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#26 13/02/2016 13h47

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Bonjour !

Perso, à 17 ans, j’ai décidé, subitement, de ne plus fumer.
Et je n’ai jamais refumé depuis.
C’est donc un pur acte de volonté !



Bon, il faut quand même que je vous dise que c’est une tante qui avait tenté de m’initier au tabac. Je n’avais jamais fumé avant, et je n’ai pas pu finir la 3e cigarette. Cela prouve que certaines circonstances peuvent largement aider la volonté.    ;o)


M07

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#27 13/02/2016 14h18

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Xewel a écrit :

3) Sacraliser l’arrêt : définir un moment et un lieu et enchainer 2 ou 3 cigarettes en tirant exagérément dessus pour bien se dégouter.
4) Serrer les dents et bien avoir en tête que la cigarette devient tabou (= abstinence pour les alcooliques) et qu’il est impossible de se "contenter" des cigarettes "plaisir" (rechute garantie sinon).

J’ai fait le contraire : je fumais de manière récurrente puis j’ai arrêté en me disant que j’avais encore droit aux cigarettes plaisir, pour que justement cela reste ce que c’était au tout début : un plaisir autorisé à petite dose.

Pour ceux qui sont pas très forts mentalement, cela peut être : cigarettes que le week-end, ou que le soir, ou que pendant les vacances, ou que dans certains endroits… Avec quand même l’objectif de se désaccoutumer et de se désencrasser les poumons et les artères.

Parallèlement pour moi ce fut une compensation des besoins en nicotine par le sport et la nourriture (l’aspect "drogue" qui revient surtout au début, de manière récurrente, et contre lequel il n’est pas facile de lutter). Après, il faut aimer le sport, c’est mieux !

Aujourd’hui, après 15 ans d’arrêt, c’est quelques cigarettes par an (3-4). Et parfois 0. Et c’est certain que je savoure chaque cigarette. Par contre si je fume deux trois cigarettes dans un lap de temps réduit, je ne prends plus de plaisir, je suis écoeuré.

Je vois certaines personnes compter les jours depuis leur arrêt brutal du tabac : je n’ai jamais vu quelqu’un tenir dans ce cas de figure ! Il ne faut pas se faire trop violence si l’on n’est pas prêt. Ce qui n’empêche pas de réduire la cadence, parce que çà c’est à la portée de tout le monde, me semble-t-il.

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#28 13/02/2016 14h27

Membre (2010)
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ISTJ

Hello,

Je ne suis pas fumeur, ne l’ai jamais été, mais ce sujet me tiens a cœur.Tout comme Thomz, j’ai fréquenté à 30 ans un service d’oncologie. Tiré d’affaire à priori, mais marqué à vie avec des effets secondaires plus ou moins pénibles et qui ne s’arrangeront pas avec l’âge.

Quelques réflexions sur le sujet :

- Les médicaments sont beaucoup moins efficaces chez le fumeur que sur le non fumeur.
- A l’époque en 2003/2004, mais c’est toujours vrai, les chimiothérapies sont beaucoup moins efficaces chez le fumeur que chez le non fumeur. Je me rappel de cet instant du 12 novembre 2003 vers 10h30 comme si c’était hier :

- Oncologue : "Vous ne fumez pas, vous ne buvez pas, vous faites du sport, votre condition physique est bonne et votre capacité pulmonaire est 23% supérieur à la normal par rapport à la moyenne de votre âge. Et bien puisque vous souhaitez tout savoir, sachez que l’on va pouvoir faire quelque chose pour vous. Dans ces conditions précises, votre taux de survie à 10 ans est de 85%. Si vous aviez été fumeur, ou buveur d’alcool et non sportif ce taux aurait été d’environs 40 à 50% !"
- Moi : "Très bien, quel est la suite du programme ?"
- Oncologue : Le protocole est de 9 semaines de chimiothérapies, vous passerez de 75 kg à 40/45 kg, mais votre condition physique et votre absence de tabagisme nous permettent de renforcer le protocole et de passer 12 semaines de traitement. Nous pousserons votre résistance physique au maximum de ses capacités, proche de l’empoisonnement permanent, afin de maximiser les chances de réussite à long terme en tentant d’éradiquer la moindre cellule maligne au plus profond de votre corps."

Ce fut l’enfer, et l’enfer est peut être même plus agréable, mais j’étais prévenu, et aujourd’hui je suis encore la et je fais même du sport en compétition (modestement mais avec plaisir et motivation).

