Si vous voulez quelques nouvelles j’applique à peu prés la même stratégie à quelques détails prés :
- Sur les USA j’ai uniquement des trackers SP500 et Nasdaq en PEA que j’allège et renforce périodiquement (enfin ça fait un moment que je n’ai plus l’occasion de renforcer) histoire de faire quelque chose. J’ai uniquement des obligations en direct chez IB, histoire d’avoir des USD.
- Sur les small caps William Higgons est définitivement meilleur que moi, en dehors de quelques valeurs sentimentales genre It Link je lui ai laissé les clés du camion, je ne faits presque plus que des situations spéciales, le comportement des small est vraiment déprimant depuis quelques années.
J’avais une très grosse ligne SII qui était une de mes seules convictions malheureusement l’OPA a réussi… Je me suis fait racheter plusieurs small à des prix assez faibles.
- Sur les big j’ai de moins en moins de valeurs et je ne conserve que ce que je connais bien où je continue à augmenter mes positions en faisant des petits mouvements.
Rien de bien original : ASML (je suis assez exposé aux semi-conducteurs), Air Liquide, LVMH, Hermes, Total, Vinci etc… Mon PEA est bizarrement corrélé au Nasdaq. J’ai une grosse ligne de GTT, j’aime bien les monopoles et William m’a fait découvrir l’importance des marges pour détecter des bons business.
Je ne m’occupe plus beaucoup du rendement (même si j’ai encore du BNP et Amundi), surtout de la croissance et du business. J’aurai bien pris du Ferrari mais je n’ai malheureusement pas d’accès au marché italien.
Même si ce n’est pas théoriquement souhaitable j’ai actuellement pas mal de cash et je n’ai pas envie d’acheter grand chose. Si ca nuit à la performance absolue ca diminuera au moins la volatilité de mon portefeuille et ca me donne l’impression de faire quelque chose ! Le tout c’est d’en être conscient.
PS je viens de modifier ma citation car ce siècle m’intéresse de moins en moins.