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1 #1 02/01/2012 09h15
- stef
- Membre (2011)
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Top 50 Monétaire - Réputation : 86
De mon côté :
- VTT hebdomadaire d’environ dans les forêts du 78 (de la vallée de Chevreuse à la forêt de Marly) dans le cadre d’un petit club orienté cyclotourisme (ambiance sportive mais pas compet) de ma commune (pas besoin de prendre la voiture) .
Suivant les dimanches, nous nous retrouvons entre 4 et 8 . Bonne ambiance au RdV . Nettoyage des vélos au retour au club (pratique pour ceux qui habitent en appart).
4 à 5 fois par an, nous participons à des randonnées organisées par d’autres clubs . Ceci permet de découvrir d’autres paysages . C’est généralement très bien organisé (balisage clair, différents parcours avec difficultés graduelles, pause ravitaillement,..) avec là aussi une bonne ambiance
Certaines d’entre elles sont plus sportives et ont un tel succès qu’il est nécessaire de s’inscrire en avance. (ex "la Jean Racine" ds la vallée de Chevreuse)
J’ai commencé le VTT en 1994, après la course à pied (pb de genoux).
- de temps en temps sortie sur vélo de route (acheté en occas sur le bon coin il y a un an) : quand le terrain est impraticable en VTT, c’est une bonne alternative . Là aussi la campagne du 78 est assez agréable à parcourir avec des petits denivellés.
- de manière épisodique : course à pied mais je ne m’inscrit plus à des courses
Les avantages du vélo / course à pied : moins traumatisant , plus facile de doser le rythme , permet d’aller plus loin et donc de varier plus les parcours lorsqu’on part de chez soi d’une part et "permet de visiter" plus . On peut avoir un niveau correct sans être obligé de faire 3 sorties / semaine comme en course à pied . Si on s’arrête par ex 3 semaines, j’ai l’impression de moins perdre qu’en course à pied.
Les inconvénients / course à pied : nécessite plus de matériel qu’une simple paire de chaussure et donc un peu de plus de budget (cela reste très raisonnable surtout sin on achète au moment des promos ou soldes) et d’espace de rangement ou transport.
Si on est enclavé dans le centre d’une grande ville, il est plus difficile de trouver un terrain naturel sans prendre un transport au préalable.
A noter que je n’utilise pas le cardio. J’en ai un néanmoins que j’utilisai lorsque je faisais du velo et rameur d’appart . Je n’apprécie pas cette pratique sportive que je trouve trop fonctionnelle et cela ne me procure pas le plaisir du sport en pleine nature.
Régime alimentaire Sensible au cholestérol et n’aimant pas les plats gras et en sauce .
Je mange environ 5 fois par semaine du poisson /riz+légumes/ citron .
j’aime bien les légumineuses (lentilles / haricots secs /…), les crudités (salade / choux ..) ou encore les legumes cuit en vapeur douce dans des paniers.
Matière grasse utilisée : huile d’olive ou de colza et du "primevère"
J’évite les produits laitiers (beurre / lait ..) sans me forcer … sauf le fromage que j’adore .
C’est en fait le seul aliment où je dois faire un effort pour me limiter,
Les charcuteries / patisseries ne m’attirent pas.
Mon petit plaisir : du chocolat noir …en parcourant le forum .
Un livre simple et pas cher Programme portfolio en 15 jours pour manger sain.
Humeur en 2011, j’ai pu abandonner la voiture pour aller au travail . J’utilise le vélo avec 2 kms de trajet par piste cyclable en campagne. Ces 2*2kms sont un vrai plaisir. Oxygénant, petite coupure entre le travail et la maison, exercice physique avec une travail sédentaire, peu de danger car piste cyclable en campagne.
A noter que je me suis organisé pour habiter prés de mon travail pour éviter de perdre du temps et d’avoir le stress dû aux transport
pour terminer : Une fois par an, je me rends chez le médecin pour renouveller mon certificat médical et en profite pour faire une visite préventive avec une analyse de sang complète .
Pour le moment cette manière de vivre me convient .
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1 #2 02/01/2012 18h44
- OilDrum
- Membre (2011)
- Réputation : 16
Christian a écrit :
un peu gros, n’est-il pas ?
Ne serait-ce que pour les produits frais, comme les tomates ou les poireaux par exemple, je veux bien relever le défi.
C’est toujours saisissant de voir que les gens pris individuellement sont à chaque fois persuadés qu’ils auraient réagi différemment que les résultats d’un test en double aveugle….
C’est l’effet halo du label bio.
Vous donnez n’importe quel produit avec écrit bio dessus à quelqu’un il le trouvera meilleur et pensera qu’il est meilleur pour la santé.