Pendant mes hospitalisations, j’ai vu des personnes se suicider en refusant l’arrêt de la cigarette. Elles sont toutes mortes quelques mois après. Pour en avoir discuter avec elles, le discours qui revenait toujours était : "C’est trop dure d’arrêter".

Donc oui, la composante volonté est très importante.

2nde anecdote :

Un amis de mes parents, mineur de fond, 2 paquets par jour. La première cigarette au levée le matin. Un jour il arrête subitement. Il dira, "j’ai pris ma cigarette au levé comme tous les jours. Elle m’a brulé la gueule. J’ai regardé cette clope, j’ai éprouvé un dégout profond pour cette objet. J’y voyais l’image de la mort, ma propre crémation, mon corps bruler et partir en fumée". Il brulera ses 3 cartouches de clopes d’avance dans la cheminée du salon devant son épouse incrédule mais très heureuse. Il ne retouchera jamais une cigarette de sa vie. Son épouse fera l’effort de supprimer ses 2 cigarettes quotidiennes. Quelques années après,  une tumeur cancéreuse au rein sera traitée a temps, sera éradiquée et les docteurs lui  diront : "Avoir arrêté de fumer vous aura sauvé la vie".
Il coule des jours paisibles, retraité, il a perdu 20kg, chasseur, il arpente la nature tout l’hiver et répète qu’il ne s’est jamais senti aussi bien dans sa peau que depuis qu’il a lâché cette clope qui le réduisait en esclavage.

Il semblerait que ce qui se passe dans la tête est fondamental pour arrêter de fumer. Avoir fumé, n’est pas non plus une tare que l’on porte à vie. Quelques mois après avoir arrêté, les effets bénéfiques sont très importants.

Voila, si ces quelques lignes peuvent aider quelqu’un a arrêter de fumer, j’en serai très heureux.

A+
Zeb


Tout ce qui peut merder, va inévitablement merder.

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#29 13/02/2016 20h39

Membre (2010)
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Puisque tout le monde s’accorde à dire que ça se passe dans la tête, ça devrait être plus facile de parler positivement et de remplacer les "arrêter de fumer, difficile, impossible, manque, besoin, addiction, etc…"  par "prendre soin de sa santé, retrouver une bonne santé, du souffle, du goût, de l’odorat, prendre enfin son destin en mains, devenir une meilleure personne pour son entourage, voyager plus longtemps en avion donc plus loin, et surtout décider de devenir rentier en bonne santé pour que ça serve à quelque-chose".

Disclaimer : j’ai quelques actions BATS et PM.

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#30 09/01/2018 23h53

Membre (2018)
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Bonjour,

J’ai arrêté grâce à la cigarette électronique. Je dirais 2 paquets par jours depuis 15 ans et j’ai acheté une cigarette électronique sur un coup de tête, alors que je n’avais même pas envie d’arrêter de fumer. Dès le lendemain, je ne fumais plus de cigarettes (plus d’envie d’en allumer). Puis en 2 semaines, je ne touchais presque plus à la cigarette électronique, sinon pour le goût. Ça s’est fait très naturellement, alors que je ne pensais pas être capable un jour d’arrêter de fumer (sauf grossesse). Aujourd’hui j’ai toujours l’électronique. et je vapote de temps en temps avec du liquide sans nicotine, juste pour le goût.

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#31 10/01/2018 00h13

Membre (2015)
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J’ai arrêté il y a 9 ans grâce au livre d’Allen Carr.

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#32 10/01/2018 00h19

Membre (2018)
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Apparemment ce livre à aidé beaucoup de monde mais à moi il ne m’a fait ni chaud ni froid. Je pense que j’étais trop dépendante au "geste".

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#33 10/01/2018 00h26

Membre (2017)
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Bonjour,

Plusieurs tentatives ratées avant la bonne.
Aucune aide médicamenteuse.
Environ un mois pas drôle du tout.

Un truc qui avait bien aidé était un texte de quelques lignes sur les bénéfices de l’arrét du tabac sur la santé, facilement trouvable, Google is your friend.

Dernier point: certains disent que les ex fumeurs éprouvent toute leur vie l’envie de fumer. Dans mon cas c’est faux.

Bon courage!

Dernière modification par Yonz (10/01/2018 11h26)

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#34 10/01/2018 20h14

Membre (2017)
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INFP

Bonjour,

voilà 5 ans que j’ai arrêté. J’en consommais une bonne trentaine par jour.

