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1    #1 15/12/2014 14h46

Membre (2011)
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^

Quand vous achetez pour être au commande de la société vous êtes prêt à payer plus cher.

Si sur un immeuble de 15 t2  vous en possédez 7, et le 8ème t2 est en vente vous serez surement plus enclin à le surpayer pour pouvoir "être maître" de la copropriété.

Mots-clés : cgg

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1    #2 18/08/2015 16h15

Membre (2013)
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Bonjour,

CGG continue à s’écrouler, en même temps que le secteur pétrolier, et sous la pression vendeuse des hedges funds (10% du capital).

Concernant le pétrole, un scénario de contre-choc pétrolier prolongé n’est pas à exclure. Petit rappel historique : après les chocs de 1973 et 1979 (le baril passe de 2$ à 40$), les cours reviennent sur les 15$ à partir de 1986, et il faudra attendra 25 ans (soit en 2005) pour retrouver les plus-hauts de 1980.

Certes, l’action CGG se négocie sur des plus-bas de 12 ans (2003) à 3,7€. Ce qui peut aisément se comparer à un cours de liquidation, comme Peugeot il y a quelques mois. Mais, il était aussi peu probable que le marché automobile mette 25 ans pour retrouver de la croissance.

Actuellement, sur CGG, le risque et l’incertitude sont trop élevés pour moi.

Cordialement,

doug

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1    #3 18/08/2015 16h47

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Enfiin CGG ne vend pas de pétrole mais des services pour en trouver… hors même si les cours restent durablement bas pendant 20 ans, les puits existants ne sont pas inépuisables non plus et il faudra bien continuer à prospecter… les investissements devront bien reprendre (même s’ils ne retrouvent pas la vigueur qu’ils avaient à l’époque du pétrole à $100)

Par ailleurs je vois mal l’Arabie Saoudite, dont le budget est mis en danger par le niveau des cours actuel, continuer à produire à tour de bras pendant 25 ans.

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1    #4 07/12/2015 17h03

Exclu définitivement
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L’augmentation de capital a été confirmée ce jour et sera réalisée dès janvier à hauteur de 350 M€ ; cette nouvelle n’a pas manqué de faire chuter le titre d’encore 7% :

(Tradingsat.com) - CGG chute de près de 8% en Bourse après l’annonce ce lundi du lancement d’une augmentation de capital d’un montant maximum de 350 millions d`euros (prime d`émission comprise) par émission d`actions ordinaires, avec maintien du droit préférentiel de souscription des actionnaires.

Cette opération aura pour but de financer le plan de transformation du groupe. « Dans le cadre du plan de financement, le management avait énoncé 3 pistes dont la cession d’actifs non stratégiques, le renforcement des fonds propres et l’entrée de partenaires minoritaires. L’option augmentation de capital semble avoir été privilégiée alors que dans le communiqué de ce jour, le management ne mentionne pas d’opération relative à l’entrée de minoritaires. », indique Oddo dans une note.

Cette opération viendrait également en complément des opérations de refinancement en cours. "Les environs 126 millions de dollars (sur un total maximum de 135 millions de dollars) des obligations 2017 de CGG qui ont été déjà apportés pendant la première période de l`offre publique d`échange de CGG Holding (U.S.) Inc., ainsi que le prêt Fugro de 84 millions d`euros seront remplacés par un prêt à terme garanti et à maturité 2019. Au terme de ce processus, la plus grande partie des dettes à moyen terme de CGG à échéances 2016/2018 aura ainsi été rééchelonnée.", souligne le groupe dans son communiqué.

Sous réserve de l`approbation par l`assemblée générale des actionnaires et des conditions de marché, cette augmentation de capital serait lancée dans les meilleurs délais à l`issue de l`assemblée générale (11 janvier 2016). « Alors que les modalités ne sont pas arrêtées, cette opération sera bien évidemment fortement dilutive au regard de la capitalisation actuelle d’environ 573 millions d’euros. », fait remarquer Oddo.

En conséquence, l’analyste reste à neutre sur le titre avec un objectif de cours de 3 euros.