Myrtilles a écrit :
Les pesticides sont responsables, entre autres, de l’augmentation croissante du nombre de cancers.
Ça c’est juste totalement faux.
L’augmentation dans l’incidence des cancers provient des raisons suivantes pour leur quasi totalité :
- Meilleur dépistage et vieillissement de la population (de très loin devant) ;
- Tabac ;
- Alcool ;
- Poids.
Moins de 1% des cancers sont attribuables à la "pollution" en général, et donc encore moins aux pesticides.
Le jour où le gens comprendront que les cancers augmentent en grande partie parce qu’ils vivent mieux et parce que le dépistage est devenu efficace et quasi-systématique (ce qui est contestable dans un certain nombre de cas), on aura fait une avancée remarquable….
Source : Les causes du cancer en France (Académie des sciences - Académie de médecine -INVS - Institut national du cancer)
http://www.academie-sciences.fr/activit … 130907.pdf
"En conclusion, le lien putatif entre pesticides et cancer ne repose sur aucune donnée solide."
Le fait que les agriculteurs soient deux fois plus touchés par les cancers du cerveau ne vous alertent certainement pas non plus.
Au contraire, l’étude récente AGRICAN montre que le risque de cancer est plus faible globalement chez les agriculteurs et qu’ils ont une meilleure espérance de vie. Je vous laisse apprécier les chiffres.
Source : AGRICAN (Groupe Régional d’Etudes sur le cancer (GRECAN) de l’Université de Caen, le Centre de Lutte contre le Cancer François Baclesse, la Mutualité sociale agricole (MSA), l’Institut de santé publique d’épidémiologie et de développement (ISPED) et le réseau des registres des cancers FRANCIM.)
http://www.msa.fr/files/msafr/msafr_131 … GRICAN.pdf
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2 #3 02/01/2012 20h32
- christian
- Membre (2011)
- Réputation : 30
Hypnoss a écrit :
3/ Je ne mange surtout pas bio (faut arrêter de se la jouer bobo,
pour tout vous dire, je me passerais volontiers d’investir dans des produits alimentaires chers (je le reconnais aisément).
Il s’agit plus pour moi d’une philosophie de vie. Bouffe industrielle engloutie jusqu’à devenir obèses avec des artères bouchés, télévision qui dé-culture et abrutit les gens (3H40 par jour en moyenne/français, il faut le faire !), musique et cinéma alimentaires formatés, zombification des masses de moins en moins armées pour faire face aux défis qui s’imposent à elles, dénis de réalité permanent, assistanat et apologie du moindre effort. Bobo ? Non, j’essaie, sans prétention aucune, de garder la tête hors de l’eau. Ma femme est prévenue : le jour ou je m’avachirai sur le canapé 5 heures par jour à regarder de la télé réalité en mangeant des pizzas surgelées, ou à manipuler un iphone pendant 2 plombes le soir au lieu d’ouvrir un bouquin… le jour ou je ne serai plus curieux et que j’abdiquerai, offrant mon cou délibérément aux vampires de la médiocrité et du pis-aller… le jour ou je renoncerai, tout simplement, elle devra me donner un sérieux coup de rouleau à pâtisserie sur le crâne, histoire de me rappeler que je fais encore partie du monde des vivants.
Dernière modification par christian (02/01/2012 22h32)
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2 #4 04/01/2012 17h42
- jaidelachance
- Membre (2011)
- Réputation : 10
Pour revenir à ma question de base (c’est bien il y a eu des réponses ), personnellement je ne fume pas, je ne me drogue pas.
J’ai été amené à me poser ces questions sur le niveau de vie avec le passage de la trentaine et le fait de savoir que j’allais être plus ou moins rentier et que les gens de ma famille ne font pas de vieux os.
Au niveau sportif, je cours 2 fois par semaine (50 mins à 1h) et je joue au foot 1 fois par semaine.
Ce sont des sports que j’aime. Courir on peut le faire (presque) partout et c’est un effort que j’aime. Le foot c’est un jeu, je redeviens un gamin de 10 ans.
J’ai essayé de faire de la natation et de la musculation, mais je ne suis pas bon alors j’ai renoncé à devenir musclé et je ne fais plus que des sports que j’aime.
Au niveau alimentaire, je ne suis pas un gros mangeur mais je ne mangeais pas très bien.
J’essaie d’avoir un régime plus sain. Prendre un petit déjeuner tous les jours pas excessif. Je ne sucre jamais mon café ou mon thé.
