Bonjour à tous,
Une question que je me pose c’est celle-ci, veux-je être rentier pour moi ou également pour que ma descendance petit à petit s’enrichisse et se mette à l’abris du besoin?
Ou alors l’autre face, j’ai eu à galérer pour arriver là ou j’en suis (ou serais), mes enfants devront également batailler afin de faire leur gras?
Bref, pensez vous mono génération, ou 2-3 générations plus tard?
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Je suis encore jeune.
Je pense que j’aurai à batailler plus que mes parents, même si je pars globalement avantagé par rapport aux autres jeunes de mon age.
Je pense que mes enfants devront batailler plus que moi. Il faudra les aider à se former, mais ce sera leur combat, et ils vivront sans doute des périodes très intéressantes !
Je pense également que la notion "d’enrichissement" est bien plus relative que beaucoup ne le pensent, puisque la monnaie à laquelle nous faisons en référence quand nous parlons de rente est avant tout fiduciaire.
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Oildrum a écrit :
Je pense que j’aurai à batailler plus que mes parents, même si je pars globalement avantagé par rapport aux autres jeunes de mon age.
Vous connaissez l’adage
"La première génération constitue un patrimoine , la deuxième le consolide et la troisième le dilapide"
Dommage vous êtes à la deuxième ……….
Philippe
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Philippe30 a écrit :
Vous connaissez l’adage
"La première génération constitue un patrimoine , la deuxième le consolide et la troisième le dilapide"
Philippe
Une definition assez proche dans un contexte entrepreneurial familial :
- le grand-père était un aigle
- le père était un faucon
- le fils est un vrai …
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Les deux; mais très délicat, à manier avec modération, en gardant à l’esprit les valeurs reçues :
D’abord c’est l’éducation qui doit primer, pour que les enfants soient lucides et responsables.
Ce que je veux, c’est leur transmettre des Valeurs et qu’ils gèrent plus tard leur héritage matériel et moral comme le mien, en bon père de famille. Et s’ils peuvent créer des richesses pendant leur vie professionnelle, qu’ils ne perdent pas de vue ces valeurs essentielles.
Je médite souvent sur la parabole des Talents… et le mythe de l’argent facile tombé tout cuit dans le bec, qui anesthésie toute volonté d’entreprendre est un danger qui guette l’héritier.
Je suis heureux que mes enfants bénéficient du cadre de vie privilégié qui est le leur; comme je l’ai été, et comme mes aïeux l’ont été depuis plusieurs générations; je raisonne comme étant un maillon de la chaine et fais tout ce qui est possible pour en maintenir la solidité !
Ensuite, c’est leur histoire !
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