Nous sommes ici devant un cas d’école d’incompétence managériale. Si certains se demandent qui peut encore vouloir confier des € à Malcor, la réponse est donnée ici par l’AGEFI:

Bpifrance, actionnaire à hauteur de 7,04% de CGG, a indiqué lundi matin envisager de participer à l’augmentation de capital que le spécialiste des services et équipements géophysiques prévoit de lancer pour faire face à ses difficultés. La filiale à 50% de la Caisse des dépôts a précisé dans un mail adressé à Reuters qu’elle prévoit de souscrire à cet appel au marché à hauteur de la participation qu’elle détient de concert avec IFP Energies nouvelles, anciennement Institut français du pétrole, soit 10,62%. «Bpifrance soutient CGG dans ses efforts entrepris pour s’adapter au contexte de marché actuel», a ajouté la banque publique.
Touché de plein fouet par la réduction des budgets d’exploration des compagnies pétrolières, CGG a annoncé lundi un projet d’augmentation de capital, avec maintien du droit préférentiel de souscription, pour un montant maximum de 350 millions d’euros, pour laquelle une assemblée générale est convoquée le 11 janvier.
Ce renforcement des fonds propres viendrait en complément des opérations de refinancement en cours. Les 126 millions de dollars (sur un total maximum de 135 millions de dollars) des obligations 2017 de CGG qui ont été déjà apportés pendant la première période de l’offre publique d’échange ainsi que le prêt Fugro de 84 millions d’euros seront remplacés par un prêt à terme garanti et à maturité 2019. Au terme de ce processus, la plus grande partie des dettes à moyen terme de CGG à échéances 2016/2018 aura ainsi été rééchelonnée, indique le groupe.

Selon une tradition vivace dans notre pays, les profits sont souvent privatisés (sociétés autoroutières), mais les pertes toujours socialisées.

Pour ce qui me concerne, je garde mes actions qui ne valent presque plus rien, mais je cèderai mes DPS dès leur cotation.

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1    #5 07/12/2015 19h14

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Il y avait eu un débat sur la file de Total sur son exposition au pétrole, ses coûts d’extraction, etc.

Mais en un graphique, on voit la différence entre un équipementier pétrolier et une société pétrolière intégrée :



Sur 5 ans, le cours de Total est quasi-stable (l’actionnaire a gagné les dividendes), celui de CGG perd 85%, dont l’essentiel depuis 2013.

Donc le statut "père de famille" de Total n’était pas complètement usurpé…

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1    #6 08/12/2015 17h17

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Interview réalisée en mai 2014. Tout va toujours si vite…

Le Revenu a écrit :

Quelles seraient les conséquences d’une baisse du prix du pétrole pour CGG ?

Jean-Georges Malcor a écrit :

Nous faisons des scénarios de sensibilité à l’évolution du cours de l’or noir. Tant que le prix restera entre 90$ et 110$, nous serons assez à l’aise. En dessous de 80$ le baril, la situation deviendrait difficile. Mais je suis relativement optimiste. De toutes les discussions que je peux avoir avec nos principaux donneurs d’ordre, je ne sens pas du tout cette perspective prête à se matérialiser.

Source

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1    #7 13/01/2016 11h29

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Bonjour,

L’augmentation de capital se fera finalement à 66 centimes :

(Bousier.com) - Le groupe de services pétroliers CGG va donc lancer demain son augmentation de capital. Pour les actionnaires, cela va se traduire dès demain matin par le détachement d’un Droit Préférentiel de Souscription (DPS) à raison d’1 DPS par action détenue ce soir à la clôture.

Chaque DPS permettra de souscrire 3 actions nouvelles au prix de 0,66 euro. La période de souscription sera ouverte jusqu’au mercredi 27 janvier et les souscriptions à titre réductible seront possibles.

Sur la base du cours de CGG ce matin (autour de 2,3 euros), le prix d’émission des actions nouvelles de 0,66 euro fait apparaître une décote de 71% et une valeur théorique du droit préférentiel de souscription d’environ 1,23 euro. La valeur théorique de l’action ex-droit s’élèverait alors à 1,07 euro. La valeur du DPS risque donc d’être supérieure à celle de l’action demain matin.

Enfin, le prix d’émission des actions nouvelles ferait apparaître une décote d’environ 38% par rapport à la valeur théorique de l’action ex-droit. Toutes ses estimations sont bien sûr liées et donc susceptibles d’évoluer avec le cours de CGG.

Les actions nouvelles seront admises aux négociations à compter du 5 février.

Copyright (c) 2016 Boursier.com, tous droits réservés.

Source: Boursier.com

Cette annonce fait bondir le titre de 8% ce jour.

Pour ma part, je vais vendre mes droits mais peut-être pas dès le détachement prévu demain ; en tout état de cause, je ne donne plus un € pour payer le salaire de Malcor.

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2    #8 18/01/2016 12h20

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Heureusement qu’on avait la BPI et l’IFPen au capital pour éloigner ce fleuron français des griffes de Technip et proposer une vraie stratégie industrielle de long terme !