Pour mes repas, j’ai cette idée : 1 féculent (pain/riz/pâtes), 1 protéines (viande/poisson), 1 légume, 1 fruit, 1 laitage (yaourt sucré, bout de fromage). Etre dans la modération, ne pas se resservir.
J’ai diminué les quantités de viande que je mangeais.
Entre les repas, rien sauf des fruits.
J’ai une petite amie qui a 10 ans de moins que moi alors je dois rester en forme.
Pour l’humeur, quelque chose qui a beaucoup contribué à cela a été le fait de prendre les choses plus légèrement et d’améliorer mon cadre de vie. J’ai pris le temps de refaire entièrement mon appartement et ce mois-ci je solde le crédit.
Je veux avoir le moins de soucis ou de préoccupations possibles. Quitter le monde du bureau, des petits chefs, des collègues avec lesquels on fait ami-ami puis vous plantent des couteaux dans le dos a été très bien aussi. Ayant la chance de vivre entre mes rentes et mon activité internet, je suis ravi de ne plus avoir de collègues . J’ai compris que j’avais un caractère plus solitaire que la moyenne et que la majorité des gens avec leurs petits soucis m’ennuyaient.
Mes goûts musicaux ont changé, je vais vers l’opéra et le classique.
Voilà au niveau sportif, j’aimerais retrouver mes performances de jeune homme mais je pense que ça va prendre un peu de temps .
Relations avec les autres personnes:
Je ne suis pas timide mais je ressens peu le besoin de communiquer avec "autrui" en général. Un petit groupe d’amis me suffit.
Je ressens la société humaine comme une comédie hypocrite un peu vaine dans laquelle tout le monde lutte pour l’argent, le sexe (et d’autres pour le pouvoir). Une fois qu’on les a vivre un peu en retrait n’est pas mal selon moi et plutôt reposant.
J’ajouterai aussi les voyages. J’aime bien changer d’air. Ayant une double nationalité, je vis 3 mois par an dans mon pays d’origine. A la mer.
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1 #5 06/07/2015 11h02
- rollingstone
- Membre (2014)
- Réputation : 24
C’est une question très intéressante je trouve et souvent négligée, pour avoir travaillé dans le médical j’ai vu autour de moi et avec désarroi des situations critiques qui auraient pu être évitées avec un minimum de bon sens et d’implication, pour moi gérer son corps c’est comme gérer son patrimoine, si on ne fait pas les travaux nécessaires au fur et à mesure la bâtisse se détériore…
Sans tomber dans la parano il faut tout de même il me semble avoir un savoir "de base" qui permettra effectivement de prévenir voir de traiter pus rapidement certains problèmes.
La base à mon avis c’est l’alimentation, c’est pourtant pas bien compliqué on y va mollo sur la viande, des féculents et légumes secs en quantité modérée, on évite le sucre sauf de temps en temps pour se faire plaisir, pareil pour l’alcool et on mange des légumes tous les jours…et attention au sel…
Déjà respecter ces petites règles vous éviteront bien des soucis plus tard…(et un diabète de type 2 au passage)
Ensuite:
- faire surveiller et détartrer ses dents 1fois/an, c’est le point négligé des français pourtant les dents retentissent sur l’état général (endocardite etc)
- être attentif (attentif pas parano) quand on se douche par exemple, une grosseur inhabituelle sous l’aisselle, à l’aine, la poitrine pour les femmes…hop je vais voir mon généraliste
- les grands classiques qui doivent aussi vous amener à consulter:
- j’ai toujours soif, j’urine plus (diabète)
- j’ai du sang dans les selles (cancer colorectal)
- des douleurs dans la poitrine ou l’abdomen
- Une visite chez l’ophtalmo de temps en temps, il faut savoir que nombre de pathologie des yeux ne présentent pas de gênes au début (comme le glaucome) et pourtant se dégrade vite
Sinon il est utile de faire les dépistages recommandé : coloscopie à partir de 50ans pour tous, mammographie pour les femmes et passage chez le spécialiste pour un dépistage de la prostate pour les hommes (chacun ses plaisirs)
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1 #6 06/07/2015 11h10
- Shagrath
- Membre (2011)
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Ben moi je fais le check-up que propose la Sécu tout les 5 ans…
http://vosdroits.service-public.fr/part … F170.xhtml
Ce n’est pas du check-up haut de gamme mais c’est gratuit…
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1 #7 06/07/2015 11h16
- tanatos114
- Membre (2015)
- Réputation : 21
en tant qu’interne de cancérologie et pour compléter les propos de rollingstone, j’ajouterais à la liste des recommandations:
-pour vous messieurs âgés de 25 à 40 ans: ne pas hésiter à vous palper les testicules de temps en temps sous la douche à la recherche d’une grosseur.
