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#1 23/02/2018 14h22

Membre (2017)
Réputation :   0  

Bonjour,

Je vous présente mon premier projet, signature chez notaire dans 3 semaines.
Pour info je vis seul, j’ai un salaire de 26K net annuel, et je suis endetté à 15% de mon salaire pour ma RP.
Immeuble de rapport en hyper centre d’une ville de plus de 10000 habitant dans le Cher.
Composition :
Local commercial 64 m², refait entièrement récemment, loué 500 dont 100 euros charges (chauffage gaz de ville et eau compris)
Studio 25 m², à rénover (SDB, kitchenette, sol, et 4 fenêtre) loué 330 euros (chauffage gaz de ville et eau compris).
Studio 25 m², à rénover (SDB, kitchenette, sol, et 4 fenêtre) loué 330 euros (chauffage gaz de ville et eau compris).
Studio de 21 m² loué 290 en meublé (eau comprise) rénover moins de 10 ans, seulement un peu de décoration et quelques meubles.
Maison derrière immeuble de 50 m² avec cour privative à réhabilité entièrement (uniquement toitures et ouvrant moins de 5 ans).
Pas de copropriété, taxe foncière élevé 1870 euros/an.

RENTABILITÉ DU BIEN

Rentabilité calculé sur rendement locatif

- Bien : 103000 négocié 83000 pour 183 m² (prix moyen de cette ville m² 1050).
- Travaux estimé : 55 000 selon devis reçu, NON financé pour le moment.   
- 30 000 euros maison sur cours
- 12500 par Studio 25 m² (Cuisine, salle de bain, sol).
- 2000 euros de meuble pour chacun des 2 studios.
- Taux de vacance envisagé : 1 mois par an sur l’ensemble
- Gestion par moi-même
- Pas de frais de copro

- Taxe foncière : 1870€/an
- Assurance PNO : 300€/an, estimé

- Rentabilité brute : loyers / coût du bien avec frais de notaire : (500*12+330*12+330*12+290*12)/83000 + 7300=19,2%, sans le potentiel de la maison F2 et sans travaux

FINANCEMENT DU BIEN

Crédit 86000.
Apport : 7300.
Taux 1,49% sur 20 ans Crédit Mutuelle, je suis passé par un coutier et la première banque m’a planté pour problème de caution …
Par manque de temps pour trouver un partenaire, le courtier et moi avons décidé de partir au plus vite sur un crédit sans travaux (qui faisais peur aux banques, je demandais 45K de travaux aux départ).
Je réfléchis fortement à faire un crédit perso de 10 000 pour des travaux sur 5 ans, car un des studios est en mauvais état et va se libérer.

RÉGIME D’EXPLOITATION
-    Location nue pour le local commercial, lmnp pour le studio meublé, et je veux passer les 2 autres studios en meublé également par la suite qui sont pour le moment en nue.
-    Il faut que je trouve un comptable, malheureusement avec le prélèvement à la source cela va compliquer les choses pour nous d’investir cette année … (50% cout des travaux de 2018-2019 déductibles en 2019, …)
C’est le point noir de mon projet, je comprends bien chaque régime fiscal, par contre les mélanger me pose des interrogations, du coup je vais prendre un comptable rapidement pour qu’il puisse me conseiller.


Je ne parlerais pas de mon cash-flow en détails…

Le but est de rendre de la valeur à l’immeuble, d’augmenter sa rentabilité, d’optimiser la fiscalité, de maitriser la rénovation et les partenaires., et bien sûr d’apprendre toujours plus !

J’ai utilisé le site rendementlocatif, mais impossible de « variés » les impositions sur un seul bien.
Rapide calcul inexact et sous-estimé car pris entièrement au régime réel et sans aucun travaux pour créer déficit foncier avec 1 mois de vacance locative :

1165 loyer – 400 euro d’emprunt -313 impôts (TMI à 30, et CSG) – 230 euros charges (TF et 1000 frais année) = 222 euros cashflow mensuel

Au final il me reste :
Optimiser l’imposition,
Financer mes travaux, et les faire faire.
Réhabilitez le F2 (30 000 euros travaux), hyper centre avec une grande cour me permettrais de rentrer 450 euros de loyer supplémentaires.

Que pensez-vous de mon projet, déjà bien avancé ?!

Mots-clés : immeuble de rapport, immobilier, locatif

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#2 23/02/2018 14h37

Membre (2015)
Réputation :   73  

Il me semble que vous oubliez de comptabiliser les travaux dans votre calcul de rentabilité brute.
On descend du coup sous les 10% , même si la maison n’est pas comptée dans vos calculs (A quel loyer pourriez vous la louer une fois terminée ) ?