J’ai profité d’un bon rhume qui m’a empêché de fumer le premier jour…

De mémoire :

1 - l’envie s’amenuise dès le 5ème jour. Le vrai combat pour moi fut le 3ème et 4ème jour.
2 - Au bout d’un certain temps, mon envie apparaissait par période (au réveil, après le repas, en cas de stress…) mais je me suis aussi rendu compte que cette envie de fumer disparaissait au bout de 5 minutes : ne pas craquer à ce moment-là !
3 - merci à ma famille, mes amis et collègues pour leur soutien et leur attention
4 - S’éloigner pendant un certain temps des rituels qui font "consommer" : les sorties au bar…

J’ai remplacé la cigarette par le sport.

courage à ceux qui sont dans la phase d’arrêt.

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#35 17/01/2018 15h11

Membre (2016)
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Ma pierre a l’édifice, +1 pour Allen Carr.
J’ai fumé de 17 ans à 41 ans un paquet, un et demi par jour. J’ai tenté d’arrêter en moyenne tous les ans, période d’interruption entre 10 jours et 6 mois. Testé les patchs, gomme à mâcher, j’ai toujours repris dans un moment "festif", juste une petite pour la soirée….
En 2011 un ami me donne le livre d’Allen Carr, à la fin de la lecture, j’ai arrêté deux jours, puis repris une journée, puis relu une partie du livre et là : Terminé.  Plus touché une cigarette, et surtout plus d’envie du tout ! Je pense comme dit plus haut qu’il doit y avoir une part d’hypnose dans son bouquin, peut être dûe à la répétition constante des mots fumée, cigarette etc…
Lors de mes tentatives j’étais un fumeur en manque, après ce livre je suis devenu un non fumeur en ce sens que l’envie avait disparu complètement.
J’ai conseillé ce livre à plusieurs personnes de mon entourage et elles ont toutes arrêté à l’époque, dont un collègue qui fumait depuis 30 ans sans avoir arrêté une seule fois.

ps Je ne suis pas le fils caché d’Allen Carr et  n’ai aucun droit sur le livre…..smile

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3    #36 02/02/2018 22h36

Membre (2018)
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Voilà plus de deux ans que j’ai arrêté sans jamais retoucher à une cigarette.
Et pourtant, les situations propices à la reprise (stress, examens, etc) ont été nombreuses !

J’ai jeté mon tabac à moitié plein, pour passer à l’inhaleur de nicotine. Après 2 semaines je me suis débarrassé de ce truc.

Pas de méthode spécifique, j’ai juste déprogrammé mon cerveau. En gros, je me suis convaincu que j’étais non-fumeur. En répondant "je ne fume pas" au lieu de "j’ai arrêté" le plus possible, dans les conversations.

Quelques trucs pour ceux qui arrêtent :

-Pour les jeunes et très jeunes : l’argument de la maladie n’est pas valable.
à 20 ans, pour la plupart, l’âge de 50 ans c’est très, très loin mentalement. Pour ça qu’on prends plus de risques jeune.

-La volonté seule ne suffit pas. La volonté est énergivore. Il faut déprogrammer son cerveau et remplacer l’habitude de fumer. Par quelque chose de constructif si possible (éviter de se rabattre sur d’autres substances, et limiter la nourriture).

-L’aspect financier est une bonne motivation. Pour ma part j’ai arrêté fin 2015, environ 35 euros par mois. Maintenant, je vois 35 euros comme un ou plusieurs livres. Ou un mois de mutuelle, pour avoir un sourire plus vendeur (valeur personnelle augmentée).

-Essayer de remplacer d’autres mauvaises habitudes par des bonnes. D’une part cela va éviter de faire le yoyo avec votre dopamine (hormone de la récompense, libérée quand on fume, on boit, on mange sucré). De plus, cela va provoquer un effet boule de neige.
Les petits ruisseaux font les grands fleuves.

-Ne pas fumer en société ! Cela revient à réduire. Si vous avez besoin, même inconsciemment, de fumer une cigarette par sortie, vous êtes dépendant. La quantité importe peu, c’est le degré de besoin qui crée l’addiction. 

-La cigarette stresse plus qu’elle ne détend. Un cercle vicieux, il y a de nombreux articles sur le sujet.

-Avec la cigarette, on se récompense sans réel effort. Comme avec les sucreries. Cela entrave les capacités de se bouger pour atteindre un but à long terme.
On trouve du plaisir aisément avec le tabac, pourquoi faire des efforts pour être satisfait ?
C’est une des raisons pourquoi même les gens les plus pauvres continuent de fumer.