-et à vous tous qui vous êtes exilés dans des pays ensoleillés: la visite de dépistage chez le dermatologue annuelle! J’insiste particulièrement sur ce point, j’ai régulièrement en stage des patients avec un mélanome métastatique qu’on aurait pu guérir si il avait été vu à temps, alors que là on est sur une espérance de vie de 1 à 2 ans maximum.
De façon général et j’en avait déjà parlé dans le sujet sur la réforme de la sécurité sociale, le meilleurs traitement mais aussi le plus difficile à mettre en place de façon efficace c’est la prévention. Accessoirement en cancérologie c’est aussi celui qui coûte le moins cher.
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1 #8 06/07/2015 21h28
- nor
- Membre (2015)
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Un article glané au hasard du net parle de ce que mangent les très riches:
Que mangent les riches?
Il s’avère que les très riches s’intéressent de plus en plus au végétarisme, probablement pour protéger leur santé… Contrairement aux "modérément riches" qui eux s’empiffrent de foie gras et autres cochonneries "court-termistes", qu’on avale peut-être autant pour la jouissance en bouche que pour l’auto-satisfaction d’être un nanti.
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3 #9 21/01/2017 21h51
- Xiaoh123
- Membre (2016)
- Réputation : 7
Je profite de ce sujet un peu éloigné de l’investissement financier et bien plus proche de mon domaine professionnel pour donner un avis personnel sur ce type de test.
Dans le cadre de ma thèse (pharmacie/biologie) j’ai eu l’occasion de me familiariser avec ce genre de nouvelles techniques d’analyse moléculaire. Tout d’abord sur le type précis d’analyse que propose cette entreprise, à savoir le "whole genome sequencing", attention ! Certes c’est génial car on analyse TOUT le génome, mais cela est-il bien nécessaire ?
Sur le fond je suis personnellement impressionné par cette technique, aboutissement ultime d’une longue famille qui a permis d’aller identifier une unique base et maintenant les 6 milliards que compte notre ADN. De plus cette technique a été mise au point pour répondre à un problème scientifique bien réel : que se passe-t-il dans les parties de notre génome qui ne sont pas utilisés pour fabriquer des protéines (sachant que c’est le but premier de notre ADN) ? En effet la partie de notre ADN qui sert de support d’information, autrement dit les gènes, ne représente qu’une petite fraction faible de notre génome, et pour être parfaitement précis, la fraction de notre ADN qui va être finalement transcrite et traduite en protéines, ce qu’on appelle l’exome, est ridicule (le site de VeritasGenetics indique 1,5% et je pense qu’ils sont dans le vrai).
D’un point de vue scientifique il est donc intéressant d’aller voir au-delà car on trouve des séquences de régulation des gènes (d’une importance capitale), des restes de séquences parasites endormies (transmises par les virus notamment), des zones dont le rôle est purement mécanique (lors de la réplication cellulaire, elles peuvent servir d’ancre pour déplacer les chromosomes, etc.).
Mais pour le rentier soucieux de son bien-être, je pense personnellement que le "whole genome" n’apporte rien par rapport au "whole exome", et ce pour deux raisons.
La première c’est que, comme pour beaucoup de gènes encore aujourd’hui, on ne sait pas grand chose de ces séquences non géniques, tant sur leurs fonctions que sur leur rôle éventuel dans la physiologie et la pathologie. En gros on aime bien raconter depuis le premier séquençage du génome humain qu’on connait la génétique, mais la réalité est qu’on peut identifier et lire les séquences, mais pas forcément en tirer une information. Pour faire une métaphore, la médecine en génétique connait l’alphabet, commence à savoir lire, mais n’a pas de dictionnaire.
L’autre raison de ce manque de plus-value médicale, c’est que des tests plus limités permettent de répondre à ces nombreuses questions de façon précise et exhaustive. Par exemple les dépistages présentés sur la page d’accueil sont faisables par une simple analyse du gène en question si on veut se limiter à ça (dans le cadre héréditaire), et le "whole exome" sera aussi informatif que le "whole genome" si on veut une analyse globale puisqu’il s’agit toujours de mutations dans un gène.
