Vibe a écrit :
Job a écrit :
Entendu au JT d’hier
source notaires
- 5% à Paris et - 10% en province
Sur BFM Business (source : Intégrale placement, la semaine dernière), un expert immobilier disait avoir observé des chutes de 15 à 20 % des prix affichés sur le Bon Coin pour l’immobilier parisien.
Oui, cf discussion plus haut dans la file, et notamment cette réponse :
Artosis a écrit :
La personne interviewée évoque Castorus puis cite quelques biens qui ont vu leurs prix baisser. C’est tout à fait habituel de voir des baisses de 10% sur Castorus, virus ou non.
Par ailleurs, concernant le bien dont je faisais part dans ce même message,
je l’ai effectivement négocié (avec succès, compromis signé hier), de 3%.
Artosis a écrit :
Nous assistons à des injections massives de liquidités à l’échelle mondiale. Or, confinement oblige, ces injections n’ont pas pour conséquence un surplus de production. Ceci est clairement inflationniste. A contrario, la crise peut pousser des acteurs économiques à solder des crédits, ce qui est déflationniste. Au doigt mouillé, j’ai envie de croire que le premier effet sera plus important (ce qui serait positif pour les investisseurs immobiliers ayant déjà constitué leur patrimoine : les loyers augmenteraient alors que les mensualités de crédit resteraient fixes). Qu’en pensez-vous ?
Une autre possibilité est que l’argent déversé n’aille pas dans les prix qui composent principalement l’indicateur qu’est l’inflation (cf baisse du pétrole par exemple), et donc que l’inflation n’augmente pas significativement. A la place, l’argent irait vers les actions et/ou l’immobilier, comme suite à la crise de 2008. Dans ce dernier cas, cela resterait gagnant pour les investisseurs immobiliers, non sur le cash flow cette fois-ci mais sur la PV.
Un autre élément à prendre en compte pour l’inflation : en période de confinement, le covid détruit beaucoup l’offre et beaucoup la demande.
A court terme, pas ou peu d’impact sur l’inflation.
Une fois le confinement passé, l’offre pourrait repartir pleinement mais la demande serait impactée par les hésitations / peurs encore présentes dans les esprits. Un sondage récent indique que les Français souhaitent épargner davantage qu’avant la crise. Après, cela sera-t-il suivi d’effets, cela reste à voir.
[url=https://www.sudouest.fr/2020/04/01/economie-le-coronavirus-casse-le-moral-des-francais-7379761-10861.php]Le journal Sud Ouest[/url] a écrit :
53% des personnes interrogées assurent qu’ils vont épargner encore davantage et à [sic] faire plus d’économies.
A moyen terme, effet déflationniste.
A noter une autre info (concernant la bourse) de ce sondage :
Le journal Sud Ouest a écrit :
Néanmoins, 9% des Français envisageraient d’investir en Bourse pour profiter de la baisse actuelle du CAC 40 en attendant un futur rebond.
PS : désolé pour ces auto-citations mais c’est sans doute plus clair pour suivre ainsi.