Dernière modification par yademo (23/02/2018 14h38)


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#3 23/02/2018 15h07

Membre (2017)
Réputation :   0  

Merci d’avoir pris le temps de lire,

Effectivement je n’ai pas compté la maison, ni les travaux du coups dans aucun calcul :
Voila le calcul :

Rentabilité brute : loyers / coût du bien avec frais de notaire :

(450*12+500*12+330*12+330*12+290*12)/83000 + 7300+ 30000=18,9%.

En faite le rendement baisse un poil, mais le Cash flow s’envole …

De même je n’ai pas fait de calcul pour les 2 appartements une fois rénovée (12 500 chacun) + 2000 euros de meubles, les loyers s’en trouveraient également modifié comme suit :

(450*12+500*12+380*12+380*12+290*12)/(83000 + 7300+ 30000+12500+12500+2000+2000)=16%.
La j’aurais simplement un bien de meilleur qualité et beaucoup de charges déductibles !
Ainsi qu’une relocation facilité.

On est toujours bien au dessus de vos 10% de renta brut.

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#4 23/02/2018 15h23

Membre (2015)
Réputation :   73  

C’est votre dernier calcul qui fait foi pour le calcul du rendement brut.
Il faut ensuite calculer votre rentabilité nette de charges, puis votre rentabilité nette d’impots et PS.
Par ailleurs, vous allez mixer plusieurs types de biens : commerces, location nue sous le régime foncier, studio meublé en LMNP.
Tout cela est à calculer.
L’amortissement du LMNP notamment ne pourra pas s’appliquer à tout l’immeuble.


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[+1]    #5 24/02/2018 06h27

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Le projet semble intéressant.

Un point de vigilance : l’immeuble a-t-il suffisamment de compteurs ? Logiquement, il devrait y avoir un compteur d’électricité pour chaque lot + un pour les parties communes. Et un compteur gaz pour chaque lot chauffé au gaz. Avoir un compteur d’eau par lot n’est pas du tout obligatoire en revanche, la répartition selon une clé de répartition (pro-rata des surfaces par exemple) est fréquente et admise.

Le gros point noir, c’est de ne pas arriver à financer les travaux nécessaires. Il eut été nécessaire d’avoir au moins une banque qui accepte de financer l’achat et les travaux. Maintenant que vous allez être doublement endetté (RP + cet immeuble), les banques accepteront-elles de vous prêter à nouveau ?

Ce qui relativise un peu ce point noir, c’est que c’est déjà loué même sans travaux (sauf la maison). Il est donc envisageable de commencer comme ça puis de faire des travaux au fil du temps et des moyens financiers (par exemple étalé sur 5 à 10 ans). En gros, n’espérez aucun cashflow positif pendant 10 ans, parce que vous allez réinvestir ce cashflow (et même plus) dans les travaux.

L’autre inconvénient d’étaler les travaux, c’est que ça dilue les soucis dans le temps. En faisant tous les travaux d’un coup, vous auriez pu espérer quelques mois intenses en travaux et formalités, puis une gestion relativement simple et sereine. Là, vous en prenez pour 5 à 10 ans à devoir financer les travaux, suivre les travaux, suivre les changements de fiscalité du passage nu à meublé, etc. Avantage : vous gagnerez fortement en expérience au fil du temps, ça sera très formateur ; inconvénient : 5 à 10 ans de souci, paperasses, et une gestion bien moins simple et sereine que si tout avait été fait dès le début.

Pour la fiscalité applicable à chaque local, c’est simple, vous considérez ce local isolément. Il a coûté tant, il a tant de recettes et tant de charges… Pour les charges des parties communes, répartition au pro-rata des surfaces (ou, le cas échéant, avec une autre clé de répartition plus pertinente).

Un autre point de vigilance, c’est que vous comptez les loyers charges comprises. Or :
- en location nue, les charges locatives ne font que transiter par vous, elles ne vous rapportent ni ne vous coûtent. De plus, le loyer à déclarer comme revenu foncier est le loyer HC. Vous devriez donc compter les loyers HC et faire vos calculs de rentabilité sur cette base. Le loyer CC n’a aucune pertinence en location nue et vous conduit à surestimer la rentabilité. La rentabilité brute d’un bien loué nu, c’est loyer HC annuel / coût total d’achat.
- en location meublée, fiscalement vous êtes imposé sur les "recettes" = loyer CC. Raisonner sur le loyer CC est donc pertinent dans ce cas ; il n’en reste pas moins que les charges locatives ne font que transiter par vous, elles ne vous rapportent ni ne vous coûtent. Si vous comptez les loyers CC vous devriez évidemment déduire les charges dans votre calcul de rentabilité, sous peine de surestimer la rentabilité. Ce qui revient finalement à compter le loyer HC.