En conclusion sur ce test phare de "whole genome", je pense qu’il essaye d’attirer le client avec leur technique tip-top trop bien, mais au final pour peu ou aucun avantage en termes d’interprétation clinique. Résultat on paye sans doute plus cher que pour une technique aussi informative, bien que je salue la performance de proposer ce genre de test à ce prix, étant dans le domaine je connais les coûts engagés dans le matériel et la R&D en amont. Seule consolation, ils constituent peut-être des bases de connaissance qui seront partagées avec les scientifiques pour améliorer les connaissances et rendre ces tests utiles, mais on est face à une entreprise privée américaine alors…
En ce qui concerne les autres tests proposés là aussi le prisme de la santé "made in USA" déforme un peu l’intérêt des choses :
- myPrenatal recherche les anomalies dites cytogénétiques, soit des anomalies au niveau des chromosomes, genre de test qu’on peut demander dans le cadre d’une grossesse naturelle ou assistée en France. La technique ici est d’ailleurs ancestrale, on regarde les chromosomes au microscope !
- myCarrier recherche les éventuels facteurs de risque génétiques des parents avant une grossesse, et ici aussi on le fait déjà en France, je pense même qu’il est systématiquement proposé dans certains cas (antécédents familiaux et origine ethnique à risque élevé).
- myBRCA et HiRisk sont peut-être les tests les plus connus car il existe aujourd’hui dans des cas limités à certains cancers, des facteurs de risque génétiques bien établis scientifiquement et pertinents (on ne parle pas de 1% de risque supplémentaire mais parfois de 50% de risque de développer un cancer, cf. Angelina Jolie). Ici c’est le prix qui est le facteur le plus souvent décrié (car limitant l’accès), mais finalement le risque de "sur-traiter" est aussi un problème pour la médecine moderne (car on augmente les couts de traitement). Cependant ce genre de débat n’est pas nouveau, le dépistage du cancer de la prostate par dosage du PSA et les ablations chez des jeunes hommes qui se retrouvent impuissants, ça laisse songeur quand on voit la mortalité de l’adénocarcinome prostatique et l’âge moyen auquel il tue.
- myNewborn ne m’inspire rien, je ne sais pas trop ce qu’ils peuvent rechercher qu’on n’aurait pas vu avec les tests précédents chez un bébé bien portant, mais on est aux USA alors tout est possible.
Là où je suis le plus critique face à ce type de démarche, c’est probablement sur les interprétations qui sont faites en dehors de tout contexte de dépistage : toute la partie "vivez plus longtemps et en meilleure santé" explique qu’on va vous détailler des traits génétiques déterminants mais je trouve qu’il s’agit un peu d’une forme de bonaventure. Certes certains paramètres contrôlés par une mutation unique d’un gène clairement identifié peuvent se manifester de manière flagrante, mais souvent l’utilité de ce savoir est mince, et je pense que le séquençage ne fera que confirmer ce que la personne a déjà observé d’elle-même. Et quand bien même le paramètre serait utile, la génétique ne fait pas tout : une chinoise citadine de 25 ans pourrait avoir une ménopause prévue génétiquement à 50 ans, avec les perturbateurs endocriniens qu’elle mange/boit/respire, elle l’aura peut-être à 35… Finalement ce "service", qui sera sûrement attractif pour le riche soucieux de savoir s’il est de bonne lignée, est ce qui fait souvent tourner ce genre de boite, mais niveau intérêt en santé publique, est proche de 0.
Mais tout n’est pas à jeter dans ce type de test, et la démarche générale de sensibiliser le public à se connaître au plus profond est louable, notamment pour ce qui est d’ajuster les traitements médicamenteux (ce qu’on appelle la pharmacogénétique). Un nombre incroyable de médicaments pourraient bénéficier de ces adaptations, avec au final un meilleur effet et moins d’effets indésirables (l’exemple des statines cité par VeritasGenetics est d’ailleurs parfait, cette famille ayant une mauvaise image à cause des effets secondaires). Cette démarche sera sans doute courante dans un avenir plus ou moins proche et c’est une bonne chose pour le pharmacien que je suis.
Pour les dépistages de cancers, je suis plus prudent, car la démarche proposée ici, à savoir la recherche des facteurs de risque peut amener à prendre des mesures drastiques qui n’ont potentiellement pas lieu d’être. Il y a encore trop de variables qu’on doit préciser : quels gènes sont importants, quel pourcentage de risque ils confèrent… Et puis il y a toujours la roulette, une personne avec les pires facteurs de risque ne développera pas le cancer, quand une qui traite son corps comme un temple en mourra à 25 ans. Finalement je pense qu’une bonne alternative qui se développe rapidement est celle des tests de recherche de cellules cancéreuses dans le sang. Ils sont très simples, encore assez couteux, mais leur efficacité les rendra sans doute très intéressants dans quelques années. Certes il faut déjà avoir un cancer débutant mais au moins on le prend à temps, ce qui n’a pas de prix en termes de chances de guérison, et on n’agit pas sans savoir.
