#101 25/02/2014 15h43
- pachakuti
- Membre (2013)
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pour ma part j’ai shorté aujourd’hui facebook, après avoir trouvé un turbo put pour cela. C’est vraiment trop haut actuellement.
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Facebook : de la bulle à la maturité ? Dix ans de débats sur la valorisation d'un géant
Cette discussion, initiée en 2011, analyse la valorisation de Facebook, devenue Meta, sur une décennie. Les membres débattent initialement de sa valorisation de 65 milliards de dollars, jugée démesurée par rapport à ses bénéfices modestes. Des arguments contradictoires émergent : certains pointent une surévaluation spéculative, tandis que d'autres soulignent un potentiel de croissance exponentiel lié à l'effet réseau et au ciblage publicitaire précis.
Au fil des années, la discussion suit l'évolution boursière de Facebook. L'introduction en bourse en 2012, avec une valorisation initialement stratosphérique, provoque des avis divergents sur le risque et le rendement. Plusieurs participants évoquent la comparaison avec d'autres géants du web, soulignant la difficulté de valoriser des entreprises à actifs immatériels importants. L'importance de la monétisation de l'énorme base d'utilisateurs est un point central du débat.
L'acquisition de WhatsApp et Instagram, ainsi que les investissements dans la réalité virtuelle (Metaverse) sont analysés. Certains considèrent ces décisions comme des prises de risque excessives, d'autres comme des opportunités stratégiques pour assurer la croissance et la diversification. Les arguments s'appuient sur des analyses financières, des observations sur le comportement des utilisateurs et la situation concurrentielle. La question de l'avantage concurrentiel de Facebook/Meta, son fameux "moat", est récurrente.
Parallèlement aux aspects financiers, la discussion aborde les enjeux éthiques et réglementaires liés à la gestion des données personnelles. Le risque de régulation et les scandales qui affectent l'image de l'entreprise sont considérés comme des facteurs importants influant sur la valorisation. L'évolution des habitudes des utilisateurs, notamment le passage à des plateformes vidéo comme TikTok et le recul de l'engagement sur Facebook, nourrit le débat sur la pérennité du modèle économique.
Enfin, la discussion illustre l'évolution de la valorisation de Facebook/Meta au fil des années, passant d'une bulle spéculative à une maturité plus stable. L'évolution de la stratégie de l'entreprise, ses acquisitions et ses investissements sont analysés sous différents angles : croissance, rentabilité, risque, et aspects éthiques.
pour ma part j’ai shorté aujourd’hui facebook, après avoir trouvé un turbo put pour cela. C’est vraiment trop haut actuellement.
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Acquisition de Oculus VR par FB.
Je sais pas si vous avez suivi le marché du gaming, mais toute la population des joueurs est ultra en attente de ce concept (toute plateforme et jeux). S’il est conduit correctement à bien, FB a fait à pris à mon sens une bonne décision, probablement surpayé puisqu’avec 75 millions d’euro l’entreprise en était déjà à la deuxième version opérationnelle (vendue aux développeurs) et qui devait être la premiére version commercialisable, mais le seul concurrent en face est le sony morpheus qui n’en est qu’au stade prototypal.
Curieux de voir la réaction du marché.
Dernière modification par BorderLine (26/03/2014 08h38)
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-6% sur l’action fin de journée. Je présume que le carton rouge se fait sur le montant dépensé? 400M en cash, et 1.6B en partage d’actions (23.1M d’actions).
Enfin bref, dés qu’on touche aux new tech, les montants sont vite hallucinant et décolérer. J’ai du mal à croire que FB n’aurait pas pu acquérir cette société pour bien moins cher.
Dernière modification par BorderLine (26/03/2014 22h37)
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Q2000 a écrit :
D’ailleurs je me demande si l’indicateur avancé de "décollage SYW" le plus simple et pertinent ne serait pas finalement la croissance de likes FB ainsi que la comparaison avec des pages FB similaires (ventes à membre genre FNAC, retail..)
Pas directement lié au sujet, mais les likes FB, ça ne vaut rien pour gager d’une popularité.
J’ai acheté 10 000 likes Facebook à des fins de test pour $20. Même chose pour Twitter et Google+, quoique cela m’ait coûté quelques $ de plus.
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Hein !? On peut acheter des likes ?
Ca sert à quoi ?
Désolé si ma question semble naïve, désolé si on s’écarte du sujet de la file.
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Justement à faire croire à une popularité qui n’en ai pas une.
On peut tout acheter, même du traffic sur un site, notamment pour le revendre à des gogos sur la base de son traffic.
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Peut-on acheter des points de réputation sur IH ?
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Bien sûr. Donne-moi ton adresse mail et je t’envoie mon RIB. Combien en veux-tu ?
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Pryx a écrit :
Peut-on acheter des points de réputation sur IH ?