Pour être clair et précis, à mon humble avis, vu que vous ne pouvez pas faire les travaux tout de suite, votre rentabilité brute calculée sur l’ensemble de l’immeuble devrait être :
somme des loyer HC actuels / coût d’achat total.

Enfin, la question du passage en meublé. En LMNP au réel :
- si le local est loué meublé dès le début, vous inscrivez en amortissement son coût réel : achat + frais de notaire etc. + travaux relatifs à ce local. Vu qu’il n’y a qu’un seul studio loué meublé, votre comptable établira donc sa valeur à amortir, en prenant le coût total d’achat de l’immeuble puis en faisant un pro-rata des surfaces. A moins que l’acte authentique de vente ne distingue un coût d’achat pour chaque local, ce qui serait pratique ! Discutez-en avec votre notaire pour savoir si c’est possible.
- pour les autres studios, qui seront probablement passés en meublé sur des exercices comptables différents, la règle est qu’il faut alors les amortir à leur valeur vénale (=valeur de revente net vendeur) au moment du passage en meublé. Vous perdez la possibilité d’inscrire en amortissement les frais liés à l’acquisition (frais de notaire etc.) mais dans votre cas, je suppose que la valeur vénale sera supérieure à la valeur d’achat vu que vous payez l’ensemble vraiment pas cher.
Au total, passer ces studios en meublés seulement au départ des locataires, en faisant travaux et meubles à ce moment-là, me semble plutôt une bonne opération ; ainsi, vous aurez récupéré d’ici-là une petite capacité de financement pour financer travaux et meubles (espérons-le), et vous pourrez amortir la valeur vénale expertisée au moment du passage en meublé, ce qui devrait être plus avantageux que de retenir le prix d’achat.

Du coup, pour le choix du comptable, demandez aux comptables consultés d’établir d’emblée un tarif pour le premier studio + l’augmentation pour chaque studio additionnel. Logiquement, l’ajout de studios supplémentaires devrait être à prix minoré puisque leur compta sera faite "dans la foulée" du premier studio. Ca serait ballot de prendre un comptable à prix intéressant pour le premier studio mais qui se paie ensuite sur les studios suivants, une fois que vous êtes captif chez lui, parce que vous ne lui auriez pas fait établir d’emblée son tarif pour les studios suivants.

Dernière modification par Bernard2K (24/02/2018 06h48)


Il faut que tout change pour que rien ne change

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#6 27/02/2018 13h44

Membre (2017)
Réputation :   0  

Bernard2K a écrit :

Le projet semble intéressant.

Un point de vigilance : l’immeuble a-t-il suffisamment de compteurs ? Logiquement, il devrait y avoir un compteur d’électricité pour chaque lot + un pour les parties communes. Et un compteur gaz pour chaque lot chauffé au gaz. Avoir un compteur d’eau par lot n’est pas du tout obligatoire en revanche, la répartition selon une clé de répartition (pro-rata des surfaces par exemple) est fréquente et admise.

Alors l’immeuble a effectivement quelques lacunes de ce côté-là.

- Compteur EDF neuf pour chacun des biens, sauf les communs qui sont rattachés et payés par le commerce (indiqué dans le bail commercial, fait par un notaire).
- Chauffage collectif aux gaz de ville pour 2 studios et le local commercial, payé à 50% par le local commercial, et 25 % pour chaque studio. Le studio meublé est à l’électricité. La maison n’est pas encore équipée.

- Eau, chaque bien à son compteur, mais non utilisé par la précédente propriétaire.

Bernard2K a écrit :

Le gros point noir, c’est de ne pas arriver à financer les travaux nécessaires. Il eut été nécessaire d’avoir au moins une banque qui accepte de financer l’achat et les travaux. Maintenant que vous allez être doublement endetté (RP + cet immeuble), les banques accepteront-elles de vous prêter à nouveau ?

Ce qui relativise un peu ce point noir, c’est que c’est déjà loué même sans travaux (sauf la maison). Il est donc envisageable de commencer comme ça puis de faire des travaux au fil du temps et des moyens financiers (par exemple étalé sur 5 à 10 ans). En gros, n’espérez aucun cashflow positif pendant 10 ans, parce que vous allez réinvestir ce cashflow (et même plus) dans les travaux.

L’autre inconvénient d’étaler les travaux, c’est que ça dilue les soucis dans le temps. En faisant tous les travaux d’un coup, vous auriez pu espérer quelques mois intenses en travaux et formalités, puis une gestion relativement simple et sereine. Là, vous en prenez pour 5 à 10 ans à devoir financer les travaux, suivre les travaux, suivre les changements de fiscalité du passage nu à meublé, etc. Avantage : vous gagnerez fortement en expérience au fil du temps, ça sera très formateur ; inconvénient : 5 à 10 ans de souci, paperasses, et une gestion bien moins simple et sereine que si tout avait été fait dès le début.