Pour conclure ce pavé (félicitations à ceux qui ont tenu bon), je dirai personnellement que la médecine préventive a fait des bonds de géant grâce à la génétique, mais qu’il faut encore être critique vis-à-vis des tests proposés, les généticiens sont loin d’avoir toutes les réponses. Je pense que la France propose un bon niveau de dépistage et continue à innover par sa recherche pour proposer des dépisages adaptés au plus grand nombre. Après, libre à chacun de compléter en fonction de son envie de savoir et de ses moyens, car même si les coûts ont diminué, on est loin d’une consultation chez le généraliste.
Sur ce portez-vous bien !
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1 #10 25/06/2018 16h03
- monpersylv
- Membre (2013)
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InvestisseurHeureux a écrit :
Ceci aurait pu être obligatoire sur les étiquettes des denrées alimentaires […] Mais ne le sera pas.
Bonjour,
Je rappelle que pour tacler la non obligation d’affichage du Nutriscore, des solutions "open source" existent comme Open Food Facts. Des applications smartphone ont même été créées sur la base de cette BDD. Il est donc possible de scanner le code barre produit pour obtenir un résultat.
Le système n’est pas parfait, mais l’initiative a le mérite d’être intéressante. Pas mal de personnes dans mon entourage l’utilisent pour leur choix de pause déjeuner, preuve qu’il y a quand même une prise de conscience autour du Nutriscore, affiché ou non !
Sylvain
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1 #11 25/06/2018 16h56
- banyuls
- Membre (2015)
- Réputation : 31
InvestisseurHeureux a écrit :
…Si la réglementation était cohérente, il y aurait des messages d’avertissement sur les sodas, les snacks, les barres chocolatées, les céréales industrielles du petit déjeuner, la charcuterie, etc. identiques à ceux qu’il y a déjà sur les paquets de tabac : "boire des sodas/manger de la charcuterie/… TUE". Et la publicité pour les produits trop gras ou trop sucrée serait interdite, exactement comme pour le tabac.
Votre propos en gras est bien trop catégorique. C’est l’excès de ce type d’aliment qui est nocif comme d’ailleurs pour n’importe quel autre aliment.
Tout est une question de seuil.
Après je reconnais que pour "orienter" les habitudes alimentaires des masses mieux vaut des messages choquant que de s’adresser à leur raison.
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2 #12 27/06/2018 16h56
- InvestisseurHeureux
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Yonz a écrit :
Il va falloir écrire petit pour rédiger des avertissements cohérents sur les barres de céréales.
Très bon exemple la barre de céréale industrielle type Grany, qui est en fait une aberration diététique bourrée de sucre. Elle aurait un Nutri-Score de D, parfaitement justifié : Grany Chocolat 5 Céréales (6 barres) - 125 g - Lu - 125 g (6 barres)
Repères nutritionnels pour 100 g
quantité modérée16 g Matières grasses / Lipides en quantité modérée
quantité élevée8.1 g Acides gras saturés en quantité élevée
quantité élevée24 g Sucres en quantité élevée
quantité modérée0.7 g Sel en quantité modérée
Ainsi les gens savent immédiatement qu’ils peuvent en prendre un de temps en temps, mais que ce n’est pas du tout un aliment "diététique".
Kabal a écrit :
Je serais curieux de connaitre le poids de l’obésité chez les plus démunis vs les plus nantis.
C’est documenté : plus vous êtes pauvre, plus vous êtes gros. Et cela se vérifie en France ou dans les autres pays.
Le Monde a écrit :
En France, les obèses sont quatre fois plus nombreux chez les enfants d’ouvriers que de cadres. Une urgence sociale autant que de santé publique.
Source : L’obésité, maladie de « pauvres »
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3 #13 27/06/2018 17h22
- Igorgonzola
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lau26 a écrit :
Les populations "défavorisées", qui sont les plus à risque, ne l’utiliseront pas. Pour eux, le système de Nutri-score avec un code couleur simple et des lettres ABCDE serait peut-être pas mal.
Les populations défavorisées ne savent pas lire ?
En fait, à partir du moment où vous considérez que ces populations dites défavorisées ne sont pas en capacité de s’informer et décider par eux-mêmes, il n’y a plus de limite.
Pourquoi devraient-ils être autorisés à conduire ? A exercer un emploi ? A voter ? A se reproduire tant qu’on y est ?
Après tout si ce sont des veaux à ce point, pourquoi devraient-ils avoir les mêmes droits et devoirs que les humains ? Et qui décide de qui est favorisé de qui est défavorisé ?
Je caricature exprès pour vous faire prendre conscience du caractère profondément totalitaire de vos propos.
