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#1 24/03/2013 14h25
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
Bonjour,
Suite à ma présentation Marc77 : présentation, voici mon portefeuille ISA en cours de constitution :
* AIG
* Bank of America
* Exelis
* General Motors
* Howard Hughes
* Sears
* Sears Hometown and Outlet Stores
* Starz
L’objectif est de construire ce portefeuille à partir de situations spin-off ou recovery, selon une approche à la Greenblatt dans You Can Be a Stockmarket Genius.
Je vise une douzaine de lignes avec une mise à jour environ tous les deux mois : la ligne offrant le moins de potentiel est éliminée et une nouvelle spin-off/recovery est introduite.
Mots-clés : greenblatt, isa, recovery, spin-off
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#2 24/03/2013 14h42
- pvbe
- Membre (2010)
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2 mois me semble court, Greenblatt lui-même parle d’un an, et si j’en juge par les titres de votre portefeuilles, une période de garde de quelques années conviendrait mieux
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#3 24/03/2013 14h48
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
Bonjour pvbe,
Je voulais dire que tous les 2 mois une ligne est mise à jour.
Ainsi, en moyenne le portefeuille dans son ensemble se renouvelle tous les 2 ans, ce qui se rapproche de la période préconisée par Greenblatt, comme vous le faites justement remarquer.
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#4 24/03/2013 17h10
- PoliticalAnimal
- Membre (2012)
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Intéressant mais une approche quantitative demande de la rigueur et je n’arrive pas à comprendre comment vous évaluer exactement la phrase "la ligne offrant le moins de potentiel est éliminée", que mettez-vous derrière s’il vous plaît ?
Parrain pédago pour Bourso, Binck et Bourse Directe. Meduse Paris :)
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#5 24/03/2013 18h04
- Sylvain
- Membre (2011)
- Réputation : 203
Tiens !
Intéressant que vous soyez sur Starz et Howard Hugues !
Qu’est-ce qui vous a mis la puce à l’oreille sur ces deux sociétés ?
Pour ma part, si j’ose dire, Starz donne des étoiles dans les yeux avec la régularité des revenus, mais a déjà sacrément monté depuis le spin-off de Liberty Media.
(Au passage, la somme des parties des seules entreprises cotées de Liberty Media est déjà supérieure au cours).
Howard Hugues me semble plus une décote sur la valeur d’actifs, mais je n’ai pas fait de calculs. Ce qui est bien, c’est que la communication est très détaillée, à la fois sur le contenu du bilan (propriété par propriété) et sur les revenus opérationnels (propriété par propriété).
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#6 26/03/2013 00h11
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
PoliticalAnimal a écrit :
Intéressant mais une approche quantitative demande de la rigueur et je n’arrive pas à comprendre comment vous évaluer exactement la phrase "la ligne offrant le moins de potentiel est éliminée", que mettez-vous derrière s’il vous plaît ?
Bonjour PoliticalAnimal,
En effet, pour que cette stratégie soit bien définie, il faudrait pouvoir décrire précisément le processus d’élimination.
Idéalement, ce serait la valeur décotant le moins (surcotant le plus) par rapport à sa valeur intrinsèque (estimée par une méthode ou par une autre). A défaut, cela pourrait être tout simplement la ligne de ratio price to book maximal (un proxy assez médiocre du critère précédent).
C’est encore pour moi un sujet de réflexion.
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#7 26/03/2013 00h23
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
Sylvain a écrit :
Tiens !
Intéressant que vous soyez sur Starz et Howard Hugues !
Qu’est-ce qui vous a mis la puce à l’oreille sur ces deux sociétés ?
Bonjour Sylvain,
Je pense que j’ai dû être guidé par les lettres d’Horizon Kinetics, et plus particulièrement le thème des Dormant Assets.
Starz était presque un no-brainer : un spin-off, provenant de l’univers de John Malone, avec des insiders au management, c’est quasiment un exemple tiré du livre de Greenblatt.
