LIVRE - L'investissement immobilier locatif intelligent

Merci pour votre retour.

- Sur l’intro, je vois un peu ce que vous voulez dire, sûrement le moment où je compare aux vendeurs de vidéos ou à ceux qui font des formations 3 mois après avoir acheté un seul bien.

Même si j’avoue que comme je ne me souvenais plus de l’introduction, j’ai été la relire, et au moment où j’ai lu message, j’avais eu peur de trouver qqch de plus flagrant au moment où je la relirais.

On peut effectivement le lire comme vous l’avez lu (et je ne critique cela en rien), mais je pense qu’une majorité de lecteur ne l’interpréterait pas de cette façon.

- Sur la partie choix du locataire, ce n’est en revanche pas dans le sens "moi je fais ça, mieux que les autres" qu’il faut le comprendre. Je déclare effectivement que je dis souvent lors d’une visite " je ne retiens pas 50 € pour un trou dans le mur que j’invente comme certaines agences", mais ce n’est pas pour faire passer le message "moi et pas eux" mais bien comme expliqué ensuite un exemple pour :

   1. Mettre le locataire en confiance et l’amener à parler (j’ai vécu ce genre de situations en tant que locataire par des agences et souvent eux aussi, car c’est malheureusement une pratique fréquente qui a tendance à bien énerver car profondément injuste…) .
Et c’est une fois cette barrière tombée entre candidat-locataire et bailleur que j’en apprends en général beaucoup. Pas plus tard que la semaine dernière, un couple au départ peu disert, m’a confié une fois cette barrière tombée et avoir fait "ami-ami" avec moi qu’ils fraudaient les APL. Autant dire qu’ils ne seront pas mes locataires…

  2. Insister par contraste sur les points sur lesquels je suis intransigeant ("je suis cool sur ça contrairement aux agences, mais là par contre je suis ferme") : le paiement du loyer en temps en et en heure, et le rendu d’un appartement ménage fait / pas défoncé-modifié qui donnera lieu à restitution de la caution.

Je peux confesser une propension à faire les choses différemment des autres et parfois même apprécier cela (ma personnalité INTJ…) et peut-être que certaines des phrases du livres sur lesquelles vous avez tiqué viennent de cet aspect là, mais en général je ne prétends en revanche pas que c’est forcément une façon supérieure de les faire rassurez-vous…

Juste par curiosité, avez-vous lu beaucoup d’autres livres sur le sujet ? (pour voir si c’est une impression "vierge de référence comparable" ou par comparaison à d’autres quand vous dîtes "dans une fnac je ne l’aurais sûrement pas acheté" ? Car si certains autres n’ont peut-être pas cet écueil, j’en connais un ou 2 qui à mon sens font bien pire sur ce point là…Ouie je commence à dire qqch de proche de "eux pire que moi", je tends le bâton pour me faire battre, il est temps que j’arrête ma prose… ).

Dernière modification par julien (19/02/2018 19h12)

Julien est modeste sur cette file de discussion, mais son livre fait un vrai carton sur Amazon, aussi bien dans les ventes que les commentaires des lecteurs :



En décembre 2017, après sa lecture, j’écrivais :

InvestisseurHeureux a écrit :

Bravo à vous et j’espère sincèrement qu’il deviendra un best-seller.

On ne doit pas en être loin. ;-)

J’ai terminé le livre. Une partie était connu pour moi mais j’ai appris énormément de chose avec ce livre. C’est exactement ce que je cherchais : Un livre plus pointu et moins "théorique" comme peut l’être dans un autre registre que l’immobilier "la semaine de 4h". Merci !

julien a écrit :

Bref, les éditeurs traditionnels, quand vous en auriez besoin car vous n’êtes pas connu, ils ne prennent pas de risque. Et quand vous n’avez plus besoin d’eux car vous vous êtes auto-marketé, ils viennent à la charge .

Et j’avoue m’être habitué à l’autoédition. Le fait de maîtriser parfaitement ce que je fais, de l’écriture à la vente en passant par la mise en page, est quelque chose que j’apprécie beaucoup.

C’est ça. Et cela montre bien que le rapport de force a changé.

Ce qui se passe avec l’auto-édition, on le voit aussi sur certains produits physiques. Les marques peuvent se passer des distributeurs et vendre directement via Amazon en touchant un public plus large qu’avec leur site propre site Web.

DDtee, pour vous répondre.

Cette stratégie pourrait effectivement s’envisager.

Vous dites que d’après les chiffres du ministère de la culture ne s’intéresser qu’aux ventes par internet c’est délaisser plus de 80% du marché".

Mais ce que je souhaiterais pouvoir avoir c’est ce chiffre concernant les livres de non fiction. Intuitivement, j’aurais tendance à supposer que quelqu’un qui cherche un livre spécifiquement pour se former à l’immobilier va aller plus facilement voir sur Internet que celui qui cherche un roman pour passer le temps (et qui va se le faire conseiller par son libraire, ou acheter celui qu’il a aperçu en flânant par hasard dans une fnac un samedi après-midi).
Donc j’aurais tendance à penser que pour la non-fiction on ne se prive pas ainsi de 80% du marché, mais ça reste purement intuitif. Et à part  avoir les chiffres de quelqu’un  qui aurait suivi cette démarche  (écrit un livre de non-fiction en auto-édition puis être passé à l’édition traditionnelle dans un 2nd temps sur un même livre), je ne vois pas comment confirmer ou infirmer cette intuition.

DDtee a écrit :

"Il faut préciser que très peu d’éditeurs ont les moyens/possibilités d’accès aux grands distributeurs. Seuls les grands éditeurs sont en capacité de placer un ouvrage auprès des Fnac, Leclerc et compagnies".