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1    #9 18/01/2016 12h57

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JeromeLeivrek a écrit :

Et voilà nous y sommes, ouverture à 0,82 € : le cours est divisé par 10 (!) par rapport au prix d’achat proposé par Technip, exploit réalisé en 1 an et 2 mois.

Vous oubliez le décrochement des droits il me semble .

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1    #10 19/01/2016 00h09

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Qu’aurait changé l’OPA ?
Pour l’actionnaire : vendre son action 8 €, au lieu de faire -80 % …
C’est peut-être un détail pour vous, mais pour les actionnaires ça veut dire beaucoup.

Pour le salaire c’est bien ça le problème : c’est qu’il n’a aucun rapport avec la compétence du gars ! smile

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2    #11 01/05/2016 20h44

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Maintenant que l’AK est passée et que le pétrole remonte (proche des 50$), je viens de regarder à nouveau le dossier CGG que j’avais lâché après une perte de -30% (mais ça aurait pu être du -90%).

Pour ne pas rentrer naïvement, j’ai décidé de mieux faire mes devoirs et notamment en analysant les comptes sur la période 2015-2010.

Rentabilité

Sur les 6 derniers exercices, la société à réalisé 5 exercices déficitaires pour une perte totale de 3,4 milliards de dollars contre un seul exercice bénéficiaire (2012) avec un maigre profit de 74 millions. Entre 2013 et 2015, le chiffre d’affaires a baissé de 44% et l’EBITDAS de 60%. En 2012, le CA par salarié était de 450k$, en 2015 ce ratio tombe à 289k$ (-35%)

L’année 2015 est la pire puisque la société à réalisé 1,4md de perte pour un chiffre d’affaire de 2,1md. Vivement les chiffres de 2016…

CGG est une société cyclique mais même avec un pétrole à 120 dollars le baril, CGG faisait de perte. Cette société est donc structurellement déficitaire.

Cependant l’activité de l’entreprise génère du cash (400m en 2015 contre 900m en 2013) mais il est intégralement investi (dépensé ?) dans les études multi clients (faut bien promener la flotte de bateaux [améliorer/soutenir artificiellement le taux de production des navires]….).

Structure bilancielle

La première chose qui me frappe dans ce bilan, c’est l’importance des intangibles, plus de 45% à décomposer en :
* 50% de goodwill : depuis l’acquisition de la division de Géosciences de Fugro (goodwill de 750m$), CGG a enregistré une dépréciation de 1,2md$
* 50% d’autres immo incorporelles : les fameuses études multi client : comment sont-elles valorisées ? simple valorisation comptable (on active les charges liées à la constitution de ces études multi clients) ? que valent-elles vraiment ? CGG passe régulièrement des dépréciations sur ce poste (370m en 2015, 565m en 2014).

La seconde inquiétudes concerne l’endettement de la société, puisque l’endettement net représente 190% des fonds propres (part du groupe) en 2015.

Fin 2015, CGG a été contraint de renégocier ses covenants bancaires :
* tréso > 175 millions
* dette nette / EBITDAS < 5% (baisse progressive du seuil jusqu’à 2018)
* EBITDAS / charges fi  > 3

Sauf que dans le rapport 2015, on trouve ces chiffres en page 5 :
* tréso : OK
* dette nette / EBITDAS : 5,5 KO
* EBITDAS / charges fi : 2,5 KO

En février 2015,  Malcor indiquait que CGG n’avait pas besoin d’augmentation de capital et était assez solide pour passer la tempête (tiens, encore un capitaine de pédalo…).

Mais 11 mois plus tard, les actionnaires acceptaient (autres choix : la faillite) une augmentation de capital ultra dilutive puisque le nombre d’action est passé de 177 millions à 708 millions (x 4) pour "seulement" 350 millions de cash. 

Je n’ai pas poussé l’analyse au-delà de 2010 mais en cherchant rapidement, je n’ai pas retrouvé la moindre distribution de dividende. Le management préfère probablement se dipersifier (p.201 du rapport 2015 : la priorité étant donnée à la réduction de l’endettement et au financement de la croissance et du développement de la société), le timing de l’acquisition du département Géosciences de Fugro était particulièrement mauvais (oui, trop facile de dire ça après coup).

