC :
- Libération intégrale du capital social
- Limitation à un taux maximum (aux alentours de 1,1%)
- Limitation à 1.5 fois les fonds propres.
--
Les dispositions du 1° de l’article 212 du code général des impôts :
I. – Les intérêts afférents aux sommes laissées ou mises à disposition d’une entreprise par une entreprise liée, directement ou indirectement, au sens du 12 de l’article 39, sont déductibles :
a) Dans la limite de ceux calculés d’après le taux prévu au premier alinéa du 3° du 1 du même article 39 ou, s’ils sont supérieurs, d’après le taux que cette entreprise emprunteuse aurait pu obtenir d’établissements ou d’organismes financiers indépendants dans des conditions analogues ;
b) (Abrogé).
Cet article renvoie à l’article 39.
Dernière modification par maxicool (25/01/2022 15h49)
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2 #8 25/01/2022 18h13
- picsou83
- Membre (2019)
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Si l’on peut emprunter à 0.60% pourquoi vouloir déduire à 0.60% alors que l’on peut déduire à 1.17% dans la SCI via CCA ? sachant également que ce taux de 1.17% risque maintenant de remonter …
calcul grossier :
1) déduction des intérêts du prêt personnel :
100000€ à 0.60% on déduit en charge dans la SCI : 600 €/an (économie d’IS de 90euros)
2) Apport du montant du prêt en CCA :
100000€ à 1.17% on déduit en charge dans la SCI : 1170 €/an (économie d’IS de 175.5euros) et on se verse 819€ (flat tax 351€)
Cash Flow de 219€/an (819 - 600) en faveur de l’apport du montant du prêt en CCA
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1 #9 26/01/2022 13h01
- Tssm
- Membre (2014)
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Maxicool, vous pouvez respirer, la règle de sous capitalisation (c’est son nom) ne s’applique pas vraiment à nous
Il faut dépasser 3 millions d’euros de charges financières pour s’y intéresser…
Je vais trouver les références
ÉDIT
Bofip
IS - Base d’imposition - Charges financières - Limitation de la déduction des charges financières nettes - Régime de déduction en cas de sous-capitalisation | bofip.impots.gouv.fr
CGI : plus clair que bofip
Article 212 bis - Code général des impôts - Légifrance
Et encore plus clair
Limitation de la déduction des intérêts LégiFiscal
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1 1 #10 27/01/2022 11h18
- Geronimo
- Membre (2012)
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bed43fr a écrit :
On gagne l’IS sur le montant des intérêts.
Vous gagnez l’IS mais vous perdez le montant du PFU.
Dans une stratégie de capitalisation en SC, ça n’a pas grand sens de distribuer et/ou de passer par une case PFU.
Si vous avez besoin de cash en perso, voir ci-après.
Prenons un exemple simple avec 1% d’intérêt et 1000€ de CCA pour une SCI qui fait 10000€ de revenus imposables.1er cas pas de rémunération du CCA : IS 1500€ (15% de 10000€), reste 8500€ à délivrer en dividende ce qui donne avec le PLF à 30% 5950€ net dans la poche des associés.
Je vous propose une autre solution :
- vous commencez pas vous rembourser le capital du CCA (si vous aviez apporté 100k d’un prêt perso, vous pouvez ressortir 100k sans fiscalité "immédiatement", vous n’avez pas besoin de faire des mensualités etc., et surtout inutile de passer par du dividende) pour repousser au maximum un frottement fiscal qui n’est pas nécessaire
- et quand vous avez purgé votre CCA, si vous avez toujours besoin de fonds, la SC dont vous aviez soigneusement rédigé les statuts vous fait un prêt que vous enregistrez auprès de l’administration fiscale (droit fixe de 125€) avec un terme trèèèès lointain. Si vous décédez avant d’avoir remboursé le prêt, ce prêt vient en déduction de votre actif successoral.
Dernière modification par Geronimo (27/01/2022 12h07)
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1 #11 28/01/2022 13h46
- Skarklash
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piscou83, le 26/01/2022 a écrit :
Pour l’usufruit de SCPI, j’avoue être frileux, sur 5 ans un taux qui passe de 4.5% à 3.5%, c’est la douche froide on perd de l’argent malgré l’économie d’IS ….