Effectivement c’est une interrogation pour moi, j’ai également la possibilité de faire 15 000 euros de travaux rapidement. Je réfléchi encore sur ce point quand un logement va se libérer.
J’ai eu à gérer récemment 40 000 euros de travaux sur ma RP, c’est très formateur effectivement !
Je ne m’attend pas à retirer 1 centimes du bien, je veux lui faire prendre de la valeur, pour une meilleur rentabilité futur.

Bernard2K a écrit :

Pour la fiscalité applicable à chaque local, c’est simple, vous considérez ce local isolément. Il a coûté tant, il a tant de recettes et tant de charges… Pour les charges des parties communes, répartition au pro-rata des surfaces (ou, le cas échéant, avec une autre clé de répartition plus pertinente).

C’est le prochain point sur lequel je vais me concentrer, je vous remercie.

Bernard2K a écrit :

Un autre point de vigilance, c’est que vous comptez les loyers charges comprises. Or :
- en location nue, les charges locatives ne font que transiter par vous, elles ne vous rapportent ni ne vous coûtent. De plus, le loyer à déclarer comme revenu foncier est le loyer HC. Vous devriez donc compter les loyers HC et faire vos calculs de rentabilité sur cette base. Le loyer CC n’a aucune pertinence en location nue et vous conduit à surestimer la rentabilité. La rentabilité brute d’un bien loué nu, c’est loyer HC annuel / coût total d’achat.
- en location meublée, fiscalement vous êtes imposé sur les "recettes" = loyer CC. Raisonner sur le loyer CC est donc pertinent dans ce cas ; il n’en reste pas moins que les charges locatives ne font que transiter par vous, elles ne vous rapportent ni ne vous coûtent. Si vous comptez les loyers CC vous devriez évidemment déduire les charges dans votre calcul de rentabilité, sous peine de surestimer la rentabilité. Ce qui revient finalement à compter le loyer HC.

Pour être clair et précis, à mon humble avis, vu que vous ne pouvez pas faire les travaux tout de suite, votre rentabilité brute calculée sur l’ensemble de l’immeuble devrait être :
somme des loyer HC actuels / coût d’achat total.

Enfin, la question du passage en meublé. En LMNP au réel :
- si le local est loué meublé dès le début, vous inscrivez en amortissement son coût réel : achat + frais de notaire etc. + travaux relatifs à ce local. Vu qu’il n’y a qu’un seul studio loué meublé, votre comptable établira donc sa valeur à amortir, en prenant le coût total d’achat de l’immeuble puis en faisant un pro-rata des surfaces. A moins que l’acte authentique de vente ne distingue un coût d’achat pour chaque local, ce qui serait pratique ! Discutez-en avec votre notaire pour savoir si c’est possible.
- pour les autres studios, qui seront probablement passés en meublé sur des exercices comptables différents, la règle est qu’il faut alors les amortir à leur valeur vénale (=valeur de revente net vendeur) au moment du passage en meublé. Vous perdez la possibilité d’inscrire en amortissement les frais liés à l’acquisition (frais de notaire etc.) mais dans votre cas, je suppose que la valeur vénale sera supérieure à la valeur d’achat vu que vous payez l’ensemble vraiment pas cher.
Au total, passer ces studios en meublés seulement au départ des locataires, en faisant travaux et meubles à ce moment-là, me semble plutôt une bonne opération ; ainsi, vous aurez récupéré d’ici-là une petite capacité de financement pour financer travaux et meubles (espérons-le), et vous pourrez amortir la valeur vénale expertisée au moment du passage en meublé, ce qui devrait être plus avantageux que de retenir le prix d’achat.

Du coup, pour le choix du comptable, demandez aux comptables consultés d’établir d’emblée un tarif pour le premier studio + l’augmentation pour chaque studio additionnel. Logiquement, l’ajout de studios supplémentaires devrait être à prix minoré puisque leur compta sera faite "dans la foulée" du premier studio. Ca serait ballot de prendre un comptable à prix intéressant pour le premier studio mais qui se paie ensuite sur les studios suivants, une fois que vous êtes captif chez lui, parce que vous ne lui auriez pas fait établir d’emblée son tarif pour les studios suivants.

J’ai effectivement pas mal à faire coté fiscal, je dois découper mon bien, ce que je n’ai pas encore fait, mais vous m’avez donné plusieurs pistes intéressantes, je vous remercie !

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