carignan99 a écrit :
@Kiwijuice. rassurez-vous. pas besoin d’être supérieurement intelligent pour faire une scolarité pourrie et/ou avoir des problèmes de socialisation enfant ou adolescent.
Mais pourquoi est-ce que ce genre d’argument ressort toujours ? On n’a jamais dit qu’il fallait être intelligent pour avoir des problèmes, on a dit qu’être intelligent n’empêchaient pas d’avoir des problèmes.
carignan99 a écrit :
Sinon et plus largement, il faut reconnaître que tout ça est assez confus.
Effectivement…
carignan99 a écrit :
A commencer par les classes dites ’HPI’, qui ont l’air de pousser comme des champignons un peu partout.
Vous avez des adresses de classes nouvellement créées en collège à Lyon ? Dans le public, il n’y en a aucune, et en privé conventionné, il n’y en a que deux, dont au moins une depuis un paquet de temps (mais que en 6e et 5e). Sur une grande ville comme Lyon, il me semble que ca ne fait pas tant que ça.
carignan99 a écrit :
Et je me suis laissé entendre que finalement, ceux qui sortaient réellement de la norme (en bon français, les ’surdoués’) ne devaient sans doute pas être si nombreux que ça.
Oui : 2,5 % de la population (deux ecart-type comme dit Geoges) possède un QI > 130.
carignan99 a écrit :
Dans quelle mesure est-ce représentatif ? En d’autres termes : avoir un QI élevé est-il un fléau ou bien la plupart s’en sortent-ils très bien (ou pas moins bien que le reste de la population) ?
La majorité des HQI n’ont effectivement pas de problèmes scolaires (j’ai le souvenir de deux tiers mais je ne me rappelle pas de la source).
miller549 a écrit :
Les attentes ont vraiment baissé, et un élève moyen il y a 10-12 ans rentre dans le premier quartile aujourd’hui facilement et apparait "doué", surtout s’il fait preuve d’un peu de curiosité et de culture.
Le niveau baisse et c’était mieux avant. Le niveau baisse depuis Charlemagne, je me demande quand on va passer en dessous de 0.
miller549 a écrit :
Ce n’est pas de l’aigreur, et effectivement l’instruction publique fait du prêt à porter, pas du sur-mesure; mais c’est comme pour les vêtements, ce n’est pas le même prix, ce n’est pas le même public visé ni la même finalité.
Je n’ai rien compris à l’objet de ce paragraphe ni ou est-ce que la distinction public/privé intervenait dans la discussion.