Pour Howard Hughes, la thèse est plus compliquée. Je me suis fondé sur la Book Value comme d’un plancher sur la valorisation, tout en sachant que de nombreuses propriétés possédaient énormément de potentiel de revalorisation (South Street Seaport, Victoria Ward, The Woodlands) et que le management était fortement "incentivisé". C’est certainement une thèse qu’il me faudra préciser, surtout lorsqu’il faudra la considérer en rapport avec les autre (cf message de PoliticalAnimal).
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#8 26/03/2013 10h50
- sergio8000
- Invité
Bonjour,
Starz était d’autant plus presque un exemple du livre de Greenblatt que John Malone était à l’origine de la séparation (comme pour Liberty Media).
En plus, à 7,5 fois le FCF post spin, sans même parler du moat de la société (le marché PTV est un oligopole détenu par 3 sociétés, dont Starz est la plus petite), c’était gratuit. C’est assez génial d’avoir une société qui est capable d’avancer à un studio une somme d’argent importante pour avoir les droits de diffusion et aller la revendre à tous les fournisseurs type DTV ou DISH. Ces deux sociétés ne pourraient pas payer une somme équivalente car elles n’ont accès qu’à leurs propres abonnés : or Starz peut vendre à tout le monde et donc payer bien plus. Le marché est très bien verouillé : une chose que j’aime beaucoup !
#9 30/03/2013 16h19
- valeurbourse
- Membre (2012)
Top 50 Actions/Bourse
Top 50 Obligs/Fonds EUR - Réputation : 264
Bonjour,
joli petit portefeuille orienté actifs cachés. Ce n’est pas vraiment un portefeuille de débutant, ça ;-). Cela a dû vous demander pas mal de temps d’analyse. Comment vous sont venues toutes ces idées ?
J’aime beaucoup toutes ces valeurs, excepté Howard Hugues pour la simple et bonne raison que je ne la connais pas. Si vos choix futurs sont toujours guidés par ce même esprit contrariant et de recherche de "la" bonne valeur, nul doute que vous parviendrez rapidement à vos objectifs.
Bonne continuation.
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#10 02/04/2013 00h12
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
sergio8000 a écrit :
C’est assez génial d’avoir une société qui est capable d’avancer à un studio une somme d’argent importante pour avoir les droits de diffusion et aller la revendre à tous les fournisseurs type DTV ou DISH. Ces deux sociétés ne pourraient pas payer une somme équivalente car elles n’ont accès qu’à leurs propres abonnés : or Starz peut vendre à tout le monde et donc payer bien plus. Le marché est très bien verouillé : une chose que j’aime beaucoup !
Bonjour Sergio,
Merci pour ce commentaire qui éclaire un peu la situation de Starz. J’avoue que pour ma part je me demandais quel était leur pouvoir de négociation. Ils n’ont en effet pas pu renouveler leur contrat avec Disney à cause de la surenchère de Netflix.
Il semblerait également que Starz distribuait du contenu à Netflix (puisqu’une perte de chiffre d’affaire au Q4 2012 est attribuée à la fin de cet accord). Ce qui indiquerait que Starz se trouve pris entre les fournisseurs de contenus et les opérateurs.
Cela ne m’empêche pas de penser que Starz est une entreprise de qualité, avec un management expérimenté, et encore pas trop chère.
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#11 02/04/2013 00h42
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
valeurbourse a écrit :
Bonjour,
joli petit portefeuille orienté actifs cachés. Ce n’est pas vraiment un portefeuille de débutant, ça ;-). Cela a dû vous demander pas mal de temps d’analyse.
Bonjour valeurbourse,
Au risque d’en faire bondir plus d’un sur ce forum, je ne consacre pas énormément de temps à analyser les sociétés qui rentrent dans mon portefeuille.
Le but est de s’approcher autant que possible d’une stratégie automatique pour me protéger de mon principal problème, et même mon pire ennemi (Graham), c’est-à-dire moi-même.
