#1 17/01/2023 15h48
Bonjour,
sur ce forum consacré à l’optimisation du chemin vers l’indépendance financière, les seuls ayant atteint (définitivement pour eux, pouvons nous leur souhaiter ) cet objectif sont rares :
- plusieurs ayant atteint l’objectif ont quitté le forum (peu importe pourquoi)
- plusieurs "cumulent" revenus des investissements + revenus annexes significatifs (activité partielle et/ou retraite)
Bref, sans avoir épluché les pedigrees de chacun, en première lecture j’en trouve trois :
- l’un vit en Espagne
- l’autre, en Colombie
- le dernier, dans le Beaujolais (moi).
Et ce qui m’étonne, c’est que pour les deux premiers, sauf erreur de ma part, le franchissement du pas (accumulation -> consommation) s’est accompagné d’un changement de la stratégie d’allocation des actifs.
C’est d’autant plus paradoxal que si ils ont réussi à atteindre l’objectif de l’indépendance financière, c’est que leurs stratégies respectives lors de la phase d’accumulation correspondait exactement à leurs connaissance/expertise sectorielle/capacité supporter les risques.
Du coup, ma question (à eux deux, mais aussi à tous) est simple : Pourquoi une stratégie gagnante lors de la phase d’accumulation devrait-elle être profondément modifiée lors de la phase de consommation ?
Il y a évidemment des questions d’éloignement géographique pour toute la partie du patrimoine constituée par de l’ immobilier en gestion directe.
Mais, au-delà, pour un patrimoine exclusivement financier, qu’est ce qui pourrait justifier un changement de stratégie ?
Mots-clés : allocation, modification, rentier
Asinus ad lapidem non bis offendit eundem
Hors ligne