Bref pour résumer :
* Une société cyclique qui n’arrive pas à gagner d’argent (même en haut de cycle)
* Un endettement élevé et une valeur liquidative des actifs très incertaine
* Le management n’a plus de crédibilité (rejet de l’OPA pour protéger l’intérêt des actionnaires // pas besoin d’AK)
* Les intérêts de l’actionnaire majoritaire (FSI+BPI = état [11% du capital]) sont au mieux flous (conserver un fleuron français, une activité stratégique), au pire complètement divergents avec ceux de l’entreprise (sauvegarde de l’emploi)
* Action très spéculative, c’est quitte ou double (j’ai envie d’y mettre quelques euros pour voir [le fameux all-in en fin de partie])

Cette analyse n’apporte rien de vraiment nouveau mais plutôt que de la conserver sur mon disque dur, je la partage.

Prochaine échéance, le 3 mai avec la publication du T1 2016.

Disclaimer : aucune position longue/courte (pas de SRD mais les zinzins s’en donnent à coeur joie°) sur le titre, j’attends la publication du T1 pour ajuster la mire

° USB vend à découvert plus de 6% du capital, ils pensent que la société va faire faillite…

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1    #12 09/11/2016 04h39

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reinanto54 a écrit :

Vous aviez mentionné une convertible Bourbon. En avez-vous pris? La société a annoncé que le point bas a été atteint…

Pas de position sur la perp subordonnee Bourbon, a noter qu’elle n’est pas convertible.

Voici en resume succinct mes ratios de credit:
Gearing = 102%
Resultats en perte en 2015, pertes prevues en 2016 (dont acceleration au S1) et 2017
Free Cash Flow negatifs ces 2 derniers semestres
Le dette nette a repris le chemin de la hausse a EUR 1.42 bio
Net debt / EBITDA = 5.4x
Interest coverage = 4.8x

Mis a part la couverture des interets, tous les ratios sont mauvais.

L’IRR de la perp depend du timing du call par l’emetteur. Si call en 2017 au pair, bingo, IRR de 15.4%.
Si pas de call du tout, IRR = 9.6%, mais si call en 2020 ou 2023 (avant les resets), on tourne autour de 8.7% a 8.8%.

Ma conclusion: remuneration insuffisante pour le risque pris.

Pour ma part, avec ces ratios et ds cette industrie, j’exigerai 9.5% a 10% de rendement sur une oblig senior a echeance, ou 12% a 13% sur une perp subordonnee. On en est loin. Il faudrait qu’elle baisse vers 75 cents pour m’interesser (contre 90-91 actuellement).

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1    #13 12/11/2016 23h55

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Oui tout à fait, c’est la raison pour laquelle CGG prépare le terrain ou le tâte, pour une restructuration de la dette.

Les 12 derniers mois d’EBITDAS cumulés sont actuellement de :
4t15  111.1 M$
1t16    21.6 M$
2t16   102.1 M$
3t16     93.4 M$

soit une somme de 328.2 ME, pour un total de dette nette de 2 304 ME.  Le ratio DETTE NETTE  / EBITDAS ressort donc à 7… loin des 5 du plafond à la date du 31/12/16 prévus par les covenants french revolver, US revolver et credit nordique représentant 565 M$, qui sont entièrement tirés au 30/09/16.

CGG visant une dette nette de 2.4 MD$ au 31/12/16, si CGG sort un EBIDTAS identique au 4t15 (donc plutôt optimiste …), le ratio tourne au tour de 7.3 …

Si la direction atteint son objectif d’une dette nette de 2.4 MD$ au 31/12/16, cela signifie qu’elle va cramer encore 100 M$. La dette nette est composée au 30/09/16 (total 2 304 M$) d’une dette brute de 2 907 M$ diminuée d’une trésorerie de 603 M$. L’exigibilité des crédits bancaires (565 M$) par le non respect des covenants au 31/12/16 mettrait CGG en cessation de paiement (603 - 100 - 565 = -65M$).

La publication du 4t16 (année 2016) devrait être réalisée aux alentours de fin février / début mars 2017 (l’exercice 2015 avait été publié le 03/03/16).

Il faut noter que les covenants sont censés s’abaisser progressivement dans le temps (DETTE NETTTE / EBITADS en 2018 de 3 …). Je n’ai pas cité les covenants concernant le plancher de cash et le ratio intérêts, qui m’apparaissent moins "sensibles".