Il faut regarder le taux moyen sur la période. Si la SCPI distribue de 5% la première année et finit à 3,5% la dernière, le taux moyen de rendement à retenir dans la simulation doit être de 4,25%.
Réaliser des simulations sur une base dégradée est important et permet de mesurer la sensibilité de l’investissement à l’évolution du rendement dans le temps. Vous pouvez aussi simuler un rendement qui baisse de 0,1 ou 0,2% par an par exemple.
On voit que les durées d’US courtes sont moins sensibles à un glissement régulier du rendement mais le sont fortement sur des épisodes atypiques, type crise sanitaire.
On retrouve tout l’intérêt de mixer les zones géographiques, les typologies de SCPI et, pour de l’US, les durées.
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5 5 #12 21/04/2022 11h21
- LeCaptaineCaverne
- Membre (2021)
- Réputation : 11
Bonjour,
Dans une optique pré selectionner les "bonnes" SCPI ET les bonnes durées, je viens de récupérer les clefs de démembrement pour 2022 sur lesquelles j’ai appliqué la formule de GBL.
Mêmes si toutes les lignes ne sont pas renseignées (les plus intéressantes devraient l’être cependant), le résultat est assez étonnant: En effet, on s’aperçoit que des SCPI qui n’ont pas un rendement foufou deviennent assez intéressante en US (Europimmo par ex).
Evidemment les SCPI très jeunes ressortent également comme dans tous les comparatifs
Le tableau est dispo ici
Clef Demembrement et TRI
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1 #13 20/09/2022 22h54
- Deneration
- Membre (2020)
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@skywalker31
Chez corum j’ai acheté en direct des parts en usufruit (Origin et XL)…. et oui j’ai payé les frais de souscription
(J’ai abordé le sujet avec le conseiller Corum et m’a dit que fixe..)
Des retours d’autres ?
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1 #14 21/09/2022 08h23
- patrick
- Membre (2011)
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Idem pour moi. J’achète directement mes usufruits Corum auprès de monsieur Alexis Trigaut chez Corum. Au prix fort, sans réduction.Mais je suis toujours servi, mon CGPI étant un incapable.
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1 #15 21/09/2022 10h15
- Canyonneur75
- Membre (2018)
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skywalker31 a écrit :
Ai-je raison de penser que les 8 à 10% de frais de souscription ne s’appliquent qu’au porteur de nue-propriété ou ceux-ci s’appliquent-ils également au porteur d’usufruit ?
Les clefs de répartition US/NP s’appliquent au prix de souscription donc frais inclus, l’usufruitier paie donc une partie des frais de souscription. Le rendement prévisionnel de l’opération s’apprécie sur le montant de la souscription de l’usufruit, donc frais inclus. Néanmoins, le rendement final de l’opération dépend uniquement de l’évolution des distributions.
La situation est différente pour le nu-propriétaire pour lequel le rendement final de l’opération dépend uniquement de l’évolution du prix de la part.
En tout état de cause, les clefs doivent vraisemblablement être ajustées pour tenir compte des taux de distribution et des frais de souscription pour assurer des rendements à peu près comparables pour les deux parties.
Canyonneur
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2 #16 21/09/2022 10h53
- cat
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Pour compléter le message de Canyonneur75 que je rejoins totalement sur les frais de souscription (pourquoi d’ailleurs ces frais seraient-ils absents pour le porteur d’usufruit?).
Canyonneur75 a écrit :
En tout état de cause, les clefs doivent vraisemblablement être ajustées pour tenir compte des taux de distribution et des frais de souscription pour assurer des rendements à peu près comparables pour les deux parties.
Je ne suis pas sûr que les rendements soient nécessairement "a peu près comparables" entre usufruitier et nu-propriétaire car le risque n’est pas forcément le même.
skywalker31 a écrit :
Y-a-t-il des courtiers en ligne qui fournissent des SCPI en usufruit ? Des expériences à partager - même en MP - par des habitués du forum ?
Sans chercher loin (mais je ne sais si cela correspond à votre définition du courtier en ligne), Moniwan et Louve invest proposent des parts de SCPI en usufruit (il me semble que c’est également le cas de beaucoup de plateformes en ligne mais les opportunités peuvent être rares).