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3 #14 27/06/2018 19h27
Ce qui me frappe à lire ces lignes, c’est que depuis que j’observe consciemment la société (on dira depuis les années 80, étant né en 70), et de mon expérience de soignant (je suis infirmier depuis 98, ayant donc commencé les études en 94), en fait rien n’a changé.
Une seule chose fait évoluer les situations: l’éducation. Il n’y a rien d’autre, à mon avis, et ce ne sont pas toutes les applications du monde qui feront changer une culture culinaire. Culture à mon sens de moins en moins transmise.
Chez nous c’est bien simple: pas de micro-ondes, pas de plaques à inductions, une vieille cuisinière à gaz, un four électrique, et une consommation minimum de conserves (pas de plats préparés) et de surgelés (le minimum syndical).
Comme j’ai pu le constater dans mon exercice en libéral en milieu rural, les habitudes alimentaires sont la chose la plus difficile à faire changer: allez faire manger moins de sucre à un diabétique qui habite complétement seul en rase campagne et dont les seuls compagnons sont sa gamelle de patates sautées et son verre de rouge (un verre souvent de la taille de la demi-bouteille!)…toutes les eugueulades du monde du médecin face à ses résultats de prise de sang ne changent rien à un facteur qui n’est pas nommé clairement, sauf en filigrane: la misère sociale.
Les gens éduqués, ce qui fut mon cas puisque né d’une famille de professionnels de la santé, ont la chance d’avoir une conscience plus grande des risques pour la santé…encore qu’à observer des membres de ma famille, mais aussi moi-même, je constate que rien n’est acquis pour autant.
Le fait de manger est soumis pour beaucoup à des aspects culturels: allez manger végétarien ou sans alcool quand votre environnement social ne connais pas ce genre de dimensions inconnus et vous propose un steak ou un verre d’apéro de façon systématiques car c’est leur habitude?
PAs plus tard qu’aujourd’hui, j’ai bu quatre cafés…tous offerts…car au travail, quand je rentre sur une unité différente, elles m’offrent toutes la même chose. Parfois je le prends juste pour le côté convivial…mais je l’avale et mon corps absorbe toute cette convivialité!
Donc l’éducation alimentaire c’est à la fois simple et à la fois pas si simple.
Je ne pense pas que les interdits ou le fait de "guider" les choix ne fonctionne à long terme. Il faut surtout éduquer à réapprendre à cuisiner, montrer aussi que budgétairement on peut dépenser moins en cuisinant plus, cela implique aussi de sortir d’une forme d’abrutissement, du genre arriver du travail et se coller devant la télé en bouffant de la bière et des chips (oui, je caricature peut-être, mais quand même c’est parfois ça).
je pense aussi qu’on doit voir que l’alimentation c’est aussi un des premiers anxiolytiques ou anti-stress, particulièrement le sucré…cette appétence a à mon avis à voir avec la pression que l’on vit, au travail, les difficultés économiques…quand on n’accède ou on n’a pas le sentiment de pouvoir accéder à mieux, alors on se réfugie sur l’alimentation, la boisson sucrée, bref on remplit le vide. On suit les compulsions alimentaires, les désirs immédiats…et on se donne le sentiment du pouvoir de consommer, de se remplir. Je pense qu’il y a des aspects de ce genre qui se jouent profondément, sinon l’éducation alimentaire marcherait très simplement, et je peux voir combien c’est difficile à faire passer, ces messages.
Et personnellement, je vois combien quand je suis stressé, inquiet, j’ai du mal à me maîtriser sur ce plan-là. Et je pense ne pas être le seul.
Je pense aussi que l’alimentation la meilleure et la plus saine n’est pas la plus chère ni la plus complexe: acheter des fruits secs au lieu de barres de Granny, me semblerait pas si difficile à réaliser. Entre autres.
Mais bon, ce n’est que mon avis bien modeste.
Sur ce bon appétit! C’est l’heure!
PS: en bourse, toutes les entreprises d’alimentaires m’intéressent hautement!
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2 #15 30/03/2022 14h31
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J’avais répété à l’envie sur la file COVID et liberté que le manque de soignants devenait un problème majeur dans les hôpitaux et les EHPAD (exemple).
Voici un nouvel exemple de la situation actuelle :
Le plan blanc appliqué aux urgences du CHR d’Orléans où la quasi-totalité du personnel infirmier et aide-soignant est en arrêt-maladie - Orléans (45000)
La République du Centre a écrit :
"Les urgences adultes du CHR Orléans ne sont plus en situation de fonctionnement normal dans la mesure où la quasi-totalité du personnel infirmier est en arrêt maladie en raison du prolongement de la saturation des urgences liée à la fermeture des lits d’hospitalisation. Lors de la réunion de crise de ce matin, le CHR Orléans a pris la décision de déclencher son plan blanc". La direction a dû réagir après une journée de lundi catastrophique. Une de plus après toutes celles qui s’accumulent depuis des mois.