Au vu des perspectives anticipées par la direction (2017 similaires à 2016), CGG va se retrouver en situation délicate pour re-négocier avec les banques sur cette fin d’année / début 2017.
Je n’ai pas l’historique de (communication) de CGG, mais est ce nouveau que la direction parle de restructurer la dette ? On a l’habitude que la société "rince" / dilue les actionnaires avec ses multiples augmentations de capital.
Le financement à trouver, si les banques ne suivent plus, serait de 65 M$ pour janvier 2017, ce qui parait absorbable, même si le montant à trouver est nettement plus élevé pour CGG pour faire face à son activité 2017 (et avoir aussi un peu de flexibilité). L’histoire de CGG nous a montré que la société faisait étape par étape, AK chaque année ou biannuel (je n’ai pas revérifié, mais je ne dois pas être loin de la vérité…), elle pourrait donc bien être capable de réaliser une AK d’ici 1-3 mois pour tenir 6/12 mois de plus, ou bien la coupler à une restructuration de la dette, c’est la toute la question (me concernant pour le remboursement de l’obligation mai 2017).

 et

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1    #14 16/05/2017 05h46

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Malcor ne fait pas son boulot.
Pour que les creanciers participent a une recovery story, il faut que la boite cesse de bruler du cash. Hors, il depense encore plus en Capex que l’EBITDA de la boite. Cela, c’est purement de l’operationnel, aucune restructuration bilantielle ne peut resoudre ce probleme majeur. Il va falloir qu’il prenne enfin la mesure de la realite. Le plan de restructuration industrielle est loin d’etre termine, contrairement a ce qu’il proclame. De nouvelles coupes dans les Capex et Opex sont necessaires.

Il faut que Malcor demissionne/ soit debarque, vu sa gestion calamiteuse (et exorbitante, cf son salaire) de CGG durant les bonnes comme les mauvaises annees, et soit remplace par un cost killer. Dans 2-3 ans, une strategie de croissance pourrait peut-etre alors etre a nouveau envisagee, pour l’instant, il s’agit de sauver la boite. Il n’y a de toute facon pas de reprise a attendre dans ce secteur en 2017-2018.

Dernière modification par SerialTrader (16/05/2017 10h13)

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1    #15 19/05/2017 13h19

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Je vais vous avouer un petit vice que j’ai à mes heures perdues : aller lire les échanges sur le forum de CGG sur Boursorama.
Je m’amuse de lire les échanges entre ceux qui ont perdu un bras mais doublent leur position, ceux qui prétendent faire des PV faramineuses alors que le cours baisse sans discontinuer, ceux qui pestent contre les traîtres de VADeurs, les insultes à Malcor et compagnie.

Je trouve ça très rigolo de voir des gens jouer au loto et de se plaindre que décidément c’est trop injuste de ne pas gagner quand on a si minutieusement choisi ses numéros.

Passé l’amusement, je constate que nous sommes très proche du dénouement de l’histoire. Il est question de restructurer une énième fois la dette, mais comme dit par ST, on est au pied du mur : on ne va pas pouvoir continuer de se prendre pour plus riche que l’on est.

J’ai vu dans les hypothèses de restructuration, qu’une dilution de l’ordre de 1/10 serait attendue pour les actionnaires existants. Donc même à 100M€ de capitalisation, CGG risque de décevoir à court terme ses actionnaires.

La question que je me pose désormais, c’est y a-t-il un coup à jouer sur une reprise par un concurrent ou un renflouement par l’Etat qui pourrait venir changer la donne ?
L’entreprise me semble absolument pas viable en l’état même post restructuration. Pour autant elle est loin de valoir 0.

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1    #16 01/06/2017 23h30

Exclu définitivement
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Cet article me fait sourire : CGG est-elle en situation de "donner des délais" à ses créanciers ?

On comprend en filigrane que les parties aimeraient bien voir l’Etat faciliter le "deal" via BPI France : non seulement le contribuable actionnaire serait "rincé" par le coup d’accordéon, mais il devrait remettre au pot dans le cadre de l’augmentation de capital à venir, cela tout en restant minoritaire pour laisser le pouvoir aux obligataires.

Cette sinistre farce me semble avoir assez duré ; plus un seul centime public ne doit aller vers CGG.

Plutôt qu’une restructuration financière qui ferait la fortune des banques d’affaires et cabinets d’avocats, le dépôt de bilan me semble être la moins mauvaise solution. Un administrateur judiciaire serait nommé pour se substituer à Malcor, ce qui permettrait d’utiliser la trésorerie pour financer un plan social généreux plutôt que d’engraisser des banquiers "vautours" ; les obligataires se partageraient ensuite ce qui ressortirait de la liquidation des actifs ; quant aux actionnaires, tant pis pour eux et de toute manière ils ne possèdent déjà plus grand-chose.