Bien à vous,
cat
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1 #17 21/09/2022 11h31
- maxicool
- Membre (2013)
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“ISTJ”
J’ajouterais que concernant Louve, il faut être prompt à la réaction.
Après inscription, les offres en US arrivent sur votre boite mail, et "partent" toujours en moins de 5 minutes (parfois même beaucoup moins). Il faut donc être connecté "H24" pour y avoir droit, et sans tergiverser !
Et pas question de n’acquérir qu’une partie des parts en US disponibles sur telle ou telle offre, c’est tout ou rien.
C’est un fonctionnement particulier (avec ses inconvénients et son gros avantage : pas besoin de bloquer le capital X semaines /mois pour acheter), mais comme il y a de la demande, ça ne risque pas de changer.
Sinon, il suffit de se placer dans le carnet d’ordres des SDG et avancer le capital, jusqu’à l’achat effectif. Certains CGP offrent parfois des rétro-commissions (à l’image de Louve) de quelques % ( 2 ou 3 maxi) si l’on passe par leur intermédiaire.
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1 2 #18 14/10/2022 20h11
- GoodbyLenine
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A mon avis :
- idée intéressante (sous réserve de ne pas être susceptible d’avoir besoin du cash: l’US est très peu liquide)
- l’investissement programmé ne fonctionne pas en US;
- "10 ans", pourquoi pas, mais en pratique ça dépend de quand vous pouvez avoir besoin de récupérer votre cash (et avec du "10 ans" vous récupérez le cash en moyenne après 5 ans) (idéalement, il peut être préférable de faire en sorte de lisser les fins d’US, mais c’est pas facile…), des propositions que vous aurez (même si "10 ans" est sans doute une des durées les plus pratiquées), et de la clé proposée (parfois le TRI anticipé à distribution constante varie de 0.5% ou plus avec une année de plus ou de moins);
- à vous de trouver des sources pour vous proposer de l’US (sachant que certaines SdG de SCPI acceptent des mandats de recherche, et jouent le rôle de rapprocheur d’investisseur en NP et US, avec l’inconvénient qu’il faut bloquer le cash au début du mandat, et que le mandat "tombe après 3 ou 6 mois en général), et de gérer au mieux (réinvestir, ce qui oblige à y consacrer un peu de temps) l’excédant de trésorerie de la SAS que ça va dégager;
- quand vous voudrez sortir la valeur créée par ces investissements de la SAS (en plus du cash que vous y aurez apporté, qui lui ne sera pas fiscalisé), il faudra de toute manière passer par la case "fiscalité" : donc ce n’est pas du patrimoine complétement "net", et le fisc est en fait propriétaire d’environ 30% (le PFU sur un futur dividende) de la valeur créée et stockée dans la SAS;
- ça va un peu compliquer le boulot de votre comptable, qui devra jongler avec les dates d’entrée en jouissance des US, les amortissements, la différence entre "dividendes versés" et "quote-part de résultat" des SCPI (et attendre les IFU de toutes les SCPI avant de finaliser le Bilan de la SAS), le traitement des revenus d’origine étrangère, des plus-values immobilières réalisées par les SCPI (quelles soient ou pas distribuées), les "avoirs liées aux remises de loyer Covid" (dans le futur, ça n’arrivera peut-être plus), etc. Mais rien d’inaccessible pour un bon pro;
- une autre idée, peut-être même plus simple à mettre en oeuvre et avec une rentabilité (après fiscalité) assez similaire, serait que la SAS achète des actions de foncières/SIIC (c’est ce que je fais aussi, avec ma SCI IS qui n’achetait au départ quasiment que de l’US de SCPI, et largement à crédit). Ce sont des véhicules d’investissement immobilier où l’investisseur conserve une part plus grande de la valeur créée que les SCPI. Il n’y a pas d’amortissement, mais la rentabilité est quand même bonne (certaines SIIC servent un dividende pérenne et >10% du cours actuel). Les complications sont différentes (les dividendes des SIIC françaises sont bien souvent formés d’une partie de remboursement d’apport, qui diminue la valeur comptable et n’impacte pas le résultat, et c’est parfois mal documenté, en tout cas ce n’est pas la banque par où passe les dividendes qui fourni les informations associées), et il faut accepter une volatilité des cours parfois conséquente (en partie due au levier d’endettement, plus élevé que celui des SCPI), et pour ma part je n’ai pas encore testé avec les foncières/REIT étrangères (des Etats-Unies, ou de l’Allemagne par exemple).