L’éditeur qui m’a contacté en premier lieu était un petit éditeur (plutôt spécialisé livres finances, entrepreneuriat) : par curiosité, j’ai été voir à ma fnac provinciale si ses livres étaient présents et comment ils étaient positionnés. Eh bien à ma grande surprise, l’un d’entre eux n’était pas planqué dans les rayons mais trônait bien en vue sur le présentoir "Economie" !

Ce que je n’avais pas dit, c’est qu’il y a malgré cela un autre aspect qui m’a malgré tout un peu arrêté avec cet éditeur : le coté sulfureux de certains autres auteurs qu’il édite et de ses méthodes : avantages donnés si et seulement si le lecteur a mis un commentaire 5 étoiles (c’est normalement interdit par Amazon mais en pratique ça marche et biaise la note…), auteurs dont le livre est en premier lieu un produit d’appel pour une formation à 2000 balles (je ne parle pas de simple upselling - après tout pourquoi pas - mais bien de cas où le livre justifie moyennement son existence en tant que tel), etc.
Bref, en sus des doutes sur l’effet sur le nombre de ventes, je me suis dit qu’avec cet éditeur-là ça risquait de nuire à mon image, et j’ai coupé court aux discussions.…

Dernière modification par julien (29/03/2018 16h25)

DDtee a écrit :

Rhoo la littérature est de mon point de vue bien plus importante qu’un passe temps.

Je me suis mal exprimé. Surtout que désormais en tant qu’auteur je mesure les efforts qu’il y a derrière l’écriture d’un livre. Encore + pour de la non-fiction que je ne saurais pas écrire.

Même les B.Ds sont plus qu’un passe temps pour moi. Ouïe je crois que je viens de comparer la B.D à la littérature : je ressors là, non ?

Merci Dl78 pour le retour et content si le livre a pu vous aider.

Pour les coquilles, bien vu ! Et pourtant j’en ai déjà considéré un certain nombre, on croit qu’il n’y en a plus, puis on s’aperçoit qu’il en reste toujours quelques-unes. Grâce à vos retours et l’accès en direct à mes lecteurs, j’espère qu’on finira par atteindre la perfection syntaxique. Même mieux que chez un éditeur traditionnel (où les corrections orthographiques sont d’ailleurs, il est vrai, parfois bâclées).

Dernière modification par julien (06/04/2018 20h31)

Oups elle fait mal celle-là, et elle était effectivement passée jusque-là à travers. Un copie-collé hâtif de la partie sur le micro-foncier probablement…

Je corrige de ce pas… Merci potterthekiller pour ce retour et votre oeil vigilant.

Dernière modification par julien (16/04/2018 10h59)

Excellent livre (version papier), clair et qui semble aborder pédagogiquement les différents aspects. Je n’ai pas d’autre point de comparaison, mais suis vraiment satisfait d’avoir pu avoir une information structurée sur le sujet.

Si je peux me permettre une remarque de style: j’ai trouvé insupportable le nombre de fois que revient "intelligent" dans les premiers chapitres. J’avoue que si je n’avais pas connu votre livre sur ce forum, j’aurais sans doute arrêté de le lire et l’aurais mis à la poubelle! Sans doute est-on plus ou moins sensible à ce genre de choses, mais c’est dommage car ça jette une grosse suspicion sur le fond.
Critique purement à visée constructive, j’espère que vous n’en prendrez pas ombrage.

Le livre fait une 1ère apparition aujourd’hui dans le top 100 Amazon en livres papier, toutes catégories de livres confondues.



J’avais rapidement flirté avec cela pour l’édition Kindle lors de la promo de lancement, mais pour une version papier de l’un de mes livres, c’est une grande première ! Même si cette apparition ne sera peut-être que furtive, c’est une réjouissante satisfaction.

Merci à tous les IH qui sont nombreux parmi les lecteurs !

PS  : en espérant que ça ne fasse pas trop "pub", mais comme IH m’a trouvé, je cite,"discret" sur le succès du livre dans l’un de ces messages ci-dessus, je me suis senti autorisé à relater ici cette petite fierté.

EDIT : supprimé

Dernière modification par julien (27/06/2018 21h27)

Bonjour Julien,

Je suis en train de lire votre livre qui est vraiment formidable pour une novice comme moi. Il est clair, explicatif, concret et surtout passionnant.
J’avais cependant une question (je m’excuse par avance auprès de tous les lecteurs avertis du forum si elle parait stupide. Newbie que je suis):
- Vous parlez dans le chapitre F4, du risque raisonnable. Prendre le loyer hors charges X12 mois, puis par 20 ans devrait être égal au montant à ne pas dépasser de l’investissement. On est bien d’accord que c’est l’investissement total (achat du bien + frais de notaires + travaux)
Cette petite formule que vous nous donnez est tellement pertinente que je voudrais être sûr de bien la comprendre

Merci et encore désolée
Bonne fin de journée

Oui le lien que vous mentionnez est bien pour les revenus fonciers.

En fait, je vois ce qui s’est passé. Il y a eu copié-collé des 2 parties introductives (de la location nue d’une part, du LMNP d’autre part) pour distinguer régime réel et micro, et la note de bas de page 34 (adéquate au régime nu) a suivi le copié-collé pour faire la note 46.
Autant ces 3 lignes de texte copié-collé peuvent bien être identique pour le LMNP que le BIC, mais par contre pas la note de page.

Moi qui croyais que j’avais fini de corriger les petites coquilles, je suis bon pour faire une nouvelle révision. J’espère que celle que vous avez trouvée est bien cette fois la dernière

Merci de votre vigilance et de m’avoir remonté l’info.