Cf un article mettant en perspective la descente aux enfers de CGG :

Pétrole : les grandes ambitions de CGG fauchées par la chute du baril

Accessoirement, le dépôt de bilan permettrait aux créanciers d’entamer une action en comblement de passif à l’encontre des dirigeants dont les manquements ont conduit la société là où elle en est.

Cette affaire emblématique devrait normalement donner lieu au prononcé de sanctions exemplaires, telles qu’une interdiction définitive de gérer frappant le principal responsable de ce désastre industriel.

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1    #17 23/08/2017 00h33

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Bonsoir,

Mouvement de panique sur le titre CGG - Indices & Actions - Le Figaro Bourse

Et voilà ce que donne encore une fois la bourse qui clignote.

Franchement chacun voit midi à sa porte (et je ne culpabilise personne) mais je n’appelle pas cela investir, pour sûr certains ont profité sans doute de l’appel d’air pour se débarrasser de leurs titres, mais sans quoi j’appelle cela le casino (certains diront peut-être que "prédire" la baisse-chute d’un titre est plus simple que de le valoriser ou prévoir sa hausse donc statistiquement moins risqué et donc mieux investi, il n’en reste pas moins que cela amène à un certain nombre de dérives).

La bourse est fourvoyé avec ce type de produits, je ne comprends même pas qu’ils ont pu être autoriser.

Entre les options, short, warrants, algorithmes, robots etc l’image qui en ressort auprès du grand public est calamiteuse.

Ma vision peut paraître peut-être naïve et primaire mais on est loin du but premier de la bourse et des entreprises et cela dénature tout. "Monde de merde" comme disait George Abitbol ! smile


"Never argue with an idiot. They will drag you down to their level and beat you with experience" Mark Twain

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4    #18 19/11/2018 19h16

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Bonjour, après la récente chute du titre en bourse je me suis intéressé au sujet et je me suis fait un petit résumé des données que j’ai pu glaner. Je me permets de le poster ici, comme ça je up aussi le sujet. C’est un récapitulatif qui mériterait d’être étoffé, surtout en la comparant avec certaines de ses rivales je pense mais la motivation me manque big_smile
Dites-moi ce que vous en pensez ?

                                                            Contexte

Après un prix du baril  très fort jusqu’en 2014, le marché pétrolier s’est érodé jusqu’à atteindre 30$/bbl pour le Brent début 2016. Il a connu une envolée relative sur les deux dernières années jusqu’à 86$ et se situe à 66$/bbl aujourd’hui, en pleine correction.

D’une manière générale, le krash de 2014-2015 a poussé les acteurs majeurs à réduire leurs charges pour limiter les effets négatifs des cycles pétroliers sur leurs bilans. Le seuil de rentabilité des plus grands groupes se situe entre 46$-59$/baril et tend à diminuer.
Le rebond commence cependant à s’amorcer après plus de 3 ans de déclin. Il commence surtout par l’ingénierie, qui est le début de la chaine des projets pétroliers et gaziers. Devrait ensuite venir les livraisons d’équipements et le début de la construction des plates-formes pétrolières…

Les projets d’exploration des entreprises du secteur pétrolier sont négligés au profit de l’exploitation de ressources de pétrole déjà connues, ou en tout cas de zones à potentiel pétrolifère fort (Stratégie de Total depuis l’arrivée de son nouveau PDG). Les prévisions n’annoncent pas de reprise en 2019 des activités d’exploration.

Evolen (groupement représentatif du monde de l’énergie) ne s’attend qu’à une « stabilisation » des revenus de l’industrie cette année, le retour véritable de la croissance n’étant espéré que l’an prochain et surtout à partir de 2020.
L’Agence Internationale de l’Energie à même annoncé en mars 2018 que le monde manquera bientôt de pétrole si les investissements, «trop faibles», n’augmentent pas, et Energy & capital estime des investissements nécessaires à au moins 3000 milliards de dollars par an pour faire face aux besoins à long terme.

Les pétrolières ont enregistré des profits record depuis les 4 dernières années, bénéficiant des mesures d’économies lancées à partir de 2015 (1er semestre de Total en hausse de 28%. Cependant, du fait de la haute volatilité et de l’incertitude concernant le marché du pétrole (lié en partie au schiste et aux tensions politiques), les grands groupes sont encore hésitants dans leurs investissements, et privilégient donc les projets moins lourds.