-Concrètement, cela n’ajoute pas de valeur à votre personne. Désormais, je préfère travailler sur ma personnalité, mon assurance, mes connaissances, que de sympathiser à la pause clope. Question de point de vue…

Voilà, pour finir :

Fumer ne vaut pas le coup. Un plaisir à court terme qui coûte cher à long terme, en santé et en argent.

Bon courage si vous arrêtez smile

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#37 05/02/2018 16h53

Membre (2013)
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fumeur depuis 21 ans, je savais que le tabac était nocif pour la santé et qu’il réduisait mon espérance de vie. avoir des enfants et me dire que je les quitterais plus tôt parce que j’ai été assez con pour m’empoisonner moi même a été un puissant motivant. Il m’a fallu quelques mois pour me donner du courage et voilà j’ai arrêté depuis une semaine (avec l’aide d’une clope électronique) mais pour l’instant je tiens!
LE TABAC C EST TABOO ON EN VIENDRA TOUS A BOUT !

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#38 05/02/2018 17h26

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J’ai arrêté de fumer à cause (ou grâce) au tarif toujours croissant.

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#39 23/05/2018 14h48

Membre (2018)
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Personnellement, c’est l’hypnose qui m’a fait arrêté de fumer. Le praticien que je suis allé voir sur Aix-en-Provence à quasiment 100% de réussite. Avec une vrai volonté au départ, c’est la combinaison idéale car cela agit sur les mécanismes inconscients qui vous font fumer.

Un peu le même principe au final que le livre d’Allen Carr. Plusieurs personnes ont arrêté avec ce livre dans mon entourage.

Bon courage.

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#40 23/05/2018 17h59

Membre (2018)
Réputation :   1  

+1 !

Non fumeur mais avec des amis hypnothérapeutes, j’entends souvent de belles histoires d’arrêt du tabac smile

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#41 30/07/2018 11h47

Membre (2018)
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Bonjour,

J’ai fumé pendant 6 ans environ, de mes 18 ans à mon anniversaire de mes 24 ans.

Non seulement c’était une nouvelle résolution mais en plus je suis sportif, pas de haut niveau mais cela ne pouvait que être bénéfique pour moi de toute façon.

Ca n’a pas été facile, loin de la, je suis déjà stresser de nature ( je sais très bien que la cigarette augmentait le stress ) mais le manque avait encore plus d’effet sur moi les premières semaines, les soirées avec mes amis, qui, sont tous fumeurs bien sur donc pas facile de résister, les habitudes également comme le café avec ma cigarette du matin, ou celle d’après manger, les habitudes sont la depuis des années et le fait de devoir les changés n’est pas facile également.

Nous avons tous des vies différentes, un mental différent, un entourage différent et des habitudes différentes, il faut les adapter à notre nouvelle vie de non fumeur, avoir une envie de réussir et d’y arriver tous les jours car personne ne peux arrêter à notre place, dans mon cas je n’avais personne pour me dire de me bouger les fesses tous les jours, alors quand je me levais le matin, je me disais que je pouvais y arriver et que j’allais réussir.

Soyez déterminé, changez vos habitudes et surtout soyez positif, un bon courage aux personnes qui souhaitent arrêter, j’ai essayer de résumer le plus facilement possible mon expérience, bonne continuation à tous.

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#42 17/08/2018 11h42

Membre (2018)
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J’ai arrêté de fumer une première fois en 2003 avec des patchs, quand on est jeune c’est assez facile surtout quand le monde qui m’entourait respectait ma décision.

Malheureusement apres un séjour en clinique en 2007, j’ai repris.

Aujourd’hui j’ai 50 ans et j’ai commencé avec le vapotage, puis j’ai utilisé le spray nicorette de Johnson et Johnson.

J’ai un peu de mal à arrêté ce spray car c’est de la nicotine.

En pharmacie on peut trouver ce produit à 35,36,37 euros environ le paquet de 2 sprays, mais sur internet on peut les trouver à 23,24 euros avec les pharmacies en ligne.

En un seul spray il y a 150 pulvérisations de 1mg de nicotine.

C’est vrai qu’après 1 ou 2 pulvérisations on se sent mieux.

Voilà à plus.


Ouf ça y est vacciné à l'Astrazeneca ( première fois que je trouve un avantage d'être plus ou moins gros ).

