#51 01/04/2020 11h14
- Korben
- Membre (2019)
Top 50 Année 2022
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Bonjour à tous et joyeux 1er avril. Allez, on garde le sourire !
Avec un CAC40 GR à -26% et le Mid&Small à -30%, je suis bien content de mon -26% à ce jour.
Encore plus quand je vois mon -40% au grand jeu du "quelles sont vos 5 favorites pour 2020 ?" (j’en ai pourtant 4/5 en portefeuille) ! Quand on vous dit que la vie réelle c’est mieux que la vie virtuelle, j’approuve ! Allez, on va se ressortir un petit DVD Matrix des familles pour une future soirée cofinée.
Je suis zen, ce n’est pas ma 1è tempête boursière et je reste 100% investi.
Comme indiqué ci-dessus, j’ai commencé le grand ménage dans mes très petites lignes et j’attends un retour vers 3.600 ou moins avant d’envisager de sortir le cash de précaution de leurs livrets à 0,5%. Et je surveille de près les titres qui décident de couper leur dividende pour décider de leur sort.
Un article au sujet du rester 100% investi : FOMO : la peur de l’occasion manquée, mal nécessaire
Regardez la fin :
Morningstar a écrit :
Pour représenter la situation dans laquelle nombre d’investisseurs se trouvent aujourd’hui, j’ai décidé d’effectuer la même analyse pour déterminer l’effet des intérêts cumulés sur une période plus longue, mais en supposant cette fois qu’un investisseur manquait seulement deux des meilleures séances recensées sur les quatre dernières décennies : le 21 octobre 1987 (au lendemain du Lundi noir) et le 14 octobre 2008 (au lendemain d’une perte de 5,6 % de l’indice). Ce sont deux jours où de nombreux investisseurs ont pu être tentés de se désengager, d’une manière étrangement semblable à ce que certains pourraient envisager aujourd’hui.
Un investissement théorique de 10 000 dollars réalisé en 1977 aurait valu environ 610 000 dollars au pic du marché, avant l’épidémie de COVID-19. Toutefois, le fait de manquer les deux meilleures séances de 1987 et 2008 aurait abouti à une valeur d’environ 495 000 dollars – soit un manque à gagner 115 000 dollars (environ 19 %) pour deux séances seulement. Une somme plus que suffisante pour financer les études de deux enfants, par exemple.
Les investisseurs pâtissent de la baisse des marchés, nous le savons tous. Cependant, se priver de la performance d’une séance boursière, d’autant plus s’il s’agit d’une séance à ne pas rater, produit des effets à long terme, dont on ne mesurera probablement l’ampleur que longtemps plus tard. Naturellement, personne ne peut savoir quand cette séance aura lieu : la seule manière de ne pas la rater est donc de rester investi.
Les titres en portefeuille, par valorisation décroissante :
AIR LIQUIDE
RUBIS
EUROFINS SCIENTIFIC
TOTAL
ORPEA
SANOFI
TELEPERFORMANCE
KERING
VINCI
IPSEN
ABC ARBITRAGE
ALTAREA
LVMH
SCHNEIDER ELECTRIC
STEF
DASSAULT SYSTEMES
LDC
WORLDLINE
ESKER
MICROWAVE VISION
INTERPARFUMS
SII
SUEZ
VIRBAC
REMY COINTREAU
GTT
IDI
ATEME
KAUFMAN ET BROAD
CBO TERRITORIA
THERMADOR GROUPE
AXA
UNIBAIL-RODAMCO-WESTFILED
ALTEN
DANONE
PHARMAGEST INTERACTIVE
LNA SANTE
KORIAN
BNP PARIBAS
MERCIALYS
IMERYS
SAINT-GOBAIN
HIGH CO
ARKEMA
THALES
MERSEN
ATOS
PERNOD RICARD
FOCUS HOME INTERACTIVE
ENGIE
EUTELSAT
GLOBAL ECOPOWER
SCOR
BIGBEN INTERACTIVE
LAGARDERE
GROUPE FNAC DARTY
DEVOTEAM
SWORD GROUP
SQLI
GROUPE GUILLIN
INFOTEL
CHARGEURS
AUBAY
MGI DIGITAL GRAPHIC
GROUPE OPEN
LINEDATA SERVICES
PRODWARE
GROUPE SFPI
DERICHEBOURG
TRIGANO
KEYRUS
CGG
YMAGIS
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