                                                                     CGG

L’entreprise parapétrolière à 3 activités distinctes :

Le GGR :
- Imagerie Subsurface (Traitement de signaux sismiques)
   - GeoSoftware : algorithmes pour l’analyse des diagraphies de puits, la caractérisation sismique des réservoirs, la pétrophysique, l’interprétation structurale et sismique et la modélisation des réservoirs ;
   - GeoConsulting : cartographie satellitaire et analyse des roches pour mieux comprendre les gisements. La bibliothèque de données sismiques, gravimétriques, magnétiques et de puits stocke des études géologiques régionales et globales qui comprennent des analogues de réservoirs, des modèles prévisionnels, des données tectoniques et des informations sur les systèmes pétroliers d’environ 500 bassins.
   - Gestion de données : Données prêtes à l’interprétation, qui, associées à des services de conseil et de formation, permettent aux entreprises clientes de transformer leurs données brutes en connaissance.

Équipement : CGG conçoit, fabrique et commercialise notamment les matériels d’acquisition sismique qui seront déployés à terre, en mer, dans les zones de transition ainsi que les outils de sismique puits.

Acquisition : En mer, sur terre ou par les airs, procédés de détection par ondes sismiques des zones pétrolifères.

                                                               Résultats Q3 2018

GGR : CA de 192 millions$, en hausse de 3% d’une année sur l’autre. Résultat opérationnel de 58.8m$ et d’un taux de marge de 30.6% (respectivement 11.8m$ et 6.4% en Q3 2017)

     - Traitement, Imagerie & Réservoir (SIR) : 93 millions$, en hausse de 16% d’une année sur l’autre

     - Multi clients : “[CA de] 99 millions$, en baisse de 6% d’une année sur l’autre. Les après-ventes ont été élevées dans les bassins actifs, en hausse de 78% d’une année sur l’autre à 63 millions$, mais les préfinancements sont en baisse de 49% d’une année sur l’autre à 36 millions$, impactés par un report sur octobre”

Equipement : [CA] de 94 millions$, en hausse de 137% d’une année sur l’autre. Le résultat opérationnel des activités de l’Equipement est de 11 million$, soit un taux de marge de 11% (-15.8m$ et -39.7% en Q3 2017)

Acquisition de données contractuelles : Activité historique de CGG, [CA] de 54 millions$, en baisse de 46% d’une année sur l’autre. “Le résultat opérationnel des activités de l’Acquisition de données contractuelles est de (17) millions$, alors que les activités d’acquisition de données contractuelles continuent d’être impactées par des conditions de marché concurrentielles.”
CGG prévoit de céder sa branche acquisition, la nouvelle direction préférant se concentrer sur les activités d’équipement et de GGR, évaluant la croissance de l’activité sur les années à venir trop faible et le risque cyclique trop élevé.

                                    Résultats financiers des neufs premiers mois 2018



                                                                Cash Flow



                                      Objectifs précédemment fixés pour 31/12/18

- Levier financier sous 2.0x :
Le levier financier est aujourd’hui à 1.9x, liquidités : 412m$, dette : 1 181 m$ 

- CA à 1.5 Md$ :
CA de 965m$ en sept 2018. En reprenant les chiffres du Q4 2017 (401m$), il faudrait une croissance de 33% YtoY du CA au Q4 2018 pour atteindre cette valeur.

- EBITDA : 35/40% :
Situé à 33% au Q3 2018.

Suivant le plan de restructuration effectué en février 2018, une partie de la dette a été convertie en capital, avec un nombre d’actions porté à 709 942 880 (~22m pré février). Cette restructuration a également pour but de rendre CGG moins dépendant des cycles pétroliers et lisser ses résultats financiers.

                                                    Perspectives du marché prix du pétrole

Agence Internationale de l’Energie : Estimation d’une demande de pétrole affaiblie fin 2018 et en 2019 dû à l’essoufflement de l’économie, tout en jugeant que les cours resteront élevés.

Citons également la présence de tensions sur le marché dûes notamment aux sanctions des US envers l’Iran, la guerre pour le contrôle des sources de pétrole en Lybie ou la production irrégulière au Venezuela.

Sources :
Crude crash will test majors? devotion to spending discipline
https://www.cgg.com/data/1/rec_docs/381 … 4_FR_2.pdf
https://www.cgg.com/data/1/rec_docs/403 … tation.pdf
https://www.lesechos.fr/industrie-servi … 210456.php
Les découvertes de pétrole chutent
https://www.lesechos.fr/26/07/2018/lese … volent.htm
https://www.zonebourse.com/WTI-2355639/ … -26976443/
https://www.cgg.com/data/1/rec_docs/3901_2017_DDR.pdf
https://www.zonebourse.com/WTI-2355639/ … -27411146/

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1    #19 26/03/2019 15h08

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Coke a écrit :

Yonz a écrit :

A l’évidence non.