Non, ça n’a pas de Pryx
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Exemple :
4000 FB like pour 5$ :
Fiverr: The Marketplace for Creative & Professional Services
Notez d’ailleurs qu’une partie des revenus de FB n’est pas autre chose : vous payez pour avoir une publicité sur FB qui incite les gens à liker. Mais le like qui est cette fois-ci profilé (correspondant à un prospect et non plus un like bidon) revient alors à $0,5 environ.
Récemment j’ai lu dans un livre "sérieux" tout un chapitre sur une analyse de popularité qui reposait sur un décompte des réseaux sociaux, j’en rigole encore. Quelle méconnaissance complète du web.
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Pour une vue assez ironique sur FB et l’acquisition de WhatsApp, cet analyse des résultats par Matt Levine de Bloomberg :
WhatsApp Gets a Warm Welcome Into Facebook
So Facebook did an acquisition
worth around 11 percent of its market value,
that increased its revenue by 0.3 percent,
that decreased its net income by 47 percent,
and that increased its book value by 67 percent.6
People make fun of tech froth, and, I mean, sure, why not, Facebook did pay $19 billion for a company with $10 million in 2013 revenue, but here regular old accounting comes off looking just a bit silly as well.
PS : Merci à la modération pour l’ajout de la citation !
Dernière modification par sat (31/10/2014 12h10)
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Il ne faut pas se voiler la face. C’est comme dans beaucoup d’autres entreprises, le haut management est le premier bénéficiaire de ce type d’opération qu’il initie lui même : Prime, retention bonus, stocks options, CV plus étoffé, réseau de relations etc ….
Sinon, je ne vois pas comment expliqué de tels comportements.
A+
Zeb
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InvestisseurHeureux, en 2012 a écrit :
Oui !
D’ailleurs, pour avoir utilisé la publicité Facebook pendant un mois, j’ai abandonné.
Le taux de conversion est mauvais et le clic super cher.
J’ai aussi testé la publicité "intra-facebook". Une publicité pour obtenir des "j’aime" sur une fan page.
Et la fan page est ensuite sensée ramener du trafic sur le site original.
Sauf que ce trafic se converti hyper mal en achat, car les utilisateurs de FB ne sont pas du tout dans cette logique quand ils utilisent FB.
Pire : je m’étais cassé la tête a faire une belle fan page et dernièrement FB a changé unilatéralement le design de celle-ci pour un truc horrible et incompréhensible.
Du coup là on a stoppé tout investissement dans FB. On maintient la fan page mais sans plus.
FB est additif, mais le modèle actuel basé sur la publicité ne marche simplement pas.
Quelques années après je reviens sur mon propos.
FB est devenu incontournable. Tous les webmasters indépendants que je connais font maintenant de la publicité via FB pour acquérir des fans.
Les internautes sont de moins en moins internautes. Ils semblent passer de plus en plus de temps sur FB ou YouTube (et quelques autres sites leaders) via leur tablettes ou smartphone et de moins en moins de temps sur l’internet en général.
Du coup une présence sur FB est indispensable.
Auparavant on pouvait importer des listes de contacts en masse sur FB. Ce n’est plus possible : la seule façon d’obtenir vraiment bcp de fans est de payer !
Compte-tenu de l’augmentation du flux de trésorerie opérationnel, peut-être que d’autres webmasters pensent la même chose :
Par contre, la valorisation de FB reste très (trop ?) élevée :
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5 ans et demi après le début de la discussion Facebook vaut plus de 300 $Md …
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Eh bien en tant qu’initiateur de cette file il y a cinq ans, mon avis n’a pas changé ! Même avec 1,88 Md$ de cash flow, ça ne vaut pas 300 Md$ de capitalisation (292 Md$ précisément, en ce moment).
Mais même si on met de côté le prix, je trouve aussi que cette société n’a aucun avantage concurrentiel fort. Ce n’est pas parce qu’il y a un milliard ou plus d’utilisateurs qu’ils ne vont pas passer à autre chose demain.
Beaucoup disent que Facebook va profiter de ce volume d’utilisateurs pour proposer des services où les clients sont plus captifs (ex : services bancaires). Mais je n’enterrai pas les banques traditionnelles de sitôt… Une autre possibilité serait de développer des services d’accès à Internet, puisque beaucoup d’utilisateurs utilisent Internet pour en fait utiliser FB. Connaissant bien le métier, je sais qu’ils ont le volume pour se lancer dans l’activité mais pendant pas mal d’années ils devront se reposer sur un opérateur d’infrastructure existant (= qui possède les câbles), ce qui ne rendra pas les clients tellement captifs.
Sinon voilà un petit graphe intéressant, la répartition du trafic d’un fournisseur d’accès à l’heure de pointe (22 h 00), en fonction des réseaux source.