La République du Centre a écrit :
Lundi 28 mars, un patient est mort sur un brancard. Brancards sur lesquels des personnes restent allongées parfois pendant quatre jours. Faute de pouvoir être admises dans des services aux lits fermés en raison du manque de personnels. "Nous avions des problèmes en médecine, c’est aussi le cas, maintenant, en chirurgie" témoigne une aide-soignante du service, en préférant conserver l’anonymat. Une fracture doit attendre deux jours pour être réparée. Le patient admis aux urgences est prévenu à son arrivée, il lui faudra attendre 7 heures pour voir un médecin.
Je le dis et je le redis : prenez en main votre santé. Faites du sport, mangez mieux, mangez moins, ne vous avachissez pas devant Netflix, mais allez vous promener, arrêtez de fumer.
Évitez toutes les activités à risques comme faire du ski de descente, ou du vélo sur route sur des départementales à grand trafic.
N’imaginez pas que l’hôpital peut vous prendre correctement en charge. Cela n’est pas acquis.
Agissez pour ne pas dépendre des autres pour votre santé.
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1 #16 17/01/2023 04h47
- Michel
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Gog a écrit :
Est-ce que vous auriez quelques recommandations de cours/vidéos pour débuter en kettlebell ?
Renforcement musculaire avec kettlebell (25 min) - Fitness Master Class
Attention il y a une petite erreur sur le dernier exercice !
Who’s the more foolish, the fool or the fool who follows him?
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5 #17 17/01/2023 09h46
- neil
- Membre (2017)
- Réputation : 25
Je ne connaissais pas Valter Longo mais quand je vois quelqu’un vendre des livres et autres contenus vantants un régime miraculeux j’ai tendance à me méfier.
En faisant quelques recherches, je trouve que :
- Il a fait la promotion de la chloroquine (l’article ne semble plus en ligne)
- Est mis en avant par Thierry Casanova, escroc notoire
- Rapport sur le peu de preuves tangibles sur les bénéfices du jeûne contre le cancer
- Une autre étude qui tend à dire qu’il n’existe aujourd’hui pas de preuves suffisantes malgré les "rumeurs du marketing"
- Un autre debunk
- Il semble avoir un fort intérêt économique à promouvoir ce régime : livre évidemment mais aussi vente de "box" contenant la nourriture adaptée pour 300$, larges subventions.
Entre ça, les messages invitant à ne pas faire de sport et les cures de jus d’aloe vera, cette discussion est en train de prendre une tournure qui me dérange.
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1 #18 17/01/2023 14h10
- M07
- Membre (2015)
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Bonjour !
Karim a écrit :
Je pense aussi qu’il vaut mieux éviter le sport car cela fait produire plus d’acide urique et autres déchets.
Voici les liens vers deux études qui montrent que le sport (l’activité physique) permet de DIMINUER les effets de l’acide urique, et notamment la goutte :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7529261/
https://academic.oup.com/ajcn/article/87/5/1480/4650681
M07
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1 #19 18/01/2023 13h46
Karim, le 17/01/2023 a écrit :
…
Et je maintiens que le sport est (à mon avis) nocif, ce qui ne m’empêche pas de faire plusieurs fois par semaine de petites promenades en forêt.
Bonjour Karim,
C’est mon anglais qui est défaillant ou la traduction de la citation de votre message ci dessus de 13h22 ne confirme pas du tout ce que vous disiez un peu plus haut ?
Google traduction :
high-intensity exercise provides no significant difference in inflammation compared to non-exercising controls.
l’exercice à haute intensité ne fournit aucune différence significative dans l’inflammation par rapport aux témoins sans exercice.
Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*
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1 #20 02/02/2023 22h24
- Nehanda
- Membre (2022)
- Réputation : 6
Je prends soin de ma personne en :
- éloignant voire supprimant les êtres toxiques de ma vie
- cultivant mon potager sans travail du sol ni engrais
- ayant une alimentation saine et diversifiée
- pratiquant minimum deux fois par semaine une activité physique à domicile en outre j’essaie de faire de longues marches à l’extérieur
- ne négligeant pas la moindre alerte relative à ma santé ; je sais être à l’écoute de mon corps
- prenant de la Boswellia Serrata pour mes douleurs articulaires
- riant souvent
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