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#43 01/11/2018 10h24

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Un article intéressant sur les ventes de cigarettes et tabac en France :
https://www.ouest-france.fr/sante/addic … re-6045804
Je mets le graphique que je trouve le plus parlant, on en conclut (malheureusement) clairement à une corrélation entre hausse du prix et baisse des ventes, si les prix stagnent, les ventes aussi malgré moult campagnes de communication :


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#44 01/11/2018 10h37

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Bonjour,

Je crains que ce graphique ne tienne pas compte de la contrebande et des achats à l’étranger.

A côté de chez moi, il y a une petite épicerie de nuit et ça ne désemplit pas pour acheter des cigarettes…russes à 5€ le paquet ( vendues environ 1€ à Moscou).
Et je vois de plus en plus de fumeurs avec des paquets d’origine étrangère. Moi même, je ramène plusieurs cartouches à chacun de mes voyages au Sénégal (1,20 €).

Par contre, novembre est le mois sans tabac. L’occasion d’encourager les gens à cesser de fumer !
Si la santé n’est pas a leurs yeux un argument convaincant, prenons l’aspect économique des choses. Depuis que j’ai arrêté, j’économise environ 2000€ par an.
De quoi passer de bonnes vacances…où se constituer au fil des années un joli petit portefeuille boursier..

Mafo

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2    #45 01/11/2018 11h42

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C’est quand même bon une petite cigarette!

Si vous passez par chez moi, demandez Trahcoh! Offre spéciale pour les membres du forum: 1er bilan tumoral et première chimiothérapie offerte! Vous pourrez même fumer dans les chambres de soins palliatifs*!

Pensez à couper le masque à oxygène avant quand-même, sinon boum la nouvelle permanente.

*uniquement avec forfaits all-inclusive, dans la limite des chambres disponibles.


“Time is your Friend, Impulse is your Enemy.” John Bogle

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1    #46 01/11/2018 11h47

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Mouais, l’humour c’est un peu comme la cigarette, il ne faut pas non plus en abuser.
Je préférais imaginer votre épouse en nuisette !


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#47 01/11/2018 11h51

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Moi je suis passé d’un paquet par jour à rien en m’aidant de la cigarette électronique, du jour au lendemain.

Après 6 mois de cigarette électronique j’en ai eu assez et je l’ai elle aussi arrêtée.

Je me fume un cigarillo ou deux de temps en temps, lors d’un bon repas ou d’un apéritif sympa. Donc c’est de l’occasionnel, un petit plaisir comme un bon alcool. Ça m’évite la frustration et donc éviter de replonger bêtement dans la cigarette à un moment comme ça de faiblesse (ce qui arrive souvent chez les anciens fumeurs qui reprennent).

Cela fait 3 ans maintenant !

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#48 01/11/2018 12h14

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Comme indiqué dans ce lien, la nicotine est une drogue douce, et son sevrage physique très court est facile à réaliser bien informé:

Arrêter de fumer : comment avez-vous arrêté de fumer ?

Aucune raison valable pour se pourrir son capital (santé).


“Time is your Friend, Impulse is your Enemy.” John Bogle

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1    #49 01/11/2018 17h08

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Je pense que pour arrêter de fumer il faut une vraie motivation personnelle:
J’étais un gros fumeur pendant mes études (1,5 à 2 paquets par jour) , après mon mariage et surtout la naissance des enfants j’avais ralenti: pas de tabac dans l’appartement et ensuite éviter de fumer trop tôt le matin.
Une première tentative d’arrêt à l’annonce d’un cancer du poumon de mon père (mort un an après), l’interruption a duré une semaine… La peur du cancer à 25 ans n’est pas une bonne motivation ! Les photos d’épouvante sur les paquets sont ridicules.
Deux ans après, adoption d’un chien sportif, et là gros problème pour courir avec lui, une vraie déception et même vexation. Je décide d’arrêter totalement ( je fumais encore une dizaine de cigarettes par jour). Curieusement je n’ai eu que très peu de difficultés, juste un peu dur avec le café.. et en présence de fumeurs.
Pendant quelques années l’odeur du tabac m’était encore agréable à sentir, aujourd’hui 32 ans après elle me dérange!
Bref, un peu de volonté et surtout une bonne raison perso.
Bon courage

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#50 01/11/2018 21h16

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Sous prétexte d’une prise de conscience du tabac sur la santé, on augmente les prix des cigarettes

Et à côté de ça, on n’est pas loin de légaliser le canabis (en tout cas, c’est déjà fait dans certains états du monde) (En attendant, on a créée des salles de shoot). Quelle hypocrisie !

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