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Je me connecte tous les jours sur facebook mais je poste très rarement et je n’y reste en moyenne que quelques minutes pour suivre l’actualités de mes contacts.
Je ne partage pas votre avis quand vous dites que facebook n’a aucun avantage concurrentiel fort !
Au contraire le réseau d’utilisateurs de facebooks est précisément ce qui donne à facebook son moat impossible à répliquer car pour migrer sur une autre plateforme sociale, il faudrait que nos contacts y soient déjà tous présents et actifs.
On a bien vu ce qui s’est passé avec Google plus : bien que la plateforme était tout aussi pratique et ergonomique soit il n’y avait pas tous les contacts soit ils ne postaient pas aussi régulièrement.
En effet placez-vous dans la peau d’un utilisateur de réseau social : allez-vous prendre la peine de vous connecter sur plusieurs plateforme pour poster le même contenu et voir à peu près la même chose si vous avez les même contacts ?
Certainement pas, autrement dit il ne peut pas se développer de plateforme concurrente car même si il y avait une innovation majeure , facebook soit rachèterai son concurrent soit développerait quelque chose de similaire sur sa plateforme bien avant que son concurrent n’ait eu l’occasion de rassembler suffisamment de membres pour avoir la taille critique et grossir par effet boule de neige (plus il y a d’utilisateurs plus la plateforme attire les nouveaux et plus il y a d’intérêt à s’y connecter car le contenu et le nombre de relations s’agrandit).
D’autre part facebook finira bien, à force d’essais par trouver une méthode de monétisation efficace , les idées ne manquent pas : bouton achat directement sur facebook pour se transformer en e-retailer ou apporteur d’affaires, services bancaires d’envoi d’argent, publicités ciblées, connections sécurisée aux autres sites internet, site de rencontre, application tierces et jeux sociaux…
Je pense aussi que facebook voudrait devenir le compte de connexion principal qui servirait à se connecter à tous les autres services et applications web devenant ainsi de plus en plus dominant et nécessaire.
Dernière modification par gilgamesh (05/11/2015 21h04)
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Derival a écrit :
Mais même si on met de côté le prix, je trouve aussi que cette société n’a aucun avantage concurrentiel fort.
Bonjour Derival,
Je pense que vous vous trompez et que vous sous-estimez l’importance de l’effet réseau …
Cet avantage concurrentiels protège efficacement la société de ses concurrents pour le moment .
La valorisation me parait excessive mais c’est une formidable société .
Facebook privilège la croissance de ses utilisateurs et minimise ses revenus (la publicité par exemple) afin de ne pas nuire à son expansion et ainsi distancer toujours plus ses concurrents en augmentant l’importance de son avantage concurrentiel .
N’importe qui pourrait faire cracher rapidement des milliards de bénéfice par an à Facebook mais cela risquerai de ralentir la société ou de détériorer sa position à long terme.
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Derival a écrit :
Mais même si on met de côté le prix, je trouve aussi que cette société n’a aucun avantage concurrentiel fort. Ce n’est pas parce qu’il y a un milliard ou plus d’utilisateurs qu’ils ne vont pas passer à autre chose demain.
Ils ont quand même 2 avantages importants :
- Les likes et les systèmes de commentaire avec login Facebook sur d’autres sites leur procurent une source de datamining extrêmement difficile à égaler, ça devient un monopole naturel. Et c’est le nerf de la guerre, parce que monétisable facilement. Même Google commence à sentir la pression, les pubs sur Facebook sont semble t’il beaucoup plus rentables.
- C’est un réseau plutôt "sticky". Si vos pairs sont sur Facebook, vous n’avez guère le choix.
Cela dit, quand les parents sont sur Facebook, les ados commencent à se détourner vers d’autres réseaux. Il n’y a qu’a se rappeler l’ascension de Myspace et la gamelle qui a suivi.
Leur valorisation inclue une monétisation forte des utilisateurs, mais en dehors de la pub, de plus en plus rejetée, je ne vois pas bien ce qui pourrait réellement faire la différence. Je suis donc d’accord que la valorisation est quasi délirante. Mais celle de Twitter et de la plupart des nouveaux entrants internet est encore pire, donc il y a peu être quelque chose que je ne vois pas.
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Facebook dispose de plus d’1Milliards d’utilisateurs actifs par mois et récolte un nombre incommensurable de données sur la vie privée des gens et leurs intérêts.
C’est un avantage certain. D’autant plus que l’exploitation de toute ses données n’est pas du tout achevée.
Il y a donc une spéculation sur la valeur.
Cela durera tant que quelqu’un sera prêt à les acheter encore plus cher.
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Je fonde mon avis sur plusieurs évènements passés.