Je le fais en me restreignant à un univers qui m’offre des chances plus favorables, les spin-offs ou recovery. Ensuite, idéalement, il faudrait que les entrées et sorties se fassent sur un ou deux critères simples (prix sur valeur intrinsèque, ou prix sur comptes propres) pour limiter les biais.
Par exemple, pour citer Starz, il aurait été facile de trouver des raisons de douter (cf ma réponse à Sergio). Si je reste quantitatif, je mets les statistiques de mon côté.
Ainsi, pour toutes les sociétés mentionnées dans mon premier message, j’ai un ou deux indicateurs qui me diront si l’investissement va dans le bon sens ou pas.
Par exemple, Sears repose sur la capacité d’Eddie Lampert à monétiser l’immobilier de l’entreprise (thèse d’ailleurs exposée par Bruce Berkowitz). C’est un pari très ambitieux, mais je le trouve intéressant. Là aussi, une analyse poussée m’aurait (peut-être à raison) dissuadé d’investir en raison des nombreuses incertitudes.
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#12 02/04/2013 01h25
- chroom
- Membre (2010)
- Réputation : 14
marc77 a écrit :
Au risque d’en faire bondir plus d’un sur ce forum, je ne consacre pas énormément de temps à analyser les sociétés qui rentrent dans mon portefeuille.
Et tu as bien raison. Trop d’analyse tue l’analyse. Il faut se concentrer sur quelques critères que tu maîtrises bien, plutôt que de se perdre dans des suites de chiffres sans fin. Certains ont peut-être les compétences d’analyser chaque ligne de bilan à la virgule près. Personnellement je n’ai ni le temps, ni l’envie, ni les connaissances suffisantes pour le faire. Et au final, même avec toutes le normes comptables qui sont imposées aux sociétés, on arrive toujours à faire dire à certains chiffres ce qu’on veut qu’ils disent.
marc77 a écrit :
Le but est de s’approcher autant que possible d’une stratégie automatique pour me protéger de mon principal problème, et même mon pire ennemi (Graham), c’est-à-dire moi-même.
Il m’a fallu plusieurs années pour comprendre cela. Le jour où ça a été clair dans ma tête j’ai complètement changé ma manière d’investir, pour que j’arrête systématiquement de me couper l’herbe sous les pieds. Même si ma philosophie d’investissement est éloignée de la tienne, j’ai aussi adopté une stratégie automatique.
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1 #13 04/04/2013 00h06
- valeurbourse
- Membre (2012)
Top 50 Actions/Bourse
Top 50 Obligs/Fonds EUR - Réputation : 264
Bonsoir Marc77 et chroom.
C’est amusant car je pense justement le contraire, et à chacune de mes contre-performances, je me reproche de ne pas avoir plus blindé le dossier. Tout comme vous, mes analyses sont quantitatives, basées sur des règles de bon sens, de prudence, et bien entendu de valorisation.
Mais une analyse approfondie des derniers bilans ou rapports annuels permettent non seulement de s’assurer qu’il n’y a aucun piège, mais surtout de détecter les atouts et les faiblesses de l’entreprise. Et c’est à mon sens cela qui fera que l’investissement sera bon ou très bon. C’est ce qui fera la différence entre +10% et +15% de rentabilité annuelle.
Et enfin, puisque vous dites que "trop" analyser un titre vous ferait revenir sur votre décision prouve que vous avez un vrai sens critique, ce qui finalement n’est pas le cas de tout le monde. Je peux vous assurer que c’est un gros atout. Du coup, je me permets de citer la maxime que je place assez souvent mais qui résume tellement le fond de ma pensée : mieux vaut rater un bel investissement qu’en réussir un mauvais…
Bonne soirée
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1 #14 04/04/2013 23h44
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
Je ne vous contredirai pas, valeurbourse ! Faire une analyse approfondie des sociétés est évidemment un atout précieux afin d’améliorer ses performances d’investisseur. D’ailleurs, plusieurs intervenants sur ce forum en fournissent une illustration convaincante.