J'écris comme "membre" du forum, sauf mention contraire. (parrain Fortuneo: 12356125)
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3 #20 16/05/2024 01h59
- jackpearson
- Membre (2022)
- Réputation : 9
8 min vous êtes gentil chez Louve il y a certaines personnes qui ont codé un bot qui instantanément fausse complètement leur système de "premier répondu premier servi"
Après avoir signalé les choses (et ils le savent puisqu’ils me l’on aussi dit) à Louve, ils feignent d’interdir les bots et de les condamner mais en réalité ils s’en moquent. Leur seul interêt c’est que ca parte au plus vite.
Pour moi c’est un carton rouge, au lieu de traiter de facon juste les demandeurs sous la forme de liste d’attente la prime est donnée à la triche d’ailleurs je ne comprends même pas ce qui motive encore un partenariat ici vu les pratiques.
Donc louve il faut oublier personne ne peut battre un bot, même si vous cliquez à reception du mail tous les usufruits interessants seront partis. Client du début j’ai totalement arrété de passer par eux.
Sur les autres pistes certains CGP donnent de l’US mais en effet ca reste assez rare, sans compter les clés qui ont flambé depuis 5 ans…
Big Three
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1 1 #21 16/05/2024 05h41
- yannou77
- Membre (2011)
- Réputation : 40
J’ai un CGPI assez tenace qui a force de harceler les maisons de gestion obtient de l’usufruit assez facilement. J’ai commencé ma SCI IS depuis 6 mois, et il m’a trouvé 300 k d’usufruit (corum XL, epargne pierre /Europe, Comète, sofidy europ invest…) sur des durées allant de 3 à 15 ans (je n’ai pas été regardant sur les durées pour le démarrage). J’ai aussi souscrit de petit montant chez epargnoo, avec du cashback en plus, mais à mon avis ce n’est qu’une question de temps avant qu’un système de bot ne gangrène aussi le truc.
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1 #22 16/05/2024 13h37
- Geronimo
- Membre (2012)
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Attention, le TRI calculé par la SdG n’est pas celui de l’investisseur.
L’usufruit "court" est impacté plus significativement par :
- le délai de jouissance (6mois de délai de jouissance sur un usufruit de 3ans, c’est pas neutre du tout)
- le retour plus rapide des fonds, qui exige un réinvestissement constant (pour un usufruit de 3 ans, la moitié des fonds sont à nouveau dans votre poche au bout d’1 an et 1/2 -hors délai de jouissance- et si vous n’en faites rien, ça dégrade le TRI de l’opération).
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1 #23 16/05/2024 14h21
- GoodbyLenine
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Les durées courtes obligent à retrouver d’autres usufruits très souvent, à refaire à chaque fois la paperasse, à avoir des fonds non investis plus souvent, et compliquent le suivi (ne serait-ce que le suivi des distributions, si le nb de parts détenues change souvent; pour "contrôler" et pour le prévisionnel de trésorerie), comme la compta (avec bien plus de lignes), et j’en oublie sans doute.
Pour ma part, j’ai investi dans des US sur des durées allant de 5 à 20 ans, et la moyenne pondérée doit être un peu plus de 10 ans. J’évite d’ailleurs aussi les lots trop petits (<20k€), sauf s’ils ont un prix très attractif.
Le calcul du TRI attendu (qui peut tout a fait tenir compte du délai d’entrée en jouissance, et même des qqs semaines d’emploi des fonds avant la fin du mois où ça commence vraiment à compter) s’effectue le plus souvent en supposant que les montants distribués seront constants durant tout l’usufruit, et égaux à ceux du dernier exercice connu. Ceci ne s’avérera jamais être la réalité. Mais il faut bien faire des hypothèses pour calculer un TRI attendu avant d’acquérir un usufruit…..
