#26 09/06/2011 14h16
- VerbalKint
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“INTP”
Kiceca a écrit :
Comme le francais moyen
Selon Les Echos d’hier: taux d’épargne moyen des français en ce moment: 16% (je suppose, 16 du revenu net AVANT impôts)
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Kiceca a écrit :
Comme le francais moyen
Selon Les Echos d’hier: taux d’épargne moyen des français en ce moment: 16% (je suppose, 16 du revenu net AVANT impôts)
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je garde 25% pour épargne ou dépenses privées, une fois toutes les charges payées/provisionnées (crédits, impôts, factures, nourriture…etc)
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J’épargne environ 40% de mes revenus.
Je suis logé quasi gratuitement et j’ai la chance d’avoir une fiancée pas très dépensière, raisonnable comme moi :-)
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J ’épargne tout ce que je ne dépense pas…et comme je me contente de (très) peu…
les chocs pour moi ont été:
- la description par mes gd parents de leur condition quotidienne..cela il y a 50 -60 ans..
- la connaissance et la mise en perspective avec ma situation de celles de certaines grandes fortunes…
alors j’ai compris que:
- même avec un salaire bien moyen comme le mien, j’ai une une capacité d’investissement assez importante en proportion
- ON RESTE TOUJOURS LE PROLETAIRE DE QUELQU’UN, même avec ce qui est considéré comme un bon salaire pour la grande majorité qui nous/m’entoure
Jean
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Nikki a écrit :
Moi c’est simple : je dépense tout ce dont j’ai envie, et le reste se retrouve naturellement sur le compte.
Comme je n’ai pas d’envies somptuaires, tout se fait naturellement donc je ne me suis jamais posé la question
Mais se fixer un objectif de dépenses / d’investissements, bof.
Idem depuis toujours avec quelques mini-crises de fièvre acheteuse (relatives et en soldes) ou de micros périodes "économie de guerre" où je supprime les dépenses superflues.
Je me surprend aussi quelques fois à être influencé par un "effet richesse" qui m’encourage lorsque mon portefeuille boursier se porte bien à augmenter les dépenses.
jean a écrit :
- ON RESTE TOUJOURS LE PROLETAIRE DE QUELQU’UN, même avec ce qui est considéré comme un bon salaire pour la grande majorité qui nous/m’entoure
Tout à fait vrai, avec le risque lorsque l’on a l’esprit de compétition de toujours regarder vers le haut et donc d’être insatisfait…
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