Facebook n’est pas le premier réseau social à avoir connu un succès planétaire. Un des premiers était Orkut (que tout le monde a oublié aujourd’hui). Par ailleurs, il y a encore quelques années tout le monde avait un compte sur MSN. N’importe qui ayant travaillé dans un bureau partagé a eu ses journées ponctuées par les bruits agaçants de l’application. Lorsque Facebook a développé son module de chat, contact-list ou pas, les gens ont abandonné MSN. Ce qui s’est produit se reproduira, et Facebook pourrait connaître le même désaffection soudaine.
Racheter les concurrents à coups d’échange/émissions de titres avec des actions sur-valorisées a ses limites… Notamment le contrôle de la société. Au bout d’un moment, si les dirigeants n’ont plus assez de capital pour décider comment allouer ce même capital, c’est ennuyeux.
Il semble aussi que ça n’ennuie personne, du moins parmi les social media addict, de vérifier son compte Facebook ET son compte Twitter, avec probablement beaucoup de contacts identiques.
Par ailleurs, essayer de dresser un profil d’utilisateur me paraît extrêmement complexe. Du fait de certaines de mes habitudes d’achat, on pourrait en déduire que je suis en couple ou que j’ai des enfants, ce n’est pas le cas - et les sites marchands tombent allègrement dans le panneau. Même le leader, Amazon, tape complètement à côté quand il m’envoie des e-mails. Mon avis c’est que les données des utilisateurs, ça ne vaut rien.
Enfin il y a énormément de bruit. Tout ce bruit est stocké, décortiqué, analysé pour rien. Allez faire un tour sur zeros-sociaux.fr pour vous faire une idée.
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Derival a écrit :
Facebook n’est pas le premier réseau social à avoir connu un succès planétaire. Un des premiers était Orkut (que tout le monde a oublié aujourd’hui).
Comparer 50 millions d’utilisateurs totaux (dont la moitié au Brésil, semblerait-il) à 1.5 milliards mensuels ne me semble pas pertinent.
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Idem pour Myspace qui tournait à 100 millions d’utilisateurs au plus haut de sa forme.
On est pas du tout sur la même échelle de grandeur…
En 2009 je pensais comme vous concernant cet effet de mode Facebook qui passera. Aujourd’hui je pense m’être trompé. Facebook a bien négocié le virage mobile/tablette, le service évoluera certainement mais je ne les vois plus disparaitre.
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En tous les cas j’ai redépensé en Octobre 1500 € de publicité sur FB pour mon site eCommerce pour rien, exactement comme en 2012.
Si la page liée au site a bien gagné 10 k fans, avec une augmentation de la portée des news et du nombre de partages, le trafic reste cantonné à FB et j’ai très peu de trafic sortant.
On a l’impression que les utilisateurs de FB ne veulent plus en sortir, sauf pour regarder des vidéos YouTube.
C’est sans doute très bien pour FB (les utilisateurs sont clairement des captifs consentants), mais cette fois-ci c’était bien la dernière fois que je mettais de l’argent dessus : car à part pour une hypothétique hausse de la notoriété, niveau business ça ne me rapporte rien de concret.
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Derival a écrit :
Racheter les concurrents à coups d’échange/émissions de titres avec des actions sur-valorisées a ses limites… Notamment le contrôle de la société. Au bout d’un moment, si les dirigeants n’ont plus assez de capital pour décider comment allouer ce même capital, c’est ennuyeux.
Avec une émission d’actions à vote multiple comme Google par exemple , ce scénario peut durer encore longtemps…
Honnêtement je trouve que 300Mds est une valorisation astronomique pour Facebook et je ne dormirai pas paisiblement si je détenais une participation de l’entreprise .
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Très dur de mettre une juste valeur sur FB : aujourd’hui, FB génère 20 USD d’EBITDA par membre aux US. Le capex de maintenance par membre de ce business est extrêmement faible. L’EBITDA par membre dans le monde ne fait que croître. C’est beaucoup moins dans le reste du monde.
Ainsi, la question que l’on se pose plus ou moins est la suivante : quel multiple d’EBITDA assigner par membre pour quel nombre normalisé de membres ?
Le marché valorisait FB à moins de 250 $ par membre la dernière fois que j’ai regardé. Est-ce trop ou pas assez ? Cela dépendra de la croissance à la fois du nombre de membres et de l’EBITDA moyen par membre.
Ce qu’on peut en dire, c’est que lorsque le marché en donnait 60 $ par membre, c’était plus que raisonnable (dommage, je n’étais pas suffisamment intelligent pour le comprendre à l’époque). Aujourd’hui, cela se discute davantage, mais si FB arrive à continuer sa croissance de l’EBITDA par membre, c’est peut être raisonnable tout de même.
Si FB parvient à maintenir sa position compétitive (difficile de voir comment les déloger, mais il faut tout de même s’en assurer), ce sera un business d’exception (possiblement le meilleur business au monde ?)…