Peut être une petite explication du "non".

Car depuis l’annonce  de GS, CGG a pris pas loin de 4%

Oui, ça a varié dans un sens comme ça aurait pu varier dans l’autre, ou encore rester stable. Difficile d’expliquer en deux mots pourquoi suivre les recommandations de GS ou d’un autre serait probablement perdant sur la durée.

Le plus simple est de raisonner par l’absurde: si c’était le cas, c’est à dire si leurs conseils étaient gagnants la plupart du temps (mettons plus d’une fois sur deux), nous serions tous milliardaires. Or, nous ne le sommes pas.

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1    #20 05/03/2021 08h35

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CGG annonce ses résultats 2020

CGG prévoit une reprise de son activité en 2021 après une année plombée par la crise

DOW JONES | LE 05/03/21 À 07:42 | MIS À JOUR LE 05/03/21 À 07:48

PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le groupe de services parapétroliers CGG a annoncé vendredi prévoir pour cette année une reprise de la croissance de son chiffre d’affaires et un flux de trésorerie net positif, après une année 2020 plombée par la crise sanitaire du coronavirus.

"En 2021, à condition que les économies mondiales continuent de se redresser graduellement et que les prix du pétrole se stabilisent au-dessus de 50 dollars le baril, CGG devrait tirer parti de son programme de réduction de coûts, sa performance devrait se renforcer progressivement au second semestre et le groupe devrait retrouver une génération de cash-flow net positive sur l’année", a déclaré la directrice générale du groupe, Sophie Zurquiyah, citée dans un communiqué.

"CGG devrait connaitre en 2021 un taux de croissance de son chiffre d’affaires annuel des activités à un chiffre, moyen, qui reflète une croissance des ventes de l’Équipement, une reprise progressive des activités Géosciences à partir du second semestre de 2021 et des revenus de préfinancement de ses études Multi-Clients moins élevés", a également indiqué le groupe.

En 2020, CGG a accusé une perte nette de 438 millions de dollars, contre un déficit de 61 millions de dollars un an plus tôt. Le résultat net des activités poursuivies a été négatif à hauteur de 376 millions de dollars, contre un résultat positif de 126 millions de dollars en 2019.

L’an passé, CGG a également accusé une perte opérationnelle des activités de 164 millions de dollars, contre un bénéfice de 247,3 millions de dollars en 2019.

Sur la période, l’excédent brut d’exploitation (Ebitda) des activités s’est inscrit à 361 millions de dollars en 2020, contre 721 millions de dollars en 2019, pour un taux de marge d’Ebitda des activités de 38%, contre 51% un an plus tôt. L’Ebitda des activités devrait "rester stable" en 2021, a averti le spécialiste des géosciences.

Le chiffre d’affaires des activités s’est établi à 955 millions de dollars en 2020, en baisse de 32% sur un an. Pour le seul quatrième trimestre, CGG a vu son chiffre d’affaires des activités reculer à 283 millions de dollars, contre 396 millions de dollars un an plus tôt.

Ces chiffres sont conformes aux données préliminaires publiées par le groupe en janvier. Sur la base de ces données, CGG avait indiqué s’attendre à un chiffre d’affaires autour de 954 millions de dollars pour 2020 et d’environ 282 millions de dollars pour le seul quatrième trimestre.

Selon un consensus établi par FactSet, les analystes tablaient pour 2020 sur un chiffre d’affaires de 932,2 millions de dollars, sur un Ebitda de 384,4 millions de dollars, sur une perte opérationnelle de 20,9 millions de dollars et sur une perte nette de 348,9 millions de dollars.

CGG a par ailleurs enregistré un flux de trésorerie net négatif de 247 millions de dollars l’année dernière, contre un flux positif de 186 millions de dollars en 2019. Ce montant est conforme à l’estimation d’un flux négatif de 245 millions de dollars livrée en janvier.

COMMUNIQUES FINANCIERS DE CGG:

CGG: Newsroom

Agefi-Dow Jones The financial newswire

Dow Jones Newswires

March 05, 2021 01:42 ET (06:42 GMT)

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Favoris 1    1    #21 06/01/2022 16h36

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Une vidéo de Guillaume Rouvier qui anime une chaîne Youtube sur l’investissement : Hiboo expert.

La vidéo porte sur CGG : bilan, activité, concurrence, stratégie, perspectives etc.

Mais donne aussi des informations sur la transition énergétique : projections d’utilisation des différentes énergies sur les prochaines décennies.

Vidéo très didactique avec des chiffres et des graphiques.


Vidéo YouTube

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