Chacun doit s’efforcer de mettre en place les garde-fous qui le protègeront de ses propres biais. La méthode statistique n’est ni la seule, ni la meilleure, mais c’est celle que j’ai choisie pour le moment.
En parlant de méthode statistique, vous mettez en oeuvre sur votre site une stratégie "Mégots de Cigare" chère à Graham (et qui m’a été rendue également sympathique par l’Equipe des Daubasses).
C’est une des caractéristiques de cette stratégie qu’elle fonctionne "en moyenne", mais que "statistiquement", elle conduit aussi à investir dans des sociétés qui ne prospéreront jamais (ce pourquoi Graham recommandait de vendre au bout de deux ans celles qui n’avaient pas rejoint leur valur net-net).
Vous vous "reprochez [vos] contre-performances", mais finalement n’est-ce pas nier que chaque investissement (surtout Mégot de Cigare !) comporte une part d’incertitude irréductible ?
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3 #15 05/04/2013 00h26
- valeurbourse
- Membre (2012)
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Bonsoir Marc,
vous touchez du doigt un des points les plus essentiels de l’approche Mégot de cigare : définition du risque et diversification. Que de discussions et débats ont eu lieu à ce sujet… Je ne vais pas refaire le monde ici, mais vous proposer le fruit de quelques-unes de mes réflexions à ce sujet.
Le risque n’est pas le même en fonction de l’investissement qui est fait. Le risque, à mon sens, d’acheter :
1 - des parts d’une entreprise rentable, est des les payer trop chers
2 - des parts d’une entreprise de croissance est que la croissance ne soit jamais au rendez-vous
3 - des parts d’un mégot de cigare, est celui de la faillite
Et dans tous les cas, il y a le risque de passer à côté d’un élément important pouvant expliquer en totalité ou en partie le rabais sur le titre.
Je pense être en mesure de maîtriser le risque dans le premier cas en me protégeant avec des ratios comme le PER ou le P/CF. En revanche, je ne sais absolument pas me couvrir contre le risque de la panne de croissance. Quant au risque de faillite, comme vous le dites si bien, la diversification est la clef, les statistiques jouant effectivement en ma faveur. Mais ce n’est pas la seule arme, car elle permet seulement à l’investisseur particulier ne disposant pas de suffisamment de temps d’obtenir des performances très convenables. Et c’est d’ailleurs le piège de cette approche. Car sous prétexte que les statistiques des nets-nets sont très favorables, il y a le biais d’être moins regardant sur ce que l’on achète.
L’idée est donc de partir d’une stratégie en moyenne gagnante pour l’affiner jusqu’à obtenir une stratégie "presque sûrement" gagnante. Et c’est là la force des Daubasses : ils ne se contentent pas de remplir leur panier au hasard, car ils vont plus loin, beaucoup plus loin, avec une analyse approfondie, resserrant encore plus les filtres, permettant ainsi d’écarter les boulets, et donc, mécaniquement, d’obtenir une meilleure performance.
Bref, je vous rejoins sans écart sur le choix d’une méthode appliquée avec rigueur et sans compromis avec comme objectif de "se protéger de ses biais comportementaux", mais cette méthode peut ne pas être que statistique (ou chiffrée) : elle peut en plus s’appuyer sur des règles qualitatives simples et des raisonnements ponctuels.
C’est justement ce que mon collègue et moi nous essayons de faire…
Bonne soirée
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#16 15/06/2013 16h18
- jfmorissette
- Membre (2012)
- Réputation : 4
Bonjour Marc, joli portefeuille!
Vous pourriez nous donner un peu de viande concernant votre investissement dans Sears? Quelle est la valeur plancher selon vous? Vous y êtes pour la thèse liquidative ou vous croyez en un certain revirement? Et comment avez-vous réparti votre investissement entre la maison-mère et la division Hometown & Outlet? Et Sears Canada vous avez regardé?