Pour ma part, j’évalue un TRI attendu en prenant ma meilleure estimation du montant distribué moyen à attendre durant la durée de l’usufruit (lequel peut être bien différent de celui des derniers 12 mois, surtout pour une SCPI très jeune aux distributions boostées au début). Ca laisse bien sûr aussi une marge d’erreur…
Je calcule aussi le TRI avec une hypothèse pessimiste de distribution, pour évaluer le risque associé.
Je calcule ces TRI avant et après IS (avec une hypothèse de % de revenu d’origine hors de France).
Les "frais d’entrée", on s’en fiche dans ces calculs : seul intervient le prix payé à l’achat (tous frais inclus) et le montant anticipé des distributions (net de fiscalité payé par la SCPI à la source). L’usufruitier se fiche de l’évolution du prix de la part, et du spread entre les prix de la part "net vendeur" et "net acheteur".
Un élément très difficile à anticiper : les montants d’éventuelles distributions de plus-value (certaines SCPI les versent à l’usufruitier, d’autres au NP, et souvent ça diminue alors d’autant le montant distribué sur les bénéfices ordinaires qui sont versés à l’usufruitier).
Parmi les SCPI dans lesquels mes SCI ont investi en usufruit (depuis 2010), il y en a eu avec des montants distribués qui ont plongé (ex : Aestiam Cap Hebergement), et d’autres où ca a fait bien mieux qu’anticipé au départ (ex : Corum Origin pour les US acquis en 2012, Interpierre France acquis quand la distribution venait de baisser, …). L’impact (fiscal, positif) du choix de pas mal de SCPI d’investir de plus en plus hors de France était difficilement anticipable (le résultat fiscal est alors devenu structurellement négatif, ce que les dividendes de SIIC, dans lesquels mes SCI ont aussi investi, plus récemment, atténuent un peu).
Je constate aussi que le TRI attendu des US, et la différence entre ce TRI et les taux d’intérêt, est bien plus faible (et donc moins intéressant) qu’il y a quelques années. Le risque pris semble de moins en moins bien rémunéré, et, de plus en plus, mieux vaut trouver autre chose.
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1 #24 16/05/2024 19h40
- GoodbyLenine
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Je ne suis pas allé vers "plus exotique". Je n’ai pas exemple pas arbitré vers du crowdfunding (immobilier, ou pas) ou des crypto (j’ignore si des petits génies ont créé une crypto avec la couleur de l’immobilier). Je reste sceptique sur la pérennité de ces "autres" et ces "plus exotiques".
J’ai effectivement réorienté la majeure partie des nouveaux investissements vers des SIIC, qui représentent maintenant un montant proche de la valeur résiduels des US encore en cours.
Je viens de regarder, et ces investissements, même si les premiers ont été faits à des cours que je ne pense pas revoir de sitôt, sont globalement en plus-value, ce qui est satisfaisant quand on considère que les dividendes ont avoisiné 10%/an ces dernières années (ça fait longtemps que le TRI attendu des US de SCPI est passé largement sous les 10%).
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1 #25 16/05/2024 23h33
- GoodbyLenine
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Ce n’est pas "perdre quelques mois de revenus", c’est juste "décaler dans le temps de quelques mois ces revenus".
Ça impacte certes le TRI (et d’autant plus que l’US est court). La formule de calcul du TRI (avec une faible marge d’erreur) que j’avais indiqué sur le forum (je n’ai plus le lien sous la main, cherchez….) en tient d’ailleurs compte…
Par ex:
- Si je souscris le 20/12/2020 l’US 3 ans d’une SCPI avec jouissance après 6 mois :
je percevrai les revenus associés à juillet 2021 jusqu’à juin 2024 (inclus)
- Si je souscris le 20/12/2020 l’US 3 ans d’une SCPI avec jouissance après 0 mois :
je percevrai les revenus associés à janvier 2021 jusqu’à décembre 2023 (inclus)
Les revenus perçus plus tôt ont une valeur actualisée plus élevée (on peut les placer pendant 6 mois), ce qui impacte le TRI.
J'écris comme "membre" du forum, sauf mention contraire. (parrain Fortuneo: 12356125)
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