Merci et au plaisir!
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2 #17 17/06/2013 23h58
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
Bonsoir JF,
Mon approche de Sears est assez simple. Il y a là énormément d’actifs, surtout immobiliers, et un CEO qui est justement un allocateur d’actifs hors pair et a une grand expérience du retail.
Cela me conforte d’investir aux côtés de Bruce Berkowitz, de Murray Stahl et Steven Bregman, ainsi que du fond Baker Street.
Ceci dit, je n’ai pas de valeur plancher pour Sears. Je pense que cela peut extrêmement bien tourner (monétisation de l’immobilier, rentabilisation des magasins, reprise de l’immobilier et donc des ventes de bien d’équipement), tout comme cela peut être un échec. Je doute qu’aujourd’hui quiconque puisse affirmer quelle stratégie permettra de réaliser le mieux la valeur des actifs de Sears. Si c’était possible au sein de mon compte ISA, je pense que je préfèrerais investir via un long dated call pour limiter le downside.
Initialement j’avais investi à parts égales dans SHLD et SHOS, mais maintenant le spin-off représente à peu près deux fois le poids du parent, ce qui me convient.
Sears Canada, je n’ai pas regardé. Je jugeais être déjà suffisamment exposé à Sears en particulier, et à l’immobilier US en général. Peut-être aurais-je dû.
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#18 18/06/2013 03h33
- jfmorissette
- Membre (2012)
- Réputation : 4
Bonsoir Marc,
concernant le fait que ça peut extrêmement bien tourner comme ça peut être un échec, je comprends ce que vous voulez dire. Je vois bien qu’il y a possibilité de beaucoup de valeur dans Sears, mais ça pouvait bien être le cas pour ceux qui ont investi depuis bien longtemps avec Lampert, mais la fusion de Sears et Kmart commence à dater…et le plan n’est toujours pas claire sur la façon de monétiser ces actifs, quoiqu’il y a plus de mouvement depuis deux ans. J’ai évidemment un peu peur que l’entreprise continue à perdre trop d’argent d’ici à ce que la thèse se réalise, ce qui fait que je ne veux pas payer trop cher pour cette collection d’actifs. Par curiosité, vous êtes entré à quels prix sur SHLD et SHOS? Merci.
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#19 20/06/2013 08h17
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
Mon prix de revient pour SHLD est d’environ 53,50 USD, et pour SHOS d’environ 25,40 USD.
Le CEO de SHOS a acheté 3000 actions le 10 juin a 49 USD, puis d’autres insiders ont encore effectué quelques rachats le 13 juin à 43 USD.
Du côté de SHLD, pas d’achats récents depuis qu’Eddie Lampert a racheté les part que son fond ESL a vendues en mars.
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#20 26/08/2013 12h54
- marc77
- Membre (2013)
- Réputation : 9
Constitution la semaine dernière d’une ligne Ryman Hospitality.
Je m’éloigne un peu des critères que je m’étais initialement fixés (spin-offs et recovery) mais reste néanmoins dans une approche inspiréres par Greenblatt (restructuration pas encore appréciée par le marché).
Merci à Sergio pour avoir présenté cette entreprise. Je me sens maintenant plus confortable avec les clauses de dilutions liées à la Note convertible, et je profite d’un passage vers les $34,50 cours auquel le CEO a déjà procédé par deux fois à des achats importants.
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#21 23/04/2014 12h35
- chris76
- Membre (2010)
- Réputation : 18
Je ne sais pas très bien ou laisser cette news que je n ’avais pas repérée au moment de son annonce…
Exelis - une valeur " Sergio " ;-) - elle même un spin-off de ITT annonce le spin-off de ses activités militaires et gouvernementales…
Exelis announces plan to spin off a new publicly traded military and government services company
AMF ; suis actionnaire Exelis
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